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Serment d'Amour


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Momo ze veux un poème :closedeyes: sinon ze boude .

 

sur la terre rougie au sang des amoureux

un sourire parcoure les sentiers rugueux

son tapis de prières est un manteau fleuri

diamant de larmes sur les lèvres de MIISSY

 

en fière Kabyle, le regard fixe l'azur

le soleil se détourne devant la belle

la montagne est sa seule armure

aucun ennemi n'ose l'affronter chez elle

 

depuis la nuit des temps, la terre est sa famille

siège, guerre et désolation, son héritage

même le temps, qu'on dit abyssale

fait allégeance à la reine courage

 

le ciel unifie les âmes, scellant l'espoir au destin

sous l'olivier, elle médite, pensant à sa tante en larmes

ivresse des souvenirs comme seul butin

donné en cadeau de noce à la belle RIHAME

 

ma chère MIISSY, s'il faut parfois avouer

que je suis jaloux de ton tempérament de feu

je suis aussi heureux, d'avoir un jour croiser

sur FA, une amie au sourire toujours joyeux :p

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Tristesses de la lune

 

cache ce sein que je ne saurai voir

seul ma main lui tiens dialogue

ces monologues de caresses illusoires

compriment d’éloges mes sens volages

 

cette avalanche aussi m’a emporté

compagnon triste d’une nuit blanche

promenant ses complaintes volés

Aux soupirs qu’un corps accouche

 

sur ce globe, ma raison défaille

fièvre furtive au contact contagieux

devant cet ennemi en sommeil

Je pars à l’assaut de ses cimes capricieux

 

deux doigts se pavanent d’émoi

caressant ces astres d’un regard soyeux

deux soleils brulant qu’un soupir apitoie

Pour jouir d’un bonheur amoureux

 

demain peut être

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Tristesses de la lune

 

cache ce sein que je ne saurai voir

seul ma main lui tiens dialogue

ces monologues de caresses illusoires

compriment d’éloges mes sens volages

 

cette avalanche aussi m’a emporté

compagnon triste d’une nuit blanche

promenant ses complaintes volés

Aux soupirs qu’un corps accouche

 

sur ce globe, ma raison défaille

fièvre furtive au contact contagieux

devant cet ennemi en sommeil

Je pars à l’assaut de ses cimes capricieux

 

deux doigts se pavanent d’émoi

caressant ces astres d’un regard soyeux

deux soleils brulant qu’un soupir apitoie

Pour jouir d’un bonheur amoureux

 

demain peut être

 

Très beau Momo :o

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Le silence moqueur

 

Le silence moqueur, ce soir ordonne

A mes dernières larmes de se t’airent

Aux plaisirs amers, je m’abandonne

Laissant mourir, l’amour éphémère

 

Ne reste sur le rivage complice

Que les brisants d’une mer déchaînée

Rongeant de leurs houles accusatrices

Les reliefs d’une passion oubliée

 

Dans les contours de ta tour d’ivoire

Une cacophonie de désirs hostiles

Seuls les caprices d’un temps inquisiteur

Semblent étancher cette soif tactile

 

Pourquoi file-t-il aux quatre vents

Ce cœur contrit, aux nuits d’illusions

Chevauchant l’azur en astre brulant

Semant derrière lui, peines et désolations

 

Mon rêve se languit de sa muse rebelle

Enfermé dans son écrin nacré de solitude

A ses joutes amoureuses, qu’un rien amoncelle

Je donnerai mon âme en guise de gratitude

 

demain peut être

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Elle sait que l'attente est un cruel supplice

 

Elle sait que l'attente est un cruel supplice,

Qu'il doit souffrir déjà, qu'il faut qu'elle accomplisse

Le serment qu'elle a fait d'être là, vers midi.

Mais, parmi les parfums du boudoir attiédi,

Elle s'est attardée à finir sa toilette.

Et devant le miroir charmé qui la reflète,

Elle s'impatiente à boutonner son gant ;

Et rien n'est plus joli que le geste élégant

De la petite main qui travaille ; et, mutine,

Elle frappe le sol du bout de sa bottine.

 

François Coppée

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L’attente

 

Le plaisir de l’attente est douce torture

Quand celle-ci amène aux retrouvailles

Seuls les anges rêvent de la nuit obscure

Pour mieux briller auprès de leurs belles

 

Aucun serment fut il auréolé de parfum

N’effacera la douceur de tes lèvres

Au baiser sur ton corps brulant

Ne reste qu’un souvenir austère

 

Sur les reflets d’argent de ta chevelure

Le temps, amoureux à chercher asile

Oubliant dans tes bras, une aventure

En quémandant un soupir docile

 

demain peut être

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Audace intime

 

Devant ces seins, si pleins d’audaces

Mon regard, retient des mains voraces

Le désir caché, palpite en fièvre délice

Attendant, tapis dans l’ombre du précipice

 

Dans la confusion des sens en décadences

Une pensée furtive déverse sa tendresse

Tentation secrète d’une ombre en transe

Sur les rives sombres d’une embellie joyeuse

 

Je verse des louanges en murmures de braises

Au feu solitaire ou l’orage muet, se brise

Sur le satin, l’embrun intime de l’intruse

Agace de baisers, ces lèvres soumises

 

Gémir, rire et sourire, tendres délices

Une vie après la mort, seule richesse

Qu’importe le prix payé d’une jouissance

Tout le reste, n’est qu’artifice

 

demain peut être

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Triste silence

 

Les ailes noires de la nuit

Enterrent le mal de toi

Un éclair lézarde le ciel d’émoi

Dernier serment, soupir maudit

 

Le temps des danses romantiques

S’efface au crépuscule de l’ennui

Et sur l'écrans, l’actrice applaudit

Sortie de scène, rôle sans risque

 

Les adieux se déchirent en silence

Musiques en larmes symphoniques

Dans les abysses, un cœur abdique

Corps à corps ou trône, l’absence

 

Reflet ludique, de mensonges en silences

Des promesses de rêve bleu, ne reste

Qu’une ligne sur un parchemin triste

Triste comme une réalité en alternance

 

 

demain peut être

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Toi tu nous fais une petite déprime :hug:

 

coucou dru :hug: non au contraire, je me suis réveiller en forme, j'ai pris la voiture et j'ai passer la journée au Champs-Élysées. ça m'a fait du bien de retourner un peu sur son passé.:)

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Guest Soizik
coucou dru :hug: non au contraire, je me suis réveiller en forme, j'ai pris la voiture et j'ai passer la journée au Champs-Élysées. ça m'a fait du bien de retourner un peu sur son passé.:)

 

t'es un ancien président ?:04:

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Vent de rêve

 

J’ai peur de ce vent jaloux

Emportant au loin l’espoir

Sur les dunes brulantes, j’avoue

Avoir un jour, aimé, le désespoir

 

Le regard exile les rêves

Vers des rives de pluies

Ces perles de larmes espèrent

Naitre et mourir dans ta vie

 

Souffle, souffle, zéphyr ondoyant

Nettoie petites peines et grande joies

Ne retiens aucun grain sans lendemain

Seule, l’oasis, peut prétendre à ta voix

 

Coule, coule, source de vie

Purifie de ta fraicheur exquise

Les âmes noires que tu poursuis

Pour rendre, au jour, justice

 

Vois sur l’horizon couchant

Cet amour chevauchant le destin

Guidant de pensées l’amant

Vers un avenir, enfin, serein

 

demain peut être

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Guest Lady Melody
Vent de rêve

 

J’ai peur de ce vent jaloux

Emportant au loin l’espoir

Sur les dunes brulantes, j’avoue

Avoir un jour, aimé, le désespoir

 

Le regard exile les rêves

Vers des rives de pluies

Ces perles de larmes espèrent

Naitre et mourir dans ta vie

 

Souffle, souffle, zéphyr ondoyant

Nettoie petites peines et grande joies

Ne retiens aucun grain sans lendemain

Seule, l’oasis, peut prétendre à ta voix

 

Coule, coule, source de vie

Purifie de ta fraicheur exquise

Les âmes noires que tu poursuis

Pour rendre, au jour, justice

 

Vois sur l’horizon couchant

Cet amour chevauchant le destin

Guidant de pensées l’amant

Vers un avenir, enfin, serein

 

demain peut être

 

tumblr_li4s6t4nWI1qb01q0.gifj'aime :o

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Mon âme en voyage

 

Je suis là, mais mon âme est ailleurs

Elle voyage dans le vide de l'absence

Elle te cherche au lointain, elle se meurt

Sur les rives du Danube, dans le vent.

 

Qui m'appelle dans cette nuit limpide ?

Bleu dans mon coeur, l'azur du ciel

Où vas-t-il cet amour sans limite ?

Qui bouleverse mon coeur, transforme mes veines.

 

Dans le silence, un cri si violent

Transperce mon coeur, assassine mon âme

Un désir dans ce bonheur en silence

Que lui dire quand mon coeur est en flamme ?

 

Lang Thang

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les vieux amants

 

Les vieux amants

Drapé dans leurs dignités

Regardent le temps défilé

Comme un complice bienveillant

 

Les vieux amants

Main dans la main, cheminent heureux

Le temps n’a plus prise sur eux

Plus de jours sans lendemain

 

Les vieux amants

Ils se sont tant désirés

Et souvent si mal aimées

Que leurs peaux marquent le temps

 

Les vieux amants

Dans leurs nids douillets

L’amour a posé ses valises

Dans un soupir exaltant

 

Les vieux amants

Dans leurs cœurs depuis toujours

Se terrent les maux d’amour

Brulant leurs âmes d’un feu ardant

 

Les vieux amants

Au crépuscule de leur vieillesse

Main dans la main, avec tendresse

S’endorment aux bras d’un amour finissant

 

demain peut être

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Ferveur en folie

 

Sur quelle rive, dans quel rêve

l’alliance de nos âmes c’est elle scellé ?

Sous quel voile blanc nos sens dérivent

Emporté par une houle libérée

 

Lumière errante dans la nuit obscure

ou flots sanglants de larmes d’écumes ?

Peut être simplement deux cœur purs

Perdu dans l’ignorance d’un amour de brume

 

Mon âme se noie dans l’eau claire de tes yeux

comme des soupirs sur les rives de ta peau

tes baisers tracent sur le ciel mille feux

Mais un seul retient ce cœur amoureux

 

Ah ! Ma belle, que n’ai-je cueilli aussitôt

ce bouton d’or de la rose tremblantes

que n’ai-je respiré plus tôt

le doux parfum d’une peau fuyante

 

Soupirs mêlés, frêle esquif, nuit noire

Danse d’ignorance aux vertus soumises

l’abime frissonne, éphémère espoir

Chancelante pensée à la caresse promise

 

Laisse la ferveur pérenniser nos sens

cède à la meute, la folie aux aboies

ivresse en fête, plaisir cadence

décadence en terre de joies

 

Je rejette aux enfers ma dépouille

renonce à ma part du jardin d’éden

ne demande rien au dieu du ciel

puisque je sais, aujourd'hui, qu’elle m’aime

 

demain peut être

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Guest Kossa
Ferveur en folie

 

Sur quelle rive, dans quel rêve

l’alliance de nos âmes c’est elle scellé ?

Sous quel voile blanc nos sens dérivent

Emporté par une houle libérée

 

Lumière errante dans la nuit obscure

ou flots sanglants de larmes d’écumes ?

Peut être simplement deux cœur purs

Perdu dans l’ignorance d’un amour de brume

 

Mon âme se noie dans l’eau claire de tes yeux

comme des soupirs sur les rives de ta peau

tes baisers tracent sur le ciel mille feux

Mais un seul retient ce cœur amoureux

 

Ah ! Ma belle, que n’ai-je cueilli aussi tôt

ce bouton d’or de la rose tremblantes

que n’ai-je respiré plus tôt

le doux parfum d’une peau fuyante

 

Soupirs mêlés, frêle esquif, nuit noire

Danse d’ignorance aux vertus soumises

l’abime frissonne, éphémère espoir

Chancelante pensée à la caresse promise

 

Laisse la ferveur pérenniser nos sens

cède à la meute, la folie aux aboies

ivresse en fête, plaisir cadence

décadence en terre de joies

 

Je rejette aux enfers ma dépouille

renonce à ma part du jardin d’éden

ne demande rien au dieu du ciel

puisque je sais, qu’elle m’aime

 

demain peut être

Qué calor ! :crazy:

Très beaux mots, comme d'habitude, rien à dire...

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Guest Kossa
merci Kossa, t'est insomniaque?:music_whistling::music_whistling:

 

Lady est partie????????????????????????????:(

 

Wé un chwiya :( Toi aussi je crois ..

Oui apparemment ... :(

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Wé un chwiya :( Toi aussi je crois ..

Oui apparemment ... :(

 

:(:(:(:(

 

que serai je sans toi

une nuit sans étoile

un serment qu'on apitoie

une mélodie sourde sur la toile

 

tu abandonne un orphelin

attaché à l'ombre de ton ombre

perdu dans la grisaille en vélin

spectre pantelant qu'on démembre

 

double peines, émoi en peine

case vide, le teint livide

parloir déserté, plus de reine

blessure silence, silence aride

 

l'écrit se tu, plus de parchemin

l'encre c'est tarie, retraite sonné

une ligne blanche de dédain

sur un rêve, par elle oublié

 

plus de lendemain

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