Rihame 10 Posted May 24, 2013 Partager Posted May 24, 2013 tu veux dire que je suis lourde comme une dameuse ?...:confused::confused: :04::04: Mais pas du tout dis:confused: même si tu n'es pas aussi légère qu'une danseuse:D Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Divine Ton sourire coule sur mon âme en peine Comme une larme en romance démente Comme une veine jalouse en cœur palpite Déchirant les cieux aux reines divines La mer au cantique couleur démence Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie L’écume aux lèvres, les vagues en transes Elle s’échine sur la grève sans bruit Ton corps est une île au contour d’effroi Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit Dans la tourmente des sens aux aboies Retombe le courroux du souffle maudit La toile se voile de pudeur envieuse Sur la trame, s’estompe l’ombre désir L’écrit morose ne trouve que porte close Peut être, empreint à trop de soupirs De toi à moi, de serments en serments Intimes joutes sur des pages blanches Un exil en dents de scie, le sort méditant Sur les affres d’une solitude par tranches Sort du voile aux brumes de froid Laisse les couleurs du temps t'irisée Les premiers émois frémissent de joie A la tendre pensée de tes baisées Regarde autour de toi ces voix muettes Des épines de souvenirs en antre néant Fantômes errants aux ombres couvertes Cherchant des yeux, le regard couchant Je t’offre un vieux cœur sans rougir Nourrit aux sables d’un désert unique Chaque nuit, la datte vient y mourir Pour faire naitre le plaisir magique momo 18 Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 toujours agréable de lire ta poésie... merci Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Divine Ton sourire coule sur mon âme en peine Comme une larme en romance démente Comme une veine jalouse en cœur palpite Déchirant les cieux aux reines divines La mer au cantique couleur démence Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie L’écume aux lèvres, les vagues en transes Elle s’échine sur la grève sans bruit Ton corps est une île au contour d’effroi Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit Dans la tourmente des sens aux aboies Retombe le courroux du souffle maudit La toile se voile de pudeur envieuse Sur la trame, s’estompe l’ombre désir L’écrit morose ne trouve que porte close Peut être, empreint à trop de soupirs De toi à moi, de serments en serments Intimes joutes sur des pages blanches Un exil en dents de scie, le sort méditant Sur les affres d’une solitude par tranches Sort du voile aux brumes de froid Laisse les couleurs du temps t'irisée Les premiers émois frémissent de joie A la tendre pensée de tes baisées Regarde autour de toi ces voix muettes Des épines de souvenirs en antre néant Fantômes errants aux ombres couvertes Cherchant des yeux, le regard couchant Je t’offre un vieux cœur sans rougir Nourrit aux sables d’un désert unique Chaque nuit, la datte vient y mourir Pour faire naitre le plaisir magique momo 18 Rebienvenu l'original Citer Link to post Share on other sites
caprice 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Elégie J'étais à toi peut-être avant de t'avoir vu. Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne, Ton nom m'en avertit par un double imprévu ; Ton âme s'y cachait pour éveiller la mienne. Je l'entendis un jour et je perdis la voix ; Je l'écoutai longtemps, j'oubliai de répondre ; Mon être avec le tien venait de se confondre. Je cru qu'on m'appelait pour la première fois . Savais-tu ce prodige ? Eh bien ! sans te connaître, J'ai deviné par lui mon amant et mon maître, Et je le reconnus dans tes premiers accents, Quand tu vins éclairer Mes beaux jours languissants. Marceline Desbordes-Valmore Citer Link to post Share on other sites
caprice 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Divine Ton sourire coule sur mon âme en peine Comme une larme en romance démente Comme une veine jalouse en cœur palpite Déchirant les cieux aux reines divines La mer au cantique couleur démence Soupir devant ses flots en deuil d’ennuie L’écume aux lèvres, les vagues en transes Elle s’échine sur la grève sans bruit Ton corps est une île au contour d’effroi Ou s’échoue chaque nuit, le proscrit Dans la tourmente des sens aux aboies Retombe le courroux du souffle maudit La toile se voile de pudeur envieuse Sur la trame, s’estompe l’ombre désir L’écrit morose ne trouve que porte close Peut être, empreint à trop de soupirs De toi à moi, de serments en serments Intimes joutes sur des pages blanches Un exil en dents de scie, le sort méditant Sur les affres d’une solitude par tranches Sort du voile aux brumes de froid Laisse les couleurs du temps t'irisée Les premiers émois frémissent de joie A la tendre pensée de tes baisées Regarde autour de toi ces voix muettes Des épines de souvenirs en antre néant Fantômes errants aux ombres couvertes Cherchant des yeux, le regard couchant Je t’offre un vieux cœur sans rougir Nourrit aux sables d’un désert unique Chaque nuit, la datte vient y mourir Pour faire naitre le plaisir magique momo 18 Bon retour Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Elégie J'étais à toi peut-être avant de t'avoir vu. Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne, Ton nom m'en avertit par un double imprévu ; Ton âme s'y cachait pour éveiller la mienne. Je l'entendis un jour et je perdis la voix ; Je l'écoutai longtemps, j'oubliai de répondre ; Mon être avec le tien venait de se confondre. Je cru qu'on m'appelait pour la première fois . Savais-tu ce prodige ? Eh bien ! sans te connaître, J'ai deviné par lui mon amant et mon maître, Et je le reconnus dans tes premiers accents, Quand tu vins éclairer Mes beaux jours languissants. Marceline Desbordes-Valmore Elégie Je ne suis venus au monde que dans un but trouver l’essence même de la destiné caprice de la vie ou rêve absolu Seul tes bras peuvent me raisonné Le son de ta voix c’est tu, lassé seul le silence répond en échos Ton pas sur le pavé, nargue l’oublié un ombre sur un parchemin de trop Par trois fois j’ai erré dans la nuit cherchant de-ci, de-là une chimère une toison d’or sur une toile sans vie m’a pris dans ses filets austères momo 18 Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Bon retour merci caprice, comme l'administrateur ne répondait pas à mes mails pour réactiver mon compte, je poste sous celui ci. Citer Link to post Share on other sites
caprice 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 merci caprice, comme l'administrateur ne répondait pas à mes mails pour réactiver mon compte, je poste sous celui ci. Je t'avais reconnu ;) Il n'y a qu'un style comme le tien ! Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted July 8, 2013 Partager Posted July 8, 2013 Je t'avais reconnu ;) Il n'y a qu'un style comme le tien ! Avec son retour, il fera revenir pas mal! Moi, je suis ravie!!! Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 9, 2013 Partager Posted July 9, 2013 Etats d’âmes Les tourments du moment déchiré Valsent sur le miroir de sombres vanités Une ombre respire un parfum errant Servante fervente aux désirs couchant L’esclave soupir, le regard voilé, déçue Sa prière épanchée a mis mon cœur à nue Souffle brulant au serment secret Un recel d’amour qui n’ose se dévoilé La voix c’est tu, reste l’écrit Refuge muet, complice ravie Sur l’autel du mystère, la lumière pâlit La plume tressaille sous l’encre de vie Ses états d’âmes nourrissent mes nuits Au corsage souvenir, une larme jaillit Amère brulure à la cage close Secret d’alcôve à ses lèvres jalouses Demain peut être, à dieu va Le charme rompu se souviendra De cette larme sur ta joue perlée En signe d’adieu à la nuit exalté momo 18 Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 11, 2013 Partager Posted July 11, 2013 oh que j'aime ses moments exquis le temps qui égrène ses secondes le doux fumé qui embaume l'esprit et titille malicieusement les papilles Au tour de la table réunie l’œil rivé sur la trotteuse le temps à cet instant précis semble suspendre sa course Une voix au loin s'élève autorisant la rupture du jeune des doigts fébriles s’animent autours de mets suaves La première gorgé d'un café brulant réanime ce corps endormie les pensées s’entrechoquent un instant enivrées par tant de félicité La vie reprend ses droits on se félicite de ce bonheur oublié les soucis du jour seule a droit de cité, la joie Les victuailles circulent, nombreuses les pâtisseries foisonnent, succulentes ce n'est pas un repas, c'est une orgie ce n'est pas une rupture, c'est une communion de vie Bien plus tard, la panse repue disparue ces migraines envolé ces épiques colères ne reste que l'instant vécut Oh que j'aime ce rituel ou la nuit suspend sa course étoilé dans un firmament virtuel remplie de rêves espérés Bénit sois ces moments de communion entre l'esprit et le corps ce mois sacré, par ces privations engendre en moi, l'extase de l'effort momo18 Citer Link to post Share on other sites
Guest Soizik Posted July 11, 2013 Partager Posted July 11, 2013 coucou momo18... Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 12, 2013 Partager Posted July 12, 2013 coucou momo18... coucou Dru et Séphia, merci de votre passage, heureux de vous retrouver. Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted July 12, 2013 Partager Posted July 12, 2013 oh que j'aime ses moments exquis le temps qui égrène ses secondes le doux fumé qui embaume l'esprit et titille malicieusement les papilles Au tour de la table réunie l’œil rivé sur la trotteuse le temps à cet instant précis semble suspendre sa course Une voix au loin s'élève autorisant la rupture du jeune des doigts fébriles s’animent autours de mets suaves La première gorgé d'un café brulant réanime ce corps endormie les pensées s’entrechoquent un instant enivrées par tant de félicité La vie reprend ses droits on se félicite de ce bonheur oublié les soucis du jour seule a droit de cité, la joie Les victuailles circulent, nombreuses les pâtisseries foisonnent, succulentes ce n'est pas un repas, c'est une orgie ce n'est pas une rupture, c'est une communion de vie Bien plus tard, la panse repue disparue ces migraines envolé ces épiques colères ne reste que l'instant vécut Oh que j'aime ce rituel ou la nuit suspend sa course étoilé dans un firmament virtuel remplie de rêves espérés Bénit sois ces moments de communion entre l'esprit et le corps ce mois sacré, par ces privations engendre en moi, l'extase de l'effort momo18 Coucou Momo, Comme tu sais "poétiser " tes émotions Momo... j'aime... Citer Link to post Share on other sites
lindo 10 Posted July 12, 2013 Partager Posted July 12, 2013 "Tu dis que tu aime la pluie mais tu utilises ton parapluie quand il pleut , tu dis que tu aime le soleil mais tu cherches l'ombre quand il brille , tu dis que tu aimes le vent mais tu fermes la fenêtre quand il souffle , c'est pourquoi j'ai peur quand tu me dis que tu m'aimes ..."~Bob Marley Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 13, 2013 Partager Posted July 13, 2013 Intervalle arrête d’hurler aux couleurs du temps supplice complice d’un regard malice essuie ces larmes versé au fond du calice Ce n’est que peines sans lendemain reprend ces tendres baisés brulants Posés sur mes lèvres délaissées comme une marque déposée Au temps jaloux d’antan détourne de moi, ce regard suppliant Il perce mon âme de long en large semant, de-ci, de-là, avec rage De troubles ferments agonisants écarte l’ombre de mon ombre diurne ce n’est que sombre reflet d’ennui un intervalle entre deux gouttes de pluies lessivant entre les rêves, les nuits de peines garde pour toi, ces désirs éphémères Caresses tactile d’un esprit blasé Trop souvent trop mal données un plaisir d’amour au gout amère fuit la horde de mes sentiments volés cohorte en guenilles nourrit de pleurs cherchant pitance au creux d’un cœur ne laissant derrière que des regrets cache à la vue de mes mains fébriles ces atouts soyeux d’un temps révolu souvenir douloureux à jamais perdu Dans les limbes obscure d’un asile laisse du temps au temps errant qu’il puisse par son chant aimant vers la flamme d’un feu moribond ranimer l’étincelle d’une folle passion momo18 Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 mais peut-on ranimer la flamme d'une passion moribonde? Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 mais peut-on ranimer la flamme d'une passion moribonde? dans le virtuel.......................toujours :p Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 Rêveries Laisse mon cœur jeuner De peines, au menu abondance Laisse mon cœur soupirer Dans les frimas de l’adolescence Laisse mon cœur palpiter Au souvenir d’un regard de braise A ce sein contre mon corps abimé Rougi au fer d’un enfer en transe Au mystère de l’infini Nul songe n’est tenu Grandeur et décadence, unis Comme cinq doigts crochus L’inaudible conscience s’évertue Contre vent et marrée à prêcher Aux âmes sibyllines dévêtues Le trésor d’une prière oublié Ce soir un cœur contrit, vague pèlerin Effleure tendrement un passé fantaisie Les plaies du temps couleur satin Écrivent chaque nuit, de proses rêveries. momo18 Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 tchua choungi di psoudou jti memepa ghokonu :realmad::mad::mad: désolé contrains et forcé, je me connecte avec mon pseudo momo, mais je ne peut pas poster, pour une raison que j'ignore, on ne veut pas me réactiver mon compte. Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 Ravie de te revoir parmi nous :o merci mon amie et félicitation pour ton projet Citer Link to post Share on other sites
Séphia 896 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 dans le virtuel.......................toujours :p c'est bien ce que je pensais...dans le virtuel.... Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 toc toc! à l'heure du massacre culinaire je m’empresse de faire cette visite éclaire au refuge des âmes soeurs demeure des maux du coeur un petit salut à toi le pseudo ne te va pas nous ne sommes pas en enfer ici mais bel et bien au paradis. Citer Link to post Share on other sites
hadès 10 Posted July 15, 2013 Partager Posted July 15, 2013 toc toc! à l'heure du massacre culinaire je m’empresse de faire cette visite éclaire au refuges des âmes soeurs demeure des maux du coeur un petit salut à toi le pseudo ne te va pas nous ne sommes pas en enfer ici mais bel et bien au paradis. moi je dois encore contre le temps patienter une heure pour savourer tout les bienfaits terrestre du moment avec, tu a raison, un pseudo à jeter aux enfers............................. Citer Link to post Share on other sites
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