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Comme cela est bizarre

Sans nous apercevoir

Voilà qu’on nous refait vivre l’histoire

Comme si on n'en avait pas marre

 

Ils se prennent pour des pharaons s'affichent comme dictateurs

Et prétendent comme le disait Hitler êtres la race supérieure

Alors ils s’autoproclament gendarmes, juges et avocats

Et se permettent de condamner comme renégats

 

Toute nation non soumise à leur diktat

Rien que pour cela à l'attaquer ils ouvrent droit

Qu’importe le nombre de morts

Au diable les survivants et leurs sorts

Tant qu’ils prétendront avoir raison et jamais tort

Tant qu’ils se croiront les plus forts

 

Ils font des mains et des pieds pour conquérir le monde

Et utilisent tous les moyens, ces bêtes immondes

Les guerres l’embargo la corruption

La torture le scandale la prostitution

 

Mais sans jamais pouvoir atteindre leur but final

Comme pas mal de conquérants avant eux à dos de cheval

Avaient crus avoir conquis le monde de parts en parts

Pour ensuite retourner humiliés à leur case de départ

 

Pourtant existent les vestiges de leurs prédécesseurs.

Qui leurs rappellent de ne pas commettre l’erreur

De semer sur terre l’injustice et la terreur

Sous peine de récolter tous les malheurs

De ne pas admettre qu’aucun peuple ne leur sera assujettis

Tant qu’ils se présenteront comme ennemis

 

Malgré tout cela ils ne cessent de battre leurs tambours

Par le biais de leurs troubadours

Pour inciter leurs légions chaque jour

A combattre même l’amour

 

Ils ne veulent pas reconnaître leurs défaites

Et de plus en plus ils s’entêtent

A considérer cela comme étant des succès

Cela est normal parce qu’ils sont tout simplement benêts

 

Ils prétendent que la technologie destructive ils l’ont acquise

Alors qu’en réalité sur elle ils n’ont aucune emprise

Au contraire elle ne fera que leur donner des surprises

Jusqu’à les pousser à commettre des sottises

 

Tel que partir en croisade, contre certaines peuplades

Avec leur politique de mascarade

Comme s’ils se rendaient à un bal

Par un jour de carnaval

 

Induisant ainsi en erreur leurs multitudes

Qui n’aspirent qu’à vivre dans la quiétude

Et qui leur en voudront de les avoir leurré

Jusqu’à les avoir agréé.

 

Ce jour là, ils deviendront comme cette grenouille.

Laquelle ! Pour qu’elle ne se mouille.

Quand la pluie tombe, dans l’eau plonge

N’est ce pas cela étrange !

 

Alors aussi longtemps qu’ils vivront

Aussi longtemps que vers la dérive ils iront

En s’attaquant même aux prophètes, aux saints et à Dieu

Ils crèveront à petit feu

 

En gouttant chaque jour la mort

A juste raison et non à tort

Sous formes de calamités naturelles

Qui surgiront jusque dans leurs citadelles

Sous forme de maladies nouvelles

Qui les contamineront à grande échelle

 

Ils deviendront la cible des nations éprises de paix

Qui les traduiront devant les tribunaux

Pour à vie les condamner

Eux et leurs vassaux

 

Ils deviendront la proie de leurs maîtresses

Qui les éclabousseront avec grande liesse

En mettant leurs corps et leurs âmes à nue

Sur la une de toutes les revues.

 

Ils deviendront la cible de leur progéniture

Qui rejettera leur démocratie sardonique

A la foi antinomique

En les poussant à s’auto- détruire

Pour ensuite les reproduire

Dans des feuilletons d’aventures

 

Ils sont plus à plaindre

Plutôt qu’à craindre

Ces gladiateurs de foire

Prédestinés aux geôles de l’histoire

 

Qui nous prennent pour des crédules

Jusqu’à vouloir nous faire admettre qu’une mule

Ait mise les pieds sur la lune

Et qui nous font divertir

Jusqu’à en mourir de rire

Lorsqu’on les voit occuper la scène

En se faisant passer pour des mécènes

 

Leur histoire est tellement drôle

Plus encore, je dirai même sotte

Qu’elle me rappelle Don Quichotte

Qui a déjà joué leur rôle

 

C’est pour moi un honneur d’avoir composer ce sujet

Sur ces diablotins, eux au moins c’est une réalité

Comparativement à ceux composés sur les loups-garous

Qui n’existent que dans la mémoire des fous.

 

Que ceux qui se reconnaissent à travers ces écrits

Sachent que d’avance ils sont maudits

Et que tous les supplices

Qu’ils goûteront sur terre

Ne sont que des délices

Comparés à ceux de l’enfer

 

Leur éternelle demeure

Où ils auront la joie et le bonheur

De se rassasier de toutes les horreurs

En compagnie du diable leur seigneur

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