Jazairi 10 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 Le montant des investissements a progressé de 70% durant l’année 2010, comparativement à l’exercice 2009. L’information a été révélée hier, par le directeur général de l’Agence nationale de développement des investissements (ANDI), Abdelkrim Mansouri. Le même responsable a justifié cette hausse des investissements, durant l’année écoulée, par les nouvelles mesures prises dans le cadre de l’amendement de l’ordonnance d’août 2001, relative à l’investissement. Il a également annoncé que le Conseil national de l’investissement (CNI) a examiné et approuvé 64 projets d’investissements nationaux et étrangers portant sur un montant global de 882,6 milliards de DA. L’ANDI a recensé 9.715 projets d’investissements, en 2010, dont 216 projets annulés, soit un nombre de 9.499 projets d’investissements éligibles aux avantages accordés par le dispositif d’encouragement des investissements, pour une valeur qui s’élève à 479,2 milliards de DA. Ces projets d’investissements déclarés sont répartis à raison de 9.488 projets initiés par des nationaux et 11 projets par des étrangers dont 7 vont être réalisés en partenariat alors que 4 sont des investissements directs étrangers (IDE) pour un montant global de 58,9 milliards de DA, selon le bilan 2010 de l’ANDI. Le CNI approuve tout projet impliquant des étrangers, ceux dépassant un montant de 500 millions de DA et les projets ayant bénéficié du régime de la convention (avantages accordés) et faisant l’objet d’une modification (prorogation de délai, dérogations...). Sur les 64 projets examinés par le CNI, 32 projets ont été présentés par des nationaux représentant 46% du montant global, soit 409,4 milliards de DA avec une prévision de création de 9.186 emplois. Les projets réalisés en partenariat totalisent 25 représentants, soit 6% du montant global avec 49,2 milliards de DA et une prévision de création de 2.511 emplois. Les investissements directs étrangers (IDE), d’une valeur de 424 milliards de DA, soit 48% du montant global sont au nombre de 7 projets, avec une prévision de création de 10.200 emplois. Le secteur de l’Industrie a constitué, en 2010, la part la plus importante en termes de nombre de projets avec 42 projets d’un montant de 435,8 milliards de DA, soit un taux de 49% du montant global déclaré et une prévision de création d’emplois pour ce secteur de 8.700 emplois. Le secteur du Tourisme, avec 7 projets, est par contre classé en 1ère position, en termes de création d’emplois (10.028), soit 48% du nombre d’emplois déclaré et en 2ème position en termes de valeur avec un montant de 396,9 milliards de DA. Quant au secteur des services, il vient en seconde position avec 10 projets examinés par le CNI, et portant sur des investissements de 20,3 milliards de DA, et une création de 2.229 emplois. Le secteur du BTPH a bénéficié de 4 projets pour 5,7 milliards de DA d’investissements et participera ainsi à la création de 762 emplois. Enfin, les Télécommunications ont un seul projet pour une valeur de 23,9 milliards de DA et qui devrait créer 156 postes d’emplois, un fois réalisé. Evoquant les grands projets d’investissements, approuvés par le CNI, le DG de l’ANDI a cité essentiellement les projets du Parc d’attraction Dounya (5,2 mds de DA), le complexe hôtelier Moretti (13,3 mds DA), le projet d’unité de fabrication de médicaments Sanofis Aventis (6,7mds de DA), le projet de production de tubes (Constantine) sans préciser sa valeur, 2 raffineries, une à Arzew (187,7 mds de DA) et la 2ème à Skikda (34 mds de DA), un projet de dessalement d’eau de mer à Chlef (15,4 mds de DA), rapporte l’APS. Abordant la progression des investissements durant l’exercice 2010, il a insisté sur « la volonté affichée des (opérateurs) étrangers qui adhèrent à la formule du partenariat d’investissement gagnant/gagnant, qui permet d’asseoir de nouvelles règles en rapport avec les objectifs de développement pour constituer un tissu industriel et de services structurants pour l’économie nationale ». Il a également relevé l’orientation progressive de l’investissement vers des secteurs d’activité plus diversifiés, convergeant ainsi avec les préoccupations nationales visant à densifier les investissements sur des créneaux hors hydrocarbures (Industrie, Tourisme... etc.). La situation des investissements en 2010, correspond parfaitement à celle de 2006, en termes de valeur et à celle de 2007 en termes de nombres de projets, qui toutes deux coïncidaient avec l’introduction des réformes apportées dans le cadre du dispositif réglementant les investissements. « Ces deux années préfiguraient déjà aux meilleures performances atteintes en 2008 », selon le même responsable. Ces bons résultats se sont répétés en 2009 et 2010 par la promulgation des LFC et préfigurent d’une évolution des investissements en général à partir de cette année, a t-il avancé. Le Quotidien d'Oran Citer Link to post Share on other sites
Jazairi 10 Posted March 15, 2011 Author Partager Posted March 15, 2011 Légère reprise des investissements étrangers en Algérie ALGÉRIE. L’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI) a indiqué que les projets d’investissements étrangers sont passés de quatre en 2009 à onze en 2010. Ces projets se répartissent en sept investissements avec des partenaires algériens et quatre investissements directs étrangers (IDE). L’ensemble de ces projets s’élèvent à 585 M € et proviennent pour l’essentiel de France, d’Italie, du Liban, de Turquie et des Emirats arabes. Trois secteurs concentrent ces investissements. Il s’agit de l’industrie, du BTPH et du tourisme. L’ANDI précise que ces projets devraient générer quelques 2 599 emplois directs. Cette légère reprise des investissements étrangers intervient au moment où les investissements projetés par des Algériens ont connu une sérieuse baisse (48%) avec 9 488 projets en 2010 contre 19 725 en 2009. Pour 2010, les investissements étrangers représentent 0,12% du total des investissements bénéficiant des avantages de l’ANDI et 12% de leur montant financier. Ils devraient par ailleurs générer 3% de l’ensemble des emplois. Avec les dernières mesures adoptées par les pouvoirs publics au profit des jeunes désireux d’entreprendre, l’investissement des nationaux devrait repartir à la hausse en 2011. Mardi 15 Mars 2011 © Copyright Econostrum.info Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 Le montant des investissements a progressé de 70% durant l’année 2010, comparativement à l’exercice 2009. L’information a été révélée hier, par le directeur général de l’Agence nationale de développement des investissements (ANDI), Abdelkrim Mansouri. Le même responsable a justifié cette hausse des investissements, durant l’année écoulée, par les nouvelles mesures prises dans le cadre de l’amendement de l’ordonnance d’août 2001, relative à l’investissement. Il a également annoncé que le Conseil national de l’investissement (CNI) a examiné et approuvé 64 projets d’investissements nationaux et étrangers portant sur un montant global de 882,6 milliards de DA. L’ANDI a recensé 9.715 projets d’investissements, en 2010, dont 216 projets annulés, soit un nombre de 9.499 projets d’investissements éligibles aux avantages accordés par le dispositif d’encouragement des investissements, pour une valeur qui s’élève à 479,2 milliards de DA. Ces projets d’investissements déclarés sont répartis à raison de 9.488 projets initiés par des nationaux et 11 projets par des étrangers dont 7 vont être réalisés en partenariat alors que 4 sont des investissements directs étrangers (IDE) pour un montant global de 58,9 milliards de DA, selon le bilan 2010 de l’ANDI. Le CNI approuve tout projet impliquant des étrangers, ceux dépassant un montant de 500 millions de DA et les projets ayant bénéficié du régime de la convention (avantages accordés) et faisant l’objet d’une modification (prorogation de délai, dérogations...). Sur les 64 projets examinés par le CNI, 32 projets ont été présentés par des nationaux représentant 46% du montant global, soit 409,4 milliards de DA avec une prévision de création de 9.186 emplois. Les projets réalisés en partenariat totalisent 25 représentants, soit 6% du montant global avec 49,2 milliards de DA et une prévision de création de 2.511 emplois. Les investissements directs étrangers (IDE), d’une valeur de 424 milliards de DA, soit 48% du montant global sont au nombre de 7 projets, avec une prévision de création de 10.200 emplois. Le secteur de l’Industrie a constitué, en 2010, la part la plus importante en termes de nombre de projets avec 42 projets d’un montant de 435,8 milliards de DA, soit un taux de 49% du montant global déclaré et une prévision de création d’emplois pour ce secteur de 8.700 emplois. Le secteur du Tourisme, avec 7 projets, est par contre classé en 1ère position, en termes de création d’emplois (10.028), soit 48% du nombre d’emplois déclaré et en 2ème position en termes de valeur avec un montant de 396,9 milliards de DA. Quant au secteur des services, il vient en seconde position avec 10 projets examinés par le CNI, et portant sur des investissements de 20,3 milliards de DA, et une création de 2.229 emplois. Le secteur du BTPH a bénéficié de 4 projets pour 5,7 milliards de DA d’investissements et participera ainsi à la création de 762 emplois. Enfin, les Télécommunications ont un seul projet pour une valeur de 23,9 milliards de DA et qui devrait créer 156 postes d’emplois, un fois réalisé. Evoquant les grands projets d’investissements, approuvés par le CNI, le DG de l’ANDI a cité essentiellement les projets du Parc d’attraction Dounya (5,2 mds de DA), le complexe hôtelier Moretti (13,3 mds DA), le projet d’unité de fabrication de médicaments Sanofis Aventis (6,7mds de DA), le projet de production de tubes (Constantine) sans préciser sa valeur, 2 raffineries, une à Arzew (187,7 mds de DA) et la 2ème à Skikda (34 mds de DA), un projet de dessalement d’eau de mer à Chlef (15,4 mds de DA), rapporte l’APS. Abordant la progression des investissements durant l’exercice 2010, il a insisté sur « la volonté affichée des (opérateurs) étrangers qui adhèrent à la formule du partenariat d’investissement gagnant/gagnant, qui permet d’asseoir de nouvelles règles en rapport avec les objectifs de développement pour constituer un tissu industriel et de services structurants pour l’économie nationale ». Il a également relevé l’orientation progressive de l’investissement vers des secteurs d’activité plus diversifiés, convergeant ainsi avec les préoccupations nationales visant à densifier les investissements sur des créneaux hors hydrocarbures (Industrie, Tourisme... etc.). La situation des investissements en 2010, correspond parfaitement à celle de 2006, en termes de valeur et à celle de 2007 en termes de nombres de projets, qui toutes deux coïncidaient avec l’introduction des réformes apportées dans le cadre du dispositif réglementant les investissements. « Ces deux années préfiguraient déjà aux meilleures performances atteintes en 2008 », selon le même responsable. Ces bons résultats se sont répétés en 2009 et 2010 par la promulgation des LFC et préfigurent d’une évolution des investissements en général à partir de cette année, a t-il avancé. Le Quotidien d'Oran A l'échelle d'un pays et ramené à l'euro ou le dollars, ce n'est pas grand chose mais la vrais question est : a quelles conditions , l'impact sur la création d'emplois et la valeur ajoutée que ça ramène au pays! Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 salam @ Adhar A l'échelle d'un pays et ramené à l'euro ou le dollars, ce n'est pas grand chose mais la vrais question est : a quelles conditions , tu peux developper stp , soit plus explicite , fais nous part de ton analyse l'impact sur la création d'emplois et la valeur ajoutée que ça ramène au pays! cela voudra-t-il dire parce que la valeur de l'apport est insignifiante qu'il ne faut rien faire ? c'est juste une question Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 @ Adhar tu peux developper stp , soit plus explicite , fais nous part de ton analyse cela voudra-t-il dire parce que la valeur de l'apport est insignifiante qu'il ne faut rien faire ? c'est juste une question Total déclare en 2010 plus de 70 milliards d'euros de bénéfice! le cac 40 + de 80 millliards pour un pays comme l'algerie, 424 milliards de dinars = + ou - 4.24 milliards d'euros c'est insignifiant !(en terme de valeur, c'est certes bon a prendre ) et puis l'investissement a l'échelle d'un pays , surtout en cette période de crise, n'est valable que son impact en création d'emplois ! (ex l'algerie a construit des centaines de km d'autoroute, mais l'impact sur la création d'emploi est nulle! car les autoroutes sont "importées clés en main) c'est les chinois qui on bossé - donc pas de retombés économiques certaines et palpables a cela s'ajoute, la valeur ajoutée, l'autoroutes est sans valeur ajoutée, même si elle facilitent la circulation des biens, personnes et services! Pour tirer l'europe de la crise au lendemain de la fin de la guerre de 1945, le plan Marshall avait pour but d'aider a développer l'europe, et sa base 'etait les grands travaux qui devaient embaucher du monde, et par la lancer la consommation et donc la production et l'ecomonie!! C'est mon point de vue. Citer Link to post Share on other sites
Cosner 10 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 salam @ Adhar je pose peut-etre une question simpliste , mais le developpement d'un pays ne passe pas par le developpement de son infrastructure et l'etat de la logistique de ses transports or si tu n'a pas d'autoroute, si tu n'a pas de ligne de chemin de fer , comment acheminer les matieres premieres , et exporté les richesses du pays impacté directement sur l'economie du pays ? Citer Link to post Share on other sites
ADHAR 110 Posted March 15, 2011 Partager Posted March 15, 2011 @ Adhar je pose peut-etre une question simpliste , mais le developpement d'un pays ne passe pas par le developpement de son infrastructure et l'etat de la logistique de ses transports or si tu n'a pas d'autoroute, si tu n'a pas de ligne de chemin de fer , comment acheminer les matieres premieres , et exporté les richesses du pays impacté directement sur l'economie du pays ? on parle d'infrastructures et de grands travaux qui justement favorisent l'acidité économique! il faut une infrastructure. c'est juste, mais la différence est : une infrastructure importée clés en main, , comme le cas des autoroutes algériennes, ne permettent pas l'embauche des algériens, ce qui permet de relancer l'économie, car avec des salaires distribués on relance la consommation et peut être même la sous - traitance la micro industrie qui va graviter au tour! Aujourd'hui, l'économie se calcule par sa capacité a créer de l'emploi Citer Link to post Share on other sites
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