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Serment d'Amour


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Tristesse

 

Quand, te redisant que je t'aime,

Mes yeux attachés à tes yeux,

Oubliant le monde et moi-même,

Je crois voir le bonheur suprême

Dans ton sourire gracieux ;

 

Lorsque ma bouche se repose

Sur ton cou penché mollement ;

Comme sur l'odorante rose

Le rossignol joyeux se pose,

Avec un doux frémissement ;

 

Quand de ta ceinture élégante

Pressant le contour enchanté,

Sur mes lèvres mon âme errante

Effleure ta bouche fuyante,

Et s'enivre de volupté ;

 

Hélas ! sous les turbans de soie,

Ou sous les couronnes du nord,

Comblé de bonheur et de joie

Parmi les transports qu'il déploie

Quel mortel m'envierait mon sort ?

 

Et cependant, parmi cette divine ivresse

Enivré de plaisir, d'espérance et d'amour,

Mon âme se resserre, et pleine de tristesse,

Frémit comme à son dernier jour ;

 

Oh ! garde ces faveurs brûlantes

Qui trompent mes désirs et consument mes sens ;

Laisse-moi ; les transports, l'erreur dont tu m'enchantes

Ne peuvent égaler les maux que je ressens !

 

Pierre Grolier

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Guest Soizik
merci Dru, heureusement que tu est la,toi :)

 

je lis toujours avec plaisir ce que tu écris ici ...:)c'est spontané, nourri de vécu , plein d'émotion et sans prétention ... comme doit être la vraie poésie à mes yeux ...

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En vérité, je te le dis

Ton absence, doucement me tu

Le jour ressemble à la nuit

Nuit noire au doux rêve perdu

 

En vérité, je me morfond

Cherchant dans ces draps froids

Le parfum tactile d'un temps

Où le silence hurlait son émoi

 

En vérité, je rêve encore

À ce soupir exalté à la lune

Comme une offrande éphémère

À la rose du jardin d'Eden

 

En vérité, sur tes récifs arrogants

J'aime venir m'y fracassé

À ta source charnelle, moi l'amant

Encore et encore, m'y noyé

 

Naufragé volontaire où reclus

L'âme crepite en ondées capricieuses

Tressant aux fil du temps perdu

Des désirs de trêves amoureuses

 

Souvenir, souvenir, que sème tu?

Mon corp n'est plus que ruines

Un abîme sépare l'absolue

Et mon cœur est devenu indigne

 

En vérité, je te le dis

De ces pensées de joutes épiques

Restent caresses en morne vie

Et ouvrent, pour nous, un avenir unique.

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je lis toujours avec plaisir ce que tu écris ici ...:)c'est spontané, nourri de vécu , plein d'émotion et sans prétention ... comme doit être la vraie poésie à mes yeux ...

 

J'écrit comme je le ressent...............sur le moment. Merci:o

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Comme je m'ennuie j'ecris n'importe quoi

 

Qu'il fait bon vivre sur FA

Un asile et paradis à la fois

Une cacophonie de voix et d'écrits

Où seul chouchou, y retrouve ses petits

 

Le psychiatre en chef, Anonimos

Disserte, mais nul n'y comprend mot

Taban, taban, dit il, taban toi même

Guettant les marieuses quand elles reviennent

 

Sababa cours encore les champs

Une fleur dans la main en rêve d'antant

Cours, cours, petit papillon fleuri

Sous le soleil, oublie ton coeur meurtri

 

Une alsacienne aux cheveux Dru

Sert de cantine aux âmes perdues

Elle calme les maux de l'esprit

Par ses recettes aux goûts exquis

 

Dans cette brasserie unique

Tous se servent au frigo de lecrique

Personnage sulfureux et attachant

Ne laisse jamais personne indifférent

 

RIHAME, ma belle RIHAME

Elle met en folie, mes états d'âme

La seule qui m'attire et me terrifie

Sans jamais lui avoué, mon ressenti

 

Miissy, ma blonde noire de jais

Un feu follet, un astre de beauté

Celle que j'aimerai, un jour rencontrer

Pour rire devant une tasse de thé

 

Errance, ou va tu, d'ou viens tu?

Questions jetés au vent têtu

Elle m'intrigue et me fascine

Une comète qui parle et signe

 

Une princesse dénommée Sarah

C'est réveillé au royaume de FA

D'images en images très sages

À la gentillesse, elle rend hommage

 

Caprice n'est point un caprice

Et pourtant, avec elle, je demande grâce

Cherchant souvent entre les lignes

Une réponse aux appels sublimes

 

LADY, comment te le dire sans émotions

Si il existe ici ba, une résurrection

J'aimerai renaitre dans un miroir

Et ressentir, ton regard si mouvoir

 

Qu'il fait bon vivre sur FA

Et oubliér tous ces petits tracas

Qu'on aime ou qu'on aime pas

FA, sera toujours 1er, ici et la bas.:p

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Je t'aime comme l'eau aime le feu

Chacun cherchant, l'un à élever le jeu

L'autre, à éteindre l'impertinent

Joutes biblique jusqu'à la déraison

 

Je t'aime comme l'air et le feu

Quand la fièvre embrase nos vœux

Je souffle sur des braises endormies

Pour faire rejaillir, l'étincelle de la vie

 

Je t'aime comme le calme plat de la tempête

Annonçant devant le vide en tête

L'irruption de sens en fête

Quand la fureur du volcan éclate

 

Je t'aime comme le jour et la nuit

Chacun courrant après l'autre épris

La lumière mourant dans l'obscurité

Pour renaitre quand la belle disparaît

 

Je t'aime comme on aimerai être aimé

D'une façon simple, sans artifices biaisés

Main dans la main, parcourant la rue

Le regard tourné vers le bonheur apparu

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Le vent doucement, caresse les epis dorés

Les premiers rayons de soleil levé

Réchauffent tendrement, l'oisilllon sûr sa branche

Un jour nouveau, sur la nuit, prend sa revanche

 

Un vieux chêne ridé par le temps passé

Écoute une source dispensant ses bienfaits

Au loin, une complainte s'élève vers les cimes

Marchepied divin d'un royaume sublime

 

La terre tressaille en ondées fleuries

Symphonie des anges, célestes esprits

Sous ses ailes, l'aigle reçoit du monde

Un ciel bleu azur en guise d'offrande

 

Osmose d'une nature en prière apaisée

Guettant le moindre premice annoncé

Une mémoire qu'on voudrait à jamais enfoui

Au Plus profond des abîmes maudits

 

L'aurore, nudité aux contours immaculés

Sourit à la vie, liesse en beauté

Heureux présage ou rêve ordonné

La terre fertile, c'est laissé envoûté

 

La colline se mire au ruisseau

Ombre éclipsé au cristal nouveau

Trésor de rosé pour un temps sans roi

Offert au soleil en appât de choix

 

Fortune en peine ou guerre en trêve

Pour l'heure, la paix ravive

Les senteurs bleuté d'une harmonie

Main de dieu qui s' épanouie

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Souvent je pense, peut-être à tord

Que le temps n'est au temps que le temps d'un temps

Un clin d'œil intemporel, une fin sans commencement

Juste une esquisse, une monté sans efforts

 

Peut-être ai je tord à juste raison

D'avoir pensé être une réflexion

Point d'interrogation ou juste justification

Vague idée dans un océan d'illusions

 

Vague à l'âme ou rêve d'enfant

Peut-être les deux à la fois

Un vide plein de lignes de toi

Des lignes droites en courbes d'antant

 

L'amitié déraisonne en folie amoureuse

Sous les étoiles, les Sylphides blessées

Chassent et mordent l'insuffisance juvénile

Dans le chaos d'une mort annoncé

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Espoir perdu

 

Une jeunesse sur les murs accolés

Regarde le miroir d'une mer les noyés

Sans identité, même générique

Un passé de sang mêlé famélique

 

Déraciné, une dignité mutilé

L'espoir exécuté, jamais renouvelé

Éternel mineur sermonné

À la parole dépossédé

 

Les coups sur les marches versés

Salaire de promesses votés

Groupe clanique au visas hérité

Un pied, déjà de l'autre coté

 

Une histoire à deux vitesses

Nomenclature au feu en liesse

Une horde au feu rouge bloquer

Regarde au loin, les loups se gaver

 

Langue tranché, regard fermé

Une chaine nationale débranché

Un voile noir sur une terre meurtrie

Demande encore et encore aujourd'hui

Son lot de sang rougi

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Je veux tué la mort pour désunir la vie

Effacer l'entier qui comble le vide

Clore les paupières aux tourments envahies

Chagrin vierge au goûts de cendres humides

 

Une jungle d'ombre sur un désert d'horizons

Lumière moisie aux spectre trahit

Ton coeur, ecrit à l'encre de mon sang

Coule sur les frontons du temple de l'oublie

 

Cœur noir fuit le toit du monde

Ou les sourires secrets fleurissent en beautés

Indulgence d'alliance où ce confondent

Joie lunaire et pleurs solaires entrelacé

 

Tombe la neige aux premières lueurs

Les colères atrophiées, tumultes en maqui

Lissent les couleurs du temps en pleurs

Sur le berceau de pailles ou niche l'oubli

 

La houle dans son nid sans age

Attend son tour pour vendangé

Moisson de sens au parfum musqué

Hommage couchant au ciel sans nuages

 

L'aurore confiante, embrasse les premières rosées

Source d'illusions où le rêve eclos

Sur tes lèvres parfumées, un baiser déposé

Doute encore de ce tendre cadeau

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Guest Soizik

Tu veux partir

Devenir un souvenir

Porter ailleurs tes soupirs

J'en ai de la tristesse

Quelque chose te blesse

Mais fais nous une promesse

De revenir en ces lieux

Dès que tu iras mieux

Pourquoi ? car je le veux

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Tu veux partir

Devenir un souvenir

Porter ailleurs tes soupirs

J'en ai de la tristesse

Quelque chose te blesse

Mais fais nous une promesse

De revenir en ces lieux

Dès que tu iras mieux

Pourquoi ? car je le veux

 

 

t'écoutes, espèce d’égoïste

on va pas t'implorer tout de même

Dru,veut que tu restes, donc tu reste

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Guest Soizik
t'écoutes, espèce d’égoïste

on va pas t'implorer tout de même

Dru,veut que tu restes, donc tu reste

 

c'est vrai quoi ... Bizou, notre Bizou ? t'es de retour ?...alors Bisou

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