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EN ISRAEL SE DESSINE ENFIN LE MEME CAS QU'EN LIBYE ET PERSONNE ABSENCE DE BHL


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BONJOUR

 

 

EN ISRAEL SE DESSINE ENFIN LE MEME CAS QU'EN LIBYE ET PERSONNE ABSENCE DE LA FRANCE ET DE BHL

ET LES GENS COMME CERTAINS FORUMISTES HUMAINISTE COMME ICI ET LA

ALORS ON VOUS ATTEND SUR CE DOSSIER LES PSEUDOS HUMAINS JUSTES

 

 

 

Gaza: le Jihad islamique tire une 2ème roquette et atteint la ...

L'Express - ‎Il y a 7 minutes ‎

BEERSHEVA (Israël) - Une deuxième roquette de type Grad tirée de Gaza a touché mercredi matin la ville de Beersheva, dans le sud d'Israël, sans faire de victime ni de dégâts, a déclaré un porte-parole de la police israélienne à l'AFP. ...

Tir de roquette sur le sud d'Israël Le Parisien

Le Djihad islamique revendique deux tirs de roquette sur Israël Le Monde

20minutes.fr - Le Figaro - AFP - nouvelobs.com

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BHL contrôle tout le microcosme politico-médiatique parisien ; il n y a ques les khorotos qui croient que les médias sont libres en France , d'ailleurs aucun de ces khorotos ne viendra commenter l'article qui suit :

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le 22/03/2011 par Sébastien Rochat

Derrière le sauveur de la Libye, découvrez le réseau BHL

 

Initiateur de la guerre de Libye, Bernard Henri Lévy est revenu sur le devant de la scène dans le rôle qu'il affectionne le plus: celui d'un intellectuel engagé, se battant pour une cause indiscutable. D'un reportage en Egypte pour Libération le 26 février à son invitation sur France Inter le 17 mars pour appeler à l'action militaire en Libye, BHL s'est exprimé une bonne douzaine de fois, en télé, radio ou presse écrite.

 

Derniers exemples en date : l'appel cosigné dans Le Monde avec seize personnalités en faveur d'une intervention en Libye, trois jours avant que l'ONU ne l'autorise, et la très étrange lettre ouverte critiquant l'opposition de l'Allemagne à cette résolution, publiée sur le site de sa revue, La Règle du jeu.

 

Mais derrière BHL, il y a son réseau, qui a commencé à cette occasion à entrer en action, et devrait monter en puissance ces prochains jours. Comment fonctionne ce réseau ? BHL lui-même nous a donné de précieuses indications pour le décrypter. C'était le 30 novembre dernier, au café de Flore, où l'on célébrait les 20 ans de sa revue, La règle du jeu.

 

Si vous avez déjà présenté le 20 heures, animé une matinale radio, un talk-show, ou dirigé l'une de ces publications (Le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur, Marianne, Le Point, L'Express), nous savons où vous étiez ce soir-là. Imaginez le casting : Ardisson, Demorand, Fogiel, Elkabbach, Askolovitch, Giesbert, Joffrin, Barbier, PPDA, Hees, Val, Niel, Bergé ! Leur point commun ? Ils ont tous aidé BHL à un moment ou à un autre en lui tendant le micro ou la plume. S'il y a fort à parier qu'aucun de ceux-là ne reconnaitrait appartenir à un quelconque réseau BHL, les invitations à répétition parlent d'elles-mêmes.

 

Photos à l'appui sur son site et récit épique sous le titre "les dessous de la fête", BHL a mis en scène ce happening impressionnant, en publiant tous les noms des participants. Pour que vous puissiez admirer la manoeuvre, voici les noms, et les principales connexions dans les médias.

 

Pour identifier les membres du réseau présents à la soirée, rien de plus simple : ils ont été certifiés conformes par nos soins.

 

Quand BHL a un message à faire passer, il peut toujours compter sur Thierry Ardisson ou Marc-Olivier Fogiel. Alors le temps d'un anniversaire, les rôles ont été inversés : l'invité les a invités. Et La Règle du jeu était là pour immortaliser l'instant. Ce soir-là, "Thierry Ardisson et Marc-Olivier Fogiel se réconcilient dans le froid du trottoir : bien obligés, car il y a la queue, pour entrer". Le site précise qu'Ardisson a également "croisé Catherine Barma", son ancienne productrice, avec qui il était aussi brouillé.

 

Un Ardisson et deux réconciliations, c'est tout BHL, ça : même au Flore, il ne peut s'empêcher d'endosser son costume de casque bleu. Mais que faisaient Ardisson et Fogiel à cette soirée ? Ardisson est un vieux compagnon de route de Bernard-Henri Lévy. Lorsque ce dernier lance sa revue en 1990, Ardisson est déjà là : il l'invite dans son émission "Lunettes noires pour nuit blanche". Depuis, ils ne se quittent plus, BHL est devenu un intermittent du spectacle de l'Homme en noir.

 

Chaque année depuis près de dix ans, BHL a eu droit à sa tribune chez Ardisson : en 2000, il vient parler de son livre sur Sartre. Le 24 novembre 2001, il est invité pour évoquer son nouveau livre Réflexion sur la guerre, le mal et la fin de l'histoire. Le 27 avril 2002, il vient présenter son rapport sur la reconstruction en Afghanistan. Rebelote le 26 avril 2003, pour la publication de son livre sur Daniel Pearl. Quelques mois plus tard, il est invité à dîner par Ardisson pour une émission de Paris Première. Le 8 mai 2004, BHL récidive sur France 2 pour son livre Récidives (Ornella Muti est captivée).

 

Passé à Canal +, Ardisson continue de l'inviter : en septembre 2010, BHL vient évoquer son combat pour Sakineh et les 20 ans de La Règle du jeu. Et quand BHL n'est pas invité, c'est sa femme, Arielle Dombasle, qui prend le relais, avec cinq passages dans Tout le Monde en parle (20 mars 1999, 28 septembre 2002, 2 octobre 2004, 6 mars 2004, 22 janvier 2005).

 

Mieux, si la famille BHL n'est pas disponible, c'est le biographe, Philippe Boggio qui a droit à la tribune d'Ardisson, sans la moindre contradiction. Celui-ci peut par exemple comparer BHL à Jésus (figurez-vous que BHL a eu des stigmates - comprendre les mains en sang - suite à son échec cinématographique), sans que personne ne trouve rien à en dire sur le plateau...

 

Après autant de passages, la moindre des choses était de rendre hommage à Ardisson. A l'occasion de la sortie son autobiographie par exemple !

 

Les historiens, quand ils voudront comprendre comment fonctionnait vraiment, à la fin du XXe siècle puis au début du siècle suivant, ce que Guy Debord appelait le «spectaculaire intégré», auront, avec les «Confessions d'un baby-boomer» de Thierry Ardisson (Flammarion), un document de choix", explique BHL dans sa chronique du Point du 22 septembre 2005.

 

Et de poursuivre : "Tout y est. Toute la grosse machine à produire l'imaginaire et l'esprit du temps. Ses premiers et ses seconds rôles. Ses soutiers. Ses figurants. Ses tycoons. Ses vedettes. Ses victimes expiatoires. (...) Son goût de la provocation et sa nostalgie du moralisme. Ses révoltes formatées. Ses théodicées cathodiques". Bref, achetez le livre !

 

Quelques mois après cette plaidoirie, BHL récidive dans le magazine Médias d'avril 2006. Quand on lui demande pourquoi il va chez Ardisson, la réponse fuse : "Parce que c’est encore l’un des meilleurs. Vous direz ce que vous voudrez d’Ardisson. Vous direz ce que vous voudrez de ses lubies, de ses bizarreries, de ses obsessions chroniques, historiques, royalistes, etc… Reste qu’il est ainsi fabriqué que ça le passionne d’avoir un type qui vient lui parler des guerres oubliées au Soudan, au Sri Lanka ou au Cachemire. (...) Les débats intellectuels et politiques le passionnent et ça se voit". Vous l'aurez compris, pour être l'un des meilleurs intervieweurs, mieux vaut avoir posé des questions à BHL...

A côté d'Ardisson, Fogiel fait figure de débutant puisqu'il ne l'a invité "que" deux fois à la télévision, en 2002 et 2007. Cependant, MOF apprend vite. Passé sur Europe 1 en 2009, Fogiel a accéléré les invitations. En moins de deux ans, BHL a été invité trois fois de la matinale d'Europe : le 23 juin 2009 sur la répression en Iran, le 3 mai 2010 pour défendre Polanski et en novembre 2010 pour Sakineh.

 

Fogiel est donc un peu moins béachélo-compatible qu'Ardisson, mais il se soigne. De toute façon, l'hyper-philosophe ne peut pas être partout, il faut aussi lui libérer son agenda pour aller... chez Franz-Olivier Giesbert par exemple.

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EN PALESTINE

OUI ICI ON A PAS DE PESIDENCE

MAIS UN PEUPLE QUI SE MEURE

 

LUI ET SES DERIGEANTS OU CES DERIGEANTS SONT ASSASINER PAR ISRAEL DANS LE BUT DE RETARDER OU DE VAINCRE LA PALESTINE

 

ET LE MONDE ARABE

 

NON LE MONDE ARABE N'EST PAS MORT

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Après la paire Fogiel-Ardisson, ne manquez pas Giesbert et Demorand

 

La présence au Flore du directeur du Point, magazine dans lequel BHL tient une chronique hebdomadaire, ne surprendra pas. BHL est un habitué de ses émissions: Giesbert l’a reçu le 24 janvier 2002 et 30 avril 2003 dans "Culture et dépendance" (France 3), le 24 novembre 2007 dans l'émission "Chez FOG" (France 5), le 5 mars 2010 dans "Vous aurez le dernier mot" (France 2) et le 10 décembre 2010 dans "Semaine Critique" (France 2).

 

Et si vous en avez marre de voir BHL à la télévision, vous pouvez toujours l'écouter à la radio... Au hasard, demandez à Nicolas Demorand. Avant de passer à la tête de Libération, c'était l'un des animateurs phares de radio-BHL.

 

 

Le site Acrimed a relevé pas moins de six passages du philosophe du Flore dans la matinale de France Inter entre 2007 et 2009 : "Il était déjà venu faire la promotion de son livre co-écrit avec Michel Houellebecq (10 octobre 2008), on l’avait entendu soutenir la députée néerlandaise d’origine somalienne Ayaan Hirsi Ali menacée de mort (7 février 2008), donner son avis sur l’affaire de l’Arche de Zoé (5 novembre 2007), faire le point sur l’état de la gauche française à l’occasion de la sortie d’un de ses livres (9 octobre 2007), et commenter un documentaire élogieux sur sa personne (4 février 2009). Le 9 novembre 2009, il est présent pour célébrer son propre rôle dans la chute du mur de Berlin".

 

L'année 2010 a également été un bon cru : Demorand a invité BHL sur Inter le 19 février en pleine affaire Botul, au cours d'un match assez terrible pour le philosophe moqué.

 

Heureusement pour BHL, deux jours plus tard, il n'y a pas eu de match sur France 5 : Demorand a eu la délicatesse de ne pas lui parler de Botul. Les chaînes passent, les invités restent : une fois parti de France Inter pour Europe 1, Demorand n'a pas perdu le numéro de téléphone de BHL et l'a invité le 24 août 2010, soit le deuxième jour de sa présence sur la radio de Lagardère, pour parler de Sakineh.

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Karl Zéro, Laure Adler et la technique du sapeur-pompier BHL

 

Ardisson, Giesbert, Fogiel et Demorand, c'est donc le quarté gagnant pour BHL. Mais quand ils ne sont pas disponibles, Lévy peut compter sur un deuxième pool d'attachés de presse. Parmi eux, Karl Zéro dont les liens avec BHL sont anciens. D'après nos recherches, Bernard-Henri Lévy n'a pas ménagé ses efforts pour attirer la sympathie de l'ex-animateur-producteur de Canal+. D'abord en le faisant tourner dans son film, Le jour et la nuit, en 1994. Ensuite, en prenant systématiquement sa défense quand il était attaqué à cause de son émission Le Vrai Journal (Canal+).

 

BHL est ainsi venu au secours de Karl Zéro en 1996 dans sa chronique du Point. Accusé de dérives droitières, l'animateur de Canal+ peut compter sur le soutien du philosophe qui écrit dans son "bloc-notes" du 21 septembre 1996 : "Je connais un peu Karl Zéro. Et je crois, en vérité, qu'on lui fait là un bien mauvais procès.

 

 

"La vraie question : le type d'humour qu'il pratique - grinçant, parfois cruel, entre Jouvet et, justement, Desproges. L'autre vraie question : celle du statut d'un « journal » qui, mêlant info et intox, oscillant entre gag et enquête, fourguant de la connaissance à des gens qui, au fond, viennent d'abord là pour rire, assume une fonction qu'il faut bien, à la lettre, appeler pédagogique. Zéro, pédagogue ? Il y avait, dans son Vrai journal de la semaine dernière, une enquête sur les crimes pédophiles dont l'extrême brutalité, parfois la crudité, nous en disait soudain plus long que bien des indignations convenues". Les talents de pédagogue de Karl Zéro étaient de nouveau salués quelques mois plus tard dans une autre chronique de BHL datée du 7 décembre 1996 : "Karl Zéro est de retour. Au sommaire de son nouveau Vrai journal un reportage sur Le Pen commenté par Guy Konopnicki et qui, à lui seul, justifierait la reprise de l'émission."

 

Un film, une défense et un hommage, jackpot ! Dans les années qui suivent, BHL est invité à plusieurs reprises par Karl Zéro: le 21 octobre 2001, pour la promo de son livre Réflexions sur la guerre, les 29 avril et 5 mai 2002 pour commenter les deux tours de la présidentielle. Et plus récemment, sur BFM TV en mars 2010.

 

C'est la même stratégie qui a sans doute permis à BHL d'obtenir ses entrées chez Laure Adler .

 

En 1995 d'abord, en rendant hommage à celle qui vient de prendre les commandes du Cercle de minuit sur France 2 : "On ne remarque pas assez, soit dit en passant, qu'elle a non seulement «repris» l'émission de Field, mais qu'elle a réussi - bien plus rare et plus exceptionnel ! - à la transformer, l'éclipser et, au fond, la faire oublier", écrit-il le 8 avril. Quatre ans plus tard, dans les mêmes pages du Point, BHL vient à la rescousse de celle qui a pris la direction de France Culture et qui doit faire face à une grève: BHL déplore "qu'une femme [soit] attaquée avec tant de bassesse", et demande qu'on la juge "sur pièces".

 

 

Dès lors, BHL pourra compter sur le soutien de France Culture. Comme par exemple le 28 avril 2003, où la station organise une journée spéciale pour la sortie du "romanquête" béachélien sur Daniel Pearl avec pas moins de trois émissions spéciales ! Depuis, les deux compères se croisent de temps en temps, à la remise du prix Lilas 2009 par exemple ou depuis peu, au conseil de surveillance du Monde version Berger-Niel-Pigasse (BHL et Adler y sont entrés en même temps).

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BHL contrôle tout le microcosme politico-médiatique parisien ; il n y a ques les khorotos qui croient que les médias sont libres en France , d'ailleurs aucun de ces khorotos ne viendra commenter l'article qui suit :

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le 22/03/2011 par Sébastien Rochat

Derrière le sauveur de la Libye, découvrez le réseau BHL

 

Initiateur de la guerre de Libye, Bernard Henri Lévy est revenu sur le devant de la scène dans le rôle qu'il affectionne le plus: celui d'un intellectuel engagé, se battant pour une cause indiscutable. D'un reportage en Egypte pour Libération le 26 février à son invitation sur France Inter le 17 mars pour appeler à l'action militaire en Libye, BHL s'est exprimé une bonne douzaine de fois, en télé, radio ou presse écrite.

 

Bonjour Jazairi

il faut le denoncer et l'accuser de meurtrier a son tour et le declarer criminel car il manipule et met en guerre des pays

 

cet homme est dangereux dans son role de dictate d'ailleur et de defensseur d'israel et Oeuvre pour elle et que pour elle en verité ect...

 

OUI IL FAUDRA LES DECLARER LUI ET TOUTES LA BANDE

QUE TARIK RAMADAN ETAIT ARRIVER A LES ANEANTIR PENDANT QUELQUES TEMPS

FINKELKRAUTE ADLER ET LE RESTE

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BHL-PPDA-OPDA : la combinaison gagnante

 

Couvrir d'éloges des journalistes, c'est bien. Quand ils sont deux, c'est encore mieux. Avec la famille Poivre d'Arvor (Patrick et Olivier), BHL a fait coup double. Quand il prend la défense de l'un, il peut compter sur le soutien de l'autre.

 

Comme souvent, l'histoire débute par un coup de main du philosophe du Flore. En 1995, alors que PPDA est empêtré dans l'affaire Botton (Poivre sera condamné en 1996 à 15 mois de prison avec sursis et 200 000 francs d'amende pour "recel d'abus de biens sociaux"), BHL prend sa défense dans une mémorable chronique du Point :

 

 

"Chacun sait - ou sent - l'absurdité des accusations portées contre le journaliste. Chacun sait - ou peut vérifier - que sa familiarité avec l'homme d'affaires, par ailleurs gendre du maire de Lyon, n'a pas eu d'effet concret sur sa façon de concevoir ses journaux et d'exercer, donc, son métier. Mais la machine est lancée (...) Société du spectacle pour société du spectacle, je le préfère à l'antenne (où il est irremplaçable) qu'à la barre du « procès de l'année » (où il ne fera, je le crains, qu'une inutile figuration)". Quel avocat ! Une telle défense forcément, cela rapproche.

 

De quoi largement ouvrir les portes de l'émission littéraire de PPDA : BHL est l'invité de Vol de nuit à trois reprises sur TF1 (8 novembre 2001, 29 avril 2003, 29 octobre 2007).

 

En 2007, BHL prend de nouveau la défense de Poivre lorsqu'il est évincé du 20 heures de TF1, pour des raisons forcément politiques si l'on en croit la chronique du 19 juin 2008 : "Poivre était -et, grâce au ciel, il reste-un électron libre, un journaliste indépendant et parfois capricieux, un homme qui avait ses convictions, ses émotions, pas toujours compatibles avec l'univers ouaté, aseptisé, formaté, mis au carré, qu'on croit devoir offrir à la trop fameuse ménagère de moins de 50 ans. François Mitterrand, qu'il agaçait, en rêvait. Nicolas Sarkozy, qu'il exaspérait, l'a fait". PPDA repeint en rebelle de l'info limite anarchiste, il fallait oser... BHL n'aura pas affaire à une famille ingrate. Le 6 septembre 2010, Olivier Poivre d'Arvor prend la tête de France Culture. Et moins d'un mois après sa prise de fonction, il s'occupe du cas BHL. Solidarité familiale oblige ?

 

Le 30 septembre, France Culture organise une journée spéciale "Femmes d’Iran" avec en guest star un certain... Bernard-Henri Lévy, annoncé par le directeur de la station lui-même dans une interview : "Le seul homme ‘autorisé’ à parler, ce sera Bernard-Henri Lévy, à l’origine de la mobilisation autour de Sakineh, sinon ce sont essentiellement des femmes" indique OPDA au site Elle.fr.

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Karl Zéro, Laure Adler et la technique du sapeur-pompier BHL

 

Ardisson, Giesbert, Fogiel et Demorand, c'est donc le quarté gagnant pour BHL. Mais quand ils ne sont pas disponibles, Lévy peut compter sur un deuxième pool d'attachés de presse. Parmi eux, Karl Zéro dont les liens avec BHL sont anciens. D'après nos recherches, Bernard-Henri Lévy n'a pas ménagé ses efforts pour attirer la sympathie de l'ex-animateur-producteur de Canal+. D'abord en le faisant tourner dans son film, Le jour et la nuit, en 1994. Ensuite, en prenant systématiquement sa défense quand il était attaqué à cause de son émission Le Vrai Journal (Canal+).

 

BHL est ainsi venu au secours de Karl Zéro en 1996 dans sa chronique du Point. Accusé de dérives droitières, l'animateur de Canal+ peut compter sur le soutien du philosophe qui écrit dans son "bloc-notes" du 21 septembre 1996 : "Je connais un peu Karl Zéro. Et je crois, en vérité, qu'on lui fait là un bien mauvais procès.

 

 

"La vraie question : le type d'humour qu'il pratique - grinçant, parfois cruel, entre Jouvet et, justement, Desproges. L'autre vraie question : celle du statut d'un « journal » qui, mêlant info et intox, oscillant entre gag et enquête, fourguant de la connaissance à des gens qui, au fond, viennent d'abord là pour rire, assume une fonction qu'il faut bien, à la lettre, appeler pédagogique. Zéro, pédagogue ? Il y avait, dans son Vrai journal de la semaine dernière, une enquête sur les crimes pédophiles dont l'extrême brutalité, parfois la crudité, nous en disait soudain plus long que bien des indignations convenues". Les talents de pédagogue de Karl Zéro étaient de nouveau salués quelques mois plus tard dans une autre chronique de BHL datée du 7 décembre 1996 : "Karl Zéro est de retour. Au sommaire de son nouveau Vrai journal un reportage sur Le Pen commenté par Guy Konopnicki et qui, à lui seul, justifierait la reprise de l'émission."

 

Un film, une défense et un hommage, jackpot ! Dans les années qui suivent, BHL est invité à plusieurs reprises par Karl Zéro: le 21 octobre 2001, pour la promo de son livre Réflexions sur la guerre, les 29 avril et 5 mai 2002 pour commenter les deux tours de la présidentielle. Et plus récemment, sur BFM TV en mars 2010.

 

C'est la même stratégie qui a sans doute permis à BHL d'obtenir ses entrées chez Laure Adler .

 

En 1995 d'abord, en rendant hommage à celle qui vient de prendre les commandes du Cercle de minuit sur France 2 : "On ne remarque pas assez, soit dit en passant, qu'elle a non seulement «repris» l'émission de Field, mais qu'elle a réussi - bien plus rare et plus exceptionnel ! - à la transformer, l'éclipser et, au fond, la faire oublier", écrit-il le 8 avril. Quatre ans plus tard, dans les mêmes pages du Point, BHL vient à la rescousse de celle qui a pris la direction de France Culture et qui doit faire face à une grève: BHL déplore "qu'une femme [soit] attaquée avec tant de bassesse", et demande qu'on la juge "sur pièces".

 

 

Dès lors, BHL pourra compter sur le soutien de France Culture. Comme par exemple le 28 avril 2003, où la station organise une journée spéciale pour la sortie du "romanquête" béachélien sur Daniel Pearl avec pas moins de trois émissions spéciales ! Depuis, les deux compères se croisent de temps en temps, à la remise du prix Lilas 2009 par exemple ou depuis peu, au conseil de surveillance du Monde version Berger-Niel-Pigasse (BHL et Adler y sont entrés en même temps).

 

 

BHL , Adler sont , par hasard ...............Juifs !

Comme 80 pour cent du "personnel médiatique Français" :eek:

 

Rappelons juste que les juifs c'est ...........1 pour cent environ de la population totale en France!

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Duhamel, hees et val, Le trio de dirigeants

 

Parallèlement aux stars et animateurs, BHL avait également invité des dirigeants de médias. Parmi eux, l'ancien directeur général de France Télévisions, Patrice Duhamel mais aussi Philippe Val et Jean-Luc Hees de Radio France. Ils se connaissent tous très bien. Duhamel et Hees ont voté pour la reconduction de BHL à la tête du conseil de surveillance d’Arte. Quant à Val, c'est presque un intime. Relisons pour le plaisir l'édito dithyrambique que l'alors directeur de Charlie Hebdo écrivait en 2007 sur le livre de BHL consacré au PS :

 

 

"Dans ce livre intime et intense, il révèle des convictions, une vigilance et une réflexion quant aux principes de l’Etat de droit dont on ne peut pas dire qu’elles encombrent l’édition en ce moment. Ni le milieu médiatico-politique" (citations reprises par Acrimed). Un mois plus tard, rebelote, Val explique dans l'émission "Ça balance à Paris" sur Paris Première que "c’est un livre utile" pour tout un tas de raisons. Cette bonne critique n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd... Deux ans plus tard, en plein procès Siné (licencié par Val pour une chronique jugée antisémite), qui intervient au procès contre le dessinateur ? BHL bien sûr !

 

 

Lagardère, le seul invité en direct de son portable

 

Au Flore, un autre dirigeant était présent, enfin presque. Non pas physiquement, mais symboliquement dans le compte-rendu de la Règle du jeu : "Coup de téléphone d’Arnaud Lagardère qui veut parler à Bernard-Henri Lévy car s’annulant à la dernière minute".

 

 

On se demande vraiment pourquoi BHL souhaitait à tout prix indiquer que Lagardère devait venir: dans le réseau BHL, s'il y en a un qui ne fait pas mystère de son appartenance, c'est bien Lagardère. BHL a table ouverte dans tous les médias du groupe et ne cache pas son amitié pour la famille Lagardère. Tout a commencé avec le père, Jean-Luc. En 2002, dans une chronique, BHL prend la défense de celui qui tente alors de racheter, via Hachette, le pôle édition de Vivendi. Attention, c'est virulent, il ne faut pas toucher au groupe qui édite BHL (Grasset appartient à Hachette) : "On n'a pas le droit, face à des enjeux si sensibles, de proférer des contre-vérités. On n'a pas le droit de nous raconter qu'Hachette, qui contrôlerait, en cas de succès, un tiers de l'édition française, serait en position de «monopole» ou de prétendre que Hachette (...) créerait un régime de concentration «unique au monde». Et, à propos d'un éditeur qui, cela va sans dire, mais la mauvaise foi est telle que cela va visiblement mieux en le disant et, dans mon cas, en en témoignant, d'un éditeur qui fiche une paix royale à ses auteurs." En revanche, on a le droit de défendre Lagardère, ça peut toujours servir ! Et ce n'est pas le changement de direction (Arnaud succède à son père à la tête du groupe) qui modifie la stratégie de BHL : invité de RTL en décembre 2007, Arnaud Lagardère évoque son "ami BHL"... présent dans le public pour l'écouter.

 

Mais pourquoi diable Bernard-Henri fait-il tous ces efforts ? Pour le comprendre, il suffit d'écouter Europe 1, de lire Elle, Match ou Le JDD. Tentons l'expérience... Entre juin 2009 et janvier 2011, Bernard-Henri Lévy a eu le droit d'intervenir dans cinq matinales d'Europe 1 et trois émissions du soir. Huit passages, record à battre !

 

Il est ainsi intervenu pour parler de l'Iran (le 23 juin 2009), de Polanski (28 septembre 2009, 3 mai 2010, 13 juillet 2010), de son livre en pleine affaire Botul (10 février 2010), de Sakineh (28 octobre 2010, 18 novembre 2010) et du web tunisien juste avant la chute de Ben Ali (13 janvier 2011). A titre de comparaison, sur la même période, BHL n'a eu le droit qu'à deux passages sur France Info (25 septembre 2009, 29 novembre 2010) et deux passages sur RTL (23 septembre 2009, 14 mai 2010). Pourquoi tant d'invitations ? Il faudrait demander à Jean-Pierre Elkabbach qui le reçoit pour tous ces livres (celui sur Daniel Pearl en avril 2003, celui sur le PS en octobre 2007, et son dernier livre en février 2010).

 

Dans le groupe Lagardère, il y a également la presse magazine. Au choix : Paris Match, Elle ou Le JDD. A Match par exemple, Alain Genestar n'avait pas de mots assez forts dans un édito de 2003 pour vanter la richesse d'un "livre remarquable", "le plus fort qu'il ait jamais écrit" (Daniel Pearl). Plus récemment, le magazine avait consacré un long portrait à l'écrivain, comparé à Flaubert et auteur d'un "pavé impressionnant" (son dernier livre) où ressort "l'enthousiasme, la foi en l'homme, en ses combats, en son intelligence".

 

A Elle, BHL a pu compter sur le soutien de la directrice de la rédaction du magazine, Valérie Toranian dans son combat pour Sakineh. BHL y avait lancé un appel (3 novembre 2010) avant de donner une interview au magazine un mois plus tard (10 décembre 2010). Au JDD, BHL a croisé le chemin de deux autres journalistes : Christian de Villeneuve et Claude Askolovitch. Du temps où Villeneuve était directeur de la rédaction, BHL avait publié dans Le JDD des "carnets de guerre" sur la situation en Israël (18 janvier 2009). Quant à Askolovitch, BHL l'a d'abord flatté dans une chronique au Point pour son livre sur Jospin, "un livre tellement plus compliqué, subtil, retors, ambitieux, talentueux et, surtout, passionnant qu'une simple «bio»" (six qualificatifs dans une même phrase, chapeau l’artiste). BHL avait récidivé dans une autre chronique (2008) pour le livre sur Manuel Valls.

 

Askolovitch a su répondre à ces louanges. Il a orchestré une "opération de marketing" (dixit le site Acrimed) pour la sortie d'un des livres de BHL avec un titre choc en Une du JDD le 21 septembre 2008 : "Le livre secret enfin révélé" (non, ce n'est pas la Bible, seulement le livre BHL-Houellebecq). C'est encore Askolovitch qui est à la manœuvre quand BHL déclare au JDD en juillet 2009 que "le PS doit disparaître". C'est toujours Adskolovitch qui l'interroge en octobre 2009 pour commenter le Nobel d'Obama. Entre-temps, BHL a témoigné au procès contre Siné, suite à la publication d'une de ses chroniques que Claude Askolovitch avait considéré comme antisémite et pour laquelle Val l'avait licencié. Comme le monde est petit...

 

 

Le paysage est déjà assez encombré... sauf que la foule du Flore dépassait ces points d'ancrage principaux du réseau. Les dirigeants et des journalistes des quatre grands hebdomadaires (Le Nouvel Observateur, Le Point, L'Express, Marianne) et de deux grands quotidiens (Le Monde et Libération) avaient fait le déplacement...

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De la promo dans les hebdos...

 

BHL a toujours eu un pied dans la presse. Dans les années 1970, il collabore au journal Combat puis au Quotidien de Paris, deux publications dirigées par Philippe Tesson. Dans les années 1980, BHL écrit dans le mensuel Globe, créé par Georges-Marc Benamou avec l'aide de Pierre Bergé.

 

Et déjà à l'époque, BHL savait très bien utiliser son encadré à en croire le livre de Nicolas Beau, Une imposture française: "Ancêtre de sa chronique actuelle dans Le Point, cet espace lui permet d’édifier sa statue d’intellectuel et de promouvoir les intérêts de ses amis et autres obligés. Comme par exemple lorsqu’il prend position, en 1986, en faveur de la privatisation de TF1,(..) convoitée par son mécène Jean-Luc Lagardère". Lagardère déjà...

 

 

Mais la force de BHL, ce sont surtout ses liens avec les patrons ou les directeurs des hebdomadaires: Franz-Olivier Giesbert (Le Point), Christophe Barbier (L'Express), Claude Perdriel (Le Nouvel Observateur).

 

Au Point, outre sa chronique, BHL peut compter de temps en temps sur des papiers à faire rougir de plaisir n'importe quel auteur. Par exemple, en mai 2005, Albert Sebag (chef de service) annonce le succès du livre de BHL, American Vertigo... un an avant sa sortie en France : ce "nouveau livre, rassemblant la totalité du feuilleton paru dans Atlantic Monthly augmentée de l’ensemble de son périple américain - qui sera publié en janvier 2006 aux Etats-Unis, chez Random House, risque de dépasser les ventes du best-seller Qui a tué Daniel Pearl ?". Bravo ! Et une invitation au Flore !

 

 

Et quand ce ne sont pas des collaborateurs du magazine qui font l'éloge de BHL, c'est le chroniqueur Bernard-Henri qui s'y colle (un réseau, ça s'entretient).

 

C'est le cas par exemple avec Marc Lambron, écrivain et chroniqueur dans l'hebdomadaire de Giesbert. Le 31 août 2001, BHL est presque gêné de recommander son livre dans les pages du Point : "Je n'aime pas trop, en principe, dire du bien des livres que publie Grasset, ma maison d'édition depuis presque trente ans (encore que je devrai peut-être me faire une raison pour le Lambron, que je viens juste de finir et qui, avec le Houellebecq, devrait, en bonne logique, dominer cette rentrée littéraire)."

En 2007, le chronico-philosophe ne prend plus de gants pour "recommander vivement" la lecture d'un autre livre de Lambron.

 

 

Avec tout ça, Lambron aurait eu tort de ne pas venir au Flore... D'autant qu'il a eu des mots très gentils à propos d'Arielle Dombasle, comparée, selon le site de l'actrice-chanteuse, à "un air de Gluck, une silhouette de Mozart" (sic).

 

BHL est aussi très bien introduit au sein de L'Express. Christophe Barbier, directeur de l'hebdomadaire, ne manque jamais une occasion de faire la promo de l'homme à la chemise ouverte.

 

 

C'est lui qui fait l'interview pour la sortie des deux nouveaux livres de l'écrivain, lui encore qui s'émerveille du nouveau site web du philosophe qu'il qualifie de "décoiffant", toujours lui qui annonce le premier sur Lexpress.fr les initiatives de BHL (pour Polanski ou Sakineh).

 

 

Et quand BHL se trouve en difficulté avec l'affaire Botul, Barbier compte parmi les des défenseurs les plus acharnés du philosophe, comme nous vous l'avions déjà raconté : il avait d'abord minimisé la bourde sur Canal + avant de publier une plaidoirie surréaliste quelques jours plus tard : "Qu'il y ait, comme une tare, comme un gène national de prédisposition au fascisme dans notre pays est une thèse qu'il faut mettre en doute à grands renforts d'exemples et de démonstrations: le temps de cette idéologie fut une longue et funeste parenthèse courant de l'affaire Dreyfus à mai 1968, elle est refermée. Hélas, l'amalgame et l'acharnement anti-BHL dont l'affaire Botul est le théâtre tend à établir le contraire..." Discerner dans la polémique sur Botul une sorte de retour du fascisme, il fallait oser...

 

Le Nouvel Observateur est représenté par Claude Perdriel et Jean Daniel. L'octogénaire et le nonagénaire (à qui BHL avait rendu un vibrant hommage dans une chronique de décembre 2006), sont des fans absolus.

 

 

 

Même quand le site du Nouvel Obs révèle l'affaire Botul, Perdriel et Jean Daniel ne peuvent s'empêcher d'apporter leur soutien à... BHL. Perdriel d'abord : "Le jugement autour de BHL, je le trouve excessif. Il a toujours été avec courage du même côté que l‘Obs dans toutes les batailles importantes" explique-t-il à sa rédaction. Sur son blog, Jean Daniel enfonce le clou en expliquant que les mésaventures de BHL sont liées à son approche des médias (et non à un travail un peu bâclé) : "J’ai un jour été très bassement attaqué pour mon œuvre. Bernard-Henri Lévy a aussitôt pris ma défense, et d’une façon fidèle, radicale et spectaculaire. Je veux lui dire que je ne l’oublierai jamais et que si mes sombres prévisions se sont réalisées, j'en ai pour lui de la peine. J'ai toujours prévu qu’on lui ferait payer un jour, cher, trop cher, l’imprudente – certains diront l’indécente – façon qu’il avait d’apprivoiser, d’enchanter et de dompter les médias." Jean Daniel et Claude Perdriel en seraient presque à s'excuser au nom du Nouvel Obs...

 

Dernier hebdomadaire représenté au Flore : Marianne. Rien moins que son directeur Maurice Szafran, le directeur adjoint Joseph Macé-Scaron et un des journalistes de la rédaction, Alexis Lacroix (qui a publié un compte-rendu de la soirée sur Marianne2.fr). C'était le minimum syndical : selon le livre de Nicolas Beau, BHL a fait un chèque à Marianne quand l'hebdo a traversé des difficultés financières. Heureusement, il n'a pas eu affaire à des ingrats : en octobre 2009, dans un sondage exclusif sur l’influence et la notoriété des intellectuels français, BHL avait été sacré n°1.

 

 

Et pour la sortie de son dernier livre, il avait eu le droit de faire la Une de l'hebdomadaire sous le titre choc : "BHL affronte Marianne". Quel combat risqué ! Dans le système BHL, il y a une répartition des tâches : les hebdos pour la promo, et les quotidiens pour mener ses combats.

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BHL , Adler sont , par hasard ...............Juifs !

Comme 80 pour cent du "personnel médiatique Français" :eek:

 

Rappelons juste que les juifs c'est ...........1 pour cent environ de la population totale en France!

Rappelons juste que les juifs c'est ...........1 pour cent environ de la population totale en France

mais ils ont travaillé dur.et par tout les moyens (legaux , illegaux, noble ou pas).la fin justifie les moyens

ils avaient un objectifs et ils sont arrivé.

la reproche doit etre pour nous memes

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suite et fin

 

De la com' dans les journaux

 

Libération et Le Monde étaient les deux derniers journaux représentés à la soirée du Flore.

 

Libération était évidemment représenté par celui qui en était encore le directeur, Laurent Joffrin, mais aussi par un journaliste du quotidien, Eric Aeschimann. BHL étant actionnaire de Libération, il a tribune ouverte dans le quotidien. Selon notre décompte, pour la seule année 2010, BHL a écrit 5 tribunes : pour défendre les iraniens Jafar Panahi (23 décembre 2010) et Sakineh (13 juillet 2010, 20 novembre 2010, 10 décembre 2010), pour Israël (7 juin 2010). Il a également fait deux interviews pour le compte du quotidien en interrogeant l'ancien avocat de Sakineh (16 août 2010), et le fils de la détenue iranienne (3 septembre 2010).

 

Pour le journal Le Monde, Eric Fottorino (alors directeur du quotidien), Xavier Niel et Pierre Bergé (co-propriétaires) étaient présents au Flore, ainsi qu'Alain Frachon (directeur éditorial) et Franck Nouchi (journaliste passé par Le Monde des Livres et Le Monde magazine, qui partage souvent les mêmes points de vue de BHL, comme sur l'affaire Polanski ou Panahi).

 

Leur présence ne s'explique pas uniquement par l'entrée récente de Bernard-Henri Lévy au conseil de surveillance du Monde. Dans le qutoidien, il bénéficie régulièrement de papiers plutôt complaisants pour ses livres. En 1996, voilà comment le quotidien évoquait son ouvrage sur la Bosnie : "Courageux : on ne peut, sauf malhonnêteté, nier que Bernard-Henri Lévy le soit. Lucide et aigu : c'est une évidence lorsqu'on le rencontre. Pas toujours lorsqu'on le lit.

Convaincant : au fil des années, il l'est de plus en plus, à proportion de la haine que lui voue une certaine France, frileuse et néo-poujadiste". Dans l'affaire Botul, le quotidien a fait plus fort : après avoir évoqué avec distance "une boulette atomique", Franck Nouchi a salué l'attitude de l'écrivain, "avec esprit et humour, ce qui n'est pas si fréquent par les temps qui courent..." Et le quotidien a même publié une tribune de Ségolène Royal pour défendre BHL face à la vague botuliste. De quoi mécontenter un certain nombre de lecteurs, comme l'expliquait la médiatrice dans une chronique du 6 mars 2010 : "Bernard Henri Lévy ne possède aucun intérêt dans Le Monde. S'il a beaucoup signé, jadis, dans nos colonnes, notamment de 1998 à 2001, avec une série de reportages engagés, il n'a pas bénéficié d'un traitement de faveur en matière de critique (...) De plus, le rythme de ses articles, ces dernières années, ne dépasse pas la moyenne : quatre tribunes depuis un an, dont trois en cosignataire sur l'Unesco."

 

Encore un peu, et la médiatrice viendrait nous expliquer que BHL s’est fait plutôt discret dans les médias ces derniers temps...

 

Arrêt sur images - Derrière le sauveur de la Libye, dcouvrez le réseau BHL

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Bonjour Jazairi

il faut le denoncer et l'accuser de meurtrier a son tour et le declarer criminel car il manipule et met en guerre des pays

 

cet homme est dangereux dans son role de dictate d'ailleur et de defensseur d'israel et Oeuvre pour elle et que pour elle en verité ect...

 

OUI IL FAUDRA LES DECLARER LUI ET TOUTES LA BANDE

QUE TARIK RAMADAN ETAIT ARRIVER A LES ANEANTIR PENDANT QUELQUES TEMPS

FINKELKRAUTE ADLER ET LE RESTE

Tout à fait mais pour cela , il faut bien connaitre le personnage pour le démystifier auprés des khorotos de France et d'ailleurs quant à Finkielkraut et Zemmour , ils sont encore plus dangereux pour les minorités afro-arabo-musulmanes de France car si ils pouvaient attiser des émeutes raciales en France , ils le feraient sans états d'ame ; BHL n'est intéressé que par le projet sioniste alors que les deux autres sont foncièrement arabophobes , négrophobes et islamophobes !

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BHL , Adler sont , par hasard ...............Juifs !

Comme 80 pour cent du "personnel médiatique Français" :eek:

 

Rappelons juste que les juifs c'est ...........1 pour cent environ de la population totale en France!

Moi je suis un anti-sioniste primaire , secondaire et viscéral , je n'ai aucun problème avec les religions et puis un sioniste non juif peut être plus dangereux qu'un Juif sioniste ; mon père ,Allah yarhemou, m'avait appris tout petit que le larbin est souvent plus dangereux que son maitre !

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mais ils ont travaillé dur.et par tout les moyens (legaux , illegaux, noble ou pas).la fin justifie les moyens

ils avaient un objectifs et ils sont arrivé.

la reproche doit etre pour nous memes

 

C'est sur qu'ils ont travaillé dur mais ils ont quand même été aidés par leur appartenance "religieuse" ;)

 

Les reproches , Mr Ladoz en a toujours fait aux arabes de .............France sur ce point !

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Moi je suis un anti-sioniste primaire , secondaire et viscéral , je n'ai aucun problème avec les religions et puis un sioniste non juif peut être plus dangereux qu'un Juif sioniste ; mon père ,Allah yarhemou, m'avait appris tout petit que le larbin est souvent plus dangereux que son maitre !

 

Ce n'était nullement pour porter atteinte à l'ensemble des Juifs mais , plutôt pour souligner une aberration et , aussi , piquer au vif certains des nôtres qui ne font rien de bon en France et dans les pays occidentaux alors qu'ils pourraient :crazy:

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C'est sur qu'ils ont travaillé dur mais ils ont quand même été aidés par leur appartenance "religieuse" ;)

 

Les reproches , Mr Ladoz en a toujours fait aux arabes de .............France sur ce point !

 

moi je fais des reproches aux arabe de France et surtout aux arabes des pays arabes qui subissent (irak, libye..) l'influence des juifs sur les hommes politiques de l'occident qui gerent maitenant les affaire arabes , ces derniersc sont incapable de gerer quoique ce soit

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Moi je suis un anti-sioniste primaire , secondaire et viscéral , je n'ai aucun problème avec les religions et puis un sioniste non juif peut être plus dangereux qu'un Juif sioniste ; mon père ,Allah yarhemou, m'avait appris tout petit que le larbin est souvent plus dangereux que son maitre !

 

en parlant de larbins, le cas de zemmour est parfaitement illustratif......

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