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Serment d'Amour


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Destin amer

 

Je voudrai partir et laisser mourir

Oublier la douleur en absence incrusté

Fuir d’un pas endiablé, ce supplice en délire

Ne se souvenir, que de ce calice pourpre désiré

 

Étrange destin, funeste fusion, chagrin malin

Dans cette ténébreuse opacité en couche

Un doute lancinant s’élève en vain

Confusion des sens, rêves en touches

 

Les ailes frêles du vide absolu

Ploient sous le fardeau du désespoir

Tourbillon d’effroi, triste chahut

Capharnaüm de songes en noirs

 

A quelle épreuve me soumets-tu ?

Mon cœur en cage n’a plus de berceau

Ta route ombragée refuse le reclus

Le néant me cible, je glisse vers ses eaux

 

Condamné à vivre l’instant présent

Dans une solitude sans compagne

Oublié les voyages, le temps talonné

Refaire et défaire, drogue en haleine

 

Je voudrai partir et laisser mourir

Cet amour qui s’éternise dans le désert

Fermer les yeux, taire ces soupirs

Dormir, dormir,… destin amer

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Abri

 

Dans les lignes de ta main,

Pour me plaire j'y veux voir

Que rien ne nous sépare

Et qu'avons même destin.

 

Dans les lignes de ta main

Je découvre en cherchant

Les signes bienfaisants

De ce qui me convient.

 

Dans le creux de ta paume

Où ma main se blottit

Je retrouve mon abri

Doux et calme, comme un baume ...

 

Esther Granek

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Guest KillZone

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,

Les anges, les démons courbés devant ma loi,

Et le profond chaos aux entrailles fécondes,

L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,

Pour un baiser de toi !

 

 

Victor Hugo, Les feuilles d’automne

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Angoisse et tendresse

 

Angoisse, angoisse quand tu nous tiens

Une pénombre enlace mes tourments d’hier

Un jugement précoce sur un avenir sans sentiments

Une intimité invisible qu’appellent de vaines prières

 

Je n’ai plus de rêves, rien qu’un vide sidéral

Et pourtant, ton souvenir y hante l’espace

Une image qui palpite en querelle amorale

Et dégèle quelque fois, ce cœur en errance

 

Folle errance sur une espérance par toi, lésé

Masque de douleur sur des rives de douceurs

Une imposture profonde sans remords avoués

Laisse sur le bord de la route, ruine et malheur

 

Ton cœur léger, picore un à un mes sentiments

Se nourrissant chichement, gavé de certitudes

Un voile sur des maux, péage au luxe hautin

Sur des fissures en soudure d’une âme en décrépitude

 

Tout reste ancré sur les berges du passé

Tous ces câlins partis au fil de l’eau

Ne sont plus que gouttes dans l’océan blasé

Balloté de vagues en vagues à chaque assaut

 

Tendresse, tendresse quand tu nous tiens

Une aberrance intime, folie commune

Une envie d’éclore maint et maint émotions

Quand ton regard vagabonde sur mon infortune

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Angoisse et tendresse

 

Angoisse, angoisse quand tu nous tiens

Une pénombre enlace mes tourments d’hier

Un jugement précoce sur un avenir sans sentiments

Une intimité invisible qu’appellent de vaines prières

 

Je n’ai plus de rêves, rien qu’un vide sidéral

Et pourtant, ton souvenir y hante l’espace

Une image qui palpite en querelle amorale

Et dégèle quelque fois, ce cœur en errance

 

Folle errance sur une espérance par toi, lésé

Masque de douleur sur des rives de douceurs

Une imposture profonde sans remords avoués

Laisse sur le bord de la route, ruine et malheur

 

Ton cœur léger, picore un à un mes sentiments

Se nourrissant chichement, gavé de certitudes

Un voile sur des maux, péage au luxe hautin

Sur des fissures en soudure d’une âme en décrépitude

 

Tout reste ancré sur les berges du passé

Tous ces câlins partis au fil de l’eau

Ne sont plus que gouttes dans l’océan blasé

Balloté de vagues en vagues à chaque assaut

 

Tendresse, tendresse quand tu nous tiens

Une aberrance intime, folie commune

Une envie d’éclore maint et maint émotions

Quand ton regard vagabonde sur mon infortune

:eek::eek::eek::eek::eek: oh my god, dit moi pas que c'est toi qui l'as fait!?!?!?!? :eek::eek::eek:

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:(:(:(:(

 

que serai je sans toi

une nuit sans étoile

un serment qu'on apitoie

une mélodie sourde sur la toile

 

tu abandonne un orphelin

attaché à l'ombre de ton ombre

perdu dans la grisaille en vélin

spectre pantelant qu'on démembre

 

double peines, émoi en peine

case vide, le teint livide

parloir déserté, plus de reine

blessure silence, silence aride

 

l'écrit se tu, plus de parchemin

l'encre c'est tarie, retraite sonné

une ligne blanche de dédain

sur un rêve, par elle oublié

 

plus de lendemain

 

Wow:eek:........

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:eek::eek::eek::eek::eek: oh my god, dit moi pas que c'est toi qui l'as fait!?!?!?!? :eek::eek::eek:

 

non c'est le pape.........c'est marrant cette tendance à toujours s’étonner de mes écrits:crazy:

aurai je une tête de demeurés??????????:mad:

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aaaaah

 

non c'est le pape.........c'est marrant cette tendance à toujours s’étonner de mes écrits:crazy:

aurai je une tête de demeurés??????????:mad:

 

NON, c'est une plume d'artiste que tu as la :) mais je t'avoue que tes écrits m'ont doublement baisser le moral! mais ça reste beau:)

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NON, c'est une plume d'artiste que tu as la :) mais je t'avoue que tes écrits m'ont doublement baisser le moral! mais ça reste beau:)

 

merci, mais ce n'est que des écrits, il faut savoir relativiser et ne pas absorber systématiquement tout ce qu'on lit.:)

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Amour,

 

Que faire pour vous dire l'insomnie de l'amour

quand dans mon pays on ne parle que par métaphore ?

Comprendriez-vous la force des sentiments

si je vous disais : que je meure dans votre vie ?

Une romance est dans mes yeux

et mon coeur est blanc comme la soie

Tout en moi se souvient de vos rêves

et je porte en moi l'ombre de votre regard,

Vous qui n'êtes plus,

Parce que vous m'aviez pris au mot

Et c'est dans ma vie que la douleur vous a emportée.

Que faire à présent des métaphores et des larmes ?

 

Tahar Ben Jelloun

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non c'est le pape.........c'est marrant cette tendance à toujours s’étonner de mes écrits:crazy:

aurai je une tête de demeurés??????????:mad:

 

Pardon, te blessé n'était pas mon intention en te disant ça, excuse-moi, mais vraiment tes poèmes sont WOOOOOOW!!!! Ta femme ou ta future femme doit fondre a chaque fois que tu parles, mashallah, ta vraiment un don, bravo :)

By the way jvois pas ta tête alors jpeux pas vraiment en juger mais je suis sur que ta une tete de poete

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Pardon, te blessé n'était pas mon intention en te disant ça, excuse-moi, mais vraiment tes poèmes sont WOOOOOOW!!!! Ta femme ou ta future femme doit fondre a chaque fois que tu parles, mashallah, ta vraiment un don, bravo :)

By the way jvois pas ta tête alors jpeux pas vraiment en juger mais je suis sur que ta une tete de poete

 

:eek::eek:dans ce cas, tu peux revenir autant de fois qu'il te plaira :mdr::mdr:

non je plaisante et merci de ton passage.:)

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J'ai versé tant de larmes d'amours

Sur des versants de brumes dissipés

Erré sur les sentiers de sombres douleurs

Pour voir mourir les illusions dévoilés

 

De quoi demain sera fait

Les orages comme les regrets

S' estompents devant la folie avoué

Une gourmandise exquise et sans pitié

 

Mon avenir est derrière moi, inconscient

Seul résonne encore, les cries d'un cœur envoûté

Blessure profonde aux pieds d'un rempart tremblant

Une forterresse fragile sur des caresses publiées

 

De quoi demain sera fait

Un voile noir posé sur mon ame

Oublié la brulure de tes baisers

Un adieu à ces plaisirs qui damnes

 

Ces seins orgueilleux pleins de défis

Hantent encore mon cœur malade

Un remède qui empoisonne mes nuits

Impair sans élégance qui tarde

 

Laisse à ce corp qui régresse

L'épreuve d'une rédemption amer

Redonne un souffle de tendresse

À ces lèvres qu'un caprice enterre

 

De quoi demain sera fait

Sans le sourire rieur de tes yeux

Quand mes doigts fébriles en nuée

S' abattent sur des attouts mielleux

 

Un infini plaisir perle le chagrin

Frisson clos, blotti au fond d'une geôle

Cruauté d'une déraison enclin

Au pardon sacré d'une belle

 

De quoi demain sera fait

D'un cœur sûr ton seins blotti

De cette chaleur enfin retrouvé

Quand le soleil dissipe la triste nuit

 

Ecrit à Budapest le 14 Mai 2013

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Guest L'observateur
J'ai versé tant de larmes d'amours

Sur des versants de brumes dissipés

Erré sur les sentiers de sombres douleurs

Pour voir mourir les illusions dévoilés

 

De quoi demain sera fait

Les orages comme les regrets

S' estompents devant la folie avoué

Une gourmandise exquise et sans pitié

 

Mon avenir est derrière moi, inconscient

Seul résonne encore, les cries d'un cœur envoûté

Blessure profonde aux pieds d'un rempart tremblant

Une forterresse fragile sur des caresses publiées

 

De quoi demain sera fait

Un voile noir posé sur mon ame

Oublié la brulure de tes baisers

Un adieu à ces plaisirs qui damnes

 

Ces seins orgueilleux pleins de défis

Hantent encore mon cœur malade

Un remède qui empoisonne mes nuits

Impair sans élégance qui tarde

 

Laisse à ce corp qui régresse

L'épreuve d'une rédemption amer

Redonne un souffle de tendresse

À ces lèvres qu'un caprice enterre

 

De quoi demain sera fait

Sans le sourire rieur de tes yeux

Quand mes doigts fébriles en nuée

S' abattent sur des attouts mielleux

 

Un infini plaisir perle le chagrin

Frisson clos, blotti au fond d'une geôle

Cruauté d'une déraison enclin

Au pardon sacré d'une belle

 

De quoi demain sera fait

D'un cœur sûr ton seins blotti

De cette chaleur enfin retrouvé

Quand le soleil dissipe la triste nuit

 

Ecrit à Budapest le 14 Mai 2013

 

Merci pour tes écrits Momo :35:

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Guest L'observateur
Merci mon amie, j'y suis jusqu'au 27 mai, mais je m'ennui, je suis seul

 

Une croisière sur le Danube ,sera plus que bénéfique pour toi Momo ;)

 

Bon séjours .

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je ne sais comment te dire

sans blesser tes souvenirs

trouver les mots sans maux

aux risques d´autres fléaux

 

je ne sais comment te fuir

et retrouver un avenir

crée une mort sans blessures

pour assouvir tes envies d´amours

 

je ne sais comment t´aimer

quand les larmes brulent mon ame

sur les parjures d´outre tombe

ne reste que cendre immonde

 

je ne sais comment te hair

sans renier mes sentiments d´hier

offrir du plaisir a la haine

pour ne retenir qu´un,je t´aime

 

desole pour les fautes, mais je n´arrive pas a maitriser ce clavier :crazy:

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Momo ze veux un poème :o

 

Les montagnes du Djudjura gardent en mémoire

La chevelure noire d'ébène se penchant pour boire

À l'ombre d'une source troublée par ce regard

Où defilent, le feu et sang des montagnards

 

Le murmure chantant de ses pas sur la roche

S' eleve majestueusement vers la cime des cieux

Culte secret d'un coeur que la terre attache

De peur que l'oiseau, vers d'autres cieux, tourne ses yeux

 

Ta beauté enivrante de plaisirs aguicheurs

Rejaillie sur les pourtours soyeux du bonheur

Même sur FA, tu fait l'unanimité totale

Malgré ce cigare, qui te rapproche du jour fatal

 

Pourquoi toutes les Kabyles que je connais

Sont elles blondes, couleurs champs de blé

Alors qu'une seule brune, par sa beauté

Les envoient paîtres, dès qu'elle apparaît

 

Une Miissy en chasse l'autre, me direz vous

Que nenni, une seule sur FA a rendez-vous

Par sa seule présence, la joie réapparaît

Et les amis accourent pour l'acclamé

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