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Moines de Tibéhirine : "Abdullah", le suspect que la France protège


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Selon deux témoins entendus par la justice, les autorités françaises cachent la véritable identité d'un émissaire des terroristes du GIA, responsables du massacre des moines en Algérie en 1996.

 

Depuis quinze ans, les autorités françaises cachent la véritable identité d'un émissaire des terroristes du GIA, responsables du massacre des moines de Tibéhirine en mai 1996. Nouvelobs.com est en mesure de révéler que l'identité de ce témoin-clé était pourtant largement connu du personnel de l'Ambassade de France à Alger et, semble-t-il, des services de renseignement.

 

Le juge antiterroriste Marc Trévidic en charge de l'enquête vient en effet de réussir à remonter la trace de l'homme jusqu'ici seulement désigné par le pseudonyme d'"Abdullah". Il se nomme Mustapha Abdallah et il est le frère aîné d'un terroriste bien connu de la France, le chef du commando qui avait détourné un Airbus Alger-Paris en décembre 1994, abattu par le GIGN sur le Tarmac Marseille-Marignane.

 

Un émissaire pas si anonyme

 

L'histoire commence le 30 avril 1996. Cela fait alors un mois que les sept moines trappistes de l'abbaye de Tibéhirine ont été enlevés par les maquisards islamiques du GIA. Un émissaire des terroristes frappe à la porte de l'ambassade de France à Alger. Il apporte un message de "l'émir" Djamel Zitouni et un enregistrement de la voix des otages. Les documents sont remis à, l'ambassadeur. Et l'homme disparaît. Il ne donnera jamais plus de nouvelles. Les religieux seront décapités une vingtaine de jours plus tard.

 

Qui était donc ce messager anonyme, la seule piste tangible qui pouvait mener aux assassins ? Officiellement, personne ne sait rien sur cet homme qui s'était simplement déclaré sous le nom d'Abdullah. C'est, du moins, ce que les autorités françaises ont toujours affirmé jusqu'ici.

 

"Abdullah" était en réalité parfaitement connu de la communauté française d'Alger puisqu'il a travaillé jusqu'à l'été 1995 comme chauffeur de l'Agence française de développement (AFD). Son père Lahcen Abdallah, décédé depuis, avait lui-même travaillé pour l'AFD pendant 18 ans.

 

Entendus sur procès-verbal par le juge Trévidic, le 3 février dernier, trois anciens directeurs de l'AFD, qui occupaient des locaux dans l'ambassade de France à Alger, ont déclaré de façon formelle avoir entendu parler, à l'époque, de la véritable identité de ce mystérieux émissaire. Selon leurs dires, il s'agissait du frère de Yahia Abdallah, le pirate de l'air de l'Airbus Alger-Paris.

 

La DGSE absente

 

Pourquoi le Quai d'Orsay a-t-il dissimulé, depuis quinze ans, l'identité de ce messager du GIA ? Pourquoi la France n'a-t-elle jamais demandé à Alger de l'arrêter après le massacre des moines, une démarche qui, semble-t-il, n'a plus objet aujourd'hui, l'homme ayant vraisemblablement été descendu au cours d'une opération de l'armée algérienne ? L'Etat a-t-il fait sciemment de l'obstruction dans cette enquête pour ne pas empoisonner les relations entre Paris et Alger ? Autant de questions que se pose aujourd'hui le juge Trévidic.

 

Un homme a peut-être les réponses. Il s'appelle Pierre Le Doaré et était chef de poste de la DGSE, les services secrets français, à Alger. Convoqué comme témoin, par le biais des enquêteurs de la DCRI travaillant pour le juge Trévidic, l'espion devait être interrogé le 4 février dernier. Las ! Le jour dit, il ne s'est jamais présenté dans le bureau du juge, ni n'a pris contact avec une quelconque autorité judiciaire jusqu'ici. L'enquête sur le massacre des frères trappistes pourrait néanmoins connaître de très prochains rebondissements, avec la déclassification prochaine du secret défense sur des archives du ministère de la Défense. Pour le moment, seul le ministère de l'Intérieur n'a pas fait connaître sa décision de lever ou non le secret-défense sur toutes les archives de la DST concernant cette affaire.

 

Olivier Toscer - Nouvelobs.com

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Guest mackiavelik
Pourquoi le Quai d'Orsay a-t-il dissimulé, depuis quinze ans, l'identité de ce messager du GIA ? Pourquoi la France n'a-t-elle jamais demandé à Alger de l'arrêter après le massacre des moines, une démarche qui, semble-t-il, n'a plus objet aujourd'hui, l'homme ayant vraisemblablement été descendu au cours d'une opération de l'armée algérienne ? L'Etat a-t-il fait sciemment de l'obstruction dans cette enquête pour ne pas empoisonner les relations entre Paris et Alger ? Autant de questions que se pose aujourd'hui le juge Trévidic.

 

ca en dit long sur l'origine du GIA, sur ses objectifs et ca confirme ce que je pensais

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ca en dit long sur l'origine du GIA, sur ses objectifs et ca confirme ce que je pensais

 

le GIA a été crée par cette hachak que nous appelons la france il faut tout ou tard le comprendre .

 

jamais des musulmans pieux et des algériens iraient massacrer leur compatriote et leur correligionnaire . plus ke le temps passe, plus ke ma haine a lencontre de ce pays grandit !

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le GIA a été crée par cette hachak que nous appelons la france il faut tout ou tard le comprendre .

 

jamais des musulmans pieux et des algériens iraient massacrer leur compatriote et leur correligionnaire

 

Je crois que ta haine t'aveugle plus qu'autre chose !

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le GIA a été crée par cette hachak que nous appelons la france il faut tout ou tard le comprendre .

 

jamais des musulmans pieux et des algériens iraient massacrer leur compatriote et leur correligionnaire

 

Je crois que ta haine t'aveugle plus qu'autre chose !

 

dsl si je tai blesser mais je tient a te dire ke je ne suis en aucun cas un haineux, ce ke jai dit netai pa destiner au peuple francai amis mais bien les criminels ki nous ont colonisé et ki on decidé de prendre la mal tout en laissant le pouvoir a des harki ki sont sans pitier avec lalgeire et le peuple algerien .

 

 

c puor c raison ke je di tfouh a3la yimette el franca

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Guest mackiavelik
le GIA a été crée par cette hachak que nous appelons la france il faut tout ou tard le comprendre .

 

tu vas loin :D

pas besoin de la France pour créer le GIA...on a des Algériens au pouvoir capables de le faire...faut faire la différence entre hizb franca et la France

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tu vas loin :D

pas besoin de la France pour créer le GIA...on a des Algériens au pouvoir capables de le faire...faut faire la différence entre hizb franca et la France

 

akhi je ne vois ocune différence, mise apart ke hizb franca est au service de Franca c tout . le GIA a bel et bien été crée par les service secret francai ( ki sont en meche avec la DRS a savoir pk ) la france na jamai voulu k'une nation constituer de berger lui botte hachak el ter*ma avec des karabine de chasse se releve .elle na jamai voulu voir d'état islamik pres de son territoir non plu

 

que dieu maudisse la France, je serai le premeir a me rejouir si il se produit un malheur

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Nouvelles révélations sur l'assassinat des moines de Tibhirine

 

Le Point.fr - Publié le 15/03/2011 à 15:14 - Modifié le 15/03/2011 à 15:32

 

De nouveaux éléments infirment la thèse d'une "bavure" de l'armée algérienne.

 

Source AFP

 

La thèse d'une "bavure" de l'armée algérienne dans la mort des moines de Tibhirine est attaquée par l'écrivain René Guitton, qui apporte dans un nouveau livre des éléments inédits sur la tragédie des sept religieux, quinze ans après leur enlèvement le 26 mars 1996. Fruit d'une longue investigation, En quête de vérité : le martyre des moines de Tibhirine (éd. Calmann-Lévy) éreinte la thèse de l'ancien attaché de défense français à Alger, le général François Buchwalter, et celles de dissidents algériens.

 

L'auteur dévoile le nom de l'informateur du général Buchwalter qu'il n'avait pas livré au juge Trévidic lors de son audition. Il revient sur la déposition du militaire accréditant la thèse de la "bavure" militaire, et fait analyser les photos des têtes de moines par des experts. Pour autant, René Guitton ne lave pas de tout soupçon les services algériens et ne répond pas à la question : qui a tué les moines ?

 

GIA

 

Enlevés dans leur monastère dans une région où les tueries étaient quotidiennes, les sept religieux ont été exécutés après deux mois de captivité et leurs têtes retrouvées au bord d'une route le 30 mai 1996. Le Groupe islamique armé (GIA) de Djamel Zitouni, qui avait demandé aux étrangers non musulmans de quitter l'Algérie sous peine de mort, avait revendiqué l'enlèvement et l'assassinat. Cette version officielle, validée par Paris et par l'Église, sera mise à mal par trois déserteurs selon lesquels le GIA aurait été manipulé par les services secrets et Djamel Zitouni, un agent infiltré. Une accusation amputée, selon René Guitton, d'un "début de preuve certaine".

 

Le 25 juin 2009, le général Buchwalter affirmait au juge Trévidic que les moines avaient été tués par des tirs depuis des hélicoptères militaires alors qu'ils se trouvaient dans ce qui semblait un bivouac de djihadistes. L'officier a affirmé au magistrat tenir ses informations d'un ancien camarade algérien de l'école spéciale militaire de Saint-Cyr dont le frère, commandant d'une escadrille d'hélicoptères, avait participé à cette "bavure".

 

Exécution

 

Après avoir révélé le nom de ce "camarade", René Guitton affirme que l'armée algérienne était dotée d'hélicoptères MI 24 équipés de canons circulaires 38 mm, de roquettes antichar et de mitrailleuses de calibre 12,7 mm. Des armes qui, après des tirs d'altitude, auraient entraîné l'éclatement des têtes. Or, celles-ci sont "presque intactes pour certaines", selon l'auteur, qui a consulté leurs photos. Chacune "porte un seul impact de balle" après un tir "dirigé de haut vers le bas". Les moines auraient donc été exécutés chacun d'une balle par des hommes debout alors qu'ils étaient agenouillés. René Guitton demande une autopsie des têtes qui pourrait conduire jusqu'à la découverte des corps, après prélèvement des résidus de poussière, de pollen, de brindilles et particules. La décapitation était répandue en Algérie, où les têtes des victimes étaient fréquemment découvertes sur les routes, dans les champs.

 

L'auteur rappelle par ailleurs qu'Alain Juppé et Jean-Louis Debré, alors respectivement Premier ministre et ministre de l'Intérieur, tenus dans l'ignorance d'une mission secrète confiée par Jacques Chirac à Jean-Charles Marchani, ont fait avorter une opération pour tenter de libérer les moines L'ancien préfet du Var, qui avait noué des contacts avec le GIA, avec l'accord d'Alger, "n'a pas à connaître ce dossier", selon un désaveu formulé alors par un communiqué du Quai d'Orsay. "Vous avez rompu le fil du dialogue, nous avons tranché la tête des moines", avait répondu Zitouni. Dans le livre, Alain Juppé confesse : "Je me trompais peut-être (...) puisque la conclusion a été l'échec que l'on sait."

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Selon deux témoins entendus par la justice, les autorités françaises cachent la véritable identité d'un émissaire des terroristes du GIA, responsables du massacre des moines en Algérie en 1996.

 

Depuis quinze ans, les autorités françaises cachent la véritable identité d'un émissaire des terroristes du GIA, responsables du massacre des moines de Tibéhirine en mai 1996. Nouvelobs.com est en mesure de révéler que l'identité de ce témoin-clé était pourtant largement connu du personnel de l'Ambassade de France à Alger et, semble-t-il, des services de renseignement.

 

Le juge antiterroriste Marc Trévidic en charge de l'enquête vient en effet de réussir à remonter la trace de l'homme jusqu'ici seulement désigné par le pseudonyme d'"Abdullah". Il se nomme Mustapha Abdallah et il est le frère aîné d'un terroriste bien connu de la France, le chef du commando qui avait détourné un Airbus Alger-Paris en décembre 1994, abattu par le GIGN sur le Tarmac Marseille-Marignane.

 

Un émissaire pas si anonyme

 

L'histoire commence le 30 avril 1996. Cela fait alors un mois que les sept moines trappistes de l'abbaye de Tibéhirine ont été enlevés par les maquisards islamiques du GIA. Un émissaire des terroristes frappe à la porte de l'ambassade de France à Alger. Il apporte un message de "l'émir" Djamel Zitouni et un enregistrement de la voix des otages. Les documents sont remis à, l'ambassadeur. Et l'homme disparaît. Il ne donnera jamais plus de nouvelles. Les religieux seront décapités une vingtaine de jours plus tard.

 

Qui était donc ce messager anonyme, la seule piste tangible qui pouvait mener aux assassins ? Officiellement, personne ne sait rien sur cet homme qui s'était simplement déclaré sous le nom d'Abdullah. C'est, du moins, ce que les autorités françaises ont toujours affirmé jusqu'ici.

 

"Abdullah" était en réalité parfaitement connu de la communauté française d'Alger puisqu'il a travaillé jusqu'à l'été 1995 comme chauffeur de l'Agence française de développement (AFD). Son père Lahcen Abdallah, décédé depuis, avait lui-même travaillé pour l'AFD pendant 18 ans.

 

Entendus sur procès-verbal par le juge Trévidic, le 3 février dernier, trois anciens directeurs de l'AFD, qui occupaient des locaux dans l'ambassade de France à Alger, ont déclaré de façon formelle avoir entendu parler, à l'époque, de la véritable identité de ce mystérieux émissaire. Selon leurs dires, il s'agissait du frère de Yahia Abdallah, le pirate de l'air de l'Airbus Alger-Paris.

 

La DGSE absente

 

Pourquoi le Quai d'Orsay a-t-il dissimulé, depuis quinze ans, l'identité de ce messager du GIA ? Pourquoi la France n'a-t-elle jamais demandé à Alger de l'arrêter après le massacre des moines, une démarche qui, semble-t-il, n'a plus objet aujourd'hui, l'homme ayant vraisemblablement été descendu au cours d'une opération de l'armée algérienne ? L'Etat a-t-il fait sciemment de l'obstruction dans cette enquête pour ne pas empoisonner les relations entre Paris et Alger ? Autant de questions que se pose aujourd'hui le juge Trévidic.

 

Un homme a peut-être les réponses. Il s'appelle Pierre Le Doaré et était chef de poste de la DGSE, les services secrets français, à Alger. Convoqué comme témoin, par le biais des enquêteurs de la DCRI travaillant pour le juge Trévidic, l'espion devait être interrogé le 4 février dernier. Las ! Le jour dit, il ne s'est jamais présenté dans le bureau du juge, ni n'a pris contact avec une quelconque autorité judiciaire jusqu'ici. L'enquête sur le massacre des frères trappistes pourrait néanmoins connaître de très prochains rebondissements, avec la déclassification prochaine du secret défense sur des archives du ministère de la Défense. Pour le moment, seul le ministère de l'Intérieur n'a pas fait connaître sa décision de lever ou non le secret-défense sur toutes les archives de la DST concernant cette affaire.

 

Olivier Toscer - Nouvelobs.com

 

ils continueront tjs que c'est le FIS qui est à l'origine de toute les tuerie .ça les arrange

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Le Point.fr - Publié le 15/03/2011 à 15:14 - Modifié le 15/03/2011 à 15:32

 

De nouveaux éléments infirment la thèse d'une "bavure" de l'armée algérienne.

 

Source AFP

 

La thèse d'une "bavure" de l'armée algérienne dans la mort des moines de Tibhirine est attaquée par l'écrivain René Guitton, qui apporte dans un nouveau livre des éléments inédits sur la tragédie des sept religieux, quinze ans après leur enlèvement le 26 mars 1996. Fruit d'une longue investigation, En quête de vérité : le martyre des moines de Tibhirine (éd. Calmann-Lévy) éreinte la thèse de l'ancien attaché de défense français à Alger, le général François Buchwalter, et celles de dissidents algériens.

 

L'auteur dévoile le nom de l'informateur du général Buchwalter qu'il n'avait pas livré au juge Trévidic lors de son audition. Il revient sur la déposition du militaire accréditant la thèse de la "bavure" militaire, et fait analyser les photos des têtes de moines par des experts. Pour autant, René Guitton ne lave pas de tout soupçon les services algériens et ne répond pas à la question : qui a tué les moines ?

 

GIA

 

Enlevés dans leur monastère dans une région où les tueries étaient quotidiennes, les sept religieux ont été exécutés après deux mois de captivité et leurs têtes retrouvées au bord d'une route le 30 mai 1996. Le Groupe islamique armé (GIA) de Djamel Zitouni, qui avait demandé aux étrangers non musulmans de quitter l'Algérie sous peine de mort, avait revendiqué l'enlèvement et l'assassinat. Cette version officielle, validée par Paris et par l'Église, sera mise à mal par trois déserteurs selon lesquels le GIA aurait été manipulé par les services secrets et Djamel Zitouni, un agent infiltré. Une accusation amputée, selon René Guitton, d'un "début de preuve certaine".

 

Le 25 juin 2009, le général Buchwalter affirmait au juge Trévidic que les moines avaient été tués par des tirs depuis des hélicoptères militaires alors qu'ils se trouvaient dans ce qui semblait un bivouac de djihadistes. L'officier a affirmé au magistrat tenir ses informations d'un ancien camarade algérien de l'école spéciale militaire de Saint-Cyr dont le frère, commandant d'une escadrille d'hélicoptères, avait participé à cette "bavure".

 

Exécution

 

Après avoir révélé le nom de ce "camarade", René Guitton affirme que l'armée algérienne était dotée d'hélicoptères MI 24 équipés de canons circulaires 38 mm, de roquettes antichar et de mitrailleuses de calibre 12,7 mm. Des armes qui, après des tirs d'altitude, auraient entraîné l'éclatement des têtes. Or, celles-ci sont "presque intactes pour certaines", selon l'auteur, qui a consulté leurs photos. Chacune "porte un seul impact de balle" après un tir "dirigé de haut vers le bas". Les moines auraient donc été exécutés chacun d'une balle par des hommes debout alors qu'ils étaient agenouillés. René Guitton demande une autopsie des têtes qui pourrait conduire jusqu'à la découverte des corps, après prélèvement des résidus de poussière, de pollen, de brindilles et particules. La décapitation était répandue en Algérie, où les têtes des victimes étaient fréquemment découvertes sur les routes, dans les champs.

 

L'auteur rappelle par ailleurs qu'Alain Juppé et Jean-Louis Debré, alors respectivement Premier ministre et ministre de l'Intérieur, tenus dans l'ignorance d'une mission secrète confiée par Jacques Chirac à Jean-Charles Marchani, ont fait avorter une opération pour tenter de libérer les moines L'ancien préfet du Var, qui avait noué des contacts avec le GIA, avec l'accord d'Alger, "n'a pas à connaître ce dossier", selon un désaveu formulé alors par un communiqué du Quai d'Orsay. "Vous avez rompu le fil du dialogue, nous avons tranché la tête des moines", avait répondu Zitouni. Dans le livre, Alain Juppé confesse : "Je me trompais peut-être (...) puisque la conclusion a été l'échec que l'on sait."

 

tout les scénario sont envisageables. après avoir assisté a la mort de l'honorable feu Boudhiaf, plus rien ne m'étonne.

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Vous tournez autour du pot et vous n'osez pas vous poser la question que soulève ce post à savoir pourquoi les autorités françaises protègent l'émissaire des GIA ???

On dirait que vous devenez moins loquaces dés qu'il d'agit des turpitudes de la France en Algérie , n'ayez pas peur et comportez vous en Hommes libres , nous sommes indépendants et des citoyens libres depuis 1962 !

Je suis sur que si c'était Boutef ou n'importe quel autre Algérien incriminé , ce post aurait eu plus de succés !!!

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Guest mackiavelik
Vous tournez autour du pot et vous n'osez pas vous poser la question que soulève ce post à savoir pourquoi les autorités françaises protègent l'émissaire des GIA ???

!

 

la France protege les services de renseignements secrets algériens...ils sont complices dans ses tueries

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la France protege les services de renseignements secrets algériens...ils sont complices dans ses tueries

Voilà , ça peut être une explication donc l'etat de droit en France est une fumisterie car moi , je suis pour qu'on leur livre les criminels qui ont assassiné ces pauvres moines ; le peuple algérien est innocent de ces agissements criminels !

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Guest l'observateur
Voilà , ça peut être une explication donc l'etat de droit en France est une fumisterie car moi , je suis pour qu'on leur livre les criminels qui ont assassiné ces pauvres moines ; le peuple algérien est innocent de ces agissements criminels !

:mdr:non ils veulent qu ils restent au pays

c'est mieux pour les :bicycle:

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Vous tournez autour du pot et vous n'osez pas vous poser la question que soulève ce post à savoir pourquoi les autorités françaises protègent l'émissaire des GIA ???

On dirait que vous devenez moins loquaces dés qu'il d'agit des turpitudes de la France en Algérie , n'ayez pas peur et comportez vous en Hommes libres , nous sommes indépendants et des citoyens libres depuis 1962 !

Je suis sur que si c'était Boutef ou n'importe quel autre Algérien incriminé , ce post aurait eu plus de succés !!!

tout à fait d'accord avec toi , il serait à la 30eme pages, avec plein leçon de droit de l'homme, d'honnetteté............

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Vous tournez autour du pot et vous n'osez pas vous poser la question que soulève ce post à savoir pourquoi les autorités françaises protègent l'émissaire des GIA ???

On dirait que vous devenez moins loquaces dés qu'il d'agit des turpitudes de la France en Algérie , n'ayez pas peur et comportez vous en Hommes libres , nous sommes indépendants et des citoyens libres depuis 1962 !

Je suis sur que si c'était Boutef ou n'importe quel autre Algérien incriminé , ce post aurait eu plus de succés !!!

 

Tout à fait

 

Pour la meme raison que les français ont ordonné la mort de Khaled Kelkal qui devait la responsabilité des attentats dits "islamistes"commis en france

 

Et l'assassinat de l'imam sahraoui à paris etc......

 

la france est un des parrains de notre guerre civile, il n'est pas le seul mais vu l'histoire c'est comme si l'Allemagne avait pour théatre d'opération la Pologne , c'est dire la gravité du role qu'elle jouât

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Tout à fait

 

Pour la meme raison que les français ont ordonné la mort de Khaled Kelkal qui devait la responsabilité des attentats dits "islamistes"commis en france

 

Et l'assassinat de l'imam sahraoui à paris etc......

 

la france est un des parrains de notre guerre civile, il n'est pas le seul mais vu l'histoire c'est comme si l'Allemagne avait pour théatre d'opération la Pologne , c'est dire la gravité du role qu'elle jouât

c'est bien expliqué et en detail dans le livre :

 

FRANÇALGERIE : CRIMES ET MENSONGES D'ETATS. HISTOIRE SECRETE, DE LA GUERRE D'INDEPENDANCE A LA « TROISIEME GUERRE » D'ALGERIE ...

Lounis Aggoun (Auteur), Jean-Baptiste Rivoire (Auteur):

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