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C’est frustrant

par Kamal Kadi, lundi 28 février 2011, 21:21

 

Le pouvoir algérien joue comme il aime. A l'aune du troisième millénaire, il continue à nous sortir les arguments de régionalisme et de houma pour diviser.

 

Diviser pour régner.

 

En fait, il règne toujours parce que nous autres algériens n'arrivons pas encore à nous entendre sur un SMIG de revendications à opposer à un pouvoir décrié de partout et rejeté par tous mais admis pour faire face:

- soit au danger kabyle,

- soit à une opposition qui risque de gagner plus de terrain que ce qui est toléré.

 

Encore une fois, le pouvoir essaye de monter les algériens entre eux afin de faire échouer une protestation qu'il sait capable de le mettre en péril s'il laisse faire.

 

C'est dire qu'il sait très bien que sans cette manipulation machiavélique qui nous renvoie aux années de plomb et sans le recours à la répression des manifestants, il verrait des centaines de milliers d'algériens scander des slogans le désavouant et réclamant son départ.

 

Cette fois ci il ne s’agit pas de s’identifier à un quelconque parti politique ou une tendance idéologique mais c’est plus la nécessité de dire non à ce pouvoir et au verrouillage qu’il applique aux algériens depuis qu’il s’est érigé en sauveur qui s’est invité sans être invité à prolonger son bail.

 

Le riche répertoire des manipulations du pouvoir va même jusqu'à nous présenter des algériens qui rejettent la démarche de la CNCD à la yatima (ENTV) sans qu'il se rende compte que la divergence d'opinion fait partie de la revendication de la CNCD et de tous les algériens qui aspirent à un réel changement et une vraie démocratie. Le droit d'avoir une opinion différente n'étant qu'une simple pratique démocratique.

 

Je sais par contre et beaucoup comme moi, peut être même l'écrasante majorité des algériens, savent que notre pouvoir ne peut admettre ni tolérer une autre démarche que celle qu'il défend.

 

La CNCD n’est pas le RCD mais peut comprendre le RCD puisqu’il revendique les mêmes principes que les autres algériens qui se rejoignent sur la nécessité du changement et de la vraie démocratie.

 

Une chose est sure: un jour viendra où ce pouvoir s'obligera à suivre la direction du vent.

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le pouvoir persiste et signe

 

le pouvoir persiste et signe

par Kadi Kamal, le 03.03.2011

 

Par le biais de ses ministres le l’intérieur et de la communication, le pouvoir algérien s’entête à ne pas vouloir concéder une quelconque ouverture que se soit dans le domaine des libertés ou bien dans le domaine de l’alternance au pouvoir.

 

C’est ainsi que l’agrément de nouvelles formations politique a été définitivement écarté des attentions du pouvoir comme il a été décidé également de ne prévoir aucune ouverture en matière d’audiovisuel. C’est ce qui s’appelle persister et signer dans la ligne du tout verrouillage.

 

Une façon de dire aux algériens que ce qui arrive ailleurs ne peut pas nous impressionner ou que notre système est plus solide et peut faire face aux quelques énergumènes qui s’agitent ça et là pour demander un changement ou revendiquer des besoins spécifiques. Le pouvoir algérien semble s’appuyer sur une lecture erronée de son environnement à l’échelle internationale lui miroitant un semblant de satisfecit exprimé par les français et surtout les américains au lendemain de la levée de l’état d’urgence.

 

Ce que notre pouvoir semble occulter, c’est ce mécontentement des algériens latent pour le moment mais qui risque d’aboutir à une véritable explosion si les responsables continuent à considérer la situation dans le pays comme maitrisable.

 

Aucun peuple dans le monde ne peut accepter une gestion approximative d’un pays qui dispose de tous les moyens pour amorcer son développement.

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Guest bref03

Ce que notre pouvoir semble occulter, c’est ce mécontentement des algériens latent pour le moment mais qui risque d’aboutir à une véritable explosion si les responsables continuent à considérer la situation dans le pays comme maitrisable.

 

Aucun peuple dans le monde ne peut accepter une gestion approximative d’un pays qui dispose de tous les moyens pour amorcer son développement.

 

 

hélas tout le problem peut être résumer à travers ces deux paragraphes.

seullement, hélas encore la solution à cette misère n'est point claire !!.

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Il n’y a pas trente six mille solutions frère. Soit le pouvoir cède et accepte le changement pacifique, sans effusion de sang, soit il s’entêtera dans sa démarche actuelle qui consiste à occulter au second plan, derrière les besoins sociaux légitimes aussi, les réelles aspirations des algériens qui sont le changement du régime, la vraie démocratie, l’alternance au pouvoir, la liberté d’expression, l’ouverture des champs médiatiques et audiovisuels, soit il entraine ce pays vers l’inconnu dont l’une des thèses redoutées par beaucoup de connaisseurs des affaires de ce pays serait le chaos … !!!

 

 

Kamal

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Bonsoir mes ami(e)s,

 

je crois qu'il y a comme quelque chose qui ne va pas dans ce pays. le régime prend toutes ses dispositions pour empêcher des marches d'avoir lieu. Objectif qu'il a réalisé en mettant tous les moyens nécessaires pour ce faire.

 

ce même pouvoir n'a pas pu empêcher une poignée de jeunes venus insulter et menacer le chef d'un parti pour l'empêcher d'exprimer en toute liberté et démocratie ces revendications qui sont en outre les revendications de la majorité des algériens hormis les clients du pouvoir et les jeunes manipulés ou achetés avec une poignée de dinars.

 

ce qui fait le plus mal c'est lorsque le pouvoir ou l'Algérie officielle emprunte au colonialisme ces procédés pour dresser des algériens contre d'autres algériens. Au début du troisième millénaire, nous avons droit a des insultes du genre "retourne à ta Kabylie sale kabyle". Si cela n'est pas criminel, raciste, xénophobe, dites moi s'il vous plait c'est quoi?

 

AVEC UN POUVOIR PAREIL, NOUS NE SOMMES PAS PRÊTS DE SORTIR NOTRE NEZ DU SOUS DÉVELOPPEMENT ENCORE MOINS D’ESPÉRER UN QUELCONQUE CHANGEMENT DANS LES VIEILLES PRATIQUES RÉVOLUES VENUES D'UN AUTRE AGE. EN TOUT CAS, NOUS AVONS ENCORE DES PROGRÈS A FAIRE.

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Voila que la chaîne 3 devient plurielle !!!

 

Aujourd'hui, nous avons eu droit à une émission sur chaîne 3 qui a eu pour invité le premier secrétaire du FFS, Karim Tabou. l'émission qui a eu lieu vers 10h 15mn a tenté de faire dans la démocratie et la neutralité avec des animateurs et animatrices qui ont longtemps appliqué le verrouillage médiatique sur l'opposition et qui semble s'être décidée de manière unilatérale par les responsables des médias (sans instructions de la hiérarchie).

 

la fameuse animatrice dont je n'ai pas retenu le nom a exigé des explications a Karim Tabou sur le fait qu'il a toléré que l'ENTV a été empêchée de faire son travaille lors du meeting du 04/03/2011 à la salle Atlas oubliant du même coup que sa fameuse radio et cette fameuse ENTV ont appliqué un blocus rigoureux sur les partis de l'opposition depuis de longues années.

 

cette animatrice a également oublié son rôle d'animatrice d'une émission pour tenter d'intimider en adoptant un ton pour le moins agressif et loin de la neutralité qui aurait du caractériser une animatrice d'émission. Ils était décidé enfin que les partis devaient décliner leurs programmes économiques comme si les débats et les divergences étaient situées à ce niveau.

 

le premier secrétaire lui a clairement expliqué que tant que le régime en place n'acceptait pas les préalables politiques, aucune discussion sur les autres volets ne pouvait être envisagée.

 

Normal, puisque le fait de discuter sur les autres aspects pouvait être perçu comme un quitus accordé au pouvoir en place.

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KABYLIE INDÉPENDANTE est le seul salut pour cette Algérie d'aujourd'hui

 

les algériens en majorité se considerent arabes, il nous detestent nous les kabyles

 

une bonne séparation en bonne et du forme sortira l'Algérie de la crise, apres chaque algérien trouvera la paix, les arabes en Algérie resteront avec bouteflika & co. et les kabyles formeront leur pays et viveront aussi de leur coté comme ils désirent.

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je suis désolé mon ami , mais je ne suis pas prêt à céder aucune parcelle de cette terre d'Algérie pour laquelle mes parents et grands parents se sont battus.

 

S'il y a quelqu'un qui doit partir , c'est le pouvoir et ses acolytes racistes qui ne font que pousser les algériens authentiques à commettre l'impardonnable comme cette idée de l'autonomie de la Kabylie.

 

désolé frère , mais cette idée est loin de susciter en moi un quelconque intérêt. plus que cela, je la dénonce de toutes mes forces.

 

Kamal

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l'heure est grave

 

Chers amis, l'heure est grave...!!!

on ne sait plus distinguer la bonne graine de l'ivraie.

on ne sait plus qui sont les baltaguis, qui sont les représentants de l'ordre public.

on ne sait plus quels sont les droits des représentants du peuple.

on ne sait plus comment fait il faire pour porter notre voix aux autorités de ce pays pour leur faire nos préoccupations.

 

En fait se sont ces mêmes autorités qui ont appliqué un verrouillage complet et parfait afin d'empêcher les algériens comme moi de faire connaitre leurs préoccupations. Mais cela on le sait déjà, tous les algériens le constatent, le dénoncent sans que nos responsables au plus hautes fonctions dans ce pays ne daignent accorder un quelconque crédit à nos constats et demandes que les algériens veulent pacifiques et même civilisées. Pour faire aboutir leurs revendications, les algériens qui ont évacué la peur et l'hésitation de leur dictionnaire personnel ont décidé de marcher dans leur pays, au niveau de leur capital, au centre d'Alger, là ou des millions d'algériens viennent de différentes régions du pays chaque jour que Dieu fait afin de régler leurs affaires sans que cela ne crée le moindre problème pour aucun des habitants jouxtant les grandes artères de cette capitale. Il serait tentant de dire que sans ce vacarme, les habitants de ces quartiers ne reconnaîtraient pas leur capitale. Normal puisque c'est leur capitale.

 

mais que depuis le début de l'année est apparue une nouvelle notion du coté du premier mai, de la grande artère d'Hussein day et même du coté de salombier. cette notion c'est celle de Houma. elle a été relayée par des jeunes prétendant habiter lesdits quartiers pour demander aux marcheurs pour demander aux marcheurs de ne pas troubler leur quiétude...!!!

 

il faut avouer que les algériens pouvaient s'attendre à toutes les surprises sauf à celles scellant une alliance entre le pouvoir, ses partis formant la coalition et les fameux baltaguis qui, malheureusement ont été manipulés contre une poignée de dinars.

 

Plus grave encore, les services de sécurité avec la complicité du pouvoir ont laissé faire les agissements de ces baltaguis en permettant que le chef d'un parti officiel soit insulté, agressé et ciblé par des propos racistes et xénophobes. des scènes qui se sont déroulées avec la présence passive des services de sécurité. Dans d'autres circonstances, il aurait été impossible que les mêmes baltaguis puissent faire paraître devant les services de sécurité des armes blanches et proférer des menaces et des représailles à l'égard des officiels, mais pour faire barrage à une marche pacifique, tous les coups étaient permis.

 

c'est une preuve supplémentaire que le pouvoir à s'allier même avec le diable afin de se maintenir, chose qui doit sonner comme un sérieux avertissement dans l'oreille de l'opposition...!!!

 

Ou est l'opposition?

 

au lieu de qualifier les marches organisées sur Alger d'agitation et les marcheurs d'agitateurs, l'opposition aurait du s'unir afin de revendiquer d'une même voix le changement qui semble être un consensus revendiqué par la majorité des algériens, formations politiques, associations, ONG et simples citoyens.

 

l'urgence de l'heure est surtout de pousser au changement. Une fois ce principe acquis, il sera possible de passer à l'étape suivante.

 

Un précédent à ne pas tolérer:

 

lors de la marche d'hier 05.03.2011, le président du RCD a failli être blessé sans parler des insultes d'extrême gravité dont il a fait l'objet en parfaite complicité de l'Algérie officielle qui est descendue aussi afin d'empêcher une marche. De mon point de vue, quelque soient les tendances politiques des uns et des autres, il y a des seuils que personne ne doit dépasser, même pas le pouvoir. Cet état de fait doit dénoncé avec une extrême fermeté au risque de voir de telles manipulations devenir un référant pour le pouvoir.

 

Il y va en fait des libertés sacrées des algériens que nous devons reconquérir même au prix de nos vies.

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Chers amis, l'heure est grave...!!!

on ne sait plus distinguer la bonne graine de l'ivraie.

on ne sait plus qui sont les baltaguis, qui sont les représentants de l'ordre public.

on ne sait plus quels sont les droits des représentants du peuple.

on ne sait plus comment fait il faire pour porter notre voix aux autorités de ce pays pour leur faire nos préoccupations.

 

En fait se sont ces mêmes autorités qui ont appliqué un verrouillage complet et parfait afin d'empêcher les algériens comme moi de faire connaitre leurs préoccupations. Mais cela on le sait déjà, tous les algériens le constatent, le dénoncent sans que nos responsables au plus hautes fonctions dans ce pays ne daignent accorder un quelconque crédit à nos constats et demandes que les algériens veulent pacifiques et même civilisées. Pour faire aboutir leurs revendications, les algériens qui ont évacué la peur et l'hésitation de leur dictionnaire personnel ont décidé de marcher dans leur pays, au niveau de leur capital, au centre d'Alger, là ou des millions d'algériens viennent de différentes régions du pays chaque jour que Dieu fait afin de régler leurs affaires sans que cela ne crée le moindre problème pour aucun des habitants jouxtant les grandes artères de cette capitale. Il serait tentant de dire que sans ce vacarme, les habitants de ces quartiers ne reconnaîtraient pas leur capitale. Normal puisque c'est leur capitale.

 

mais que depuis le début de l'année est apparue une nouvelle notion du coté du premier mai, de la grande artère d'Hussein day et même du coté de salombier. cette notion c'est celle de Houma. elle a été relayée par des jeunes prétendant habiter lesdits quartiers pour demander aux marcheurs pour demander aux marcheurs de ne pas troubler leur quiétude...!!!

 

il faut avouer que les algériens pouvaient s'attendre à toutes les surprises sauf à celles scellant une alliance entre le pouvoir, ses partis formant la coalition et les fameux baltaguis qui, malheureusement ont été manipulés contre une poignée de dinars.

 

Plus grave encore, les services de sécurité avec la complicité du pouvoir ont laissé faire les agissements de ces baltaguis en permettant que le chef d'un parti officiel soit insulté, agressé et ciblé par des propos racistes et xénophobes. des scènes qui se sont déroulées avec la présence passive des services de sécurité. Dans d'autres circonstances, il aurait été impossible que les mêmes baltaguis puissent faire paraître devant les services de sécurité des armes blanches et proférer des menaces et des représailles à l'égard des officiels, mais pour faire barrage à une marche pacifique, tous les coups étaient permis.

 

c'est une preuve supplémentaire que le pouvoir à s'allier même avec le diable afin de se maintenir, chose qui doit sonner comme un sérieux avertissement dans l'oreille de l'opposition...!!!

 

Ou est l'opposition?

 

au lieu de qualifier les marches organisées sur Alger d'agitation et les marcheurs d'agitateurs, l'opposition aurait du s'unir afin de revendiquer d'une même voix le changement qui semble être un consensus revendiqué par la majorité des algériens, formations politiques, associations, ONG et simples citoyens.

 

l'urgence de l'heure est surtout de pousser au changement. Une fois ce principe acquis, il sera possible de passer à l'étape suivante.

 

Un précédent à ne pas tolérer:

 

lors de la marche d'hier 05.03.2011, le président du RCD a failli être blessé sans parler des insultes d'extrême gravité dont il a fait l'objet en parfaite complicité de l'Algérie officielle qui est descendue aussi afin d'empêcher une marche. De mon point de vue, quelque soient les tendances politiques des uns et des autres, il y a des seuils que personne ne doit dépasser, même pas le pouvoir. Cet état de fait doit dénoncé avec une extrême fermeté au risque de voir de telles manipulations devenir un référant pour le pouvoir.

 

Il y va en fait des libertés sacrées des algériens que nous devons reconquérir même au prix de nos vies.

 

 

à bas les baltaguis et les généraux qui ont importés des matraques en caoutchouc

 

vive la démocratie et la liberté des peuples

 

frères unissons-nous et descendons dans la rue contre le pouvoir des Taghouts

 

demain sous les semelles de nos marcheurs fleuriront des fleurs de toutes les couleurs

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