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Serment d'Amour


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Je haï ton sourire méprisant

je haï ton parfum enivrant

je haï tes pensées envahissantes

je haï tes caresses envoutantes

tantôt aimante

souvent blessante

tantôt câline

souvent sibylline

dans le réelle

ou le virtuels

je te haï parce que...................JE T'AIME

 

demain peut être

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Je haï ton sourire méprisant

je haï ton parfum enivrant

je haï tes pensées envahissantes

je haï tes caresses envoutantes

tantôt aimante

souvent blessante

tantôt câline

souvent sibylline

dans le réelle

ou le virtuels

je te haï parce que...................JE T'AIME

 

demain peut être

 

L'amour dort dans ton lit,

la haine caresse ton sommeil,

ton amour me supplie,

ta haine est là et surveille,

tes mots me lacèrent,

tes lèvres m'enivrent,

ton visage me sidère,

ton image me délivre,

notre amour a déteint,

sur le mur il écrit,

une histoire sans fin,

dans la nuit, un cri.

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Apprivoise ma maladresse

Efface ce sourire fugace

Mon cœur brule de tristesse

Quant ton cœur verrouille sa tendresse

 

L’illusion de ce sentiment indicible

Flatte l’impasse chaotique de l’imaginaire

Reflet cruel d’un péché orgueilleux, irascible

Destin d’une fatalité sans frontières

 

Ton étreinte lézarde mon cœur

Caresses déferlantes sur de rivages sublimes

Écoute mes larmes te parler d’amour

Elles te livrent bien de secrets intimes

 

Mon cœur affligé reste secret

La flamme ardente qui le consume

Abrège l’éphémère passion révélée

Par l’ivresse nocturne des abîmes

 

Corps pétrifié, esclave oppressant

Peinture aux couleurs de l’instant présent

Requiem d’allégorie au temps passant

Ou brule l’encens de cœurs Amants

 

demain peut être

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Apprivoise ma maladresse

Efface ce sourire fugace

Mon cœur brule de tristesse

Quant ton cœur verrouille sa tendresse

 

L’illusion de ce sentiment indicible

Flatte l’impasse chaotique de l’imaginaire

Reflet cruel d’un péché orgueilleux, irascible

Destin d’une fatalité sans frontières

 

Ton étreinte lézarde mon cœur

Caresses déferlantes sur de rivages sublimes

Écoute mes larmes te parler d’amour

Elles te livrent bien de secrets intimes

 

Mon cœur affligé reste secret

La flamme ardente qui le consume

Abrège l’éphémère passion révélée

Par l’ivresse nocturne des abîmes

 

Corps pétrifié, esclave oppressant

Peinture aux couleurs de l’instant présent

Requiem d’allégorie au temps passant

Ou brule l’encens de cœurs Amants

 

demain peut être

 

Décidémment plus je viens sur le FA et plus j'aime. Momo, sahraoui vos écrits sont...plus que ça. Merci à vous deux, à de nombreux autres participants. Là tout de suite, je pense qu'une sieste est nécessaire, à plus tard inchallah...

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Le lieu n’a point d’importance

L’amour n’a ni patrie ni distance

Seul le cœur est un refuge

Et ton Corps seul juge

 

dans tes bras j’ai semé

les prémices d’un amour allaité

sur tes lèvres j’ai cueilli la rosé

Que la source de tes yeux a perlé

 

notre monde à nous est partout

dans la senteur d’une rose du jours

dans les draps de satin d’un lit d’amour

Ou dans les flammes d’un rêve nouveau

 

la poésie est notre couche

auprès d’elle notre attache

le verbe gracile nous touche

Et vers lui nous rapproche

 

Demain de notre plume

Naitrons des cœurs de lune

Dans le ciel, des étoiles d’écumes

Rendront hommages et estimes

 

les liens sacrés de notre union

écrite à la lave des grand volcans

perpétuerons pour l’éternité ce moment

Charnel d’union de deux corps amants

 

demain peut être

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Le lieu n’a point d’importance

L’amour n’a ni patrie ni distance

Seul le cœur est un refuge

Et ton Corps seul juge

 

dans tes bras j’ai semé

les prémices d’un amour allaité

sur tes lèvres j’ai cueilli la rosé

Que la source de tes yeux a perlé

 

notre monde à nous est partout

dans la senteur d’une rose du jours

dans les draps de satin d’un lit d’amour

Ou dans les flammes d’un rêve nouveau

 

la poésie est notre couche

auprès d’elle notre attache

le verbe gracile nous touche

Et vers lui nous rapproche

 

Demain de notre plume

Naitrons des cœurs de lune

Dans le ciel, des étoiles d’écumes

Rendront hommages et estimes

 

les liens sacrés de notre union

écrite à la lave des grand volcans

perpétuerons pour l’éternité ce moment

Charnel d’union de deux corps amants

 

demain peut être

 

Merci momo. Joli texte plein d'une philosophie qui me touche, qui:) m'inspire et qui me porte!!!:)

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Femme

 

Qu’importe la couleur, puisque je vous aime

du noir profond de la nuit à la blondeur du soleil

l’amour est aveugle dans ses choix extrêmes

seul compte l’ultime goute de larmes

Qui vient nourrir ce cœur en veille

 

Le silence de vos yeux parle pour vous

un monologue de tourments intense

une prière au ciel, un fouillis de vœux

ou l’on trouve pêle-mêle des adieux

Enchainés aux soupirs d’allégeances

 

J’ai beau me dire, arrête, la raison te fuit

folie du cœur à la douce mélancolie

devants ce tableau ou la beauté sourit

mon âme pieds et points liés, supplie

L’enfer de m’ouvrir ses portes, pour la nuit

 

Pour vous, madame, je souffrirai mille peines

pour un regard brulant aux larmes de miel

je tremperai mes mains dans un volcan de braises

et si tes lèvres, un sourire, ce soir osent

C’est le ciel à genoux qui rendra grâce à la belle

 

Dieu vous a fait don d’être femme

et offert le pouvoir de créer la vie

moi la mienne est lié à la tienne

comme la nuit sous le clair de lune

Une ombre à ton ombre, je suis

 

demain peut être

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Femme

 

Qu’importe la couleur, puisque je vous aime

du noir profond de la nuit à la blondeur du soleil

l’amour est aveugle dans ses choix extrêmes

seul compte l’ultime goute de larmes

Qui vient nourrir ce cœur en veille

 

Le silence de vos yeux parle pour vous

un monologue de tourments intense

une prière au ciel, un fouillis de vœux

ou l’on trouve pêle-mêle des adieux

Enchainés aux soupirs d’allégeances

 

J’ai beau me dire, arrête, la raison te fuit

folie du cœur à la douce mélancolie

devants ce tableau ou la beauté sourit

mon âme pieds et points liés, supplie

L’enfer de m’ouvrir ses portes, pour la nuit

 

Pour vous, madame, je souffrirai mille peines

pour un regard brulant aux larmes de miel

je tremperai mes mains dans un volcan de braises

et si tes lèvres, un sourire, ce soir osent

C’est le ciel à genoux qui rendra grâce à la belle

 

Dieu vous a fait don d’être femme

et offert le pouvoir de créer la vie

moi la mienne est lié à la tienne

comme la nuit sous le clair de lune

Une ombre à ton ombre, je suis

 

demain peut être

 

Les poèmes que tu nous offres sont de haute teneur...

Si tu avais la bonté de citer l'auteur, ce serait un bonus non négligeable...

Merci momo...:41:

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Double vie

 

Sur le chemin ou bruisse le vent houleux

À l'ombre d'une jeunesse couleur passé

File le temps au souvenir fort oublié

Ou ne coule, que larme d'un sang malheureux

 

Le ciel, dans sa triste quête amoureuse

Cherche dans les méandres d'un cœur outragé

Les prémices d'une fièvre tant imploré

Sous les quolibets d'une lune jalouse

 

Pourquoi faut-il n'aimer que dans la souffrance

Quand la terre fertile ne sied qu'aux ronces

La romance nourrit le ciel en transe

Et laisse flétrir, le corps en créance

 

Ma joie est ma peine, de jours comme de nuit

Cette chimère est ma quête, sans regrets

Comme un sourire sur des lèvres révélées

Deux reflets d'un même miroir, double vie

 

Prisonnière d’un cœur trop partagé

A trop vouloir, on s’y perd parfois

Ne reste gravé, que ce triste émoi

Qui rappel au mensonge, sa vérité

 

demain, c'est fini

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Douces mélodies...

 

Double vie

 

Sur le chemin ou bruisse le vent houleux

À l'ombre d'une jeunesse couleur passé

File le temps au souvenir fort oublié

Ou ne coule, que larme d'un sang malheureux

 

Le ciel, dans sa triste quête amoureuse

Cherche dans les méandres d'un cœur outragé

Les prémices d'une fièvre tant imploré

Sous les quolibets d'une lune jalouse

 

Pourquoi faut-il n'aimer que dans la souffrance

Quand la terre fertile ne sied qu'aux ronces

La romance nourrit le ciel en transe

Et laisse flétrir, le corps en créance

 

Ma joie est ma peine, de jours comme de nuit

Cette chimère est ma quête, sans regrets

Comme un sourire sur des lèvres révélées

Deux reflets d'un même miroir, double vie

 

Prisonnière d’un cœur trop partagé

A trop vouloir, on s’y perd parfois

Ne reste gravé, que ce triste émoi

Qui rappel au mensonge, sa vérité

 

demain, c'est fini

 

Joli texte...

 

Quelques notes de musique,

rien que pour nous, toi et moi,

une ode que les sons harmonieux,

accordent aux dieux et aux déesses.

 

Un lac au milieu de la montagne,

une herbe haute et verte,

des coquelicots et des marguerites,

une clairière tapissée de mousse.

 

Un cerf au loin passe sous les arbres,

un coup de feu claque sous l'orée,

la toison ruisselle d'un flot brun-rouge,

ils ont tué la liberté

les hommes civilisés.

 

mai 2008

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On n'ose plus

 

On n'ose plus se dire ce mot

Ce mot si fort et si fragile à la fois

Un cache misère de maux

Qu'engrangent un cœur pantois

 

On n'ose plus au frôlement des doigts

Dans le silence frileux de drap satin

Une fuite aux sentiments de sois

Quand la fièvre de nuit, s'abstient

 

On n'ose plus, vers les cieux prié

Lancer des SOS aux interdits muets

Un soupir en détresse sur la mer glacé

Une larme d'adieu sur mes yeux fermés

 

On n'ose plus avoir un grain de folie

Envoyer tout balader d'un revers de main

Montrer à la face de la terre meurtrie

Ses peines et ses joies à pleines mains

 

On n'ose plus se dire ce mot

Une croix de plus à porter

Sourire, mourir, rien que des mots

Sur des lèvres en bannière jeté

 

On n'ose plus, plus de courage

On jure une fois, puis mille fois

Mendiant quêtant, l'amour mirage

Sur des visages en pleurs, par manque de foi

 

On n'ose plus écrire ce mot

Semé sur des chemins sans détour

Quand la tempête sur les hameaux

Crie, un mot, un seul, "Amour"

 

plus de lendemain.

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Osez osez joséphine...

 

On n'ose plus

 

On n'ose plus se dire ce mot

Ce mot si fort et si fragile à la fois

Un cache misère de maux

Qu'engrangent un cœur pantois

 

On n'ose plus au frôlement des doigts

Dans le silence frileux de drap satin

Une fuite aux sentiments de sois

Quand la fièvre de nuit, s'abstient

 

On n'ose plus, vers les cieux prié

Lancer des SOS aux interdits muets

Un soupir en détresse sur la mer glacé

Une larme d'adieu sur mes yeux fermés

 

On n'ose plus avoir un grain de folie

Envoyer tout balader d'un revers de main

Montrer à la face de la terre meurtrie

Ses peines et ses joies à pleines mains

 

On n'ose plus se dire ce mot

Une croix de plus à porter

Sourire, mourir, rien que des mots

Sur des lèvres en bannière jeté

 

On n'ose plus, plus de courage

On jure une fois, puis mille fois

Mendiant quêtant, l'amour mirage

Sur des visages en pleurs, par manque de foi

 

On n'ose plus écrire ce mot

Semé sur des chemins sans détour

Quand la tempête sur les hameaux

Crie, un mot, un seul, "Amour"

 

plus de lendemain.

 

Tu dois connaître cette chanson...

En lisant tes mots, une grande émotion...

 

Quand le soir tombe

 

Seules les lumières,

dans la nuit étoilée,

éclairent les rues,

sombres et vides.

 

Seule la silouhette,

d'une âme égarée,

chemine dans la ville,

endormie, ailleurs.

 

La démarche hésitante,

c'est un homme ivre,

de mauvais vin,

hagard, harassé, vaincu.

 

La trajectoire d'une vie,

d'espoirs déçus,

d'illusions perdues,

une histoire de mal-vie.

 

Le bonheur des uns,

le malheur des autres,

un monde d'injustices,

sur notre belle planète bleue.

 

mai 2008

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Ego...

 

tu m'a très bien compris :chut:

Ailleurs je parlais de certains égos surdimensionnés...

Il me semblait qu'à lire certaines de tes sorties, tu n'étais pas très à l'aise dans tes baskets...

Cette façon arrogante et hautaine de parler de tes créations...

J'ai l'impression d'être parfois dans une cour de récréation avec des petits coqs...

Je te laisse claironner tes cocoricos...

C'est vrai que c'est plus l'hymne de l'indépendance...:)

Amuses-toi bien momo...:rasta::radiallah:

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les poètes parlent à leurs muses...

Amar Kabyle, désolée, tu as pollué son fil. Tu peux créer ta page sur un autre fil, il y a de la place pour tous.

 

Bonsoir Chabha,

 

Tu n'as pas à l'être...

Si répondre à un poème par un autre poème c'est polluer, je m'en excuse...

Oui j'aurai pu j'aurai du créer un sujet...:)

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Arrête

 

Arrête ce sourire aguicheur

Sur ces lèvres en offrandes

Arrête ce soupir menteur

Venu d'un cœur de danaïde

 

Arrête ces larmes asséchées

Par des yeux arides de peines

Arrête sur ce corps supplicié

Par tes jeux de ***** mondaine

 

Arrête de croire au faux espoir

Quand les couleurs du temps

En tes bras, sombrent chaque soir

Sans voir la lumière du lendemain

 

Arrête un instant d'oublié

Le souffle brulant de l'enfer

De lèvres à lèvres attisées

Comme une signature amère

 

Arrête d'arrêter tout le temps

Quand le ciel flamboie d'émoi

Que la caresse de tes yeux aimant

Vient lécher les cicatrices d'autrefois

 

Arrête, le ciel m'en est témoin

A la façon que tu es devant moi

A cet éternel reflet d'illusion

Je te le dis, surtout n'arrête pas

 

demain peut être

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Khabit

 

Arrête

 

Arrête ce sourire aguicheur

Sur ces lèvres en offrandes

Arrête ce soupir menteur

Venu d'un cœur de danaïde

 

Arrête ces larmes asséchées

Par des yeux arides de peines

Arrête sur ce corps supplicié

Par tes jeux de ***** mondaine

 

Arrête de croire au faux espoir

Quand les couleurs du temps

En tes bras, sombrent chaque soir

Sans voir la lumière du lendemain

 

Arrête un instant d'oublié

Le souffle brulant de l'enfer

De lèvres à lèvres attisées

Comme une signature amère

 

Arrête d'arrêter tout le temps

Quand le ciel flamboie d'émoi

Que la caresse de tes yeux aimant

Vient lécher les cicatrices d'autrefois

 

Arrête, le ciel m'en est témoin

A la façon que tu es devant moi

A cet éternel reflet d'illusion

Je te le dis, surtout n'arrête pas

 

demain peut être

 

roh telab maa ouled homteck

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