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Serment d'Amour


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Dans le silence, son regard me scrutait

Tel un scanner sur mon corps lacéré

Par des ondes de plaisirs achevées

 

Sur ses lèvres dansaient des flammes

Lancinante parodie d’une âme

À la recherche du cœur qui la damne

 

Ou est tu mon Ange, ou est tu diablesse

Ne vois tu pas cet amour en détresse

Que ton silence, peu à peu oppresse

 

Ton sourire écarlate par mes pensées

Lacère de mille griffes aiguisées

Ce cœur offert à tes sens exacerbés

 

Ce cri d’amour si fort exulté

Réveille dans le ciel étoilé

Les spectres des amours passés

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Coucher sur le papier ses états d’âmes

C’est étalé une partie de sa vie, de sois même

Chose aisé semble t’il, non tout le contraire

La main reste paralysée devant la page blanche

 

Les mots flatteurs coulent de source

La vérité, elle se fait violence

Même le clavier se fait complice

Refusant cette mascarade factice

 

Le corps s’harmonise avec les mots

Faisant vibrer les veines de la peau

Créant une osmose, mélange nouveau

Des sens et de l’esprit, un combat sans repos

 

Dans cette lutte, dans ce corps à corps

La blanche page est ma confidente

Silencieuse compagne de mes amours

Recevant joies et complaintes

 

De toi, jamais de reproches

Tu accepte tout sans rechigner

La plume sur ta peau s’accroche

Comme moi sur mes illusions ratées

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Le lieu n’a point d’importance

L’amour n’a ni patrie ni distance

Seul le cœur est un refuge

Et ton Corps seul juge

 

dans tes bras j’ai semé

les prémices d’un amour allaité

sur tes lèvres j’ai cueilli la rosé

Que la source de tes yeux a perlé

 

notre monde à nous est partout

dans la senteur d’une rose du jours

dans les draps de satin d’un lit d’amour

Ou dans les flammes d’un rêve nouveau

 

la poésie est notre couche

auprès d’elle notre attache

le verbe gracile nous touche

Et vers lui nous rapproche

 

Demain de notre plume

Naitrons des cœurs de lune

Dans le ciel, des étoiles d’écumes

Rendront hommages et estimes

 

les liens sacrés de notre union

écrite à la lave des grand volcans

perpétuerons pour l’éternité ce moment

Charnel d’union de deux corps amants

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Chaque atome de mon être

me fait penser à toi

chaque seconde qui me reste

Ne vie que pour toi

 

Si le matin, je respire

c’est pour y recevoir ton sourire

si dans tes yeux je me mire

C’est pour y voir mon dernier soupir

 

Je chante, je danse, je rie et pourtant

Je ne suis pas la

Je mange, je parle, j’écris et pourtant

Je ne vie pas la

 

Toutes les cellules de mon corps

Toutes les pensées de mon âme

Hurlent au ciel qui me damne

Cet amour que mon cœur décore

 

N’y voyait la aucune malice

Mais deux cœurs complices

Près à supporter tout supplice

Pour donner jours à leurs Caprices

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Ce matin, une pluie fine bruisse, le ciel est gris

Les rues sont désertes, la ville semble endormie

Seul le vent chantonne le passage au nouvel an

La veille, une année c’est éteinte doucement

Sans regrets, sans flocons, dans l’indifférence

Reflet symbolique d’un destin en transe

Je commence l’année comme je l’ai fini

Dans le verbe et dans les maux je vie

Seuls ceux du cœur partagent mon lit

Aucun trésor, aucune richesse ne me lie

Pour seul Caprice, une petite folie je fis

Gravé ton nom au fronton de ma vie

Ombre de ton ombre devenu, je suis

En ce jour anniversaire, près de toi ma mie

Rien ne m’ait plus chère que ton sourire qui luis

Illuminant d’un soleil radieux, mes jours et mes nuits.

 

demain surement

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Ce matin est un beau matin

L’air embaume d’un parfum ambré

Le soleil dans sa course sans fin

Semble par ses rayons me taquiné

 

Qu’elle est belle la vie

Quand deux cœurs sont à l’unisson

Qu’elle est belle la vie

Quand on ne songe qu’à l’instant présent

 

Cette nuit j’ai rêvé d’elle

À ses pensées qui me hantent

À ses fougueux élans charnels

À ses sourires à pleine dents

 

Je n’ai qu’une hâte aujourd’hui

Que le soleil cède sa place à la nuit

Qu’allonger sur ce grand lit

Par la grâce de Morphée la retrouvé

 

Ses pensées virevoltent dans ma tête

Insidieuses, capricieuses, insouciantes

Telle une abeille butinant mes neurones

Pour y déposé des nectars de plaisirs

 

Je veux retrouver la chaleur de sa peau

Goutter à la douceur de ses lèvres

M’étourdir l’esprit par ses mots

Et enfin mourir dans son jardin secret

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Je ne crois pas - et je n'ai jamais cru - que tu es l'auteur de ces poèmes, tu fais trop de fautes d'orthographe et de grammaire.5 fautes sur 3 petites lignes c'est beaucoup:gun_nep:

Quand on en veut encore,(du pléonasme):crazy::crazy:)

Tes seuls arguments sont les fautes d'orthographe? Ça ne marche pas, parce que les poèmes de momo18, que tu attribues à MohamedJeNeSaisQui, comportent également des fautes. Non, faudrait que tu acceptes ce dont tu es, peut-être, incapable palice : faire danser et chanter les mots en créant d'aussi beaux poèmes, qui viennent émouvoir tous ceux et celles épris de beauté. Alors repais-toi de poésie momoesque et remercie l'auteur, momo18, de t'offir d'aussi profonds écrits en vers :). Les poèmes de momo18 font danser l'âme.
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Brise les chaines de l’infortune

Laisse couler les larmes du désir

Le destin peu à peu se consume

Quand le rêve n’est plus plaisir

 

La fortune du cœur est éphémère

Ne s’enrichi que du désir de l’autre

En ton cœur il trouve demeure

En dedans, ses rêves il cloître

 

Le plaisir sur ton corps murmure

Des incantations au dieu de l’amour

Ses frissons se régalent de mystère

Quand vient le calvaire de la peur

 

Si l’amour de toi est un rêve

Le mien illumine les cieux

Aux songes d’amour, pas de trêve

À la tendresse traitresse, pas d’adieu

 

L’adoré se délecte d’ivresse

La Dulcinée de tendres baisers

L’amour écorché n’a que tristesse

Si l’amour écouté, à l’autre retrouvé

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Apprivoise ma maladresse

Efface ce sourire fugace

Mon cœur brule de tristesse

Quant ton cœur verrouille sa tendresse

 

L’illusion de ce sentiment indicible

Flatte l’impasse chaotique de l’imaginaire

Reflet cruel d’un pêcher orgueilleux, irascible

Destin d’une fatalité sans frontières

 

Ton étreinte lézarde mon cœur

Caresses déferlantes sur de rivages sublimes

Écoute mes larmes te parler d’amour

Ils te livrent bien de secrets intimes

 

Mon cœur affligé reste secret

La flamme ardente qui le consume

Abrège l’éphémère passion révélée

Par l’ivresse nocturne des abîmes

 

Corps pétrifié, esclave oppressant

Peinture de gloire à l’instant présent

Requiem d’allégorie au temps passant

Ou brule l’encens de cœurs Amants

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Apprend moi l’amour

Pour sentir un cœur en souffrance

Apprend moi l’amour

Pour recevoir de toi l’ultime sentence

 

Apprend moi l’amour

Et plonger dans une tendre amnésie

Apprend moi l’amour

Et subir le plaisir des tourments infinis

 

Apprend moi l’amour

Et faire mentir ces pensées funestes

Apprend moi l’amour

Et sur ta peau, écrire je reste

 

Apprend moi l’amour

Pour que tes rêves imaginent

Apprend moi l’amour

Et oublie cette peur orpheline

 

Apprend moi l’amour

Et tes lèvres à mes lèvres choisies

Apprend moi l’amour

Et love-toi sous les ailes de la nuit

 

Apprend moi l’amour

Pour que moi ne soit que toi

Apprend moi l’amour

En deux mots,……..aime-moi

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Vivre un amour à la folie

 

 la source tu t’aventure parfois

Aux délices tu aspire quelque fois

Aux plaisirs tu conjure chaque fois

Et sur FA tu étale le soir ta joie

Sur ce sentier remplie d’émois

Mon cœur s’emballe pour toi

Battements assourdissant d’effrois

Qui s’apaise aux son de ta voix

Le vertige me prend, je m’assois

La brise complice, caresse ta soie

Sur ta joue, une larme j’aperçois

Elle, sur mes lèvres, finie, je la boit

Exquise douceur qui me laisse pantois

Et enivres mes sens en désarrois

Par ta bouche, un doux baiser je reçois

Les pensées s’entrechoquent chez moi

Dans les méandres du pourquoi

Un tourbillon d’extase nous renvoi

Ce soir sur ton corps je suis roi

Par l’épée, à l’assaut de toi

Conquérant d’une reine de bon aloi

Né sur les cendres d’une passion sans foi

Fidèle esclave soumise à ma loi

 mes désirs ta volonté octroi

 tes soupirs ma fierté pavois

Et si parfois, à une trêve je sursois

Faute ais à ton sourire sournois

Quand tu mets mon corps aux abois

Je cède aussitôt à ton jolie minois

Piètre conquérant qui ne doit d’être roi

Qu’aux sourires coquins que la belle envoie

Pour attirer dans ses filets……sa proie

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Valse

 

parce que tes yeux

appellent mes mains

pour une étreinte à deux

nuit folle de deux amants

nos cœur sont de aimants

Ils s’attirent et se repoussent

farandole des sens naissant

sous de douces caresses

si tes yeux me parlent

C’est que les miens écoutent

les rêves par eux expriment

dans nos têtes bien des fantasmes

Amoureux, oui à la folie

Aux trésors de ton corsage

j’en oubli tous mes soucis

et mes mains retrouvent courage

point besoin de belle parure

la tienne est pure nature

à te voir, le vent pleure

et le soleil en perd la lueur

symphonie de sens nouveaux

mes mains jouent une partition à deux

la musique s’écrit sur ta peau

par des baisers avides et joyeux

Seul les soupirs de ta voix

exaltent mon cœur parfois

ni vainqueurs ni vaincus ici bas.

Une unions des cœurs dans l’émoi

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Tu mérite les étoiles du firmament

Mais je n’ai que mon regard à t’offrir

Tu mérite la plus belle bague à ta main

Mais je n’ai sur moi que mon sourire

Tu mérite toutes les richesses de la terre

Je ne puis t’offrir qu’un tendre baiser sucrée

Tu mérite le soleil sur ta peau de reine

Chaque nuit une caresse je t’offrirai

Tu mérite un tapis de fleurs à tes pieds

Je déposerai une rose au parfum divin chaque nuit

Tu mérite une cour à chaque lever

Je t’apporterai un petit déjeuner au lit

Tu mérite une dévotion de mâles

Je serai ton plus fervent fan

Tu mérite une vie de star

Je serai ton unique “Oscar“

Tu mérite l’amour des dieux

Je t’offre le mien très pieux

Tu mérite la foule devants tes yeux

Je t’offre une vie à deux

Tu mérite toutes les passions

Je t’offre la mienne à foison

Tu mérite les plus beaux poèmes

Le mien tient en deux mots, “je t’aime“

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tu me trouble

tes écrits mon ramenés

à un âge ou je découvre

les prémices d'un corps enfiévré

chaque minutes est remplie

d'une pensée coquine

seul allonger sur ce lit

j'imagine des mélanges sublimes

je rêve de cette vulve charnue

de ces lèvres gonflé de plaisirs

sillon creusé par ma charrue

dans une rivière de soupirs

tes lèvres sur mon soc brandit

enflamme mes tempes et mon cœur

je prend ta bouche sans un crie

de crainte de voir resurgir mes peurs

tes seins par mes mains caressé

font jaillir leur pointes magique

ma langue sur eux empressé

tourne, les mordille et les lèche

mes doigts sur ton bouton doré

titille se trésor d'émoi

le souffle coupé, trop émotionné

je recueille ce miel d’effroi

suc d'offrande par ton sexe repu

ainsi ouverte, tu m'accueil en toi

paradis des sens, ma voix s'est tu

ma verge explose dans un grand fracas

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Ton sourire efface

Comme la pluie mes larmes

Tes baisers caressent

Mes souvenirs fugaces

 

Ces discrets soucis lassent

Ces amours qui tracent

Leurs chemins de l’espérance

Aux élans du cœur, la grâce

 

L’amour se vit en silence

Bravant les interdits, les insolences

Faisant fi des médisances

Fut-il au prix de la souffrance

 

Quitte à vivre dans la douleur

L’enfer près de toi est douceur

Vient mon amour, n’ai point peur

Faisant naitre de la douleur, le bonheur

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Ton silence me hurle au cœur

Tes larmes de sang m’implorent

Ce soir je suis aveugle de peur

Et repousse tout élan d’amour

 

Trop de souffrances parcheminent

Les sentiers de la vie ensemble

Je n’étais que l’ombre de ton ombre

Corps meurtrie sans âmes et sans larmes

 

Pauvre être dénué de vie

Condamné d’un sourire à la folie

Pour avoir un jour rêvé

Respirer le même air que l’aimée

 

Ce soir enfin je ferme les yeux

Le cœur desséché, malheureux

La source de mes larmes c’est taries

Sur les berges de mes illusions finis

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Dans ton sillage, j’ai grandi

Dans tes pas, j’ai construit ma vie

Dans tes souffrances, j’ai dormi

Dans tes joies, j’ais applaudi

 

Dans tes tourments, j’ais pleuré

Dans tes larmes, j’ai soupiré

Dans tes soupirs, j’ai exalté

Et dans tes bras, j’ai expiré

 

Tu es la lumière de ma vie

Je suis l’hombre qui te suit

Tu es le rêve de mes nuits

Je suis la voix qui te crie

 

Toi qui crée la vie

Tant de fois trahie

Quelques fois haï

Mais jamais omis

 

Ton nom est AMOUR

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momo18, ça va, je suis sûre qu'avec cettte pluie diluvienne de poèmes, tu as réussi à convaincre palice :mdr:

 

moi ça va je te remercie, c'est surtout pour faciliter ses recherches

 

j’en ai 1287 sur mon disque dur et tous sont de moi, n'en déplaise à Palice.:)

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sur tes lèvres déposerai

des baisers tant désirés

sur tes lèvres écrirais

tout les serments exprimés

 

sur ton cou exalterai

toutes les senteurs parfumées

sur ton cou déposerai

le souffle fier de ma destiné

 

dans tes mains fermerais

les clefs d'un cœur explosé

sur tes mains laisserais

la chaleur d'un corps caressé

 

sur ton corps ornerais

les plus beaux bijoux exposés

sur ton corps coulerais

les larmes de peines exprimées

 

dans tes bras dormirais

la tête en folie ravagé

dans tes bras sourirais

au bonheur avec toi exulté

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Sur le sable doré, balayés par le vent du sud

Des vagues d’écumes caressent ses pieds d’ambre

Souvenir éphémère d’une ombre prude

Que les aléas du temps ne font que reprendre

 

Elle marche, insolite spectre du passé

Le monde autour d’elle s’effiloche

Elle n’entend pas ces voix lui susurrés

Le nom de son bien aimé comme un reproche

 

Le temps s’est écoulé, doucement, péniblement

Lente litanie de plaintes d’une âme en peine

Elle reste elle-même, fidèle au serment

Jadis exprimé par une nuit de lune pleine

 

Elle sait au fond de son cœur, que son amour

Librement consenti fut le plus beau cadeau

De cette union germe la chrysalide qui un jour

Unira le passé à l’avenir dans un seul berceau

 

L’astre du jour nonchalamment épouse

Les contours d’un océan de sérénité

Demain surement, les sirènes jalouses

Entendront cette prière exaltée

 

Sur les rives de l’espérance

Vogue un amour en transe

Ses pensées le guide et l’apaise

Rêves solitaire d’une romance

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J’ai trouvé sur le chemin de la vie

Un être, une espérance, une vérité

Elle s’est révélé à moi, m’a ébloui

Plus rien n’avait de sens, tétanisé

 

Dans ses bras, j’ai retrouvé

La douceur d’une peau satinée

La tendresse d’un baiser volé

Et les palpitations d’un cœur déchainé

 

Qu’il est chaud le souvenir

De mes lèvres découvrant sa peau

De ses seins qu’un rien aspire

Et de cette extase offerte en cadeau

 

Ta peau hante mes mains

Empreinte indélébile, gravure éternelle

Orphelin de cœur, condamné à dessein

Aux affres de l’enfer pour avoir frôlé le paradis

 

Je me suis rassasié à ton festin

Consumé à tes baisers volcaniques

Aveuglé à ton désir câlin

Et soupiré à ta source magique

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