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Serment d'Amour


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je n'ai que mon cœur en témoin

de ce que dieu, dans sa grande bonté

m'a laisser entrevoir dans tes yeux chat oins

une révélation divine en prière exaucé

 

de ce jour béni des dieux

la lumière de tes yeux me baigne

à ce sourire, mon cœur se réchauffe, heureux

comme une fleur, au soleil, s'ouvre sans peine

 

les souvenirs de ce serment donné

restent gravés sur les frontons de l'amour

une ode éternel vers les cieux priés

pour réveiller, les étoiles troubadours

 

dans ta main, un anneau sacré

signe, de mon éternel attachement

souligne la ferveur soupiré

un soir de lune, au firmament :)

une ode éternel vers les cieux priés

pour réveiller, les étoiles troubadours

 

ton poème est aussi joli que celui de Lacou...;):)

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Dis-moi

 

Dis-moi des mots, rien que des mots

De gentils mots, qui calment mes maux

Des mots d’amour, juste des mots

Rien que des mots, même un demi-mot

 

Dis-moi des mots, rien que des mots

Des mots cruels, des mots blessants

N’importe quel mot, un mot promo

Juste un petit mot, à un cœur mourant

 

Dis-moi un mot, un mot brasero

De ceux qui tordent les boyaux

De ceux qui enivrent les cerveaux

Et vous font descendre au caniveau

 

Une valse à mille mots

Pour des cœurs jumeaux

Qui vous renvoi dos à dos

De village en hameaux

 

Dis-moi des mots, qui portent chaux

Des mots choisis, tirés aux couteaux

De ceux sans dégâts collatéraux

Qui parlent aux deux, sans accroc

 

Dis-moi le mot bientôt

Un qui entre sans à propos

Se penche sur le berceau

Et verse des mots lacrymaux

 

Oubli le mot complot

Évite le noir corbeau

Dans tes yeux, nul défaut

Alors, lève cet embargo

 

Regarde à ta main, cet anneau

Il te rappelle bien des mots

Des mots sortis du cachot

Pour libérer ton cœur de l’étau

 

Dis-moi juste un mot

Un mot venu d’en haut

Dis le même en argot

Qu’il me délivre du chaos

 

demain peut-être

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Dénouement

 

 

il faut un commencement avant le dénouement

l’un ne va jamais sans l’autre et vice et versa

la naissance de l’un est la mort de l’autre instantanément

Un craquement de pas réveille le trépassé d’autrefois

mais l’indifférence de façade fait couler la larme de sang

une vie entière ne suffirai pas à congeler ici bas

les serments de sang versé par un cœur à l’abandon

 

les rêves ne sont souvent que les reflets de nos désirs

ils varient selon le temps et l’humeur de nos pensées

on reste la, souvent sur le bord d’une route, à gémir,

quelques fois on prie, un je ne sais quoi, on attend, l’être désiré

sans penser un seul instant, que de l’autre coté, l’autre admire

avec peines et regrets, le seul amour que la nature lui a volé

laissant une blessure béante hurler vers le ciel, un soupir

Comme un témoignage d’une ferveur, un soir donné

 

je n’ai pas de colère, juste de la tristesse

je n’ai pas de haine, juste de la peine

je n’ai plus de volonté, ça n’a plus d’importance

je n’ai plus de larmes, plus rien dans les veines

je n’ai que le silence, de ton indifférence

Pour nourrir le chagrin, que je promène

 

soupirs et larmes vont de paires

j’en ais à profusion pour toi

et si tu abrège pour me plaire

sache que toute existence sans toi

ne pourra paraitre que douceur amère

et si tes sentiments sont soluble en moi

les miens, je le confesse, sont plus terre à terre

ils ont besoins de toi, pour vivre en moi

 

demain peut-être

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pour toi

 

j'ai chaud tout en moi

quand je te tiens la main

le cœur plein d'émois

je suis rouge carmin

 

la assis, au bord de mon lit

je refuse de sombrer dans la nuit

seul la lumière de tes yeux épris

caresse ce soir mon esprit

 

je ne veux pas voir le noir

ni la lueur du jour naissant

je ne veux pas voir filer l'espoir

de peur des mots abdiquant

 

je veux juste un instant

pour une seconde d’éternité

serré mon petit corps mourant

contre ton jolie cœur aimé :wub::wub:

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Il est temps

 

Il est temps que je pense à moi

D'abandonner à son sort ce rêve en couleur

Il est temps de voir avec les yeux d’autrefois

Et d’oublier le silence de ces folles rumeurs

 

Il est temps de rattraper la fuite du temps

De serrer dans mes bras, peines et plaisirs

Retrouver, pour un instant, tout simplement

Ce soupir partagé au plaisir mielleux, de nos désirs

 

Il est juste temps, avant de m’en aller

Vers d’autres cieux, d’autres rivages

De poser une dernière fois, un regard mouillé

Sur un passé courbé de rêves en nages

 

Il est temps pour ma destiné blessé

Par des amours trop souvent mal donné

De s’ouvrir à une réalité négligée

Et recommencer l’œuvre de dieu héritée

 

Il est juste temps, pour moi maintenant

De tourner une page écrite à quatre mains

De jouer la partition d’un air ancien

Sur des souvenirs d’un corps à corps assassin

 

demain peut-être

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De vous à moi

 

Votre baiser est une brulure

Qui embrase d’un feu ardent

Le frêle rempart de cette armure

Ou se love peines et serments

 

Ce qui nous attire l’un vers l’autre

N’a pas de nom, ni de prix ici bas

Seul les anges peuvent reconnaitre

Les tourments passions qu’on abat

 

Nul besoin d’artifices sucrés

Par des paroles de miel outré

Tes courbes par dieu données

Sont bien meilleurs messagers

 

Au premier regard, fut conquis

Au premier mot, reste interdit

Au premier geste, corps en folie

Au premier soupir, je me maudis

 

Près de toi, instant après instant

Je découvre l’essence d’une vie

Faite de plaisirs à quatre mains

Sous les cieux étoilés d’une nuit

 

Tes yeux forment ma jeunesse

Guidant pas à pas, sans paresse

Mes sens enfiévrés de caresses

Vers les chemins de la déchéance

 

Et si demain, devant ce miroir sans teint

Ton reflet improvise une fuite sans détour

Sache, que pour moi, reste le serment

De te couvrir d’amour, de tout mon Amour

 

demain peut-être

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Il pleut

 

Le doute est la qui me prend

Pourquoi donc, faut-il choisir

Entre ton bonheur et le mien

Il suffit d’un rien, pour en mourir

 

Il pleut des larmes aux rendez-vous

De nos amours bien éphémères

Il pleure souvent, oui je vous l’avoue

Ce cœur aux veines rouge colère

 

Je parle souvent à ta belle indifférence

Seul le silence répond en ton absence

Je regarde parfois ton sourire de glace

Quand sa caresse réveille mon insolence

 

Je sais, tu voudrais me voir abandonner

Quitter l’ombre de tes pas amoureux

Tourner le dos à la lumière adulée

Partir, erré au loin, sans un adieu

 

Désolé mon cœur, mais c’est non

Ici, je vaux bien plus que ça

La folie, n’est que désir démon

Et si il faut, à l’enfer m’abonnera

 

demain peut-être

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Woaw, tu as vu comme je vole vite :04:

 

comme tu m'inspire, tiens, juste pour toi :p

 

Tu me tue

 

Tu me tue tendrement, à petit feu

De ton regard, couleur passion

Quand tu sème, dès le couvre feu

Ces petits mots, sans abréviations

 

Tu me tue de désirs ardant

Par la nuit, haut et fort clamés

Par cette bouche au feu brulant

Sur ma peau déjà enfiévrée

 

Tu me tue, la nuit, le jour

A chaque seconde de l’éternité

Par ce sourire fuyant l’amour

De cœur aux soupirs négligés

 

Tu me tue à chaque fois

Que s’embrase dans la folie

Ce corps à corps aux abois

Sur la mer de ta mélancolie

 

demain peut-être

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