Jump to content

Serment d'Amour


Recommended Posts

Quand le corps est une prison

Et que ta voix semble muette

Quand la folie enterre la raison

Laisse couler tes larmes

 

Quand tout te semble morose

Quand le ciel t’inonde de peines

Et que la terre refuse ta muse

Laisse couler tes larmes

 

Quand ton sourire devient rictus

Faisant fuir la belle âme

Quand celle que tu aime refuse

Laisse couler tes larmes

 

Quand les souvenirs deviennent amers

Quand les rêves deviennent cauchemars

Quand tout espoir s’enterre

Laisse couler tes larmes

 

Laisse couler tes larmes

Car elles portent le bonheur en elle

Laisse couler tes larmes

Ces des mots d’amour pour elle

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 2k
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

La vérité est le reflet du mensonge

L’image qu’il me renvois, diablotin ou ange

Me ramène à mes démons, sans courage

Avec des souvenirs qui me dérangent

 

Le bonheur ? Illusion de l’esprit

Sans la tristesse, point d’existence

seule ma peine se nourrit

sur le chemin de mon errance

 

Je ne cherche ni ne demande rien

ni Amour fut il tactile

ni bonheur si grand fut il

tout cela n’est qu’ingrédient

 

Épargne moi tes pleurs de pacotille

épargne moi tes petits cris futiles

que sait tu de mon vécu

toi qui ne m’a jamais vue

 

Les paroles coulent de source

Mais n’abreuvent que celui qui a soif

Alors regarde la vérité en face

En signe d’épitaphe

Link to post
Share on other sites

La rose ne répand ses effluves qu’au lever du soleil

Offrant ses pétales à la douce caresse de l’astre

La lune la nuit se penche langoureusement sur elle

Bienveillante protectrice des rêves célestes

 

Ton sourire parle à mon cœur

Il réchauffe et éclaire mes songes

Mes nuits sont devenues des jours

Et mes jours parsemés de rêves

 

La vie n’est qu’un éternel recommencement

Tout commence et tout finie par un baiser

Les bras de la mort redoutent les chemins

Ou s’épanche tendrement un amour éprouver

 

Ta couche sera ma tombe

Tes bras mon linceul

Tes baisers ma prière

Et notre amour un recueil

Link to post
Share on other sites

La pensée zigzague, perdue dans les limbes du doute

Que faire, que dire, point de guide, plus de Muse

Aveugle devant la ligne blanche, immaculée, vierge

Reflet d’une âme morte, desséché par les larmes

Versées sur des espoirs et des rêves imaginaires

 

Dans les veines du parchemin s’écoule la sève

La plume encense la parole muette de sens

La voix c’est tu, bâillonnée, méprisée, inculte

Le chapitre s’étiole lettre par lettre, folie dense

L’esprit en démence, le corps en transe, j’avance

 

Je tourne en rond dans les ténèbres, j’ai froid

Aucun son ne me parvient, sourd et aveugle

Double peine, le corps meurtri, trahi dans ma foi

Cœur blessé, âme en peine, spectre de salle

Bouffon d’un roi, qu’on traine de foire en foire

 

L’énergie d’un cœur puise sa force immuable en elle

Source de vie ou de mort, faucheuse de destin

Son cœur commande au mien, maitre éternel

Siamois d’amour, destinée de sentiments divins

Songe perpétuel, rêve d’union d’Autel

 

Demain, peut être, une lumière folâtre

Confuse dans sa course idolâtre

Daignera éclairer d’un filet blafard

L’ombre d’un cœur malade

Des mots et des maux bien avares

Link to post
Share on other sites

La nuit se couche à tes côté

Amante fidèle et réservé

Tes yeux de mille feux animés

Reflètent nos sens émoustillés

 

La nuit se couche à tes côté

Tes tendres soupirs exaltés

Sont des messages à moi dédiés

Pour enflammé ma vanité

 

La nuit se couche à tes côté

La soie caresse des seins suppliciés

Que des mains fébriles n’osent caressées

De peur d’éveiller des démons oubliés

 

La nuit se couche à tes côté

Les lèvres gorgées de baisers

Aux gouts de miels cultivés

Sur les berges d’un jardin secret

 

La nuit se couche à tes côté

Par un corps à corps enlacé

S’échappent des senteurs parfumées

Qui viennent enivrées nos pensées

 

La nuit se couche à tes côté

De vagues plaisirs immergés

Inondent mes tempes fracassées

De leurs ondes sublimées

 

Le jour se lève à tes côté

Par tes pieds mon âme est foulée

Toutes les tortures je subirais

Pour que la nuit, me couche à tes côté

Link to post
Share on other sites

La farandole des sens me mène à l’impasse

Éphémère illusion d’une citadelle de nacres

Le cœur en exile ne rêve que de l’espérance

Liberté damné sous le joug d’une belle âme

 

Les amants dévoilés piétinent sans répit

Le mur infranchissable de l’ignorance

Sur l’horizon des rives déferlantes git

Les amours interdits d’une nuit de grâce

 

Scission ou allégorie, fuyant la raison

Au hasard des tourments solitaires

Les sombres méandres engendreront

En silence un corps écorché de chimère

 

Funèbre oraison d’une vie sans sursis

Parsemé de pluie de larmes intimes

Recouvert d’un linceul de mélancolie

Ou l’antre du démon arrose de haines

 

Apogée d’une nuit aux frontières du néant

Cette caresse désuète n’est que misère

Ivresse espoir d’une éternité de tourments

Récolté aux doux baisers de tes lèvres.

Link to post
Share on other sites

La critique est facile quand le cœur est plein de haine

Quand on n’aime pas on ne lit pas

Libère ton âme de toute cette peine

Regarde le monde et l’amour tu trouveras

 

Je ne suis point ton ennemie, au contraire

Ne te fit pas au silence pour juger

Écoute ton cœur et non des paroles austères

La vérité se lit entre les mots déverser

 

Les états d’âmes sont personnels

Ils sont les reflets de la vie

Comme les tiens je les étales

Seul les comprennent les vrais amis

 

Les louanges à tout va, misérables

Ne nourrissent que l’hypocrisie

Le virtuel est un miroir aux alouettes

Facile de s’y mirer, le reflet n’est qu’hérésie

 

Garde tes vrais sentiments au chaud

Ils ne sont destinés qu’à “l’autre“

Lui seul peu recevoir ce cadeau

Et te renvoyer le bien être.

Link to post
Share on other sites

Je ne sais par quoi commencer

Les mots expriment tant de choses

Charivari d’un esprit perturbé

Par des querelles souvent diffuses

 

Ce soir je regarde, attentif

Cet écran, lien virtuel ou réel

Plongeon furtif de ce cœur poussif

Dans des méandres immatériels

 

Le soir allongé, seul dans ce lit

Le rêve me plonge dans tes bras

L’aurore traîtresse m’arrache à toi

Tu es devenu ma seconde vie

 

Tes mots si joliment exprimé

Impriment dans mon cœur

Des espaces et des couleurs

Chaque jour renouvelé

 

Que le temps me semble court

Quand tu l’illumine de ta présence

Que de tristesse me parcourt

Quand ta voix n’est que silence

 

Si quelque fois je me perds dans FA

Si de sombres pensées m’envahissent

Il suffit que je pense à toi

Pour que mon cœur retrouve l’espérance

Link to post
Share on other sites

Je ne commande pas aux sentiments

Ils sont maitres de l’esprit et du cœur

Faisant fi de tous nouveaux serments

Ils prennent et brisent bien des amours

 

La vérité peut prendre bien des aspects

Le cœur lui ne trompe personne

Quand il bat, nul ne le suspect

Dans le cœur de l’autre, sa voix résonne

 

Des je t’aime, facile à claironner

Ces mots aux grès du vent éparpillés

Les miens de sentiments chargés

À nuls autres ne sont destiné

 

À chacun sa destinée dit on

La mienne est écrite de larmes

Versé sur un corps moribond

À l’apogée d’une vie bien terne

 

Il a suffit d’un regard jeté

Il a suffit d’un sourire esquissé

Il a suffit d’une timide frayeur

Pour que s‘emballe mon cœur

 

Sous le ciel étoilé, la nuit sera notre

Qu’importe les frimas si ton corps offert

Sur l’autel de l’amour nous apporte

L’espoir d’un instant, le plaisir éternel

Link to post
Share on other sites

Je me tais

 

On dit partir c’est mourir un peu

Rester, c’est bruler à petit feu

un cœur qui saigne ne peut être heureux

La feuille blanche devient mon tombeau

aussi je me tais

 

Je ne dis rien, car les mots ne sont rien

Rien dans le verbe n’exprime mes sentiments

tu parle à dieu, moi à ton cœur en vain

Seul le silence en écho me revient

aussi je me tais

 

tu as écrit dans les abimes de ma mémoire

Une symphonie qui sans cesse se répète

Tu as emprisonné dans ce cœur malade

Un amour que la solitude ronge

aussi je me tais

 

détourne de moi ce regard brulant

qui vient lire en mon âme si souvent

détourne de moi ce sourire aimant

Mon cœur blessé n’a plus rien de vivant

aussi je me tais

 

Je me tais parce que je t’aime

Les mots n’expriment pas les maux

Seul mon cœur hurle sa peine

Dans sa geôle, seul malheureux

Link to post
Share on other sites

Je hais les secondes

Quand elles s’égrènent sans toi

Je hais cet air maussade

Que je respire sans toi

Je hais ces pensées torrides

Qui remplissent mon cœur d’effrois

Je hais cette attente sordide

Regard fixé sur la pendule d’autrefois

J’aime capturer le temps d’aimer

Afin que dans tes bras il soupir

J’aime la caresse de tes baisers

Quand ils emplissent mon cœur de plaisirs

J’aime satisfaire tout tes Caprices quémandés

Car ils sont pour moi, souvent un élixir

 

Demain surement

Link to post
Share on other sites

J’ai envie par ton parfum m’enivré

J’ai envie contre moi ton corps serré

J’ai envie de tes baisers à moi donnés

J’ai envie que ta peau par moi caressé

 

J’ai rêvé du rayon du soleil sur tes cheveux dorés

J’ai rêvé d’un regard brulant sur moi posé

J’ai rêvé de tes pas sur la plage ensoleillé

J’ai rêvé de l’hombre de ton hombre révélé

 

J’ai vue dans tes yeux mon cœur reflété

J’ai vue dans le ciel les nuages s’écartés

J’ai vue sur ta bouche un doux sourire m’invité

J’ai vue sur tes lèvres un je t’aime mimer

 

J’ai entendu ta voix dans ma tête murmurer

J’ai entendu ton cœur aux mien s’associer

J’ai entendu les dieux à notre amour jalouser

J’ai entendu le vent par son chant nous saluer

 

J’ai aimé la moindre étincelle par toi émané

J’ai aimé les soupirs par ton corps exprimés

J’ai aimé toutes larmes par ma cause versées

J’ai aimé par-dessus tout, par toi aimé

Link to post
Share on other sites

J’ai beau crier et pleurer

Seul le silence m’écoute

J’ai beau errer et me lamenter

Seul ton sourire me réconforte

J’ai beau supplier et refuser

Seule ta caresse me calme

J’ai beau frapper et me lacérer

Seul ton cœur me soigne

J’ai beau faire et défaire

Seul mon cœur t’aime

Link to post
Share on other sites

Des images éparses de mon enfance remontent à la surface

Plongé intense et misérable au jardin secret d’une triste vie

Dans ce brouillard sordide, nul étoile ne fait face

Cruel souvenir d’une nuit d’extase remplie d’une folie

Douce et suave, des rêves longtemps enfouies

Dans les méandres d’une mère de solitudes

Émergent à nouveau, tel l’arbre de la vie

Dont les branches s’élèvent dans une multitude

De bruissement, chant mélodieux

Ou simple écuelle aux facéties des dieux

Cette ode à l’amour, prière céleste

Invite au plaisir dans une couche apaisante.

Link to post
Share on other sites

Enfance blessée, enfance meurtrie

Innocence sacrifié sur l’autel de l’intolérance

Ton seul crime, la différence

Ta faute, ta naissance

Ton prix, ta vie

 

La bête immonde, que l’on croyait à jamais enfouis

A été rappelé des limbes de l’enfer

Avide de sang, jamais repus de vies

Elle avance dans l’indifférence amère

D’une histoire qui se répète et s’oubli

 

La vie s’annonçait belle et insouciante

À l’aube d’une existence radieuse

Un matin de printemps, heureuse

Devant l’école de la vie, la mort filante

Vint briser par des balles, tout espoir

 

Les mots nourrissent la haine

Banalisent les extrémismes

La différence devient crime

L’indifférence coutume

Et le racisme sublime

 

Devant l’école, ils sont tombés

Victime de l’intolérance

Leur seul crime, la différence

De leur naissance………………..

 

 

Reposez en paix.

Link to post
Share on other sites

FNP

 

Elle vient de nulle part

Parcourant le monde de son pas gracile

Frêle silhouette sans far

Sur FA elle trône, subtil

 

Elle n’a pas la parole dans sa poche

D’un mot, elle lacère l’insolente

Ne récoltant aucun reproche

Car sa parole est vérité dite

 

Elle ne vient de nulle part

Son passé est son avenir

Amoureuse des arts

Jusqu’à son dernier soupir

 

La poésie est son oxygène

Ses citations font merveille

Quand ses yeux de biches s’éveillent

Le verbe ébloui, se rend sans gêne

 

Elle vient de nulle part

Qu’importe ou elle va

Seul ses mots versé sur le tard

Imprime sa trace sur FA

Link to post
Share on other sites

Elle ne le sait pas encore

Mais son cœur balance

Troublé dans son errance

Enfermé dans sa peur

 

Que faire, que dire

Terrible dilemme

Devant la glace elle se mire

Mais le reflet la peine

 

Jamais elle n’aurait imaginé

Sentir à nouveau le cœur en émois

Le Corps prêt à chavirer

À la seule vue de son minois

 

Tant de souvenirs remontent

Du plus profond de son moi

Ils l’enveloppent, la submergent

Elle suffoque, pleine d’effrois

 

Lui aussi l’a vue, un peu surpris

Sur ses lèvres, un sourire se fige

Dans une osmose d’hommages

Le temps une seconde les réunis

 

Soudain elle se réveille

Le cœur battant la chamade

Trempé, le teint blafarde

C’est nuit maudite, un autre songe cruel

Link to post
Share on other sites

Elle est revenue, toute auréolé de lumière

Mon étoile filante, astre de mes nuits

Cette nuit son sourire inonda mes rêves

Apparition céleste, ange de l’oubli

 

Son errance passagère, toute de tristesse

Engendra mélancolie et larmes de détresse

Mon cœur cessa de battre sans finesse

Attendant le retour de l’âme prêtresse

 

Je ne suis que poussière sous tes pas

Soulevé aux grès de tes Caprices

Une note perdue dans l’au-delà

Cherchant sa symphonie de délice

 

Cet amour par intermittence

Nourrit de sang et de larmes

S’acharne sur ce cœur en transe

Aux risques de l’attaque fatale

 

Peut être de cette passion maladive

Née dans les méandres d’une toile

Sortira une mer de béatitude

Ou vogueront deux cœurs de solitude

Link to post
Share on other sites

Elle est pour moi

La douce chaleur du soleil automnale

Séchant de ses caresses mes larmes matinales

Elle est pour moi

Le cocoon de soie

Ou mon cœur en est le roi

Elle est pour moi

Ce tendre baiser

Qui fait frémir mes lèvres gercées

Elle est pour moi

Ces caresses partagées

Source de râles exaltés

Elle est pour moi

Le passé et l’avenir

Dans ses bras naitre et mourir

Elle est pour moi

Le songe de mes nuits d’été

Bercée par des soupirs expirés

Elle est pour moi

La source de mes larmes perlées

Par des reproches injustifiés

Elle est pour moi

Le temps qu’on oublie

Car pour moi, elle est ma vie

Link to post
Share on other sites

donne moi ces lèvres tant espéré

donne moi des baisées enflammées

invite moi dans tes rêves étoilés

afin que mon âme soit sauvé

 

lorsque sur moi, ce regard se pose

mon cœur rempli d’effroi, explose

cette caresse fut elle virtuelle

met mes neurones en léthargie perpétuelle

 

a tu conscience de mon émoi

toi qui m’engloutie et me noie

saura tu jamais que ce cœur qui bat

pour toi est près a rendre trépas

 

le langage du corps trahi souvent

le mensonge d’une bouche causante

les yeux sont le reflet de l’âme aimante

leurs frémissements est un livres troublant

 

souvent je prie les ténèbres

d’interdire l’entrée à la lumière

afin que mes rêves célèbrent

à l’infini l’amour charnel

 

donne moi tes bras que je m’y love

emmène moi dans ta douce alcôve

toi ma douce et tendre chimère

afin que mon âme, près de toi prospère

Link to post
Share on other sites

Je veux dompter ce corps rebelle

Qui se dresse fièrement devant moi

Narguant de ses atouts de reine

Le regard brulant, mon corps en émoi

 

Avide de désirs, jamais repu

Sa main se pose sur ma main

Un frisson réveille ce corps fourbu

Le cœur surpris, s’emballe dans l’instant

 

Mes yeux se ferment à mi-clos

Ses seins nourriciers se dressent

Rempart altier, jamais de trop

Repoussant mes lèvres en liesses

 

Devant la forteresse d’Éden

Quand l’alcôve devient mystère

Au parfum envoutant, aumône

Aux sens, offrande austère

 

Quand nos corps fusionnent

Devant l’assaut ultime

L’ivresse de la passion

Dissous l’espace et le temps

 

La nuit pâlit de jalousie

Devant ces élans charnels

Le ciel déverse des larmes de pluies

Ode sublime en bouquet final

Link to post
Share on other sites

je dois t'avouer que je suis troublé

troublé dans mon âme et mon corps

tes mots caressent mes pensées

comme la brise sur les champs de blé d'or

 

même dans la solitude, ta voix me parle

des mots simples, des mots qui touchent

des mots qui m'enveloppent et me bercent

des mots que j'aurais pu te dire

 

la douceur de tes mains sur mon corps

le miel de ta bouche sur mes lèvres

la douce chaleur de nos corps à corps

sont souffrance et bonheur en mon être

 

le cœur en émoi perd la raison

les sens en fusions explosent

les larmes sur ta peau à foison

chaos original d’Adam et Ève

 

donne du temps au temps

ainsi, viendra le moment

ou, par l'esprit ou la chaire

verra l'union de ceux qui s'aiment

Link to post
Share on other sites

Demain peut être

Dans les rues sombres de mon existence

Je déambule seul tel un zombie

Elle est la, oui je sens sa présence

Son regard me glace, me statufie

 

J’ai envie de crié, aucun son ne sort

Mes membres s’enracinent doucement

Toute les nuits, quand je m’endors

Elle vient et réveille mes tourments

 

Elle m’a quitté un matin de printemps

Sans un revoir, sans un adieu

Pourtant la veille tout n’était que mielleux

Savourant cet instant de félicité commun

 

Depuis ce jour ou nos regards se sont croisés

Dans cette cage d’escalier sombre

Elle, de victuailles lourdement chargé

Moi, chantonnant l’insouciance de l’être

 

Je l’ai aidé à porté son sac Jusqu’à sa porte tremblotant

Humant en son sillage, un parfum lourd, envoutant

Un étroit passage nous rapprocha

Corps contre corps, son sourire m’enflamma

 

Sa voix doucement, tendrement

Calma mes ardeurs juvéniles

Ses mains caressant, effleurant

Mes tempes fébriles

 

Seule, uni dans cet espace

Plus rien ne compta

Dans les méandres de l’extase

Un tourbillon nous emporta

 

Peut être ai je trop espéré

En la force de nos différences

Peut être ai-je trop rêvé

A un amour de circonstance

 

Un matin de printemps

Elle s’en est allé, sans un mot, sans un adieu.

Link to post
Share on other sites
Guest Lady Melody
je dois t'avouer que je suis troublé

troublé dans mon âme et mon corps

tes mots caressent mes pensées

comme la brise sur les champs de blé d'or

 

même dans la solitude, ta voix me parle

des mots simples, des mots qui touchent

des mots qui m'enveloppent et me bercent

des mots que j'aurais pu te dire

 

la douceur de tes mains sur mon corps

le miel de ta bouche sur mes lèvres

la douce chaleur de nos corps à corps

sont souffrance et bonheur en mon être

 

le cœur en émoi perd la raison

les sens en fusions explosent

les larmes sur ta peau à foison

chaos original d’Adam et Ève

 

donne du temps au temps

ainsi, viendra le moment

ou, par l'esprit ou la chaire

verra l'union de ceux qui s'aiment

 

je suis victime de ton romantisme momo :worthy::throb:

Link to post
Share on other sites

Dans l’univers de mon cœur

Une lueur s’élève en couleur

Réchauffant l’âme d’amour

De ses larmes de douleurs

 

Cette harmonie parfaite

Subtile éclat de pétales

Inonde de senteurs fluettes

Les ombres d’une nuit fatale

 

Puissance enivrante d’émotions

Réminiscence d’éclats passés

Le corps en décomposition

Livré aux serres acérées

 

La nuit nous emprisonne

La voute céleste pour couche

Tu parsème ma peau sombre

De prouesses sismiques

 

Simple grain dans le sablier

L’amour égrène le temps

Comme le vent caresse

L’eau profonde de tes sentiments

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...