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Serment d'Amour


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donne moi ces lèvres tant espéré

donne moi des baisées enflammées

invite moi dans tes rêves étoilés

afin que mon âme soit sauvé

 

lorsque sur moi, ce regard se pose

mon cœur rempli d’effroi, explose

cette caresse fut elle virtuelle

met mes neurones en léthargie perpétuelle

 

a tu conscience de mon émoi

toi qui m’engloutie et me noie

saura tu jamais que ce cœur qui bat

pour toi est près a rendre trépas

 

le langage du corps trahi souvent

le mensonge d’une bouche causante

les yeux sont le reflet de l’âme aimante

leurs frémissements est un livres troublant

 

souvent je prie les ténèbres

d’interdire l’entrée à la lumière

afin que mes rêves célèbrent

à l’infini l’amour charnel

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Dès l'aube le songe m'envahit de nouveau ,

Je ne trouve les mots pour t'exprimer mes maux,

Je ne sais que faire pour soigner ma souffrance,

Mis à part les larmes rien n'est autre qu'offense.

 

Nul besoin de tes formules magiques,

Seuls tes baisers sont un remède magnifique,

Je n'ai rien de tel à recevoir à présent,

Rien d'autre que penser au soleil levant.

 

Un douloureux regret flottant sur mes lèvres,

Dans ma tête n'est possible aucune trêve,

Tant que je ne pourrai réaliser mes rêves.

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Menthe verte, menthe apaisante

Dans ta robe d’émeraude naissante

Tu orne les jardins d’été

Du nord au sud, fraiche éclose

Ta senteur violente, fait l’unanimité

Parfum de l’orient

Amante du bédouin

A ses lèvres le bonheur

Quand tu exalte tes faveurs

Elixir de paix

Par trois fois tu agis

Pour sublimer le palais

Par ton breuvage exquis

Quand la main te froisse

Tu embaume la pièce

La théière est ton antre

Mais aux cœurs tu commande

Devenu couleur soleil

Dans les foyers, tu fais merveille

Sitôt servi, sitôt bu

De ton gout, jamais repu

Aussi fort que le feu

Aussi doux qu’un baiser

Seul ton breuvage peut

Etanché ma soif d’aimé

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Bizarre deité, brune comme les nuits,

Au parfum mélangé de musc et de havane,

Oeuvre de quelque obi, le Faust de la savane,

Sorcière au flanc d'ébène, enfant des noirs minuits,

 

Je préfère au constance, à l'opium , aux nuits,

L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ;

Quand vers toi mes désirs partent en caravane,

Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.

 

Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme,

O démon sans pitié ! Verse-moi moins de flamme ;

Je ne suis pas le Styx pour t'embrasser neuf fois,

 

Hélas ! Et je ne puis, mégère libertine,

Pour briser ton courage et te mettre aux abois,

Dans l'enfer de ton lit devenir Proserpine !

 

Charles Baudelaire

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près de toi, ange de la nuit

dont le nom orne la voute céleste

l’obscurité de ton corps m’envahie

et dissous ce destin funeste

 

tes baisers sont mes opiacées

nul dose ne m’assouvie

mes désirs ne peuvent s’abreuvés

Qu’a la source ou tu te meurtrie

 

dans l’océan de tes yeux vert

voguent des myriades de soupir

sur ce fragile esquif, je me perd

et vient , sur les rives de ton cœur y mourir

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Garde à jamais dans ta mémoire

 

Garde à jamais dans ta mémoire,

Garde toujours

Le beau roman, la belle histoire

De nos amours !

 

Moi, je vois tout dans ma pensée,

Tout à la fois !

La trace par ton pied laissée

Au fond des bois,

 

Les champs, les pelouses qui cachent

Nos verts sentiers,

Et ta robe blanche où s'attachent

Les églantiers.

 

Comme si ces fleurs amoureuses

Disaient tout bas :

-Te voilà! nous sommes heureuses !

Ne t'en vas pas.

 

Je vois la profonde ramée

Du bois charmant

Où nous rêvions, toi, bien-aimée,

Moi, bien aimant

 

Où du refus tendre et farouche

J'étais vainqueur,

Ou ma bouche cherchait ta bouche,

Ton coeur mon coeur !

 

Viens ! la saison n'est pas finie,

L'été renaît,

Cherchons la grotte rajeunie

Qui nous connait ;

 

 

Là, le soir, à l'heure ou tout penche,

Où Dieu bénit,

Où la feuille baise la branche,

L'aile le nid,

 

Tout ces objets saints qui nous virent

Dans nos beaux jours

Et qui, tout palpitants, soupirent

De nos amours,

 

Tous les chers hôtes du bois sombre

Pensifs et doux ,

Avant de s'endormir, dans l'ombre,

Parlent de nous.

 

Là, le rouge-gorge et la grive

Dans leurs chansons,

Le liseron et, dans l'eau vive,

Les verts cressons,

 

La mouche aux ailes d'or qui passent ,

L'onde et le vent,

Chuchotent sans cesse à voix basses

Ton nom charmant.

 

Jour et nuit, au soir, à l'aurore,

A tous moments,

Entre eux ils redisent encore

Nos doux serments.

 

Viens, dans l'antre où nous les jurâmes,

Nous reposer !

Viens ! nous échangerons nos âmes

Dans un baiser !

 

Victor Hugo

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Ne cherche pas à me comprendre

Ne cherche pas à m’apprivoiser

La solitude est mon antre

Trop exigeant pour aimer

 

Si je ne peux aimer ici bas

C’est que mon cœur n’est plus

Sacrifié sur l’autel d’autrefois

A la déesse auquel attaché je fus

 

Mon âme erre en silence

Aux confins de l’Andalousie

Lacéré, par elle meurtri

D’avoir trop fait confiance

 

Mi Ange mi Démon, elle avance

Tantôt lumière, tantôt obscurité

Donnant le plaisir dans la souffrance

Avec une indifférence calculée

 

A son éclat, mes yeux se sont brûlés

D’avoir trop espéré l’astre aimé

Dans les ténèbres mon univers

Seul refuge ou je désespère.

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Guest from nulle part
Ne cherche pas à me comprendre

Ne cherche pas à m’apprivoiser

La solitude est mon antre

Trop exigeant pour aimer

 

Si je ne peux aimer ici bas

C’est que mon cœur n’est plus

Sacrifié sur l’autel d’autrefois

A la déesse auquel attaché je fus

Mon âme erre en silence

Aux confins de l’Andalousie

Lacéré, par elle meurtri

D’avoir trop fait confiance

 

Mi Ange mi Démon, elle avance

Tantôt lumière, tantôt obscurité

Donnant le plaisir dans la souffrance

Avec une indifférence calculée

 

A son éclat, mes yeux se sont brûlés

D’avoir trop espéré l’astre aimé

Dans les ténèbres mon univers

Seul refuge ou je désespère.

 

demain surement

 

c'est un peu moi ça

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Guest Lady Dada
Ne cherche pas à me comprendre

Ne cherche pas à m’apprivoiser

La solitude est mon antre

Trop exigeant pour aimer

 

Si je ne peux aimer ici bas

C’est que mon cœur n’est plus

Sacrifié sur l’autel d’autrefois

A la déesse auquel attaché je fus

 

Mon âme erre en silence

Aux confins de l’Andalousie

Lacéré, par elle meurtri

D’avoir trop fait confiance

 

Mi Ange mi Démon, elle avance

Tantôt lumière, tantôt obscurité

Donnant le plaisir dans la souffrance

Avec une indifférence calculée

 

A son éclat, mes yeux se sont brûlés

D’avoir trop espéré l’astre aimé

Dans les ténèbres mon univers

Seul refuge ou je désespère.

 

demain surement

c'est un peu moi ça :D

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Elle vient de nulle part

Parcourant le monde de son pas gracile

Frêle silhouette sans far

Sur FA elle trône, subtil

 

Elle n’a pas la parole dans sa poche

D’un mot, elle lacère l’insolente

Ne récoltant aucun reproche

Car sa parole est vérité dite

 

Elle ne vient de nulle part

Son passé est son avenir

Amoureuse des arts

Jusqu’à son dernier soupir

 

La poésie est son oxygène

Ses citations font merveille

Quand ses yeux de biches s’éveillent

Le verbe ébloui, se rend sans gêne

 

Elle vient de nulle part

Qu’importe ou elle va

Seul ses mots versé sur le tard

Imprime sa trace sur FA

 

demain peut être

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Guest from nulle part
tient venue de nulle part, pour te remercier de ton passage;)

 

Elle vient de nulle part

Parcourant le monde de son pas gracile

Frêle silhouette sans far

Sur FA elle trône, subtil

 

Elle n’a pas la parole dans sa poche

D’un mot, elle lacère l’insolente

Ne récoltant aucun reproche

Car sa parole est vérité dite

 

Elle vient de nulle part

Son passé est son avenir

Amoureuse des arts

Jusqu’à son dernier soupir

 

La poésie est son oxygène

Ses citations font merveille

Quand ses yeux de biches s’éveillent

Le verbe ébloui, se rend sans gêne

 

Elle vient de nulle part

Qu’importe ou elle va

Seul ses mots versé sur le tard

Imprime sa trace sur FA

 

 

demain surement

 

j'adore franchement merci

je suis pas tres poeme mais la je reste bouche:chut:

 

c'es tout moi en noir

-c'est vrai pour ce qui est en rouge?:confused: Enfin j'éspere

-merci pour ce qui est en vert

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