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Serment d'Amour


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Lumière d'Amour

 

Blottis l'un contre l'autre

Nos yeux étoilés de lumière

Encensent nos sens

Au firmament de notre âme

Ils sont le miroir de notre Amour

Illuminant nos visages

Il sont les témoins radieux

De nos présences rayonnantes

Tu es ici, je suis maintenant

Nous sommes là, lovés dans

L'écrin de notre Amour.

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Soif d'un baiser

 

Comme une ville qui s'allume

Et que le vent vient embraser,

Tout mon coeur brûle et se consume,

J'ai soif, oh ! j'ai soif d'un baiser.

 

Baiser de la bouche et des lèvres

Où notre amour vient se poser,

Pleins de délices et de fièvres,

Ah ! j'ai soif d'un baiser !

 

Baiser multiplié que l'homme

Ne pourra jamais épuiser,

O toi, que tout mon être nomme,

J'ai soif, oui d'un baiser.

 

Fruits doux où la lèvre s'amuse,

Beau fruit qui rit de s'écraser,

Qu'il se donne ou qu'il se refuse,

Je veux vivre pour ce baiser.

 

Baiser d'amour qui règne et sonne

Au coeur battant à se briser

Qu'il se refuse ou qu'il donne

Je veux mourir de ce baiser.

 

 

Germain Nouveau

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Ce coeur rêveur

 

Par cette nuit douce,

Cet instant sans lune,

Du haut de ma dune,

J'écoute les secousses,

De ce pauvre coeur.

 

Il pense à toi, ce doux rêveur,

Toujours, toujours à toi.

Je regarde les étoiles,

Lève le voile,

Recouvrant ce coeur.

 

Laisse moi te regarder,

Jour après jour.

Laisse moi t'aimer,

Puis en retour,

Fais battre ce pauvre coeur.

 

Je lève le tête,

Du haut de ma dune,

Je verrais peut-être,

Une fée dans la brume,

Faire briller l'étincelle,

Que l'on dit éternelle.

 

Faire renaître en moi,

L'amour et la joie,

De ce pauvre coeur,

Le combler de bonheur.

 

Maxalexis

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Ne peut éclipsés celle

Dont la simple beauté

Faisait rougir d’éclat

Les nymphes effarouchées

S’écartant devant ses pas

De sa démarche chaloupante

S’échappai des ondes captivantes

Les regards se détournaient

Devant cette faiblesse avouée

Dans son sillage, l’air embaumait

D’effluves parfumés

D’humus de la vie

Que sa peau a écrit

Il émanait d’elle

Un je ne sais quoi

Même les éléments du ciel

Se déchainaient à en perdre la vois

Nul baiser ne fut plus ardant

Nul sourire ne fut plus aguichant

Nulle caresse ne fut plus attachante

Que celle de ma belle amante

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Mes pleurs sont à moi, nul au monde

Ne les a comptés ni reçus,

Pas un oeil étranger qui sonde

Les désespoirs que j'ai conçus

 

L'être qui souffre est un mystère

Parmi ses frères ici-bas ;

Il faut qu'il aille solitaire

S'asseoir aux portes du trépas.

 

J'irai seule et brisant ma lyre,

Souffrant mes maux sans les chanter ;

Car je sentirais à les dire

Plus de douleur qu'a les porter.

 

Louise Ackermann

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je suis source de tes larmes, n’en plaise au monde

de la première à la dernière, jamais repus

dans les abimes de ton regard, je fonde

les fondations d’une hérésie obtus

 

la souffrance n’est point austère

l’univers si vaste qu’il soit

parait bien minuscule à l’être

Dont le cœur à l’unisson s’émoi

 

la solitude du cœur, requiem eternel

s’épanche et se nourrit dans les tourments

de braise du volcan amoureux d’une belle

Sétifiènne sous un ciel Rougeoyant

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Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fut ma vie ;

Verse ailleurs ce trésor que j'avais pour tout bien.

Va chercher d'autres lieux, toi qui fus ma patrie,

Va fleurir, ô soleil, ô ma belle chérie,

Fais riche un autre amour et souviens-toi du mien.

 

Laisse mon souvenir te suivre loin de France ;

Qu'il parte sur ton coeur, pauvre bouquet fâné,

Lorsque tu l'as cueilli, j'ai connu l'Espérance,

Je croyais au bonheur, et toute ma souffrance

Est de l'avoir perdu sans te l'avoir donné.

 

A George Sand

Alfred de Musset

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Des souvenirs éparses de mon enfance remontent à la surface

Plongé intense et misérable au jardin secret d’une triste vie

Dans ce brouillard sordide, nul étoile ne fait face

Cruel souvenir d’une nuit d’extase remplie d’une folie

Douce et suave, des rêves longtemps enfouies

Dans les méandres d’une mère de solitudes

Emergent à nouveau, tel l’arbre de la vie

Dont les branches s’élèvent dans une multitude

De bruissement, chant mélodieux

Ou simple écuelle aux facéties des dieux

Cette ode à l’amour, prière céleste

Invite au plaisir dans une couche apaisante.

 

demain peut être

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Guest mamicha
Des souvenirs éparses de mon enfance remontent à la surface

Plongé intense et misérable au jardin secret d’une triste vie

Dans ce brouillard sordide, nul étoile ne fait face

Cruel souvenir d’une nuit d’extase remplie d’une folie

Douce et suave, des rêves longtemps enfouies

Dans les méandres d’une mère de solitudes

Emergent à nouveau, tel l’arbre de la vie

Dont les branches s’élèvent dans une multitude

De bruissement, chant mélodieux

Ou simple écuelle aux facéties des dieux

Cette ode à l’amour, prière céleste

Invite au plaisir dans une couche apaisante.

 

demain peut être:p

 

Je vois que mes mots ont enfanté plus d'un chef-d’œuvre:mdr: très joli Monsieur momo.:p

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Mon existence est enracinée à la tienne

Deux vagabonds de l’amour

Point de patrie, point de frontières

Seul deux cœurs sans peur

Enchevêtrés dans une fièvre d’osmose

 

Douce maladie que le ciel arrose

Partir, c’est mourir un peu, ailleurs

Près de toi, je m’épanouie

Ma souffrance n’est que bonheur

Tant que tes bras me garde vie

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Donne-moi tes mains pour l'inquétude

Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé

Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude

Donne-moi tes mains que je sois sauvé

 

Lorsque je les prends à mon pauvre piège

De paume et de peur de hâte et d'émoi

Lorsque je les prends comme une eau de neige

Qui fond de partout dans mes mains à moi

 

Sauras-tu jamais ce qui me traverse

Ce qui me bouleverse et qui m'envahit

Sauras-tu jamais ce qui me transperce

Ce que j'ai trahi quand j'ai trésailli

 

Ce que dit ainsi le profond langage

Se parler muet de sens animaux

Sans bouche et sans yeux miroir sans image

Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots

 

Sauras-tu jamais ce que les doigts pensent

D'une proie entre eux un instant tenue

Sauras-tu jamais ce que leur silence

Un éclair aura connu d'inconnu

 

Donne-moi tes mains que mon coeur s'y forme

S'y taise le monde au moins un moment

Donne-moi tes mains que mon âme y dorme

Que mon âme y dorme éternellement.

 

Louis Aragon

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Sur le sable doré, balayés par le vent du sud

Des vagues d’écumes caressent ses pieds d’ambre

Souvenir éphémère d’une ombre prude

Que les aléas du temps ne font que reprendre

 

Elle marche, insolite spectre du passé

Le monde autour d’elle s’effiloche

Elle n’entend pas ces voix lui susurrés

Le nom de son bien aimé comme un reproche

 

Le temps s’est écoulé, doucement, péniblement

Lente litanie de plaintes d’une âme en peine

Elle reste elle-même, fidèle au serment

Jadis exprimé par une nuit de lune pleine

 

Elle sait au fond de son cœur, que son amour

Librement consenti fut le plus beau cadeau

De cette union germe la chrysalide qui un jour

Unira le passé à l’avenir dans un seul berceau

 

L’astre du jour nonchalamment épouse

Les contours d’un océan de sérénité

Demain surement, les sirènes jalouses

Entendront cette prière exaltée

 

Sur les rives de l’espérance

Vogue un amour en transe

Ses pensées le guide et l’apaise

Rêves solitaire d’une romance

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Bonheur rime souvent avec peur

Oublié l’insouciance du passé

Une rose aux pétales éclatées

Chante son amour dans la clameur

Hanté par les souvenirs meurtris

Récoltés un soir de printemps fleurie

Aimante déesse de la poésie

3uère insensible aux rêves qu'on fuit

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Bonheur rime souvent avec peur

Oublié l’insouciance du passé

Une rose aux pétales éclatées

Chante son amour dans la clameur

Hanté par les souvenirs meurtris

Récoltés un soir de printemps fleurie

Aimante déesse de la poésie

3uère insensible aux rêves qu'on fuit:p

 

je suis touchée..........:o:o

et t'as bien raison le bonheur rime bien trop souvent avec peur.......

merci..................:clap::clap::clap:

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