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Serment d'Amour


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l'étranger

 

quand les voiles déchirées du silence

parsèment de peines les écrits en errances

je reste, à ta porte, un étranger

 

quand le brouillard couleur indifférence

vient caresser mes tempes en souffrances

je reste, à tes yeux, un étranger

 

quand la mémoire se dilue dans l’incohérence

et jette aux oubliettes les souvenirs en carences

je reste, dans ton ombre, un étranger

 

quand tes rêves, à la nuit font allégeances

repoussant dans les abîmes mon apparence

je reste, dans ta lumière, un étranger

 

quand le noir désir se vêt d'arrogance

sur des soupirs sans existences

je reste, dans ton cri, un étranger

 

quand un cœur en quête, prie l'assistance

et ne reçois que triste insolence

je reste, à tes yeux, un étranger

 

quand le silence épouse la connivence

pour ne faire qu'un avec la concupiscence

j'en tire les conséquences et meurt en étranger.

 

demain peut être

 

écrit le 21/10/2014 à 00H 12

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l'étranger

 

quand les voiles déchirées du silence

parsèment de peines les écrits en errances

je reste, à ta porte, un étranger

 

quand le brouillard couleur indifférence

vient caresser mes tempes en souffrances

je reste, à tes yeux, un étranger

 

quand la mémoire se dilue dans l’incohérence

et jette aux oubliettes les souvenirs en carences

je reste, dans ton ombre, un étranger

 

quand tes rêves, à la nuit font allégeances

repoussant dans les abîmes mon apparence

je reste, dans ta lumière, un étranger

 

quand le noir désir se vêt d'arrogance

sur des soupirs sans existences

je reste, dans ton cri, un étranger

 

quand un cœur en quête, prie l'assistance

et ne reçois que triste insolence

je reste, à tes yeux, un étranger

 

quand le silence épouse la connivence

pour ne faire qu'un avec la concupiscence

j'en tire les conséquences et meurt en étranger.

 

demain peut être

 

écrit le 21/10/2014 à 00H 12

 

splendide comme toujours.. tu dois être un sacré beau parleur : ) ( juste une boutade hein, n'y voit aucune animosité )

:40:

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splendide comme toujours.. tu dois être un sacré beau parleur : ) ( juste une boutade hein, n'y voit aucune animosité )

:40:

 

tu est la première à m'offrir une fleur

je vais la mettre près de mon cœur

de son parfum, vais m’enivrer

et rêver, pour ne tout oublier

 

merci pour ta boutade.:):p:40::40:

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tu est la première à m'offrir une fleur

je vais la mettre près de mon cœur

de son parfum, vais m’enivrer

et rêver, pour ne tout oublier

 

merci pour ta boutade.:):p:40::40:

 

mdrrrr c'est bien ce que je disais .. beau parleur : )

ravie d'être la premiere, tu la merite : )

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Je hais les secondes

Quand elles s’égrènent sans toi

Je hais cet air maussade

Que je respire sans toi

Je hais ces pensées torrides

Qui remplissent mon cœur d’effrois

Je hais cette attente sordide

Regard fixé sur la pendule d’autrefois

J’aime capturer le temps d’aimer

Afin que dans tes bras il soupir

J’aime la caresse de tes baisers

Quand ils emplissent mon cœur de plaisirs

J’aime satisfaire tout tes Caprices quémandés

Car ils sont pour moi, souvent un élixir

 

demain surement

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La déchéance

 

Ce bel esprit qui lentement se consume

Reste pour moi, le plaisir furtif de ton émoi

L’ardeur avec laquelle il dévore l’intime

Efface dès l’aurore, l’ivresse d’un corps aux abois

 

Oh, rage sauvage, sublime douleur, douce infortune

Pour un ciel au flan déchiré, ne reste qu’un temps jaloux

L’écume périlleuse caresse des rivages en ruines

Et jette, au néant, l’encre des peines qu’on bafoue

 

Les mots s’égrènent comme le sable sous le vent

Emportant avec lui, le chant noir de l’histoire

Part delà les rêves et les espoirs sans lendemain

Quête épique vers une éternité de purgatoire

 

La douleur est la, murée dans un silence murmuré

Un tourment, destin sans sentiment, cœur tristesse

Une vague à l’âme sur un corps au chagrin tatoué

Chemin en déchéance, plus rien, qu'un reflet d'indifférence

 

Sans foi ni loi, un vagabond au cœur en enfer

Des braises de sentiments sur des lèvres gelées

Glacent d’effrois des baisers qu’on diffère

Comme ses promesses, trop facilement…oubliées

 

 

Écris le 01/11/2014 à 23H22

 

emprisonné : )

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