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Regime marocain: une dictature


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une dictature corrompue puante !

 

Dans son édition de ce mercredi 9 mars 2012, le quotidien arabophone « Al Massae », révèle que Fouad Ali El Himma, un proche du roi Mohammed VI, serait impliqué dans une affaire de corruption et de violation des règles d’octroi des marchés publics.

 

Les faits divulgués aujourd’hui par le quotidien au plus fort tirage du royaume ne datent que d’avril 2010. Il s’agit selon « Al Massae », avec documents à l’appui, d’un deal entre l’Office nationale d’électricité (ONE) et le Cabinet Media Consulting.

 

L’ONE est dirigé par Ali Fassi Fihri, membre de la famille Fassi (très présente dans les sphères du pouvoir) tandis que le Cabinet Mena Media Consulting appartient à Fouad Ali El Himma, ex- ministre délégué de l’Intérieur, chef de file des députés du groupe parlementaire authenticité et modernité, mais surtout un très proche « ami du roi ».

 

Sur les documents publiés par le quotidien, il est précisé que l’ONE a conclu un engagement négocié avec le Cabinet Mena Media Consulting qui lui apporte « l’assistance et l’accompagnement dans la conception, le déploiement et le suivi de la stratégie de communication institutionnelle et opérationnelle de la naissance de l’Office Nationale de l’Electricité et de l’Eau Potable ». Montant des prestations : 7 500 000 dirhams hors taxes, sur une durée de dix mois, soit un forfait mensuel de 750 000 HT. L’affaire a été conclue sans respect de la loi des marchés publics. Les procédures d'appel d'offre et de sélection sur critères transparents n'auraient pas été appliquées.

 

Mystères sur la source qui a lâché ces fuites, mais elles tombent à un moment crucial. Juste après les manifestations du 20 février, des rumeurs laissaient entendre que Fouad Ali El Himma serait sur le point d’être écarté du pouvoir. Il était même fait état d’une éventuelle nomination en Arabie Saoudite en tant qu’ambassadeur.

 

Depuis les marches du 20 février dernier, beaucoup réclament la tête de Fouad El Himma et d'un autre homme de confiance du roi, en l’occurrence son conseiller particulier Mounir Majidi. Pour rappel, en décembre dernier (2010), les notes diplomatiques américaines rendues publiques par Wikileaks faisaient état de corruption qui gangrène l’entourage royal.

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momo6 ecrase le peuple

 

Des dizaines de personnes ont été blessées, certaines grièvement, dimanche à Casablanca, dans la répression par la police marocaine d'une manifestation pour des réformes, quelques jours après la promesse de changements démocratiques, ont rapporté des témoins.

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Des témoins, parmi lesquels plusieurs journalistes dont un correspondant de l'AFP, ont vu des dizaines de personnes blessées, certaines grièvement.

 

"Les blessés, une trentaine, dont une dizaine grièvement, ont été transportés à l'hôpital. Si la plupart avaient reçu des coups à la tête, d'autres avaient plutôt des blessures assez légères", a dit M. Tafnoute, également journaliste à la chaîne publique 2M.

 

"J'ai vu une femme enceinte et des jeunes filles sauvagement tabassées par la police. C'était d'une rare violence", a ajouté Hassan Hamdani, de l'hebdomadaire indépendant Tel Quel.

 

Ces violences sont survenues alors que le roi Mohammed VI a annoncé mercredi d'importantes réformes démocratiques allant notamment vers un renforcement des pouvoirs du Premier ministre et l'"élargissement des libertés individuelles".

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Des témoins, parmi lesquels plusieurs journalistes dont un correspondant de l'AFP, ont vu des dizaines de personnes blessées, certaines grièvement.

 

"Les blessés, une trentaine, dont une dizaine grièvement, ont été transportés à l'hôpital. Si la plupart avaient reçu des coups à la tête, d'autres avaient plutôt des blessures assez légères", a dit M. Tafnoute, également journaliste à la chaîne publique 2M.

 

"J'ai vu une femme enceinte et des jeunes filles sauvagement tabassées par la police. C'était d'une rare violence", a ajouté Hassan Hamdani, de l'hebdomadaire indépendant Tel Quel.

 

Ces violences sont survenues alors que le roi Mohammed VI a annoncé mercredi d'importantes réformes démocratiques allant notamment vers un renforcement des pouvoirs du Premier ministre et l'"élargissement des libertés individuelles".

 

t as repondu a notre place et t as bien dis que le roi avait annoncé des reformes allant vers un renforcement ..........il a mit la barre tres haut pour que vous puissiez reclamer la meme choses, chez vous c est avec des balles reelles que les policiers dispercent les manif alors.......

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t as repondu a notre place et t as bien dis que le roi avait annoncé des reformes allant vers un renforcement ..........il a mit la barre tres haut pour que vous puissiez reclamer la meme choses, chez vous c est avec des balles reelles que les policiers dispercent les manif alors.......

 

Plus maintenant et cela la dérision du régime algérien.

 

En revanche, il est vrai que M6 met la barre très haut puisqu'il inclut le sahara Occidental dans son programme de régionalisation. Or, il faut savoir que le Sahara Occidental ne sera pas annexé définitivement par le royaume ci-tôt! Plus rusé M6, aurait inclure Ceuta et mellila, mais trop peureux de vexer l'Espagne, il s'est tut à propos de deux présides! Donc, attendons pour voir!

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Plus maintenant et cela la dérision du régime algérien.

 

En revanche, il est vrai que M6 met la barre très haut puisqu'il inclut le sahara Occidental dans son programme de régionalisation. Or, il faut savoir que le Sahara Occidental ne sera pas annexé définitivement par le royaume ci-tôt! Plus rusé M6, aurait inclure Ceuta et mellila, mais trop peureux de vexer l'Espagne, il s'est tut à propos de deux présides! Donc, attendons pour voir!

 

On a pas la meme vision pour le Sahara Occidental...le Sahara est Marocain pour nous et on s'en fou du Reste....alors la barre est trop haut , et je souhaite bonne chance pour le Régime Algérien l'année Prochaine , car le sucre et la farine ont calmé le jeu chez blad Nif

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On a pas la meme vision pour le Sahara Occidental...le Sahara est Marocain pour nous et on s'en fou du Reste....alors la barre est trop haut , et je souhaite bonne chance pour le Régime Algérien l'année Prochaine , car le sucre et la farine ont calmé le jeu chez blad Nif

 

Le makhzen mise tres haut, seulement 50% d'analphabetes inchallah dans 20 ans (si tout va bien). :mdr:

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On a pas la meme vision pour le Sahara Occidental...le Sahara est Marocain pour nous et on s'en fou du Reste....alors la barre est trop haut , et je souhaite bonne chance pour le Régime Algérien l'année Prochaine , car le sucre et la farine ont calmé le jeu chez blad Nif

 

Le sujet traite de la dictature du regime moyenageux marocain. ;)

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J'attends toujours la reponse a ma question (simple pourtant). :D

 

Pourquoi est ce que les Amazighs marocains, bien que majoritaires (chez eux), n'ont pas le droit de donner des prenoms Berberes a leurs enfants?

 

On a changé de post et sur l'autre post je t'ai déjà repondu.

 

Pour la peine cadeau

 

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J'attends avec impatience. ;)

 

Pourquoi est ce que les Amazighs marocains, bien que majoritaires (chez eux), n'ont pas le droit de donner des prenoms Berberes a leurs enfants? :D

 

Pourquoi est ce que les marocains n'ont pas le droit de consommer l'alcool qu'ils transportent et servent aux etrangers? :D

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  • 2 weeks later...

momo6, 1 er trafiquant drogue

 

des centaines de km 2 de culture cannabis . il faut etre aveugle pour ne pas le voir. si maroc est le premier producteur de cannabis au monde c'est que momo6 tire bcp revenus grace à la vente.

 

 

 

 

 

Pour lui, plus que la revendication démocratique, "c’est d’abord la sanction et le rejet d’une gouvernance", avec son cortège de corruption, qui nourrit le mouvement de contestation. Or, ajoute M. Tazi, à plusieurs reprises, les promesses de réforme ont été formulées dans le passé et sont restées sans suite. "Les gestes tardent", souligne-t-il, à commencer par la libération de tous les prisonniers politiques réclamés par les manifestants, dont celle du journaliste et défenseur des droits de l’homme, Chekib El Khiari, condamné en 2009 à trois ans de prison et à une forte amende pour avoir dénoncé sur une chaîne de télévision l’implication de hauts responsables de l’Etat dans le trafic de drogue.

 

Critique envers le pouvoir, le chef d’entreprise marocain, qui aspire à la "fin de la culture du Makhzen" (terme qui désigne les institutions du pouvoir, au Maroc), n’en demeure pas moins prudent sur l’avenir du mouvement : "au fur et à mesure qu’on s’éloignera de la protestation et qu’on rentrera dans les propositions, les dissensions vont augmenter, estime M. Tazi. Les jeunes, par euphorie et par ivresse ne l’ont pas encore compris".

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momo6 continue à matraquer la population

 

il ne changera jamais ce fils de bourreau.

 

En parallèle avec la vague de manifestations déclenchée le 20 février dernier au royaume, les enseignants tentent depuis un mois de faire entendre leurs revendications. Ils se retrouvent au quotidien devant le ministère de l’éducation nationale, afin de réclamer, entre autres, l’amélioration de leurs conditions de travail. Des manifestations pacifiques, jusqu'à jeudi 24 mars, où la police aurait violement dispersé le sit-in causant des blessures graves parmi les enseignants.

Photo : Lakome

 

Depuis près d’un mois, les enseignants du primaire détenant un doctorat protestent chaque jour dans la capitale du royaume pour faire entendre leur voix au ministère de l’éducation nationale. Au lendemain des manifestations du 20 mars, ils décident de renforcer la mobilisation dans l’objectif d’améliorer leurs conditions de travail et obtenir une rehaussement des salaires. Mais aussi, ces instituteurs veulent que leur statut d’enseignant du primaire soit substitué par celui d’« enseignant supérieur ».

 

Un des sit-in qui s’est tenu jeudi 24 mars, devant le bureau du premier ministre à Rabat, a violemment été dispersé. Mohamed Talbi, un des organisateurs qui était sur place a déclaré : « lors des trois jours derniers, nous avons protesté pacifiquement à proximité du ministère de l'éducation, et aujourd'hui nous avons voulu manifester pacifiquement, devant le bureau du Premier ministre », rapporte l’agence Reuters.

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Révolutions arabes : le Maroc est-il une exception ?

 

Portés par l'élan des tunisiens et des égyptiens qui ont renversé leurs dirigeants dictateurs et autocrates et les systèmes mis en place par ces derniers, une certaine contestation populaire apparaît au Maroc (où tous les ingrédients sont réunis pour une contestation sérieuse : misère, inégalités sociales, chômage massif des jeunes, corruption, absence de démocratie, etc.) pour réclamer une modification en profondeur de la constitution et amorcer une nouvelle ère politique. Les autorités marocaines répondent que la situation y est différente car un processus "irréversible" de démocratisation est en cours et que la liberté d'expression existe à l'exception de trois sujets tabous : la monarchie, la religion et le Sahara. En réalité, derrière une apparence de démocratie, le système politique marocain correspond à une monarchie autocratique qui dirige et contrôle à peu près tout.

 

UNE DÉMOCRATIE DE FAÇADE

 

Pour affirmer que le Maroc est lancé dans un processus démocratique, plusieurs leurres sont mis en avant. Tout d'abord, la constitution de 1996 (adoptée par référendum avec un oui à plus de 99 % !) affirme que "le Maroc est une monarchie constitutionnelle, démocratique et sociale" et que les citoyens disposent des libertés d'opinion et d'expression, sous réserve de limitations apportées par la loi ! Ensuite, il est mis en avant que les dernières élections législatives ont été libres. Les résultats des scrutins correspondent globalement aux votes réellement exprimés et les partis ont présenté globalement les candidats qu'ils souhaitaient. D'ailleurs, il est invoqué que le Maroc connaît depuis l'indépendance le multipartisme. Enfin, de nombreux journaux sont publiés et plusieurs radios émettent. Ainsi, les principaux critères déterminant une démocratie sont remplis et permettent aux autorités publiques d'affirmer que le Maroc est lancé dans un processus de démocratisation. Mais derrière cette apparence, se cache le fonctionnement d'un régime assez autoritaire. Certes, il ne s'agit pas de la Corée du Nord ni de la Lybie, mais le pouvoir est exercé par un seul homme, le roi, assisté de conseillers, plus ou moins influents et éclairés. On peut critiquer le gouvernement, les parlementaires, les élus locaux et les préfets, mais c'est pour mieux interdire toute critique du roi !

 

Le roi règne et gouverne seul. Au terme de la constitution, il est le chef de l'Etat, des armées et des croyants. Ainsi, en tant que commandeurs des croyants disposant de quasiment tous les pouvoirs politiques, cette constitution établit une monarchie de droit divin. En outre, par la constitution, il dispose d'un pouvoir de nomination très large : il nomme et révoque librement et discrétionnairement le premier ministre et les ministres, les ambassadeurs, les Walis et gouverneurs (préfets), les directeurs d'établissements publics et des autorités administratives, etc. A peu de chose près, il nomme qui il veut, quand il veut et au poste qu'il veut ! Il peut dissoudre discrétionnairement et librement chacune des assemblées du parlement. Il promulgue les lois et peut demander le réexamen d'un projet de loi.

 

Au-delà du terrain politique, la monarchie occupe le terrain économique. Au travers d'une holding qu'il contrôle, l'Omnium nord africain (ONA), le roi, et plus largement la famille royale, contrôle de nombreuses entreprises (Wana, troisième opérateur téléphonique du pays, Attijariwafa Bank, première banque du Maroc et septième d'Afrique, etc.). L'ONA intervient par ailleurs dans d'autres secteurs (agroalimentaire, assurance, immobilier, distribution : les voitures Peugeot et Citroën sont commercialisées via une société contrôlée par l'ONA qui est par ailleurs actionnaire de Lafarge Maroc). Ainsi, avec l'ONA, Attijariwafa Bank et la Caisse des dépôts (dont le directeur général est nommé par le roi), une partie importante de l'économie est contrôlée par le palais.

 

LA LÉGITIMITÉ DU ROI N'EST PAS DISCUTABLE

 

Au terme de la constitution, la personne du roi est "sacrée et inviolable" et aucun membre du parlement ne peut remettre en cause le régime monarchique ni porter atteinte au "respect dû au roi". Ainsi, toute critique des faits, gestes ou paroles du roi et de la famille royale, est interdite. Au-delà de cette légitimité indiscutable, le système organisé par le palais empêche tout contre-pouvoir, en discréditant la classe politique et la justice et en contrôlant les médias. Les partis politiques ne remplissent pas vraiment leur rôle d'établir des projets de société, de structurer le débat politique, de militer et de s'opposer au gouvernement pour ceux qui sont minoritaires. La très grande majorité d'entre eux, avec leurs leaders, sont compromis dans le système imposé par le roi. En effet, l'absence de parti majoritaire au parlement (le premier parti compte environ 50 députés pour une assemblée de plus de 300 députés ), fait que sept partis sont représentés au gouvernement, des anciens communistes, aux conservateurs, en passant par les socialistes.

 

Depuis quinze ans, tous les gouvernements sont "composés" de représentants de plusieurs partis, de gauche et de droite. L'objectif est de faire participer, ou compromettre, le plus de partis possible pour qu'ils ne constituent pas une force d'opposition alternative à la politique poursuivie. Il s'agit de diviser pour mieux régner. Le discrédit vient aussi du fait que les partis historiques d'opposition – le parti de l'Istiqlal et l'l'Union socialiste des forces populaires (USFP) – et leurs leaders sont aujourd'hui de fidèles serviteurs du roi. Ces partis, qui ont été dans l'opposition contre Hassan II durant plus de trente ans, ont accepté en 1997 de former un gouvernement de coalition aux conditions fixées par ce dernier, les mêmes qu'ils avaient refusé quatre ans auparavant. Depuis, ils ont participé à tous les gouvernements devenant ainsi la caution du système (malgré des dissensions internes, notamment à l'USFP) !

 

Par ailleurs, beaucoup (pas tous) d'hommes politiques ne poursuivent pas un engagement et une conviction politique, mais une carrière et des intérêts personnels. Certains entretiennent des liens étroits avec des conseillers influents du roi et sont soupçonnés de prendre leurs instructions auprès du palais, avant d'agir dans leur parti. Les conditions dans lesquelles a été formé l'actuel gouvernement illustrent cela : des personnalités ont été choisies pour y entrer, non pas en raison de leur appartenance à un parti politique, mais grâce à leur proximité avec certains conseillers du roi. Cela a été ensuite habillé politiquement en les faisant adhérer, deux ou trois jours avant l'annonce de la composition du gouvernement, dans un parti politique, afin d'affirmer que ce gouvernement est le fruit du jeu politique "naturel" et du résultat des élections.

 

SOUPÇONS DE CORRUPTION

 

Le discrédit s'explique enfin par le fait que les élus et le gouvernement ne choisissent pas la politique menée. Les orientations politiques et les projets importants sont déterminés par le palais, et le gouvernement exécute les "directives royales". Une démocratie ne peut être et fonctionner que si la justice est indépendante, que si la loi s'applique à tous de manière égale et que la justice est rendue sans favoritisme. Au Maroc, ce n'est pas toujours le cas. Il n'est pas rare de lire dans la presse que des poursuites pénales sont initiées par un procureur suite à la colère du roi contre tel ou tel commis de l'Etat dont le roi soupçonne (parce qu'on le lui a soufflé à l'oreille) une malhonnêteté. Curieusement, la machine judiciaire a plus de mal à s'enclencher indépendamment du roi ou de ses conseillers. Plus généralement, c'est tout l'appareil judiciaire qui est décrédibilisé par des soupçons de corruption.

 

L'existence de plusieurs journaux, radios et chaînes de télé donne l'illusion d'un pluralisme. Il ne faut pas s'y tromper : si au début des années 2000, ces médias ont initié un début de liberté de ton, révélant et dénonçant les années de plombs de l'époque Hassan II, ils ont payé le prix de leur "audace". Aujourd'hui, plus aucun média ne s'aventure à critiquer les décisions et paroles du roi ou de ses conseillers les plus proches. L'intimidation se fait par la poursuite en justice de ces médias en "dictant" des peines d'amendes très lourdes contre ces journaux, afin de les asphyxier financièrement. D'autres méthodes sont utilisées : blocage des comptes bancaires, saisie du matériel de travail, jugement d'interdiction d'exercice de la profession de journaliste, etc., et appel des différents annonceurs pour les dissuader de diffuser leurs publicités dans ces journaux. Certains de leurs fondateurs ont été contraints de quitter la profession et le Maroc. Aujourd'hui, les médias sont contrôlés étroitement et tout écart de langage est sanctionné !

 

En conclusion, un pouvoir concentré essentiellement entre les mains d'un seul homme qui n'a de compte à rendre à personne, une classe politique et un appareil judiciaire discrédité et une presse verrouillée. Voici la réalité de la "démocratie" marocaine. Parler de processus démocratique n'est donc pas très sérieux ! Il est dans l'intérêt de la monarchie d'écouter la contestation actuelle et d'accepter que la constitution soit substantiellement réformée pour que le roi règne sans gouverner. La monarchie montrerait qu'elle a compris les événements et le sens de l'histoire. Juan Carlos l'avait compris en 1975.

 

Jad Siri, juriste

 

Ce quiest marrant c'est de voir que dans le monde arabe les seuls a ne pas etre inquiété son les frères ennemis pouvoir Algérien et Marocain.

Une explication?

Peut etre que les peuples Marocains et Algériens sont trop occupés a se surveiller et a se suspecter pour s'occuper de leurs dicateurs respectifs.

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Ce quiest marrant c'est de voir que dans le monde arabe les seuls a ne pas etre inquiété son les frères ennemis pouvoir Algérien et Marocain.

Une explication?

Peut etre que les peuples Marocains et Algériens sont trop occupés a se surveiller et a se suspecter pour s'occuper de leurs dicateurs respectifs.

 

Selon certains confrère marocain, le Maroc est une exception dans toute la région du a son historique . L'Algérie en est aussi une du au-fait que ce pays a connu depuis 88 ce que les autres pays sont entrain de connaitre.

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