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ou le va CPA ALGERIE


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Privatisation du CPA : le gouvernement a remis les documents aux banques candidates (exclusif)

Après plusieurs jours d’attente, le gouvernement a fini par rendre sa copie. Selon des informations recueillies par « toutsurlalgerie.com » auprès de sources proches du dossier, les banques candidates à la privatisation du Crédit Populaire d’Algérie (CPA) ont reçu, mardi 30 octobre dans la matinée, les documents nécessaires à l’établissement des offres techniques et financières. Avec la remise de ces documents, c’est une étape décisive du processus de privatisation du CPA qui vient d’être franchie.

 

Ces documents, essentiellement juridiques (le pacte d'actionnaire et le contrat de cession..) définissent les relations entre l’Etat actionnaire et le futur acquéreur des 51% du capital du CPA : management, décisions stratégiques…Ils permettront aux six banques candidates (BNP Paribas, Crédit Agricole, Banques Populaires, Société Générale, Citibank et Santander) de formuler leurs offres techniques et financières. En attendant, les candidats pourraient formuler –individuellement ou collectivement- des réserves ou demander des modifications sur certains points. Le gouvernement algérien choisirait alors de répondre favorablement à leurs requêtes ou les rejeter. Mais au regard des délais, les marges de négociations semblent limitées.

 

Depuis hier, les documents du gouvernement sont analysés par les équipes de juristes et de financiers des banques candidates. On ignore si les propositions du gouvernement ont suscité des réserves parmi certains candidats. Selon nos informations, dans les prochains jours, le gouvernement devrait adresser des correspondances aux six banques pour leur fixer une « date limite » de remise des offres. Pour pouvoir finaliser l’opération avant la fin de l’année 2007, l’Etat algérien pourrait choisir de fixer à la fin novembre cette limite. «Si tout avance comme prévu, l’opération pourrait être bouclée avant la fin de l’année », avance notre source. Mais, à Alger, on murmure que le président Bouteflika pourrait se mêler personnellement de ce dossier…:mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

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Guest Jouljoul

D'un côté, la privatisation fera que les employés de banque n'en feront plus à leur tête ... pendant le Ramadhan, la plupart partaient à 14h30 alors que l'horaire de fermeture des agences CPA était à 16h ... il fallait les trouver, ces employés modèles !

 

De l'autre, pourquoi l'ouverture à des capitaux étrangers ? Qu'est-ce qui prend au Gouvernement de faire pareilles choses ? Nous ne sommes pas dans la Communauté européenne, pour faire cela ! Ou dans les pays du Golfe ! D'un côté, on nous serine le rappel de la mémoire des martyrs de la guerre d'indépendance et, de l'autre, allons-y, ouvrons la porte comme Moïse a ouvert la mer !

 

Beaucoup de bravache quand il s'agit de lutter contre "le terrorisme" et pas fichu de contrôler, de mettre les courroies contre le laisser-aller dans les secteurs nationaux ! :mad:

 

Peu m'importe ce qu'écrit un journal comme El Moudjahid, peu m'importe qu'il y ait ou non démocratisation de l'enseignement (un peuple de diplômés, des journées "chômées"), qu'il y ait de l'électricité dans les villages (le gouvernement n'a pas inventé le fil à couper du beurre, n'importe quel gouvernement l'aurait fait, alors, ce n'est pas un cadeau !) ou soi-disant que des "millions" de logements ont été construits !

 

Je n'aime pas la poudre lancée à mes yeux ! parce qu'il faudra m'expliquer le pourquoi de la diaspora algérienne, ou le nombre de jeunes suicidés, ou les pères de famille obligés de recourir à un second emploi pour nourrir leurs familles, ou les jeunes filles diplômées végétant à la maison ... Poudre aux yeux !

 

Et nous nous offrons le luxe encore d'ouvrir le capital bancaire aux autres ! Avec les agios en prime qui arriveront au grand galop : un centime de compté pour tel service, un autre pour cet autre service, d'autres encore pour de mystérieuses opérations ... et le tout, en cash dans les poches des banques étrangères !

 

:mad:

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le pacte d'actionnaire et contrat cession KEL CONDITIONS

 

es six banques candidates à la privatisation du CPA (BNP Paribas, Crédit Agricole, Banques Populaires, Société Générale, Citibank et Santander) ont réservé un accueil mitigé aux documents contractuels qu’ils viennent de recevoir du gouvernement. Si certaines banques estiment que l’Etat algérien a fait de nombreuses concessions qui montrent son souhait de faire aboutir l’opération, d’autres pensent que le gouvernement est resté frileux sur plusieurs points. « On revient certes de loin dans ce dossier, mais le gouvernement aurait pu faire mieux pour garantir le succès total de l’opération », résume un proche du dossier. :mdr: :mdr: BOUTEFLIKA SUR LA TETE DE CHAQUE ALGERIEN:mdr:

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  • 2 weeks later...

Privatisation du CPA : Les offres seront remises avant fin novembre

 

Interrogé sur le processus de l’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie (CPA), Mohamed Djelab, le PDG de la banque, a indiqué, hier en marge de la rencontre sur le capital investissement, que les offres techniques et financières des six banques candidates seront soumises « dans quelques jours, en tout cas avant la fin du mois en cours ». Le processus semble ainsi avoir pris quelque retard, puisque le ministre des Finances, Karim Djoudi, avait annoncé que le dépôt des offres pour le rachat de la banque publique se fera « au plus tard fin octobre ». Les six banques retenues dans le cadre de la privatisation du CPA sont, rappelons-le, BNP Paribas, Crédit agricole, Banques populaires, Société Générale, Citibank et Santander.

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A moins de dix jours de la date limite pour la remise des offres techniques, le retrait de Santander de la course à la privatisation du Crédit populaire d’Algérie (CPA) se précise. Selon des informations recueillies par « toutsurlalgerie.com » auprès d’une source proche du dossier, la banque espagnole a informé récemment, via la compagnie Rothschild, le gouvernement algérien de son intention de ne pas déposer une offre pour la reprise du CPA. La date limite pour le dépôt des offres techniques a été fixée par le gouvernement au 26 novembre prochain.

 

En réalité, ce retrait annoncé de la banque espagnole ne constitue pas une surprise ni pour le gouvernement algérien ni pour les autres banques candidates. Depuis plusieurs mois déjà, des informations et des rumeurs circulent à Alger dans les milieux bancaires et financiers sur un probable retrait de Santander de la course (lire notre article du 27/09/2007). La banque espagnole a en effet multiplié les signaux indiquant sa volonté d’abandonner le dossier. Toutefois, pour ne pas froisser le gouvernement et le mettre en difficulté en plein processus de privatisation qui s’annonçait difficile, Santander a participé symboliquement à l’ensemble des étapes de l’opération.

 

Cet été, lors des opérations de due diligence menée par les banques candidates pour analyser les comptes du CPA, Santander s’est montrée très discrète. Alors que les cinq autres banques - BNP Paribas, Crédit Agricole, Banques Populaires, Société Générale, Citibank- avaient mobilisé de nombreux experts pour mener cette opération, la banque espagnole s’était contentée d’une mission symbolique confiée à quelques analystes.

 

«Depuis cette opération, les milieux bancaires ont compris que Santander ne souhaitait pas présenter une offre sur le CPA. Ce retrait annoncé n’est que la confirmation de ce que tout le monde attendait depuis longtemps », explique notre source. Les tensions algéro-espagnoles semblent avoir, en grande partie, motivé ce retrait. « Santander sait qu’elle n’a presque aucune chance de remporter le CPA. Pourquoi alors dépenser de l’argent et perdre du temps dans l’analyse et la constitution d’un dossier ? », s’interroge notre source.

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operation lourd

 

ne opération lourde et complexe

 

A propos des reports successifs de l’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie (CPA), «nous ne sommes pas à quelques semaines près», estime Mohamed Djellab, président-directeur général du CPA et président de l’Association des banques et établissements financiers (ABEF), qui intervenait sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale dont il était l’invité de la rédaction.

«C’est une opération lourde», ajoute-t-il, mais elle s’est déroulée dans de très bonnes conditions et le processus de sélection des repreneurs a été fait sur la base de critères très relevés, tient-il à souligner. Il confirme que la remise des offres techniques et financières se fera avant la fin du mois en cours, c’est-à-dire dans les prochains jours. Il rappelle que cinq banques internationales préqualifiées sont concernées pour entrer à 51% dans le capital du CPA. L’évaluation des offres se fera sous la conduite de l’actionnaire, a précisé le P-DG du CPA.

Rappelons que cette opération de privatisation partielle du CPA consiste en la cession d’un bloc unique de 51% à un partenaire stratégique seul alors que l’Etat conserve une participation de 49%.

On sait que le gouvernement veut accélérer le processus de mise en vente des banques publiques. Avant la finalisation de la privatisation du CPA, le ministère des Finances a annoncé la préparation de l’ouverture du capital, à 30%, de la Banque de développement local (BDL), qui est la plus petite des banques publiques. La procédure d’ouverture du capital se fera à travers un partenaire minoritaire avec transfert de management. La privatisation des banques est considérée comme une opération lourde et complexe. Concernant la monnaie maghrébine unique dont on a lu dans la presse qu’elle serait prête pour 2010, le P-DG du CPA et, en même temps, président de l’ABEF, fait remarquer que l’idée, «noble», concède-t-il, a été lancée par certains membres de l’Union des banques maghrébines mais il estime qu’il faut rester prudents et pragmatiques. C’est un aboutissement et pour y arriver, souligne-t-il, il faut réunir beaucoup de conditions préalables.

Il fait observer que l’Union des banques maghrébines essaie de mutualiser les efforts pour des chantiers communs. Pour ce qui est des banques publiques algériennes, M. Djellab estime que «nous sommes aux normes internationales», par exemple, toutes les transactions interbancaires sont dématérialisées, dit-il. Les choses avancent, considère-t-il, les banques publiques ont, depuis 2006, mené les études nécessaires à leur mise à niveau, elles rattrapent leur retard, résume-t-il.

Le P-DG du CPA tient à relativiser le problème des créances non performantes et pense qu’il faut agir en amont et en aval dans la politique de crédit appliquée par les banques publiques. Pour le CPA, il évalue la part des créances non performantes à 8 % dont la moitié est issue de crédits octroyés à la fin des années 1980 et au début des années 1990, au moment de l’ouverture de l’économie, rappelle-t-il.

Il a fait savoir auparavant que les banques publiques ont octroyé 90% des 2 000 milliards de DA de crédits alloués.:scooter: :scooter: :scooter: :p

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Guest Jouljoul

Ce qui est curieux, c'est que le gouvernement se soit abstenu d'ouvrir le capital aux actionnaires algériens ...

 

... ainsi les Algériens auraient commencé à "cultiver" la finance et cela leur aurait apporté quelques dividendes ou une action supplémentaire en chaque fin d'exercice ...

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Ils en auraient fait une 2 ieme khalifa bank.

 

Les Algeriens ont besoin d'apprendre le management.Le travail bel-maarifa,piston,chkaratte de dinars,c'est dépassé.Il faut se frotter aux etrangers,apprendre d'eux et redémarrer de bon pied.L'empirisme engendre déclin et pauvreté.

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Guest Jouljoul
Les Algeriens ont besoin d'apprendre le management.Le travail bel-maarifa,piston,chkaratte de dinars,c'est dépassé.Il faut se frotter aux etrangers,apprendre d'eux et redémarrer de bon pied.L'empirisme engendre déclin et pauvreté.

 

 

Je suis d'accord pour la question du management ... mais depuis le temps que nous, pôvres de nous, fréquentons les étrangers, nous n'avons appris qu'à utiliser leurs cuisinières, leurs refrigérateurs, un point, c'est tout.

 

... je me demande qui fabrique la monnaie algérienne :rolleyes: ...

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belle question.

 

Je suis d'accord pour la question du management ... mais depuis le temps que nous, pôvres de nous, fréquentons les étrangers, nous n'avons appris qu'à utiliser leurs cuisinières, leurs refrigérateurs, un pointt, c'est tout.

 

... je me demande qui fabrique la monnaie algérienne :rolleyes: ...

Se referer a da belaid dans sa gueguerre avec touati.je reve d'une oeillette Algerienne et non lisboeta.
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à qui profite la privatisation du CPA ?

 

:alucard: :alucard: :alucard: :scooter:

 

Le gouvernement s’apprête à privatiser le Crédit populaire d’Algérie (CPA). A l’issue de l’opération qui devrait s’achever dans quelques jours, le futur partenaire - probablement un français - va détenir 51% de la banque publique, l’Etat algérien conservera le solde.

 

Si les milieux d’affaires internationaux et le gouvernement algérien peuvent déjà se féliciter de l’aboutissement de cette privatisation, la première du genre en Algérie, la population algérienne a peu de raisons de se réjouir de cette opération. Certes, les Algériens devraient profiter de l’implantation d’un grand groupe bancaire étranger dans le pays. Elle va contribuer à créer des emplois et à introduire des améliorations dans le fonctionnement de la banque publique.

 

Mais, avec la privatisation du CPA, le gouvernement a négligé – volontairement ? - un détail d’importance. Explication : dans la majorité des pays du monde, les opérations de privatisation d’entreprises publiques s’accompagnent souvent d’introduction en bourse de ces dernières ou d’une offre à des conditions privilégiées sur une partie du capital réservée aux particuliers et aux salariés des groupes vendus. Objectif : faire profiter la population des richesses qui seront créées ultérieurement.

 

En effet, tout le monde le sait : dans quelques années, le CPA devrait atteindre des niveaux de rentabilité exceptionnels. Le marché bancaire algérien est très prometteur et l’arrivée d’un management international à la tête de la banque publique va, sans doute, contribuer à la rendre très rentable. Or, sans une participation directe des Algériens au capital du CPA, la richesse créée resterait entre les mains des deux actionnaires : l’Etat et le futur partenaire.

 

En Europe, toutes les opérations de privatisation dans les secteurs de l’énergie ou des télécommunications ont été accompagnées d’offres destinées aux particuliers. Les Saoudiens font encore mieux : le titulaire de la dernière licence mobile a été contraint d’introduire 20 à 30% de cette dernière en Bourse pour faire profiter les Saoudiens des richesses qui seront créées ultérieurement. «Imaginons si l’Algérie avait exigé la même chose d’Orascom pour lui attribuer le licence Djezzy. Les Algériens détiendraient aujourd’hui 20 à 30% d’une licence qui vaut plusieurs milliards de dollars. De telles opérations vont permettre à la fois de dynamiser la Bourse d’Alger et diversifier l’épargne des Algériens. On s’interroge pourquoi le gouvernement algérien refuse d’introduire de telles mesures», souligne un économiste interrogé par «toutsurlalgerie.com».

 

Le ministre des Participations, Hamid Temmar, continue de fuir le sujet. Interrogé sur la question, il s’est contenté de répondre : «ce n’est pas à nous d’imposer de telles mesures».:scooter: :giljotiini: :gun_guns: :gun_guns:

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Queske Se Passe Au Colisse

 

Le gouvernement algérien a annoncé aujourd’hui le gel du processus de privatisation du Crédit populaire d’Algérie (CPA). « Le ministère des Finances a décidé de surseoir à la privatisation du Crédit Populaire d'Algérie (CPA) en raison de l'impact non encore évalué de la crise internationale des crédits hypothécaires. Par conséquence, l'ouverture des plis, programmée pour lundi, a été reportée en attendant une meilleure visibilité sur les marchés financiers internationaux », indique un communiqué de ce ministère.

 

Les cinq banques candidates au rachat du CPA (BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale et Banque Populaire (France), ainsi que Citibank (Etats-Unis)) devaient initialement remettre leurs offres techniques et financières avant le lundi 26 novembre. L’espagnole Santander a décidé de jeter l’éponge en raison notamment des tensions entre Alger et Madrid.

 

Selon des informations recueillies par « toutsurlalgerie.com » auprès d’une source bancaire à Paris, c’est la banque Rothschild qui a conseillé récemment au gouvernement algérien de remettre à plus tard l’ouverture du capital du CPA. En charge du dossier, la banque française a estimé que l’Etat algérien ne pouvait pas espérer récolter une somme importante de cette privatisation. « Durant ces dernières semaines, toutes les grandes banques internationales ont perdu une bonne partie de leurs valorisations en Bourse. Aucune banque candidate ne pouvait dans un tel contexte prendre le risque vis-à-vis de ses actionnaires de signer un gros chèque pour s’emparer du CPA », explique notre source. Or, le gouvernement algérien, contrairement à ses déclarations publiques, souhaite récolter une somme importante de la privatisation de la banque publique. Un gros chèque ferait en effet oublier les ratés de cette privatisation:o

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  • 1 month later...

Les «créances douteuses» de la banque bloquent sa privatisation

 

Le CPA veut récupérer ses... 900 millions de dollars

 

Le Crédit populaire algérien (CPA) aurait finalement décidé de traquer les mauvais payeurs, selon le site électronique toutsurlalgérie.com dans son édition d’hier.

 

Le journal rappelle que dans la perspective de sa privatisation, la banque publique multiplie l’envoi aux autres banques de saisis arrêts sur les comptes de ses clients mauvais payeurs. Il s’agit d’un fait rarissime en Algérie pour une banque publique. Selon des spécialistes interrogés, le CPA émet chaque semaine des dizaines de saisis arrêts. L’objectif recherché est de traquer les clients mauvais payeurs et les obliger à régler leurs dettes envers la banque publique. A travers cette opération, le CPA compte réduire le taux de crédits impayés, notamment les crédits «bonne mine» et les créances douteuses. Les cinq banques candidates à son rachat dont BNP Paribas, le Crédit Agricole, Citibank, la Société Générale et Banque Populaire auraient émis des réserves sur le nombre important de créances douteuses qui gangrènent les comptes du CPA. Celles-ci s’élèvent à 900 millions de dollars. Des prêts ont été attribués à la fin des années 90 à des personnalités, porteuses de projets, mais ces projets n’ont, dans leur majorité, jamais vu le jour.

 

 

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Pour mettre fin à l’état déplorable du réseau routier et autoroutier

 

De nouvelles clauses et conditions liées à la permission de voirie

 

Un nouveau document officiel émanant du ministère des Travaux publics est en cours d’élaboration, il vise à mettre en relief les clauses et conditions générales des cahiers de charges liées à la permission de voirie.

 

 

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Le gouvernement s’engage à payer 4,3 milliards de DA aux producteurs privés

 

Crise du lait: sortie de tunnel?

 

La crise du lait touche-t-elle à sa fin ? Un accord a été, en effet, conclu hier entre les producteurs privés de lait et le gouvernement.

 

Une réunion s’est tenue hier au siège du ministère du Commerce, regroupant le Premier responsable du département, Hachemi Djaaboub, et les représentants des producteurs privés de lait ainsi que ceux de l’ONALAIT. Un accord est ainsi intervenu au moment où la majorité des producteurs privés, au nombre de 70, ont baissé rideau.

 

 

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L’un d’eux a été évacué vers les UMC

 

6 avocats en grève de la faim depuis 7 jours à Mascara

 

Les six avocats qui ont entamé une grève de la faim à Mascara, le 18 décembre, viennent de voir l’un d’eux évacué, hier après-midi, vers les urgences de l’hôpital Meslem.

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