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Serment d'Amour


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dans mes yeux, vie l'Amour

rien que pour embêtée Chihiro

le désir donne naissance au bonheur

je le cherche toujours sans véto

 

certaines ont une vie morne

seule les larmes leurs conviennent

la froideur du cœur leurs amène

une moisson de peines

 

sur FA ou dans la vie

on ne choisie pas ses amies

les vrais se trouvent dans le cœur

eux seuls ont la clef de ce lieu

 

l'inconvenance est une faiblesse

la tristesse une carapace

mes serments une thérapie

pour oublier la chienlit :p

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Un possible ...

 

Toi ici, moi là-bas,

Ton coeur pris, mon coeur las.

 

Et ce lien qui s'étire

Qui s'étend en soupirs.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Nos âmes qui conspirent,

Nos accords qui transpirent.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Le refrain d'un sourire,

A nos jeux puérils.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Ces longues nuits à rire,

Pour éloigner le pire.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Etouffer le désir,

A l'envie d'avenir.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Quelquefois sans mot dire,

Rêver et s'endormir.

 

Toi !

Et moi dans tes bras !

 

Ambre Delune

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Guest djamelafab
Un possible ...

 

Toi ici, moi là-bas,

Ton coeur pris, mon coeur las.

 

Et ce lien qui s'étire

Qui s'étend en soupirs.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Nos âmes qui conspirent,

Nos accords qui transpirent.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Le refrain d'un sourire,

A nos jeux puérils.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Ces longues nuits à rire,

Pour éloigner le pire.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Etouffer le désir,

A l'envie d'avenir.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Quelquefois sans mot dire,

Rêver et s'endormir.

 

Toi !

Et moi dans tes bras !

 

Ambre Delune

 

Que n'ai je pas fait pour celui que j'aime,

Que n'ai je pas fait pour celui que j'espère,

Que n'ai je pas tenté pour le rencontrer,

Que n'ai je pas souffert pour le provoquer,

Moi ici, toi là bas tu es Amour!!! tu es Amour...

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Un possible ...

 

Toi ici, moi là-bas,

Ton coeur pris, mon coeur las.

 

Et ce lien qui s'étire

Qui s'étend en soupirs.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Nos âmes qui conspirent,

Nos accords qui transpirent.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Le refrain d'un sourire,

A nos jeux puérils.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Ces longues nuits à rire,

Pour éloigner le pire.

 

Ton coeur pris, le mien las.

 

Etouffer le désir,

A l'envie d'avenir.

 

Toi ici, moi là-bas.

 

Quelquefois sans mot dire,

Rêver et s'endormir.

 

Toi !

Et moi dans tes bras !

 

Ambre Delune

 

Un possible ...

 

Quelque soit le temps ou le lieu

En moi, ton souffle y vivras

Ce lien nous unie à dieu

Et lui seul le reprendra

 

Là-bas ou ici, ici ou là-bas

Nos retrouvailles emplissent nos cœurs

Ces doux moments de joies

Effacent les instants de douleur

 

Mon cœur respire par le tien

Quand les souvenirs le blâment

La distance renforce le lien

Tant que brule la flamme

 

Toi ici, moi là-bas.

Deux âmes, un seul cœur

Dans ce lit où tu succombas

Reste l’empreinte de ta douceur

 

Ton cœur pris, le mien blessé.

Seules tes mains savent lire en moi

Étouffer l’espoir, c’est se renier

Mais l’Amour de toi reste ma foi

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Que n'ai je pas fait pour celui que j'aime,

Que n'ai je pas fait pour celui que j'espère,

Que n'ai je pas tenté pour le rencontrer,

Que n'ai je pas souffert pour le provoquer,

Moi ici, toi là bas tu es Amour!!! tu es Amour...

 

très beau, merci du partage

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La Muse

 

Ton rire exalté fuse vers le néant

Évoquant les prémices d’une tempête

La brume mensongère foule l’océan

Un chant monotone parcoure la crête

 

L’écume houleuse se brise sur la grève

Un pas hésitant, parcoure la lisière

Indifférent aux éléments en dérive

Les yeux rivés sur la mer nourricière

 

Le temps s’écoule, indolent

La ferveur n’est pas son fort

Seul le silence assourdissant

Apporte un tendre réconfort

 

Sur la grève, l’éternité chantonne

Une ode à la liberté douloureuse

Ce soir, sous la lune lointaine

Rêve une Muse Capricieuse

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Guest djamelafab
La Muse

 

Ton rire exalté fuse vers le néant

Évoquant les prémices d’une tempête

La brume mensongère foule l’océan

Un chant monotone parcoure la crête

 

L’écume houleuse se brise sur la grève

Un pas hésitant, parcoure la lisière

Indifférent aux éléments en dérive

Les yeux rivés sur la mer nourricière

 

Le temps s’écoule, indolent

La ferveur n’est pas son fort

Seul le silence assourdissant

Apporte un tendre réconfort

 

Sur la grève, l’éternité chantonne

Une ode à la liberté douloureuse

Ce soir, sous la lune lointaine

Rêve une Muse Capricieuse

 

......chouette :)

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Mon tourment

 

Je n’ai vu qu’un reflet mouvant

A travers les volets de ta chambre secrète

Un adieu fugace au soleil mourant

Quand la sombre nuit entame sa conquête

 

Dans les cieux s’esclaffent les dieux

Insensible à l’amour, qui trépasse

Seul le vent devant ce cœur pieu

Par son chant, ébrèche sa carapace

 

Adieu mon cher tourment

Dans tes bras, je puise la vie

Seul l’aurore met fin au serment

Quand l’astre ardent apaise l’esprit

 

Sur le chemin plane mes prières

Comme une hirondelle amoureuse

Virevoltant aux grès des plaisirs austères

Comme les larmes sur des lèvres joyeuses

 

Ce soir, je n’ai point d’armes

Le cœur léger, devant toi je m’efface

Scellant à ton corps mon âme

Pour qu’en nous, ne reste que la tendresse

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Guest djamelafab
Mon tourment

 

Je n’ai vu qu’un reflet mouvant

A travers les volets de ta chambre secrète

Un adieu fugace au soleil mourant

Quand la sombre nuit entame sa conquête

 

Dans les cieux s’esclaffent les dieux

Insensible à l’amour, qui trépasse

Seul le vent devant ce cœur pieu

Par son chant, ébrèche sa carapace

 

Adieu mon cher tourment

Dans tes bras, je puise la vie

Seul l’aurore met fin au serment

Quand l’astre ardent apaise l’esprit

 

Sur le chemin plane mes prières

Comme une hirondelle amoureuse

Virevoltant aux grès des plaisirs austères

Comme les larmes sur des lèvres joyeuses

 

Ce soir, je n’ai point d’armes

Le cœur léger, devant toi je m’efface

Scellant à ton corps mon âme

Pour qu’en nous, ne reste que la tendresse

 

:)......................:)

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Sais-tu

 

Sais-tu pourquoi mon cœur

Refuse de s’avouer vaincu

Quand ressurgit la douleur

Aux souvenirs si mal perçu

 

Ta silhouette, sur cette place

Enfièvre mon cœur mortifié

Ton sourire refait surface

Et hypnose ce corps supplicié

 

Le baiser du froid se fait douceur

Quand tes lèvres caressent mes mains

La larme qui coule semble sueur

Venant mourir aux creux de mes reins

 

Mes lèvres enfiévrées cherchent la luxure

Par monts et par vaux, sans relâche

Se nourrissant de tes désirs immatures

Sans jamais prendre attache

 

Laisse moi dévorer ce corps

La chaire se dissout dans l’extase

Seul le plaisir repousse la mort

Quand par les sens, elle embrase

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Aux âmes soeurs et jumelles.

 

Un regard,

Un sourire,

Une rencontre quelque part,

Au temps des souvenirs !

 

On ne sait où ?

On ne sait quand ?

Un peu partout,

De tout les temps !

 

Même sans se voir,

Ni se parler,

On le sait,

On se connait !

 

Dans les yeux de l'autre un miroir,

Où les coeurs viennent se refléter !

Une autre histoire,

Ou encore la même qui vient indéfinement se répéter !

 

Deux coeurs meurtris,

Qui ne peuvent s'aimer !

Au temps des souvenirs,

Deux âmes qui veulent seulement se retrouver !

 

Un jour peut-être seront-elles réunies ?

Peut-être... un jour... ou dans une autre vie... ?

L'ont-elles déjà été ?

Ou se sont-elles déjà trouvées ?

 

Les sentiments n'ont pas d'âge !

Les sentiments n'ont pas de frontières !

A travers le temps et l'espace ils voyagent,

Les âmes-soeurs, du temps, ne sont jamais prisonnières !

 

Céline Acker

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Aux âmes soeurs et jumelles.

 

Un regard,

Un sourire,

Une rencontre quelque part,

Au temps des souvenirs !

 

On ne sait où ?

On ne sait quand ?

Un peu partout,

De tout les temps !

 

Même sans se voir,

Ni se parler,

On le sait,

On se connait !

 

Dans les yeux de l'autre un miroir,

Où les coeurs viennent se refléter !

Une autre histoire,

Ou encore la même qui vient indéfinement se répéter !

 

Deux coeurs meurtris,

Qui ne peuvent s'aimer !

Au temps des souvenirs,

Deux âmes qui veulent seulement se retrouver !

 

Un jour peut-être seront-elles réunies ?

Peut-être... un jour... ou dans une autre vie... ?

L'ont-elles déjà été ?

Ou se sont-elles déjà trouvées ?

 

Les sentiments n'ont pas d'âge !

Les sentiments n'ont pas de frontières !

A travers le temps et l'espace ils voyagent,

Les âmes-soeurs, du temps, ne sont jamais prisonnières !

 

Céline Acker

 

Aux âmes sœurs et jumelles.

 

Un baiser

une caresse

un désir si souvent prié

qu’il devient un Caprice

 

On ne sait où ? Qu’importe le lieu

On ne sait quand ?qu’importe le moment

Un peu partout, tout a la grâce de dieu

De tout les temps ou de temps en temps

 

Même sans te voir, je sens ta présence

même sans te parler, j’entend ta voix

ton empreinte est une constance

gravé dans un serment d’autrefois

 

dans ton regard, j’épuise l’ivresse

dans ton cœur, je sème l’espoir

une simple histoire de tendresse

qui se répète à l’infini, tous les soirs

 

Deux cœurs siamois

scellés par l’esprit du temps

seul les souvenirs, parfois

viennent bousculer leur printemps

 

l’espace et le temps s’amourachent

créant un vide plein d’amour

dans cet univers, les désirs accouchent

de plaisirs de sens pour toujours

 

l’amour se fi du temps

le cœur se rie des usages

seul compte le présent

et ce bonheur sur ton visage

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Guest djamelafab
Sais-tu

 

Sais-tu pourquoi mon cœur

Refuse de s’avouer vaincu

Quand ressurgit la douleur

Aux souvenirs si mal perçu

 

Ta silhouette, sur cette place

Enfièvre mon cœur mortifié

Ton sourire refait surface

Et hypnose ce corps supplicié

 

Le baiser du froid se fait douceur

Quand tes lèvres caressent mes mains

La larme qui coule semble sueur

Venant mourir aux creux de mes reins

 

Mes lèvres enfiévrées cherchent la luxure

Par monts et par vaux, sans relâche

Se nourrissant de tes désirs immatures

Sans jamais prendre attache

 

Laisse moi dévorer ce corps

La chaire se dissout dans l’extase

Seul le plaisir repousse la mort

Quand par les sens, elle embrase

 

:( ainsi soit... je.

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Sais-tu

 

Sais-tu pourquoi mon cœur

Refuse de s’avouer vaincu

Quand ressurgit la douleur

Aux souvenirs si mal perçu

 

Ta silhouette, sur cette place

Enfièvre mon cœur mortifié

Ton sourire refait surface

Et hypnose ce corps supplicié

 

Le baiser du froid se fait douceur

Quand tes lèvres caressent mes mains

La larme qui coule semble sueur

Venant mourir aux creux de mes reins

 

Mes lèvres enfiévrées cherchent la luxure

Par monts et par vaux, sans relâche

Se nourrissant de tes désirs immatures

Sans jamais prendre attache

 

Laisse moi dévorer ce corps

La chaire se dissout dans l’extase

Seul le plaisir repousse la mort

Quand par les sens, elle embrase

 

Excellent ! A couper le souffle!

 

Merci de nous apprendre ce que c'est un être amoureux!

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C'est très bien ainsi. Plus d'attache, plus d'amour, plus de souffrances inutiles...

 

Ce n'est pas parce que tu as changé de pseudo, que tout va s'envoler par magie!

Tu continueras à souffrir, tu t'attacheras à d'autres nouvelles créatures et surtout ta nature refera surface tôt ou tard!!!!

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Je mens

 

Je mens à mon cœur

Car il c’est une chose sensible et fragile

Je mens à mon cœur

De peur de lui faire une peine terrible

 

Je mens à mon cœur

Il est jeune et sans expérience

Je mens à mon cœur

Car tout ce qui brille, ici trépasse

 

Je mens à mon cœur

Dans la vie réelle ou virtuelle

Je mens à mon cœur

Pour le préservé des amours cruels

 

Je mens à mon cœur

Quand la solitude le tue

Je mens à mon cœur

Jusqu’à ce qu’il trouve l’ELUE

De son cœur

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