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Une réalité horible!!!


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Bonjour,

j ai lu sur ce forum que la prostitution ds les facs algerienne est une monnaie courante!!!!!

Eh ben meme ds les pays les plus developpés y a pire et le plus grave,elles ont 7 ou 8 ans

 

 

Pipe à 10 $ dans les cours d’école

par Philippe Beauchemin

Voir tous les articles de Philippe Beauchemin

Article mis en ligne le 22 août 2007 à 9:30

Soyez le premier à commenter cet article

 

Les jeunes ont accès facilement à des images sexuelles très dures, via Internet et les autres médias. Ils veulent maintenant reproduire ce qu’ils voient dans leur quotidien. (Photo: Photos.com) Pipe à 10 $ dans les cours d’école

L’histoire se passe dans une école primaire montréalaise. Des filles de cinquième année, le midi, se cachent pour faire des pipes aux petits garçons. En échange, elles leur demandent des sous. Phénomène isolé ou vague de fond?

Cette histoire, c’est la sexologue Jocelyne Robert qui la raconte. Un exemple du genre d’appel qu’elle reçoit chaque semaine. « Ce qui se passe à l’école, ce n’est que la pointe de l’iceberg. Ça va beaucoup plus loin ailleurs. Les partouzes, les concours de pipe, les partys « une fille pour dix gars »; les jeunes ne le font pas dans la cour d’école. Mais croyez-moi, tout ça existe vraiment », mentionne l’auteure de Full sexuel : la vie amoureuse des adolescents.

 

Un phénomène observé également par Francine Duquet qui, en 20 ans de carrière, en a vu de toutes les couleurs : érotisation des fillettes, séduction sexualisée, clavardage sexuel, cyberpornographie, banalisation du sexe oral, etc. « Dans une école primaire, on m’a rapporté qu’il y avait une petite fille de sixième année qui faisait des fellations aux garçons du secondaire pour s’acheter des cigarettes.» Et quand ce n’est pas pour des sous, c’est pour se protéger des avances des garçons qu’elles pratiquent des fellations. D’autres fois, elles cherchent plutôt à plaire à tout prix.

 

La psycho éducatrice Linda Théroux, qui travaille depuis 20 ans à l’école secondaire Henri-Julien, constate le même phénomène. « Les jeunes filles veulent se faire remarquer. Je le vois dans la façon qu’elles s’habillent. Elles arrivent le matin, elles ont des brassières qui remontent les seins, un j-string bien en vue, le tatou dans le bas du dos. Quand je leur dis qu’elles sont habillées pour aller danser dans un club et non pas pour venir à l’école, elles nous disent que ce sont nous qui sommes arriérés, que nous sommes dépassés. »

Esclave sexuelle…à 13 ans

Internet, cellulaires, webcams; les jeunes d’aujourd’hui ont accès à de la pornographie partout, en tout temps. « Ils voient des choses incroyables et pensent que c’est ça la sexualité. Il n’y a plus de limite. Les gars demandent des actes sexuels insensés et les filles font semblant d’aimer ça. Bordel, réveillons-nous et vite! »

La sexologue Jocelyne Robert se rappelle un cas qu’il lui a été soumis il n’y a pas si longtemps. « Des parents ont découvert que leur jeune fille de 13 ans était devenue l’esclave sexuelle d’une bande de jeunes gars. La petite fille en question était tout simplement tombée amoureuse d’un garçon, comme cela arrive normalement à cet âge là. Mais le gars, lui, a dit à la jeune fille que si elle couchait avec ses amis, elle pourrait alors être sa blonde. Elle a accepté, et elle s’est fait baiser par tous les gars du groupe. Elle était devenue un instrument sexuel. Ce qu’on voit aujourd’hui, c’est de la sexualité agressive. On est dans le culte des trois « c », soit le ***, le corps et le cash. »

 

Des exemples comme celui-là, Mme Robert en connaît des dizaines. « Le danger, c’est qu’on banalise tout ça. Quand les jeunes disent qu’un trip sexuel à trois c’est normal et que ça va de soi dans une relation d’amour, là, on a un problème. »

Une réalité qui touche tous les milieux

« Pratiquement tous les milieux vivent ce genre de situation, que ce soit à Montréal ou ailleurs, en milieu défavorisé ou en milieu aisé. Il ne faut pas faire l’autruche! L’école primaire, c’est le baromètre de ce qui se passe », laisse entendre Mme Duquet.

Ce qui permet vraiment de constater une différence sur le comportement sexuel des jeunes n’a rien à voir avec la classe sociale, mais plutôt avec la présence des parents, constate Lilia Goldfarb, du Y des femmes, qui s’est également penchée sur le phénomène de la sexualité précoce des filles. « Lorsque les parents sont très présents, c’est ça qui fait une différence. Ils aident leurs enfants à développer un esprit critique en regardant ce qu’ils lisent, ce qu’ils écoutent et ce qu’ils voient. »

 

Pour Mylène Fernet, sexologue, il ne faut toutefois pas crier au loup. « À force d’entendre que les jeunes ont une sexualité débridée, cela a un effet pervers. Certains d’entre eux s’inquiètent du fait qu’ils n’ont pas fait ou pas reçu de pipe. Ils en sont à se demander si c’est normal! »

 

Par contre, un groupe de recherche, dont Francine Duquet, également professeure au département de sexologie de l’UQAM et Lilia Goldfarb, se penche justement sur le sujet, tentant de documenter le phénomène. Au terme de la recherche d’une durée de trois ans, le groupe développera une formation et des outils destinés aux intervenants des milieux scolaires, communautaire, de la santé et des services sociaux ainsi qu’aux jeunes.

 

 

 

Amicalement le parisien

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  Esmeralda said:
Brr!!!!

 

Leparisien ton message fait froid dans le dos, et c'est simplement écoeurant.

 

Pour les filles Algériennes, depuis des decennies, les mauvaises langues ne cessent de raconter n'importe quoi à ce sujet, à les écouter personne ne mettrai sa fille au lycée ou à l'université, juste des histoire sans aucun fondement réel.

 

Il ya toujours eu des exceptions, biensûr qu'il ya des cas particuliers, rares, mais dire que c'est une généralité, il ne faut pas pousser non plus, déjà la majorité écrasante sont maintenant voilées, je pense que ce n'est pas très crédible tout ça.

je peux te demander ou tu habite? parce que apparemment pas en Algérie.

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  Esmeralda said:
Brr!!!!

 

Leparisien ton message fait froid dans le dos, et c'est simplement écoeurant.

 

Pour les filles Algériennes, depuis des decennies, les mauvaises langues ne cessent de raconter n'importe quoi à ce sujet, à les écouter personne ne mettrai sa fille au lycée ou à l'université, juste des histoire sans aucun fondement réel.

 

Il ya toujours eu des exceptions, biensûr qu'il ya des cas particuliers, rares, mais dire que c'est une généralité, il ne faut pas pousser non plus, déjà la majorité écrasante sont maintenant voilées, je pense que ce n'est pas très crédible tout ça.

l'habit ne fait pas le moine!:rolleyes:

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  Esmeralda said:
Kenshiro Salut

 

Tu as raison je n'habite plue en Algérie mais j'y ai habité très longtemps et j'y ai encore de la famille et ce disque là je l'entend depuis très très longtemps (des générations ont grandit avec cet épouvantail).

 

Certains pères à mon époque n'ont pas laissé leur filles aller au lycée ou à l'université à cause de ses racontars, il ya et il y aura toujours des filles bien éduquées, des filles victimes de méchants loups sans moralité, et peut être des filles inconscientes, mais si la situation était si dramatique ca se saurait, avec les moyens de contraception quasi inexistants pour les jeunes labas, les filles auraint toutes un bébé avant d'avoir le bac...

 

la vie est chere en algerie maintenant,c est plus facile d avoir le bac que le bebe!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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  leparisien said:
la vie est chere en algerie maintenant,c est plus facile d avoir le bac que le bebe!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

je ne trouve pas que la vie est si chère:confused: un étranger avec un salaire d'un mois peut vivre un an:rolleyes:

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Guest Clairière
  leparisien said:
la vie est chere en algerie maintenant,c est plus facile d avoir le bac que le bebe!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Tu crois ça toi?

 

  Quote

 

7.000 naissances illégitimes par an en Algérie

 

mercredi 26 juillet 2006.

 

Quelque 7.000 naissances illégitimes (hors mariage) sont recensées annuellement en Algérie, soit près de 1% du total des naissances estimé à 65.000, a-t-on annoncé, hier à Alger, lors de la journée d’étude sur les droits humains de la femme en matière d’accès aux soins.

 

 

Considéré comme un sujet tabou, le phénomène de la mère célibataire progresse lentement « dans l’ombre » en marge de notre société, ont affirmé les participants. Toutefois ils ont qualifié ces chiffres « d’insignifiants » par rapport au nombre annuel des naissances. « Beaucoup d’actions très intéressantes sont entreprises en Algérie dans le domaine de la santé. Mais, malheureusement, il existe très peu de documents pour que cela soit considéré comme des expériences », a déploré le Pr Dekkar Nourredine, représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Alger, rapporte l’APS. Il a également regretté l’inexistence de statistiques fiables sur l’ampleur du phénomène.

 

Les praticiens intéressés par le sujet ne disposent, en effet, que d’une seule étude menée en 2005 et qui avait révélé que sur un échantillon de plus de 15.000 (15.701) femmes admises pour accouchement l’année dernière à travers le pays, il avait été enregistré 118 naissances illégitimes contre 8.866 naissances à Alger, 49 naissances illégitimes contre 3.294 à Skikda et 21 naissances illégitimes contre 3.541 à Mascara.

 

Il a été également constaté que plus de la moitié des mères célibataires (52%) sont âgées de moins de 25 ans contre 17% pour les femmes mariées. 16,3% des mères célibataires sont des mineures (entre 16 et 19 ans). L’étude a aussi dévoilé que l’absence d’instruction des filles est l’un des facteurs responsables de la hausse des naissances illégitimes, puisque 40% des mères célibataires sont sans instruction ou ont un niveau primaire. L’étude révèle, par ailleurs, que le phénomène de la mère célibataire n’est pas « une simple histoire d’accident ». D’ailleurs, un tiers des mères célibataires (26,1%) ont plus d’un enfant contre 66,0% qui sont à leur premier enfant. Concernant le suivi de la grossesse, il est également montré que toutes les femmes semblent bénéficier du même type de prise en charge. 42% des mères célibataires ont fait entre 0 à 2 visites médicales, dans les structures sanitaires, contre 15% des femmes mariées. Abordant les risques sur la grossesse, il a été démontré que l’aboutissement à un mort-né est 2 fois plus élevé chez les mères célibataires (5,3%) que chez les femmes mariées (2,5%). On précise, d’un autre côté, que 30% des mères célibataires n’ont pas allaité leur bébé contre 7% chez les femmes mariées. « Les grossesses non désirées constituent un danger certain pour la santé de la femme et la société », a souligné le professeur Zahra Sadi, chef de service de la planification maternelle au CHU Mustapha-Pacha. Pour d’autres intervenants, l’absence de prévention et d’éducation sexuelle de l’adolescente et de l’adolescent risque d’amplifier davantage ce phénomène. Les participants avaient recommandé de traiter le phénomène « dans un cadre global de toutes les formes d’inégalité des chances entre les hommes et les femmes » pour réduire les cas des mères célibataires.

 

S.M. - Le Quotidien d’Oran

 

ça fait réfléchir....

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Guest Clairière

J'ai une proche qui bosse dans une "pouponnière" au bled, pour confirmer ces dires....

 

Sans parler de l'état déplorable dans lequel arrive ces pauvres enfants, que les mères dans leur désespoir ont essayés d'éliminer par tous les moyens...

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Guest Clairière
  leparisien said:
Merci pour l info clairiere,c est flippant!!!!!!!!!!!!!

 

Et on est loin de s'imaginer la triste réalité, je me souviens dans les années 80, une cousine, surveillante générale dans un lycée à Batna, racontait les horreurs qu'il lui arrivait de découvrir dans les dortoirs ou sanitaires (bébés étranglés dés la naissance, ou jetés dans les poubelles, etc...)...

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Guest Clairière
  tina said:
en parlant de pouponnière clairie, celle d'Annaba est pleine d'enfants aux yeux bridés, les chinois ont fait des ravages! selon une étude effectuée

 

eh bin!!! Elles feront n'importe quoi pour avoir un peu de pognon ou avantages matériels...

 

Ces filles savent pourtant dans quelle mentalité baigne le pays et ce qu'il adviendrait d'elles si elles "fautent"... c'est d'une inconscience!!!

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Guest Clairière
  leparisien said:
Bonjour,

j ai lu sur ce forum que la prostitution ds les facs algerienne est une monnaie courante!!!!!

Eh ben meme ds les pays les plus developpés y a pire et le plus grave,elles ont 7 ou 8 ans

 

 

Pipe à 10 $ dans les cours d’école

par Philippe Beauchemin

Voir tous les articles de Philippe Beauchemin

Article mis en ligne le 22 août 2007 à 9:30

Soyez le premier à commenter cet article

 

Les jeunes ont accès facilement à des images sexuelles très dures, via Internet et les autres médias. Ils veulent maintenant reproduire ce qu’ils voient dans leur quotidien. (Photo: Photos.com) Pipe à 10 $ dans les cours d’école

L’histoire se passe dans une école primaire montréalaise. Des filles de cinquième année, le midi, se cachent pour faire des pipes aux petits garçons. En échange, elles leur demandent des sous. Phénomène isolé ou vague de fond?

Cette histoire, c’est la sexologue Jocelyne Robert qui la raconte. Un exemple du genre d’appel qu’elle reçoit chaque semaine. « Ce qui se passe à l’école, ce n’est que la pointe de l’iceberg. Ça va beaucoup plus loin ailleurs. Les partouzes, les concours de pipe, les partys « une fille pour dix gars »; les jeunes ne le font pas dans la cour d’école. Mais croyez-moi, tout ça existe vraiment », mentionne l’auteure de Full sexuel : la vie amoureuse des adolescents.

 

Un phénomène observé également par Francine Duquet qui, en 20 ans de carrière, en a vu de toutes les couleurs : érotisation des fillettes, séduction sexualisée, clavardage sexuel, cyberpornographie, banalisation du sexe oral, etc. « Dans une école primaire, on m’a rapporté qu’il y avait une petite fille de sixième année qui faisait des fellations aux garçons du secondaire pour s’acheter des cigarettes.» Et quand ce n’est pas pour des sous, c’est pour se protéger des avances des garçons qu’elles pratiquent des fellations. D’autres fois, elles cherchent plutôt à plaire à tout prix.

 

La psycho éducatrice Linda Théroux, qui travaille depuis 20 ans à l’école secondaire Henri-Julien, constate le même phénomène. « Les jeunes filles veulent se faire remarquer. Je le vois dans la façon qu’elles s’habillent. Elles arrivent le matin, elles ont des brassières qui remontent les seins, un j-string bien en vue, le tatou dans le bas du dos. Quand je leur dis qu’elles sont habillées pour aller danser dans un club et non pas pour venir à l’école, elles nous disent que ce sont nous qui sommes arriérés, que nous sommes dépassés. »

Esclave sexuelle…à 13 ans

Internet, cellulaires, webcams; les jeunes d’aujourd’hui ont accès à de la pornographie partout, en tout temps. « Ils voient des choses incroyables et pensent que c’est ça la sexualité. Il n’y a plus de limite. Les gars demandent des actes sexuels insensés et les filles font semblant d’aimer ça. Bordel, réveillons-nous et vite! »

La sexologue Jocelyne Robert se rappelle un cas qu’il lui a été soumis il n’y a pas si longtemps. « Des parents ont découvert que leur jeune fille de 13 ans était devenue l’esclave sexuelle d’une bande de jeunes gars. La petite fille en question était tout simplement tombée amoureuse d’un garçon, comme cela arrive normalement à cet âge là. Mais le gars, lui, a dit à la jeune fille que si elle couchait avec ses amis, elle pourrait alors être sa blonde. Elle a accepté, et elle s’est fait baiser par tous les gars du groupe. Elle était devenue un instrument sexuel. Ce qu’on voit aujourd’hui, c’est de la sexualité agressive. On est dans le culte des trois « c », soit le ***, le corps et le cash. »

 

Des exemples comme celui-là, Mme Robert en connaît des dizaines. « Le danger, c’est qu’on banalise tout ça. Quand les jeunes disent qu’un trip sexuel à trois c’est normal et que ça va de soi dans une relation d’amour, là, on a un problème. »

Une réalité qui touche tous les milieux

« Pratiquement tous les milieux vivent ce genre de situation, que ce soit à Montréal ou ailleurs, en milieu défavorisé ou en milieu aisé. Il ne faut pas faire l’autruche! L’école primaire, c’est le baromètre de ce qui se passe », laisse entendre Mme Duquet.

Ce qui permet vraiment de constater une différence sur le comportement sexuel des jeunes n’a rien à voir avec la classe sociale, mais plutôt avec la présence des parents, constate Lilia Goldfarb, du Y des femmes, qui s’est également penchée sur le phénomène de la sexualité précoce des filles. « Lorsque les parents sont très présents, c’est ça qui fait une différence. Ils aident leurs enfants à développer un esprit critique en regardant ce qu’ils lisent, ce qu’ils écoutent et ce qu’ils voient. »

 

Pour Mylène Fernet, sexologue, il ne faut toutefois pas crier au loup. « À force d’entendre que les jeunes ont une sexualité débridée, cela a un effet pervers. Certains d’entre eux s’inquiètent du fait qu’ils n’ont pas fait ou pas reçu de pipe. Ils en sont à se demander si c’est normal! »

 

Par contre, un groupe de recherche, dont Francine Duquet, également professeure au département de sexologie de l’UQAM et Lilia Goldfarb, se penche justement sur le sujet, tentant de documenter le phénomène. Au terme de la recherche d’une durée de trois ans, le groupe développera une formation et des outils destinés aux intervenants des milieux scolaires, communautaire, de la santé et des services sociaux ainsi qu’aux jeunes.

 

 

 

Amicalement le parisien

 

 

Et c'est pour cette "mixité" là qu'"on" bataille tant????

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Guest Clairière
  leparisien said:
:crazy: :crazy: :crazy:

 

 

quoi, ça te donne le tournis tout ça?:p

 

Je vais te dire, comme disaient les anciens, "plus on vit, plus on voit" et on le constate au fil du temps...:rolleyes:

 

(la fameuse libération des moeurs et ses conséquences...)

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  Clairière said:
quoi, ça te donne le tournis tout ça?:p

 

Je vais te dire, comme disaient les anciens, "plus on vit, plus on voit" et on le constate au fil du temps...:rolleyes:

 

(la fameuse libération des moeurs et ses conséquences...)

 

Enfin je partage ta derniere phrase,je suis de nature tres ouvert,et je m adapte à toutes les situations et ..........

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  Esmeralda said:
Kenshiro Salut

 

Tu as raison je n'habite plue en Algérie mais j'y ai habité très longtemps et j'y ai encore de la famille et ce disque là je l'entend depuis très très longtemps (des générations ont grandit avec cet épouvantail).

 

Certains pères à mon époque n'ont pas laissé leur filles aller au lycée ou à l'université à cause de ses racontars, il ya et il y aura toujours des filles bien éduquées, des filles victimes de méchants loups sans moralité, et peut être des filles inconscientes, mais si la situation était si dramatique ca se saurait, avec les moyens de contraception quasi inexistants pour les jeunes labas, les filles auraint toutes un bébé avant d'avoir le bac...

y a des filles bien, b'nattes familya, elles se comptes sur les doigts de la main.

pour les moyens de contraception je ne suis pas d'accord, y en a de toutes sortes et ils ont a porté de tout le monde, et malgré ça y en a des filles qui ont eu leur bébé avant le bac et c'est pas une ou 2

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