momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Quand le corps est une prison Et que ta voix semble muette Quand la folie enterre la raison Laisse couler tes larmes Quand tout te semble morose Quand le ciel t’inonde de peines Et que la terre refuse ta muse Laisse couler tes larmes Quand ton sourire devient rictus Faisant fuir la belle âme Quand celle que tu aime refuse Laisse couler tes larmes Quand les souvenirs deviennent amers Quand les rêves deviennent cauchemars Quand tout espoir s’enterre Laisse couler tes larmes Laisse couler tes larmes Car elles portent le bonheur en elle Laisse couler tes larmes Ces des mots d’amour pour elle Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La vérité est le reflet du mensonge L’image qu’il me renvois, diablotin ou ange Me ramène à mes démons, sans courage Avec des souvenirs qui me dérangent Le bonheur ? Illusion de l’esprit Sans la tristesse, point d’existence seule ma peine se nourrit sur le chemin de mon errance Je ne cherche ni ne demande rien ni Amour fut il tactile ni bonheur si grand fut il tout cela n’est qu’ingrédient Épargne moi tes pleurs de pacotille épargne moi tes petits cris futiles que sait tu de mon vécu toi qui ne m’a jamais vue Les paroles coulent de source Mais n’abreuvent que celui qui a soif Alors regarde la vérité en face En signe d’épitaphe Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La rose ne répand ses effluves qu’au lever du soleil Offrant ses pétales à la douce caresse de l’astre La lune la nuit se penche langoureusement sur elle Bienveillante protectrice des rêves célestes Ton sourire parle à mon cœur Il réchauffe et éclaire mes songes Mes nuits sont devenues des jours Et mes jours parsemés de rêves La vie n’est qu’un éternel recommencement Tout commence et tout finie par un baiser Les bras de la mort redoutent les chemins Ou s’épanche tendrement un amour éprouver Ta couche sera ma tombe Tes bras mon linceul Tes baisers ma prière Et notre amour un recueil Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La pensée zigzague, perdue dans les limbes du doute Que faire, que dire, point de guide, plus de Muse Aveugle devant la ligne blanche, immaculée, vierge Reflet d’une âme morte, desséché par les larmes Versées sur des espoirs et des rêves imaginaires Dans les veines du parchemin s’écoule la sève La plume encense la parole muette de sens La voix c’est tu, bâillonnée, méprisée, inculte Le chapitre s’étiole lettre par lettre, folie dense L’esprit en démence, le corps en transe, j’avance Je tourne en rond dans les ténèbres, j’ai froid Aucun son ne me parvient, sourd et aveugle Double peine, le corps meurtri, trahi dans ma foi Cœur blessé, âme en peine, spectre de salle Bouffon d’un roi, qu’on traine de foire en foire L’énergie d’un cœur puise sa force immuable en elle Source de vie ou de mort, faucheuse de destin Son cœur commande au mien, maitre éternel Siamois d’amour, destinée de sentiments divins Songe perpétuel, rêve d’union d’Autel Demain, peut être, une lumière folâtre Confuse dans sa course idolâtre Daignera éclairer d’un filet blafard L’ombre d’un cœur malade Des mots et des maux bien avares Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La nuit se couche à tes côté Amante fidèle et réservé Tes yeux de mille feux animés Reflètent nos sens émoustillés La nuit se couche à tes côté Tes tendres soupirs exaltés Sont des messages à moi dédiés Pour enflammé ma vanité La nuit se couche à tes côté La soie caresse des seins suppliciés Que des mains fébriles n’osent caressées De peur d’éveiller des démons oubliés La nuit se couche à tes côté Les lèvres gorgées de baisers Aux gouts de miels cultivés Sur les berges d’un jardin secret La nuit se couche à tes côté Par un corps à corps enlacé S’échappent des senteurs parfumées Qui viennent enivrées nos pensées La nuit se couche à tes côté De vagues plaisirs immergés Inondent mes tempes fracassées De leurs ondes sublimées Le jour se lève à tes côté Par tes pieds mon âme est foulée Toutes les tortures je subirais Pour que la nuit, me couche à tes côté Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La farandole des sens me mène à l’impasse Éphémère illusion d’une citadelle de nacres Le cœur en exile ne rêve que de l’espérance Liberté damné sous le joug d’une belle âme Les amants dévoilés piétinent sans répit Le mur infranchissable de l’ignorance Sur l’horizon des rives déferlantes git Les amours interdits d’une nuit de grâce Scission ou allégorie, fuyant la raison Au hasard des tourments solitaires Les sombres méandres engendreront En silence un corps écorché de chimère Funèbre oraison d’une vie sans sursis Parsemé de pluie de larmes intimes Recouvert d’un linceul de mélancolie Ou l’antre du démon arrose de haines Apogée d’une nuit aux frontières du néant Cette caresse désuète n’est que misère Ivresse espoir d’une éternité de tourments Récolté aux doux baisers de tes lèvres. Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 La critique est facile quand le cœur est plein de haine Quand on n’aime pas on ne lit pas Libère ton âme de toute cette peine Regarde le monde et l’amour tu trouveras Je ne suis point ton ennemie, au contraire Ne te fit pas au silence pour juger Écoute ton cœur et non des paroles austères La vérité se lit entre les mots déverser Les états d’âmes sont personnels Ils sont les reflets de la vie Comme les tiens je les étales Seul les comprennent les vrais amis Les louanges à tout va, misérables Ne nourrissent que l’hypocrisie Le virtuel est un miroir aux alouettes Facile de s’y mirer, le reflet n’est qu’hérésie Garde tes vrais sentiments au chaud Ils ne sont destinés qu’à “l’autre“ Lui seul peu recevoir ce cadeau Et te renvoyer le bien être. Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Je ne sais par quoi commencer Les mots expriment tant de choses Charivari d’un esprit perturbé Par des querelles souvent diffuses Ce soir je regarde, attentif Cet écran, lien virtuel ou réel Plongeon furtif de ce cœur poussif Dans des méandres immatériels Le soir allongé, seul dans ce lit Le rêve me plonge dans tes bras L’aurore traîtresse m’arrache à toi Tu es devenu ma seconde vie Tes mots si joliment exprimé Impriment dans mon cœur Des espaces et des couleurs Chaque jour renouvelé Que le temps me semble court Quand tu l’illumine de ta présence Que de tristesse me parcourt Quand ta voix n’est que silence Si quelque fois je me perds dans FA Si de sombres pensées m’envahissent Il suffit que je pense à toi Pour que mon cœur retrouve l’espérance Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Je ne commande pas aux sentiments Ils sont maitres de l’esprit et du cœur Faisant fi de tous nouveaux serments Ils prennent et brisent bien des amours La vérité peut prendre bien des aspects Le cœur lui ne trompe personne Quand il bat, nul ne le suspect Dans le cœur de l’autre, sa voix résonne Des je t’aime, facile à claironner Ces mots aux grès du vent éparpillés Les miens de sentiments chargés À nuls autres ne sont destiné À chacun sa destinée dit on La mienne est écrite de larmes Versé sur un corps moribond À l’apogée d’une vie bien terne Il a suffit d’un regard jeté Il a suffit d’un sourire esquissé Il a suffit d’une timide frayeur Pour que s‘emballe mon cœur Sous le ciel étoilé, la nuit sera notre Qu’importe les frimas si ton corps offert Sur l’autel de l’amour nous apporte L’espoir d’un instant, le plaisir éternel Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Je me tais On dit partir c’est mourir un peu Rester, c’est bruler à petit feu un cœur qui saigne ne peut être heureux La feuille blanche devient mon tombeau aussi je me tais Je ne dis rien, car les mots ne sont rien Rien dans le verbe n’exprime mes sentiments tu parle à dieu, moi à ton cœur en vain Seul le silence en écho me revient aussi je me tais tu as écrit dans les abimes de ma mémoire Une symphonie qui sans cesse se répète Tu as emprisonné dans ce cœur malade Un amour que la solitude ronge aussi je me tais détourne de moi ce regard brulant qui vient lire en mon âme si souvent détourne de moi ce sourire aimant Mon cœur blessé n’a plus rien de vivant aussi je me tais Je me tais parce que je t’aime Les mots n’expriment pas les maux Seul mon cœur hurle sa peine Dans sa geôle, seul malheureux Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Je hais les secondes Quand elles s’égrènent sans toi Je hais cet air maussade Que je respire sans toi Je hais ces pensées torrides Qui remplissent mon cœur d’effrois Je hais cette attente sordide Regard fixé sur la pendule d’autrefois J’aime capturer le temps d’aimer Afin que dans tes bras il soupir J’aime la caresse de tes baisers Quand ils emplissent mon cœur de plaisirs J’aime satisfaire tout tes Caprices quémandés Car ils sont pour moi, souvent un élixir Demain surement Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 J’ai envie par ton parfum m’enivré J’ai envie contre moi ton corps serré J’ai envie de tes baisers à moi donnés J’ai envie que ta peau par moi caressé J’ai rêvé du rayon du soleil sur tes cheveux dorés J’ai rêvé d’un regard brulant sur moi posé J’ai rêvé de tes pas sur la plage ensoleillé J’ai rêvé de l’hombre de ton hombre révélé J’ai vue dans tes yeux mon cœur reflété J’ai vue dans le ciel les nuages s’écartés J’ai vue sur ta bouche un doux sourire m’invité J’ai vue sur tes lèvres un je t’aime mimer J’ai entendu ta voix dans ma tête murmurer J’ai entendu ton cœur aux mien s’associer J’ai entendu les dieux à notre amour jalouser J’ai entendu le vent par son chant nous saluer J’ai aimé la moindre étincelle par toi émané J’ai aimé les soupirs par ton corps exprimés J’ai aimé toutes larmes par ma cause versées J’ai aimé par-dessus tout, par toi aimé Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 J’ai beau crier et pleurer Seul le silence m’écoute J’ai beau errer et me lamenter Seul ton sourire me réconforte J’ai beau supplier et refuser Seule ta caresse me calme J’ai beau frapper et me lacérer Seul ton cœur me soigne J’ai beau faire et défaire Seul mon cœur t’aime Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Des images éparses de mon enfance remontent à la surface Plongé intense et misérable au jardin secret d’une triste vie Dans ce brouillard sordide, nul étoile ne fait face Cruel souvenir d’une nuit d’extase remplie d’une folie Douce et suave, des rêves longtemps enfouies Dans les méandres d’une mère de solitudes Émergent à nouveau, tel l’arbre de la vie Dont les branches s’élèvent dans une multitude De bruissement, chant mélodieux Ou simple écuelle aux facéties des dieux Cette ode à l’amour, prière céleste Invite au plaisir dans une couche apaisante. Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Enfance blessée, enfance meurtrie Innocence sacrifié sur l’autel de l’intolérance Ton seul crime, la différence Ta faute, ta naissance Ton prix, ta vie La bête immonde, que l’on croyait à jamais enfouis A été rappelé des limbes de l’enfer Avide de sang, jamais repus de vies Elle avance dans l’indifférence amère D’une histoire qui se répète et s’oubli La vie s’annonçait belle et insouciante À l’aube d’une existence radieuse Un matin de printemps, heureuse Devant l’école de la vie, la mort filante Vint briser par des balles, tout espoir Les mots nourrissent la haine Banalisent les extrémismes La différence devient crime L’indifférence coutume Et le racisme sublime Devant l’école, ils sont tombés Victime de l’intolérance Leur seul crime, la différence De leur naissance……………….. Reposez en paix. Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 FNP Elle vient de nulle part Parcourant le monde de son pas gracile Frêle silhouette sans far Sur FA elle trône, subtil Elle n’a pas la parole dans sa poche D’un mot, elle lacère l’insolente Ne récoltant aucun reproche Car sa parole est vérité dite Elle ne vient de nulle part Son passé est son avenir Amoureuse des arts Jusqu’à son dernier soupir La poésie est son oxygène Ses citations font merveille Quand ses yeux de biches s’éveillent Le verbe ébloui, se rend sans gêne Elle vient de nulle part Qu’importe ou elle va Seul ses mots versé sur le tard Imprime sa trace sur FA Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Elle ne le sait pas encore Mais son cœur balance Troublé dans son errance Enfermé dans sa peur Que faire, que dire Terrible dilemme Devant la glace elle se mire Mais le reflet la peine Jamais elle n’aurait imaginé Sentir à nouveau le cœur en émois Le Corps prêt à chavirer À la seule vue de son minois Tant de souvenirs remontent Du plus profond de son moi Ils l’enveloppent, la submergent Elle suffoque, pleine d’effrois Lui aussi l’a vue, un peu surpris Sur ses lèvres, un sourire se fige Dans une osmose d’hommages Le temps une seconde les réunis Soudain elle se réveille Le cœur battant la chamade Trempé, le teint blafarde C’est nuit maudite, un autre songe cruel Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Elle est revenue, toute auréolé de lumière Mon étoile filante, astre de mes nuits Cette nuit son sourire inonda mes rêves Apparition céleste, ange de l’oubli Son errance passagère, toute de tristesse Engendra mélancolie et larmes de détresse Mon cœur cessa de battre sans finesse Attendant le retour de l’âme prêtresse Je ne suis que poussière sous tes pas Soulevé aux grès de tes Caprices Une note perdue dans l’au-delà Cherchant sa symphonie de délice Cet amour par intermittence Nourrit de sang et de larmes S’acharne sur ce cœur en transe Aux risques de l’attaque fatale Peut être de cette passion maladive Née dans les méandres d’une toile Sortira une mer de béatitude Ou vogueront deux cœurs de solitude Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Elle est pour moi La douce chaleur du soleil automnale Séchant de ses caresses mes larmes matinales Elle est pour moi Le cocoon de soie Ou mon cœur en est le roi Elle est pour moi Ce tendre baiser Qui fait frémir mes lèvres gercées Elle est pour moi Ces caresses partagées Source de râles exaltés Elle est pour moi Le passé et l’avenir Dans ses bras naitre et mourir Elle est pour moi Le songe de mes nuits d’été Bercée par des soupirs expirés Elle est pour moi La source de mes larmes perlées Par des reproches injustifiés Elle est pour moi Le temps qu’on oublie Car pour moi, elle est ma vie Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 donne moi ces lèvres tant espéré donne moi des baisées enflammées invite moi dans tes rêves étoilés afin que mon âme soit sauvé lorsque sur moi, ce regard se pose mon cœur rempli d’effroi, explose cette caresse fut elle virtuelle met mes neurones en léthargie perpétuelle a tu conscience de mon émoi toi qui m’engloutie et me noie saura tu jamais que ce cœur qui bat pour toi est près a rendre trépas le langage du corps trahi souvent le mensonge d’une bouche causante les yeux sont le reflet de l’âme aimante leurs frémissements est un livres troublant souvent je prie les ténèbres d’interdire l’entrée à la lumière afin que mes rêves célèbrent à l’infini l’amour charnel donne moi tes bras que je m’y love emmène moi dans ta douce alcôve toi ma douce et tendre chimère afin que mon âme, près de toi prospère Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Je veux dompter ce corps rebelle Qui se dresse fièrement devant moi Narguant de ses atouts de reine Le regard brulant, mon corps en émoi Avide de désirs, jamais repu Sa main se pose sur ma main Un frisson réveille ce corps fourbu Le cœur surpris, s’emballe dans l’instant Mes yeux se ferment à mi-clos Ses seins nourriciers se dressent Rempart altier, jamais de trop Repoussant mes lèvres en liesses Devant la forteresse d’Éden Quand l’alcôve devient mystère Au parfum envoutant, aumône Aux sens, offrande austère Quand nos corps fusionnent Devant l’assaut ultime L’ivresse de la passion Dissous l’espace et le temps La nuit pâlit de jalousie Devant ces élans charnels Le ciel déverse des larmes de pluies Ode sublime en bouquet final Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 je dois t'avouer que je suis troublé troublé dans mon âme et mon corps tes mots caressent mes pensées comme la brise sur les champs de blé d'or même dans la solitude, ta voix me parle des mots simples, des mots qui touchent des mots qui m'enveloppent et me bercent des mots que j'aurais pu te dire la douceur de tes mains sur mon corps le miel de ta bouche sur mes lèvres la douce chaleur de nos corps à corps sont souffrance et bonheur en mon être le cœur en émoi perd la raison les sens en fusions explosent les larmes sur ta peau à foison chaos original d’Adam et Ève donne du temps au temps ainsi, viendra le moment ou, par l'esprit ou la chaire verra l'union de ceux qui s'aiment Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Demain peut être Dans les rues sombres de mon existence Je déambule seul tel un zombie Elle est la, oui je sens sa présence Son regard me glace, me statufie J’ai envie de crié, aucun son ne sort Mes membres s’enracinent doucement Toute les nuits, quand je m’endors Elle vient et réveille mes tourments Elle m’a quitté un matin de printemps Sans un revoir, sans un adieu Pourtant la veille tout n’était que mielleux Savourant cet instant de félicité commun Depuis ce jour ou nos regards se sont croisés Dans cette cage d’escalier sombre Elle, de victuailles lourdement chargé Moi, chantonnant l’insouciance de l’être Je l’ai aidé à porté son sac Jusqu’à sa porte tremblotant Humant en son sillage, un parfum lourd, envoutant Un étroit passage nous rapprocha Corps contre corps, son sourire m’enflamma Sa voix doucement, tendrement Calma mes ardeurs juvéniles Ses mains caressant, effleurant Mes tempes fébriles Seule, uni dans cet espace Plus rien ne compta Dans les méandres de l’extase Un tourbillon nous emporta Peut être ai je trop espéré En la force de nos différences Peut être ai-je trop rêvé A un amour de circonstance Un matin de printemps Elle s’en est allé, sans un mot, sans un adieu. Citer Link to post Share on other sites
Guest Lady Melody Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 je dois t'avouer que je suis troublé troublé dans mon âme et mon corps tes mots caressent mes pensées comme la brise sur les champs de blé d'or même dans la solitude, ta voix me parle des mots simples, des mots qui touchent des mots qui m'enveloppent et me bercent des mots que j'aurais pu te dire la douceur de tes mains sur mon corps le miel de ta bouche sur mes lèvres la douce chaleur de nos corps à corps sont souffrance et bonheur en mon être le cœur en émoi perd la raison les sens en fusions explosent les larmes sur ta peau à foison chaos original d’Adam et Ève donne du temps au temps ainsi, viendra le moment ou, par l'esprit ou la chaire verra l'union de ceux qui s'aiment je suis victime de ton romantisme momo :worthy::throb: Citer Link to post Share on other sites
momo 18 24 Posted December 18, 2012 Partager Posted December 18, 2012 Dans l’univers de mon cœur Une lueur s’élève en couleur Réchauffant l’âme d’amour De ses larmes de douleurs Cette harmonie parfaite Subtile éclat de pétales Inonde de senteurs fluettes Les ombres d’une nuit fatale Puissance enivrante d’émotions Réminiscence d’éclats passés Le corps en décomposition Livré aux serres acérées La nuit nous emprisonne La voute céleste pour couche Tu parsème ma peau sombre De prouesses sismiques Simple grain dans le sablier L’amour égrène le temps Comme le vent caresse L’eau profonde de tes sentiments Citer Link to post Share on other sites
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