Jump to content

Serment d'Amour


Recommended Posts

  • 1 month later...
  • Réponses 2k
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Divine

 

Ton sourire coule sur mon âme en peine

Comme une larme en romance démente

Comme une veine jalouse en cœur palpite

Déchirant les cieux aux reines divines

 

La mer au cantique couleur démence

Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie

L’écume aux lèvres, les vagues en transes

Elle s’échine sur la grève sans bruit

 

Ton corps est une île au contour d’effroi

Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit

Dans la tourmente des sens aux aboies

Retombe le courroux du souffle maudit

 

La toile se voile de pudeur envieuse

Sur la trame, s’estompe l’ombre désir

L’écrit morose ne trouve que porte close

Peut être, empreint à trop de soupirs

 

De toi à moi, de serments en serments

Intimes joutes sur des pages blanches

Un exil en dents de scie, le sort méditant

Sur les affres d’une solitude par tranches

 

Sort du voile aux brumes de froid

Laisse les couleurs du temps t'irisée

Les premiers émois frémissent de joie

A la tendre pensée de tes baisées

 

Regarde autour de toi ces voix muettes

Des épines de souvenirs en antre néant

Fantômes errants aux ombres couvertes

Cherchant des yeux, le regard couchant

 

Je t’offre un vieux cœur sans rougir

Nourrit aux sables d’un désert unique

Chaque nuit, la datte vient y mourir

Pour faire naitre le plaisir magique

 

momo 18

Link to post
Share on other sites
Divine

 

Ton sourire coule sur mon âme en peine

Comme une larme en romance démente

Comme une veine jalouse en cœur palpite

Déchirant les cieux aux reines divines

 

La mer au cantique couleur démence

Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie

L’écume aux lèvres, les vagues en transes

Elle s’échine sur la grève sans bruit

 

Ton corps est une île au contour d’effroi

Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit

Dans la tourmente des sens aux aboies

Retombe le courroux du souffle maudit

 

La toile se voile de pudeur envieuse

Sur la trame, s’estompe l’ombre désir

L’écrit morose ne trouve que porte close

Peut être, empreint à trop de soupirs

 

De toi à moi, de serments en serments

Intimes joutes sur des pages blanches

Un exil en dents de scie, le sort méditant

Sur les affres d’une solitude par tranches

 

Sort du voile aux brumes de froid

Laisse les couleurs du temps t'irisée

Les premiers émois frémissent de joie

A la tendre pensée de tes baisées

 

Regarde autour de toi ces voix muettes

Des épines de souvenirs en antre néant

Fantômes errants aux ombres couvertes

Cherchant des yeux, le regard couchant

 

Je t’offre un vieux cœur sans rougir

Nourrit aux sables d’un désert unique

Chaque nuit, la datte vient y mourir

Pour faire naitre le plaisir magique

 

momo 18

 

Rebienvenu l'original

Link to post
Share on other sites

Elégie

 

J'étais à toi peut-être avant de t'avoir vu.

Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne,

Ton nom m'en avertit par un double imprévu ;

Ton âme s'y cachait pour éveiller la mienne.

Je l'entendis un jour et je perdis la voix ;

Je l'écoutai longtemps, j'oubliai de répondre ;

Mon être avec le tien venait de se confondre.

 

Je cru qu'on m'appelait pour la première fois .

Savais-tu ce prodige ? Eh bien ! sans te connaître,

J'ai deviné par lui mon amant et mon maître,

Et je le reconnus dans tes premiers accents,

Quand tu vins éclairer

Mes beaux jours languissants.

 

Marceline Desbordes-Valmore

Link to post
Share on other sites
Divine

 

Ton sourire coule sur mon âme en peine

Comme une larme en romance démente

Comme une veine jalouse en cœur palpite

Déchirant les cieux aux reines divines

 

La mer au cantique couleur démence

Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie

L’écume aux lèvres, les vagues en transes

Elle s’échine sur la grève sans bruit

 

Ton corps est une île au contour d’effroi

Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit

Dans la tourmente des sens aux aboies

Retombe le courroux du souffle maudit

 

La toile se voile de pudeur envieuse

Sur la trame, s’estompe l’ombre désir

L’écrit morose ne trouve que porte close

Peut être, empreint à trop de soupirs

 

De toi à moi, de serments en serments

Intimes joutes sur des pages blanches

Un exil en dents de scie, le sort méditant

Sur les affres d’une solitude par tranches

 

Sort du voile aux brumes de froid

Laisse les couleurs du temps t'irisée

Les premiers émois frémissent de joie

A la tendre pensée de tes baisées

 

Regarde autour de toi ces voix muettes

Des épines de souvenirs en antre néant

Fantômes errants aux ombres couvertes

Cherchant des yeux, le regard couchant

 

Je t’offre un vieux cœur sans rougir

Nourrit aux sables d’un désert unique

Chaque nuit, la datte vient y mourir

Pour faire naitre le plaisir magique

 

momo 18

 

Bon retour :)

Link to post
Share on other sites
Elégie

 

J'étais à toi peut-être avant de t'avoir vu.

Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne,

Ton nom m'en avertit par un double imprévu ;

Ton âme s'y cachait pour éveiller la mienne.

Je l'entendis un jour et je perdis la voix ;

Je l'écoutai longtemps, j'oubliai de répondre ;

Mon être avec le tien venait de se confondre.

 

Je cru qu'on m'appelait pour la première fois .

Savais-tu ce prodige ? Eh bien ! sans te connaître,

J'ai deviné par lui mon amant et mon maître,

Et je le reconnus dans tes premiers accents,

Quand tu vins éclairer

Mes beaux jours languissants.

 

Marceline Desbordes-Valmore

 

Elégie

 

Je ne suis venus au monde que dans un but

trouver l’essence même de la destiné

caprice de la vie ou rêve absolu

Seul tes bras peuvent me raisonné

 

Le son de ta voix c’est tu, lassé

seul le silence répond en échos

Ton pas sur le pavé, nargue l’oublié

un ombre sur un parchemin de trop

 

Par trois fois j’ai erré dans la nuit

cherchant de-ci, de-là une chimère

une toison d’or sur une toile sans vie

m’a pris dans ses filets austères

 

momo 18

Link to post
Share on other sites

Etats d’âmes

 

Les tourments du moment déchiré

Valsent sur le miroir de sombres vanités

Une ombre respire un parfum errant

Servante fervente aux désirs couchant

 

L’esclave soupir, le regard voilé, déçue

Sa prière épanchée a mis mon cœur à nue

Souffle brulant au serment secret

Un recel d’amour qui n’ose se dévoilé

 

La voix c’est tu, reste l’écrit

Refuge muet, complice ravie

Sur l’autel du mystère, la lumière pâlit

La plume tressaille sous l’encre de vie

 

Ses états d’âmes nourrissent mes nuits

Au corsage souvenir, une larme jaillit

Amère brulure à la cage close

Secret d’alcôve à ses lèvres jalouses

 

Demain peut être, à dieu va

Le charme rompu se souviendra

De cette larme sur ta joue perlée

En signe d’adieu à la nuit exalté

 

momo 18

Link to post
Share on other sites

oh que j'aime ses moments exquis

le temps qui égrène ses secondes

le doux fumé qui embaume l'esprit

et titille malicieusement les papilles

 

Au tour de la table réunie

l’œil rivé sur la trotteuse

le temps à cet instant précis

semble suspendre sa course

 

Une voix au loin s'élève

autorisant la rupture du jeune

des doigts fébriles s’animent

autours de mets suaves

 

La première gorgé d'un café brulant

réanime ce corps endormie

les pensées s’entrechoquent un instant

enivrées par tant de félicité

 

La vie reprend ses droits

on se félicite de ce bonheur

oublié les soucis du jour

seule a droit de cité, la joie

 

Les victuailles circulent, nombreuses

les pâtisseries foisonnent, succulentes

ce n'est pas un repas, c'est une orgie

ce n'est pas une rupture, c'est une communion de vie

 

Bien plus tard, la panse repue

disparue ces migraines

envolé ces épiques colères

ne reste que l'instant vécut

 

Oh que j'aime ce rituel

ou la nuit suspend sa course étoilé

dans un firmament virtuel

remplie de rêves espérés

 

Bénit sois ces moments de communion

entre l'esprit et le corps

ce mois sacré, par ces privations

engendre en moi, l'extase de l'effort

 

momo18

Link to post
Share on other sites
oh que j'aime ses moments exquis

le temps qui égrène ses secondes

le doux fumé qui embaume l'esprit

et titille malicieusement les papilles

 

Au tour de la table réunie

l’œil rivé sur la trotteuse

le temps à cet instant précis

semble suspendre sa course

 

Une voix au loin s'élève

autorisant la rupture du jeune

des doigts fébriles s’animent

autours de mets suaves

 

La première gorgé d'un café brulant

réanime ce corps endormie

les pensées s’entrechoquent un instant

enivrées par tant de félicité

 

La vie reprend ses droits

on se félicite de ce bonheur

oublié les soucis du jour

seule a droit de cité, la joie

 

Les victuailles circulent, nombreuses

les pâtisseries foisonnent, succulentes

ce n'est pas un repas, c'est une orgie

ce n'est pas une rupture, c'est une communion de vie

 

Bien plus tard, la panse repue

disparue ces migraines

envolé ces épiques colères

ne reste que l'instant vécut

 

Oh que j'aime ce rituel

ou la nuit suspend sa course étoilé

dans un firmament virtuel

remplie de rêves espérés

 

Bénit sois ces moments de communion

entre l'esprit et le corps

ce mois sacré, par ces privations

engendre en moi, l'extase de l'effort

 

momo18

 

Coucou Momo,

 

Comme tu sais "poétiser " tes émotions Momo... j'aime...:)

Link to post
Share on other sites

"Tu dis que tu aime la pluie mais tu utilises ton parapluie quand il pleut , tu dis que tu aime le soleil mais tu cherches l'ombre quand il brille , tu dis que tu aimes le vent mais tu fermes la fenêtre quand il souffle , c'est pourquoi j'ai peur quand tu me dis que tu m'aimes ..."~Bob Marley

Link to post
Share on other sites

Intervalle

 

 

arrête d’hurler aux couleurs du temps

supplice complice d’un regard malice

essuie ces larmes versé au fond du calice

Ce n’est que peines sans lendemain

 

reprend ces tendres baisés brulants

Posés sur mes lèvres délaissées

comme une marque déposée

Au temps jaloux d’antan

 

détourne de moi, ce regard suppliant

Il perce mon âme de long en large

semant, de-ci, de-là, avec rage

De troubles ferments agonisants

 

écarte l’ombre de mon ombre diurne

ce n’est que sombre reflet d’ennui

un intervalle entre deux gouttes de pluies

lessivant entre les rêves, les nuits de peines

 

garde pour toi, ces désirs éphémères

Caresses tactile d’un esprit blasé

Trop souvent trop mal données

un plaisir d’amour au gout amère

 

fuit la horde de mes sentiments volés

cohorte en guenilles nourrit de pleurs

cherchant pitance au creux d’un cœur

ne laissant derrière que des regrets

 

cache à la vue de mes mains fébriles

ces atouts soyeux d’un temps révolu

souvenir douloureux à jamais perdu

Dans les limbes obscure d’un asile

 

laisse du temps au temps errant

qu’il puisse par son chant aimant

vers la flamme d’un feu moribond

ranimer l’étincelle d’une folle passion

 

momo18

Link to post
Share on other sites

Rêveries

 

Laisse mon cœur jeuner

De peines, au menu abondance

Laisse mon cœur soupirer

Dans les frimas de l’adolescence

 

Laisse mon cœur palpiter

Au souvenir d’un regard de braise

A ce sein contre mon corps abimé

Rougi au fer d’un enfer en transe

 

Au mystère de l’infini

Nul songe n’est tenu

Grandeur et décadence, unis

Comme cinq doigts crochus

 

L’inaudible conscience s’évertue

Contre vent et marrée à prêcher

Aux âmes sibyllines dévêtues

Le trésor d’une prière oublié

 

Ce soir un cœur contrit, vague pèlerin

Effleure tendrement un passé fantaisie

Les plaies du temps couleur satin

Écrivent chaque nuit, de proses rêveries.

 

momo18

Link to post
Share on other sites
tchua choungi di psoudou jti memepa ghokonu :realmad::mad::mad:

 

désolé contrains et forcé, je me connecte avec mon pseudo momo, mais je ne peut pas poster, pour une raison que j'ignore, on ne veut pas me réactiver mon compte.:(

Link to post
Share on other sites

toc toc!

 

à l'heure du massacre culinaire

je m’empresse de faire cette visite éclaire

 

au refuge des âmes soeurs

demeure des maux du coeur

 

un petit salut à toi

le pseudo ne te va pas

 

nous ne sommes pas en enfer ici

mais bel et bien au paradis.

Link to post
Share on other sites
toc toc!

 

à l'heure du massacre culinaire

je m’empresse de faire cette visite éclaire

 

au refuges des âmes soeurs

demeure des maux du coeur

 

un petit salut à toi

le pseudo ne te va pas

 

nous ne sommes pas en enfer ici

mais bel et bien au paradis.

 

moi je dois encore contre le temps

patienter une heure pour savourer

tout les bienfaits terrestre du moment

avec, tu a raison, un pseudo à jeter

 

aux enfers.............................:)

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...