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Serment d'Amour


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Je suis source de tes larmes, n’en plaise au monde

de la première à la dernière, jamais repus

dans les abimes de ton regard, je fonde

les fondations d’une hérésie obtus

 

la souffrance n’est point austère

l’univers si vaste qu’il soit

parait bien minuscule à l’être

Dont le cœur à l’unisson s’émoi

 

la solitude du cœur, requiem éternel

s’épanche et se nourrit dans les tourments

de braise du volcan amoureux d’une belle

Sétifiènne sous un ciel Rougeoyant

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Mes pensées vagabondent, fiévreuses

Sur ce chemin étroit près d’une rivière sinueuse

Le reflet sur l’eau me renvoie une image floue

Semblable aux nuages ballotés par un vent jaloux

Les mains dans les poches, insensible au froid

J’erre en silence dans cette nature aux abois

Fidèle compagne de mes tourments, de mes émois

Une osmose partagée dans la peine ou dans la joie

Les rayons du soleil azurent l’horizon de leurs éclats

L’automne est là, immuable, parents les feuilles d’or

Que le vent, espiègle joueur dissémine de-ci, de-là

Sous une plainte lancinante d’une nature en accord

Les cimes des arbres dénudés laissent entrevoir

Parfois subrepticement un coin de ciel volage

Vite dissimulé par des Cirrus en rage noir

Veillant jalousement sur leur trésor en cage

Le temps semble immobile, interdit, subjugué

Juvénile amoureux transi d’une nature en beauté

La terre doucement, tendrement se prépare à l’hiver

Sommeil réparateur dans ces frimas austères

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Menthe verte, menthe apaisante

Dans ta robe d’émeraude naissante

Tu orne les jardins d’été

Du nord au sud, fraiche éclose

Ta senteur violente, fait l’unanimité

Parfum de l’orient

Amante du bédouin

A ses lèvres le bonheur

Quand tu exalte tes faveurs

Elixir de paix

Par trois fois tu agis

Pour sublimer le palais

Par ton breuvage exquis

Quand la main te froisse

Tu embaume la pièce

La théière est ton antre

Mais aux cœurs tu commande

Devenu couleur soleil

Dans les foyers, tu fais merveille

Sitôt servi, sitôt bu

De ton gout, jamais repu

Aussi fort que le feu

Aussi doux qu’un baiser

Seul ton breuvage peut

Étanché ma soif d’aimé

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Je suis la à te regarder dormir

Sur ton visage, l’esquisse d’un sourire

Ton corps semble onduler de plaisir

Ravivant en moi de tendres souvenirs

 

Une larme submerge mon désarroi

La quiétude du temps m’est indifférente

Pourquoi ce traitre sort s’acharne sur moi

Ne suis-je pour elle qu’un autre passe temps

 

Son silence parle pour elle

Éloquence cruelle, rîtes tribales

Le cœur serrer, le souffle couper, un râle

S’échappe, offrande aux dieux du ciel

 

La mélancolie est mon univers

La solitude, ma tendre compagne

Interdit de bonheur, mon âme erre

Sur les rives de FA, l’émotion me gagne

 

Je ne veux point être l’obstacle

À ce cœur en quête d’amour

Je ne veux point voir cet Autel

Ou à un autre, elle s’offrira pour toujours.

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Une étoile vient de nous quitter

Sans un mot, sans un regret

Parti sur la pointe des pieds

Rejoindre son astre tant aimé

Elle était pour moi ce sourire

Baignant d’un amour à en mourir

Ses quatre Anges de tendresse

Les cajolant de mille caresses

Ma chère Mamiche, tendre muse

Ton départ me peine et me cause

Des interrogations sur mon devenir

Tout s’étiole sur le chemin à vivre

En n’espérant que tes mains rouvriront

Un jour, une nuit, les portes de FA

Et que ta bonne humeur inondera

Nos cœurs de plaisir innocents

Je ne te dis pas adieu mais au revoir

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Lueur en pleine nuit

 

Ton sourire éclaire les étoiles

Divine lueur céleste sans fin

Ton cœur est ma geôle

A tes serment je tends mes mains

Vient, partage mon destin

Sous le soleil ou la pluie

nous construirons les lendemains

dans FA notre amour s’écrit

notre histoire nous appartiens

les plaisirs par elle engendrées

sont les germes de nos émotions

cueillons les dans la gaieté

afin d’offrir au monde jaloux

l’image d’un couple amoureux

Demain sera un jour nouveau

Main dans la main, debout

Nous fixerons l’horizon

Un seul regard, une seule voix

Un corps à corps, une union

Une lueur sur moi, de toi

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Les vieux amants

Drapé dans leurs dignités

Regardent le temps défilé

Comme un complice bienveillant

 

Les vieux amants

Main dans la main, cheminent heureux

Le temps n’a plus prise sur eux

Plus de jours sans lendemain

 

Les vieux amants

Ils se sont tant désirés

Et souvent si mal aimées

Que leurs peaux marquent le temps

 

Les vieux amants

Dans leurs nids douillets

L’amour a posé ses valises

Dans un soupir exaltant

 

Les vieux amants

Dans leurs cœurs depuis toujours

Se terrent les maux d’amour

Brulant leurs âmes d’un feu ardant

 

Les vieux amants

Au crépuscule de leur vieillesse

Main dans la main, avec tendresse

S’endorment aux bras d’un amour finissant

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je suis près à souffrir tous les tourments de la terre

à parcourir nuits et jours, les océans et les déserts

à provoquer et combattre tous les démons de l’enfer

si tu daigne recevoir une seconde cet amour offert

 

toi qui me fuit, depuis l’éternité, je t’attendais

solitaire dans l’âme et le cœur en errance

ta quête parallèle, signe de destinée

ne sème du plaisir que dans la souffrance

 

vient te blottir dans ces bras accueillants

retrouver la quiétude d’un sommeil apaisant

sentir le corps parcourue d’enivrants frissons

et t’abandonner à la fièvre de la passion

 

qu’importe la bienséance, les convenances

seul l’amour pour toi est ma foi

je défi quiconque ici me tance

Car je t’aime et en notre amour y crois

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l’avenir se conjugue au passé

et mon passé ne cesse de t’aimé

ton sourire guide mes lèvres dans la nuit

pour un baiser enfin abouti

 

la douceur de ta peau doré par le soleil

Et pour moi un long parchemin d’éveil

les palpitations de ce corps de miel

chantent l’histoire d’un amour éternel

 

j’aime le gout sucré de tes baisers enflammés

la caresse de tes lèvres sur ma peau satiné

le souffle chaud sur mon corps dénudé

Et ses élans de plaisir en mon âme gravés

 

point besoin de long discours

nos corps enlacés parlent d’amour

ce soir ou demain, pour toujours

Nos deux cœurs unis, pour un vol sans retour

 

dans ton regard, je me soumettrai

à tes Caprices me livrerai

pieds et point liés, enchainé

esclave d’un cœur épuisé

 

nous voguerons sur un océan de désirs

vagues après vagues, près à en mourir

haletant dans une tempêtes de soupirs

Pour s’échouer repus, sur les berges du plaisir

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Le sens de ces silences

 

le silence se découvre

à l’hombre de nos ébats

seul ton corps l’écoute

Et peut l’emmené à trépas

 

mon âme à la tienne collé

des deux ne reste qu’un

ma tête sur ta poitrine adoré

Savoure les plaisirs malins

 

si l’acte d’amour est un péché

tes palpitations en sont le paradis

la furieuse passion de l’être aimé

Embaume mes rêves de nuits

 

la lumière de tes yeux me guide

vers la vallée des roses

aux baisers de ses épines je cède

Et goute au miel de ta source close

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Je regarde par la fenêtre, la pluie à cesser

Un petit rayon de soleil vient caresser la vitre

Un arc en ciel au loin pare le ciel azuré

Ton regard dans mon dos me traverse

 

Des images éparses me submergent

Souvenirs longtemps refoulés d’une vie

De débauche que je croyais à jamais enfouis

Dans les tréfonds de mon subconscient

 

Son sourire me hante jour et nuit

Conquête d’un soir pour moi

Rêve pour elle d’un amour à vie

Maudit le jour ou elle me rencontra

 

Sur cette plage, un soir d’été

Une frêle silhouette se promenait

Les cheveux au vent caressés

Un sourire aux lèvres éblouissait

 

Nos regards un instant se sont croisés

Charge électrique, moment hypnotique

Le temps suspend sa course mythique

Plus rien n’existe, hormis deux exilés

 

Je m’approche d’elle, doucement, souriant

Un rouge écarlate illumine son visage

Je tends une main tremblotante vers sa main

Elle ne refuse pas l’intrus qui ose

 

Main dans la main nous cheminions, heureux

Le silence palpitant de nos cœurs parlait pour nous

Seul nous enveloppait le bruit sur la grève du ressac furieux

Plus rien ne comptait, les yeux rivés sur la mer, debout

 

Corps contre corps sur le sable mouillé

Tourbillon des sens, fièvre sacré

Un petit cri de ta gorge soupirait

Répondit aux élans de mon corps exalté

 

L’aube bienveillante nous accueilli

Au terme d’une exaltante nuit

Des larmes de bonheur sur ta joue coulaient

Un sourire sur ta bouche illuminait

 

Je me levai et me vêtis

Sur ta bouche hébétée

J’y déposais un baiser

Fuyant un regard trahis

 

Sans un mot, sans un regard

Je m’éloignais sans me retourner

Sentant sur moi un regard hagard

D’une âme en peine blessée

 

Maudit sois ce cœur d’adolescent

Dont seule la débauche enivrait

Fut il aux dépend d’une innocence sacrifier

Sur le bucher d’une vanité de rien

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Le rêve doucement s’estompe, la nuit s’éloigne en catimini

Chassée par l’aurore naissante sur son destrier de feu

Les premières lueurs s’infiltrent, divines souffle de vie

Magie chaque jour renouvelée, tendre échanges de vœux

 

La vie reprend possession de ce corps encore engourdie

Une main se tend, cherchant à tâtons des contours soyeux

Preuve tangible d’une réalité encore floue ou rêve d’une nuit

Douce folie ou la raison émerge par vagues d’un instant honteux

 

Le regard se pose, caresse ardente sur ce visage assoupie

Sa chevelure d’ébène étale ses épis, gorgone voluptueuse

Spectre immature d’une nature humaine alanguie

Dans une mer de soie tendue de veines furieuses

 

Un soupir s’élève, un sourire éclate, hypnotique

Les lèvres charnues s’entrouvrent, m’invitent

Ma raison défaille, étourdi, instant magique

Plus rien ne compte, le temps suspend sa route

 

Un tourbillon de sens nous emporte, enfer ou paradis

Voluptueuses caresses du temps intemporel

Des vagues de plaisirs nous submergent de vie

Éloignant la faucheuse, de notre couche, de notre ciel

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Le prélude aux désirs révèle

La vision d’un mirage fiévreux

Les yeux mi-clos, la pensée défaille

Conscience d’un esprit anxieux

 

Ma plume, je le confesse

Me réconforte secrètement

Ton sentiment est ma noblesse

Pensée voilée de frémissements

 

Oh douleur, Oh tourment

Ce cœur lardé d’épines

Souffre le martyre à foison

Pour les caprices d’une reine

 

N’a tu point de pitié

Ouvre les yeux et vois

Les meurtrissures données

À ce corps aimé tant de fois

 

Si mon regard t’a offensé

C’est qu’il reflète mes pensées

Comme le chant des sirènes exalté

Ton corps damne le cœur éploré

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Le feu de tes baisers

Tétanise mes lèvres

Fièvre d’une larme noyée

A la source de ta vallée

 

L’amant de la nuit

Par les rêves s’introduit

Ses caresses nourrissent

Les illusions d’espérance

 

Cœur esseulé cherche asile

Sur les terres vierges de peines

Les ombres par le feu s’immolent

Leurs cendres embrument la haine

 

L’insoupçonné destin immortel

Est une empathie d’amour essentiel

Quand l’âme solitaire brule l’univers

Ses tourments rêvent d’une main fière

 

L’âme se noie dans les regrets

Sans rien renier ni rien céder

Dans cette geôle, il est bien gardé

Par le charme unique de sa belle aimé

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Un feu ardent caresse mes tempes

Quand ses yeux amande me fixent

Cette brulure intemporelle des sens

Enveloppe mon corps en souffrance

 

L’horizon généreux de ses courbes

Sème une folle insolente langueur

Je subis cette censure avec dilemme

Mes pensées folâtrent de bonheur

 

Ma main doucement, tendrement

Cherche sur sa peau un souvenir

Caresse d’une nuit de serments

Ou l’émotion vint nous envahir

 

Les étoiles sont dans ses yeux

Et l’enfer s’empare des miens

La délivrance viendra des cieux

Pour répandre l’extase divin

 

Ses baisers sont une offense

M’en privé est une souffrance

L’amour charnel répand sa grâce

La folie des corps n’a point patience

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Sur le sable chaud ton corps

Réchauffe le mien par osmose

L’élixir de tes lèvres parfois ose

Par un tendre baiser conspuer le sort

 

Sous ta peau palpite un cœur

Transi par des amours néfastes

Le rêve se conjugue sous de pâles lueurs

La nuit ce soir, doucement se masque

 

Ton regard sourit au mien

Tandis que mes mains insolentes

Inflige des outrages à tes seins

Des sens en divagations me hantent

 

Je sens frémir l’esquisse étreinte

Sur ta peau soyeuse renait le phénix

Sans limites et sans contraintes

L’oiseau des anges s’offre en sacrifice

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L’amour de toi coule dans mes veines

Comme la sève nourrit l’arbre passion

La brise du matin doucement s’élève

Sous ses ailes mes tendres serments

 

Sans toi, mon être n’est que poussière

Grain de sable sur d’infinis sentiments

Une lettre sur le parchemin des rêves

Que la nuit jalouse, efface au matin

 

Le forum est notre humble terreau

I pousse de-ci de-là quelques vérités

La notre aspire à plus de renouveau

La toile semble parfois bien limitée

 

Seul ton souffle ranime la flamme

Quand le désespoir ose s’annoncer

Sur les rives de tes pensées, je rame

Dans l’espoir infime de te retrouver

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Dans les arènes de l’espérance

Quand le temps réclamera dut

Le crépuscule de l’ignorance

Fera allégeance à l’aurore obtus

 

L’empire des sens viendra tourmenter

Les âmes et les corps avides de volupté

Les fragments de désirs s’enflammeront

Sur les rêves d’un cœur en prison

 

Du reflet de tes yeux amoureux

Éclot un long sanglot de printemps

A tes lèvres, nait un baiser mielleux

Complice d’un sourire éclatant

 

Mon désir, ce soir fait allégeance

Pour ta senteur, laisse un empire

La rose d’amour éblouie la noce

Quand flamboie l’immuable plaisir

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Dans les arènes de l’espérance

Quand le temps réclamera dut

Le crépuscule de l’ignorance

Fera allégeance à l’aurore obtus

 

L’empire des sens viendra tourmenter

Les âmes et les corps avides de volupté

Les fragments de désirs s’enflammeront

Sur les rêves d’un cœur en prison

 

Du reflet de tes yeux amoureux

Éclot un long sanglot de printemps

A tes lèvres, nait un baiser mielleux

Complice d’un sourire éclatant

 

Mon désir, ce soir fait allégeance

Pour ta senteur, laisse un empire

La rose d’amour éblouie la noce

Quand flamboie l’immuable plaisir

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Le chemin de la vérité semble soudain

Ondulé sous les vagues de la jalousie

Quand la médiocrité s’abreuve au dédain

Il n’en sort qu’un breuvage maudit

 

Le fiel de sa bouche empeste l’horizon

Qu’importe, la vue est déjà bouchée

La naissance du verbe refuse l’union

Sur la page blanche, une tache souillée

 

L’encre refuse de suivre la pensée impie

Quand la source de celle-ci est aigrie

Comme il est aisé de détruire

Devant l’incapacité de construire

 

Le reflet du miroir Palice

Renvoi une image de malice

L’âme noire complice

Se réjouie du supplice

 

écrit par MOMO de FA

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Guest L'observateur

Bonsoir Momo ;

Et bien il faut du temps pour lire tout ça,j’espère que tu vas pas biffer tes poèmes.

Au fait, tu n'as rien a prouver :mdr:

 

Ps: Palice donnait le faut pour avoir le vrai ,il voulait juste savoir si tu es le même Momo .:D

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Bonsoir Momo ;

Et bien il faut du temps pour lire tout ça,j’espère que tu vas pas biffer tes poèmes.

Au fait, tu n'as rien a prouver :mdr:

 

Ps: Palice donnait le faut pour avoir le vrai ,il voulait juste savoir si tu es le même Momo .:D

 

merci mon ami, mais c'est blessant comme même. :)

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Bonsoir Momo ;

Et bien il faut du temps pour lire tout ça,j’espère que tu vas pas biffer tes poèmes.

Au fait, tu n'as rien a prouver :mdr:

 

Ps: Palice donnait le faut pour avoir le vrai ,il voulait juste savoir si tu es le même Momo .:D

============MODERATION=======

 

 

Pollution

 

 

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Guest L'observateur
============MODERATION=======

 

 

Pollution

 

 

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On fait tous des fautes dans le forum ,c'est normal on est dans l'informel et bien sur pour un poème on prête plus d'attention .

 

Moi aussi quand j'ai vu ton com aujourd'hui ,j'ai cherché dans le net ,mais je trouve nul par ces poèmes que sur FA ,j'ai pas vu le manuscrit de l'autre momo marocain et dans ses page FB je trouve pas non plus les mêmes poèmes . On ne peut accuser une personne sans preuves.

 

je sais palice que tu défends un droit d'auteur ,mais .....

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