Laziz 208 Posted March 26, 2011 Partager Posted March 26, 2011 Haine des juifs, hospitalité indoue, sang et âme dans la Bible, dépravation des mœurs, Elie Wiesel, dans son nouveau livre*, Rashi, d’un genre naïf, nous en conte de belles, des vertes et des pas mûres. C’est le diable qui bat sa femme et marie sa fille, pour étirer une formule chrétienne. C'est le titre que je voudrais donner à ma critque de ce livre. Je crois que je suis arrivé à la fin de mon travail. Je vous colle quelques lignes avant la conclusion. Vous êtes chanceux d'être les premiers à les lire. :D Citer Link to post Share on other sites
coraniste2010 10 Posted March 27, 2011 Partager Posted March 27, 2011 salam je suis curieux que c til passer de mal en inde avec la communauter juive Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 27, 2011 Author Partager Posted March 27, 2011 salam je suis curieux que c til passer de mal en inde avec la communauter juive Veux-tu reposer ta question avec plus de clarté? Nul part il est insinué ce que tu dis... Citer Link to post Share on other sites
coraniste2010 10 Posted March 27, 2011 Partager Posted March 27, 2011 regarde ilimage que ta envoyer il se peut quil se rend pas compte de se qui c passer en inde avec les juif Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 28, 2011 Author Partager Posted March 28, 2011 regarde ilimage que ta envoyer il se peut quil se rend pas compte de se qui c passer en inde avec les juif Raconte, parce que moi aussi je ne comprends pas ce que tu veux dire. Explique... Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 28, 2011 Author Partager Posted March 28, 2011 Il y a quelques années (décennies, devrais-je dire), à la sortie de ses mémoires, Tous les fleuves vont à la mer, j’avais envoyé à cet écrivain prolixe et rescapé des camps de la mort, qui reçu le prix Nobel de la paix en 1986, une lettre pour le féliciter et exprimer, entre parenthèses, quelques différents sur nos perceptions de l’Inde, pays qu’il avait visité et dont il critiquait les mœurs. Des juifs y avaient émigré au premier millénaire et s’étaient établis au Malabar, sur le littoral du sud-ouest. Il avait répondu. Vous vous rendez-compte, un Nobel qui répondait à l’Algérien que je suis, de parents musulmans! C’était gentil de sa part. Ma grand-mère, ma femme et moi Évidemment, il n’était pas d’accord. J’en étais resté là avec lui. Ses livres, traitant surtout de la culture juive, supérieure aux autres, par axiologie et dogmatisme, n’avaient pas grand attrait pour moi. Mais je gardais un œil sur lui. Vidéo tournée lors d’une visite dans ma famille. Machinalement, j’ai mis la main sur son livre, Rashi. Il y décrit « la vieille histoire, bête, ridicule, mais combien sanglante » du peuple juif, selon ses propres mots. C’est une suite de pogromes que leur font subir les chrétiens quasiment partout où ils s’établissent. Les musulmans ne sont pas en reste mais sont, de loin, moins fous. En Inde, c’est le contraire. Les juifs sont accueillis avec sympathie et les hindous leur offrent des terres pour s’y épanouir. Ce sont des faits historiques qui ne souffrent aucun doute. Pour prendre un autre exemple plus récent, en 1959, lorsque le présent Dalaï-lama fuira les terribles persécutions chinoises, qui ont encore cours aujourd’hui dans une relative mesure (au moment où j’écris ces lignes¹, la radio annonce l’interdiction aux étrangers de se rendre au Tibet, signes récurrents de graves événements : révoltes, inspirées par le Printemps arabe?), c’est en Inde que l’incarnation du Bouddha et représentant officiel du Tibet trouvera asile, avec des milliers d’autres réfugiés. Le gouvernement hindou leur offrira un territoire aux pieds de l’Himalaya, lieu qu’ils nommeront Dharmasala. Bref, comme j’aime l’histoire, de surcroît racontée par de bons écrivains, je me suis lancé dans la lecture de Rashi. Wiesel détaille avec art les singularités que l’on trouve dans l’Ancien testament. On sait de longue date que les perversions étaient courantes parmi le peuple juif, même chez leurs représentants spirituels les plus illustres. Dès les premières pages, Wiesel s’interroge sur les méfaits de Jacob, Ésaü et Ishmaël. Jacob, ne mentait-il pas comme il respire pour tromper son père aveugle? Non, c’était surtout son frère, nous dit Rashi, « Ésaü qui, hypocrite, faisait tout pour plaire à leur père afin d’être le premier béni. Autre exemple : le texte biblique raconte que ce jour-là Ésaü rentra des champs fatigué et affamé. Pourquoi fatigué? Pour Rashi (héros et titre du livre) la raison fut tout autre : il était fatigué de tuer. Pire : Rashi est convaincu qu’Ésaü était coupable des trois pires transgressions : idolâtrie, adultère et meurtre. » Ainsi de suite, de page en page, Wiesel nous fait l’exposé, comme s’il ne s’en rendait pas compte, de la barbarie de ce peuple qui se veut le favori de Dieu. Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 30, 2011 Author Partager Posted March 30, 2011 regarde ilimage que ta envoyer il se peut quil se rend pas compte de se qui c passer en inde avec les juif Hé coraniste, tu piles? Pourtant je crois que tu avais qqch d'intéressant à dire. Vas-y, parle... PS. Au cas où il y aurait confusion, c,est moi qui a écrit le dos de la couverture... Alors a+ Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 30, 2011 Author Partager Posted March 30, 2011 Où l’on apprend encore que: (l’astérisque signifie que j’ajoute des commentaires à la fin.) 1. Dieu souffre, lui-aussi, (à mon grand étonnement).* 2. Le désastre qui a induit le déluge fut une punition divine. 2 bis. Le lot d’Israël était d’aller d’un malheur à l’autre, à cause de leurs méfaits. 3. L’ennemie d’Israël sera toujours le christianisme. 4. Les enfants d’Israël sont souvent vulgaires et démoniaques.* 5. Rashi imprima le premier livre hébreu sur la Bible autour de 1470. 6. Rashi ne fut pas aussi critiqué que l’a été Maïmonide.* *Mes commentaires. 1. Souffre-t-il d’amour uniquement comme dans le Cantique des cantiques ou a-t-il aussi mal à la tête à cause des troubles constants que lui causent son peuple et le reste de sa création? 2 bis. Rashi : «Le Roi Salomon avait prévu, avec l’aide de l’esprit sain, que le destin d’Israël est d’aller d’exil en exil, d’une catastrophe à l’autre, et de se lamenter avec nostalgie en se rappelant le temps où elle était l’amante élue de Dieu.» 112 4. Ésaü et Lot, le neveu d’Abraham, sont des êtres douteux. «Ismaël? Guère séduisant non plus. Fréquentant les brigands, il imite leurs mœurs.» En outre, il est «idolâtre et violent.» Vous lirez à cette suite d’autres exemples plus rudes. 6. Rashi plaisait mieux au peuple que son coreligionnaire, Maïmonide. C’était un illuminé (dans le sens propre du mot) qui croyait aux miracles, comme à la prophétie selon laquelle, un jour, «à l’avènement messianique, le Troisième Temple descendrait du ciel tout près.» Ce ne doit pas être un jour à venir, mais d’un autre âge dont il doit faire allusion… Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted March 31, 2011 Author Partager Posted March 31, 2011 21. Jacob ment à son père aveugle mais Rashi ne le voit pas ainsi, ou ne veut pas le voir du tout.*21. Mon commentaire. «Au yeux de Rashi, Jacob ne mentira jamais», écrit Élie Wiesel. Peu importe les faits, je dois dire. Exemple : Jacob trompe son père aveugle en tentant de passer pour son frère: « Je suis Ésaü, ton ainé. » Rashi change la ponctuation et le sens des mots, ce qui donne : « Je suis qui je suis, et Ésaü est ton ainé. » Isaac, le père, sceptique, lui demande alors « Es-tu mon fils Ésaü? ». L’interlocuteur ne répond pas «Je le suis», mais «c’est moi». C’est qui, moi? Là encore, aux yeux de Rashi, l’un des plus fameux érudits du Pentateuque et du Talmud, Jacob est un juste et ne ment jamais. Il prêche ce qui lui semble bon pour son peuple. Ce qui n’est pas pour déplaire aux adeptes de l’Ancien testament; écoutez Marek Halter s’en féliciter: «La seule religion monothéiste non révélée est le judaïsme. Seuls les dix commandements ont été dictés par l’Éternel à Moise. Pour le reste, ce sont les hommes qui ont, à ma grande joie, transformé leur histoire, vrai ou mythique, en religion.» (C’est moi qui souligne.) On notera le peu de cas que la Bible fait des connaissances universelles en ce qui a trait à l’aveugle, tout comme son indigente connaissance de la nature en général, nature matériel, nature psychique ou nature spirituelle. Dans ce cas-ci, on veut nous faire accroire qu’autrefois l’aveugle, et pas n’importe lequel, ici une figure légendaire et un père de ‘l’humanité’, est un handicapé, borné grossièrement par son infirmité; Isaac est incapable de distinguer son fils aîné du plus jeune. Or n’importe qu’elle personne, avec un peu de bon sens et de culture, sait qu’un aveugle possède des perceptions plus sensibles que le commun des mortels, du moins assez pour deviner la différence dans le son de la voix, si ce n’est dans les vibrations qu’émettent les personnes en sa présence. Que dire de membres de la famille! En outre, Isaac est un héros spirituel, ce qui laisse franchement à désirer… Citer Link to post Share on other sites
coraniste2010 10 Posted March 31, 2011 Partager Posted March 31, 2011 Hé coraniste, tu piles? Pourtant je crois que tu avais qqch d'intéressant à dire. Vas-y, parle... PS. Au cas où il y aurait confusion, c,est moi qui a écrit le dos de la couverture... Alors a+ merci de men avoir un peu plus parler de se livre sinon desoler de mettre mal exprimer :p Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 1, 2011 Author Partager Posted April 1, 2011 merci de men avoir un peu plus parler de se livre sinon desoler de mettre mal exprimer :p AaarK! Je croyais que tu voulais parler de ce qu'on fait les musulmans aux juifs quand ils ont envahi l'Inde... Je croyais que tu étais au fait, mais il semble que non. merci d'avoir répondu, Aziz Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 29, 2011 Author Partager Posted April 29, 2011 7. À l’époque de Rashi, l’âme rivalise avec le corps qui a un pouvoir de résurrection.* 8. Israël n’est jamais entièrement coupable, même dans ses pires péchés. 8 bis. Un ange brûle les lèvres du grand prophète Isaïe.* 9. La terre d’Israël appartient aux juifs et non aux Palestiniens.* 10. Le Seigneur suprême est l’objet d’une illumination, (sans plaisanterie.)* 11. Dieu crée le monde absolument tout seul.* 12. Lorsque Dieu créa la Terre, le chaos précéda à la forme, à l’ordre. 13. Adam pratiquait la zoophilie.* *Mes commentaires 7. À la mort de Rashi, un disciple a écrit : «L’âme purifiée de notre Maître a quitté ici son corps pur.» Je ne suis pas certain que Rashi aurait sanctionné cette métaphore, mais il est vrai qu’à cette époque, les juifs avaient déjà intégré dans leur gnose, la notion de l’âme éternelle au dépend strictement de la résurrection du corps. En effet, cette dernière croyance battait de l’aile sous l’influence des Grecs et de l’évolution de la pensée occidentale en général. 8 bis. «Parce qu’il disait trop de mal de son peuple. » 9. «En ces temps-là, Chrétiens et Musulmans se faisaient la guerre pour la possession d’un bout de sol (sic) nommé Palestine: chacun sacrifiait son fils pour le posséder. Alors, le juif Rashi leur rappelle cette légende ancienne: «Un jour, les nations du monde diront aux juifs (Wiesel, par cette expression, fait très certainement référence aux arabes seulement, et non au monde entier…): cette terre est à nous, vous nous l’avez volée. Alors on leur répondra: la terre appartient à Dieu; Lui seul a le droit de dire qui y habitera. Et cette terre, il nous l’a donnée.» Cet argument ontologique me fait dire que c’est une pierre d’autel, sacrée, sur laquelle toute leur pensée est construite. Le raisonnement ne vaut que pour eux et ils l’utiliseront à l’envie. Car, toujours selon eux, ou la Bible, ce qui est pareil, le monde fut créé pour la Torah, ou pour Israël. On ne peut plus chauvin et cela pousse les orthodoxes à appliquer les instructions à la lettre : la terre d’Israël doit être interdite de séjour aux non juifs! 10. «Et Dieu vit que la lumière est le Bien et Il sépara la lumière de l’obscurité.» Ne pourrait-on pas postuler qu’ici la science expérimentale trouve sa source? Car c’est seulement en testant ses pouvoirs que Dieu juge du bien fondé de son action. Utilitarisme avant la lettre? Exprimé en termes philosophiques, je traduirais cette expérience de matérialiste. 11. Personne n’a assisté Dieu dans la création du monde, même pas les anges. Mais il ne faut pas voir dans cette attitude un écart de conduite de sa part, car il les consulta tout de même. La leçon est importante, elle démontre «le besoin de modestie chez les grands; qu’ils demandent toujours l’avis des petits.» En tout cas, en ce qui concerne la création peut-être, mais je ne crois pas que Yahvé ait toujours consulté ses sujets sur d’autres affaires, en l’occurrence morales. 12. On peut faire le rapprochement avec la notion du chaos à l’origine du monde chez les Grecs, mais ce ne serait pas d’une grande perspicacité : généralement toute création commence par des matières brutes. Yahvé, tel que le portrait est brossé dans la Bible, ne fait pas grand usage de magie ou de pouvoirs mystiques pour créer instantanément les éléments tels la terre ou le soleil. C’est plutôt laborieux chez lui, surtout qu’il est seul à retrousser ses manches. N’avait-il pas de personnels qualifiés pour l’aider dans sa tâche? Chez les Hindous par exemple, Dieu joue de la flûte et danse, comme nous l’a rappelé Friedrich Nietzsche. Vishnou ne s’occupe pas personnellement de la création des éléments à l’intérieur de l’univers, mais Brahma, sa progéniture, née de son nombril, sur une fleur de lotus. Il n’est pas venu au monde bébé et ignorant mais en pleine maturité. Comme il se retrouve dans le noir complet, dans l’univers vide et ténébreux, il décide de méditer pour comprendre. Voilà comme ça commence. Par cette méditation naissent les êtres et les éléments matériels nécessaires à l’édification de l’univers. Ce démurge est ainsi entouré de millions de dieux pour l’assister. Ils supervisent dorénavant la bonne conduite des planètes, des océans et des êtres. Dieu, Vishnou, leur fait entièrement confiance. À la rigueur, en certaines occasions il interviendra sous la demande de ses "ministres", si je puis dire. Cependant, cette implication se fera d’un point de vue politique et non pas pour mettre la main à la pâte. La conception védique de l’univers n’est pas prosaïque comme dans les religions monothéistes dont les cosmogonies se limitent à l’imagination humaine et primitive des tribus Israël. Ainsi voyait-on le monde: plat et sans profondeur. La Terre était le centre du monde. Tout tournait autour. Bosh Jérôme Quand Vishnou crée les millions et trillions d’univers, il ne transpire pas de fatigue, il n’a pas besoin de se reposer au septième jour, il le fait simplement du regard. Pendant ce temps, Lakshmi, sa compagne éternelle, est en train de le dorloter, elle lui masse les pieds. Telle est la puissance de Dieu dans la littérature védique, ce qui correspond mieux à l’idée d’un être suprême et tout puissant que les puérils contes de fée cousus de fils blancs par les juifs. 13. «Idée, frappante», souligne Wiesel au moment ou Adam voit pour la première fois la femme sortir de ses côtes: «Et l’homme dit : cette fois c’est un os de mes os et la chair de ma chair.» Wiesel commente ainsi cette particularité chez le premier homme : «Cela signifie qu’Adam s’était déjà accouplé avec des bêtes et des animaux, mais ne fut satisfait qu’en s’unissant à son épouse.» Épouse? C’est vite dit. Elle est issue de son propre corps. Généralement, on ne se marie pas avec un membre de sa famille génétique directe. Sinon c’est de l’inceste et engendre des débiles. D’un point de vue critique, je pense que le Dieu d’Israël aurait pu faire mieux avec plus d’imagination. Surtout qu’il n’y avait rien d’urgent. Citer Link to post Share on other sites
Guest Narjess Posted April 29, 2011 Partager Posted April 29, 2011 Salam Laziz. J'ai bien aimé ton passage sur la litterature hindou, ça m'a donné envie de me documenter un peu sur ce vaste sujet. Ainsi, j'ai appris que le plus grand poême jamais ecrit se prénomme Mahâbhârata... Je connaissais ce mot mais où l'avais je entendu ? Mahâbhârata... mais c bien sûr, le film de Peter Brooks que j'ai regardé il y a si longtems de ça et encore c'etait par accident, je pensais passer une bonne soirée bolywoodienne bien sucrée. Je m'en souviens ca m'a fasciné, les dialogues, la realisation, la grandeur epique de cette epopée... merci bien, tu m'a donné envie de le revoir avec mon regard d'adulte.;) [YOUTUBE]yDWGLLwAOwQ[/YOUTUBE] Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 Je connais ce film, et j'en ai fait une critique. Cela n'a rien à voir avec le Mhab. C'est décrit d'un point de vue très limité, style ethnologue qui analyse les mythes à partir de son monde à lui, de ce qu'il croit. J'ai essayé plusieurs fois de le regarder pour mon faire une idée, mais j'ai jamais pu aller très loin. Merci pour ton commentaire. Si tu me suis, je vais tâcher de parler de l'inde, ce qui me ferait beaucoup plaisir au lieu de tout ce bla bla bla sur les histoires et la politique d'ici. A+ PS. Tu vois, tu m'as encouragé à faire un effort, j,ai illustré le texte Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 J'ai vraiment du mal avec Wiesel qui pour moi est un escroc intellectuel, et a fait de la shoah business son principal crédo et continue de le faire. Il a réussi le truchement de faire admettre à coup de pression et de chantage affectif que la souffrance endurée par le peuple juif est la seule légitime qui demande réparation et mea culpa éternel ad vitam eternam et que pour ça Israël avait seul au Monde le monopole de la coercition d'Etat et de la violence "légitime". Je préfère 1000 fois mieux des auteurs comme Finkelstein dans "l'industrie de l'Holocauste" qui démonte un à un les rouages de ce business de la récupération mémorielle qui tourne à l'extorsion de fonds et dont les "vraies victimes" elles ne voient pas la couleur des billets verts et Stépahne Hessel qui ont de vraies analyses sur le judaïsme que Wiesel qui ne doit son succès qu'à ses pleurnicheries larmoyantes sur le passé. Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 Je préfère 1000 fois mieux des auteurs comme Finkelstein dans "l'industrie de l'Holocauste" qui démonte un à un les rouages de ce business de la récupération mémorielle qui tourne à l'extorsion de fonds et dont les "vraies victimes" elles ne voient pas la couleur des billets verts et Stépahne Hessel qui ont de vraies analyses sur le judaïsme que Wiesel qui ne doit son succès qu'à ses pleurnicheries larmoyantes sur le passé. Finkelstein a fait les camps? Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 Finkelstein a fait les camps? Non il est fils de rescapés des camps. Hessel lui a survécu aux camps. Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 J'ai vraiment du mal avec Wiesel qui pour moi est un escroc intellectuel, et a fait de la shoah business son principal crédo et continue de le faire. Non, ce n'est pas un escroc. Tu uses de mots inappropriés. Tu ne connais pas son parcours intellectuel, il me semble. Par contre, sa religion lui voile son jugement. Mais quand je dis ça, ce ne sont pas seulement des mots ou des paroles que je répète que d'autres ont prononcées. C'est mon étude. Son cas, que je mentionne là, est moins grave que les religieux musulmans. Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 Non, ce n'est pas un escroc. Tu uses de mots inappropriés. Tu ne connais pas son parcours intellectuel, il me semble. Par contre, sa religion lui voile son jugement. Mais quand je dis ça, ce ne sont pas seulement des mots ou des paroles que je répète que d'autres ont prononcées. C'est mon étude. Son cas, que je mentionne là, est moins grave que les religieux musulmans. Tu me connais pour savoir ou non mes lectures ? Je connais son parcours et sa doctrine de vouloir imposer Eretz Israël à la collectivité et sa justification systématique de la violence d'Etat et de s'approprier l'anti sémitisme comme unique délit réservé aux juifs, c'est une caution morale qui se sert de la Shoah comme chantage mémoriel pour imposer ses vues et pire pour faire du fric sur le dos des rescapés ce que je trouve extrêmement dangereux et honteux. Procure toi "l'industrie de l'Holocauste" et on en reparlera. PS : Finkelstein a été traité d'anti sémite à la sortie du livre (sic). Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 Tu me connais pour savoir ou non mes lectures ? . J'ai écrit Tu ne connais pas son parcours intellectuel, il me semble. Alors, soit un peu plus cool :cool: parce que déjà ton avatar est assez significatif pour que tu en rajoutes. Qu'est ce que tu lis dans ses livres qui te permet d,affirmer que c'est un escroc intellectuel ? As-tu lu une de ses biographies? Ses essais? Ensuite d'avoir ses convictions sur Israel qu'il veut imposer n'est pas de l'escroquerie, mais une légitimité qu'il revendique. D,ailleurs il a eu le prix Nobel de la paix. C'est deux chose différentes. Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 J'ai écrit Alors, soit un peu plus cool :cool: parce que déjà ton avatar est assez significatif pour que tu en rajoutes. Qu'est ce que tu lis dans ses livres qui te permet d,affirmer que c'est un escroc intellectuel ? As-tu lu une de ses biographies? Ses essais? Comme tu sembles un habitué des procès d'intention ici j'anticipe :D Il écrit par exemple Jérusalem est au-delà des politiques ! C'était inévitable, Jérusalem est de nouveau au centre des débats politiques et des tempêtes internationales. De nouvelles et d’anciennes tensions remontent à la surface, à un rythme inquiétant. Jérusalem ! Dix-sept fois détruite et dix-sept fois reconstruite, elle est toujours au milieu d’affrontements diplomatiques qui pourraient mener à un conflit armé. Ni Athènes, ni Rome n’ont suscité autant de passion. Pour moi, le Juif que je suis, Jérusalem est au-dessus de la politique. Il est mentionné plus de six cents fois dans la Torah, et pas une seule fois dans le Coran. Sa présence dans l’histoire juive est écrasante. Il n’y a pas de prière plus émouvante dans l’histoire juive que celle exprimant notre désir de retourner à Jérusalem. Pour beaucoup de théologiens, c’est l’histoire juive, pour de nombreux poètes, c’est une source d’inspiration. Elle appartient au peuple juif et elle est beaucoup plus qu’une ville, c’est ce qui lie un Juif à un autre d’une manière qui reste difficile à expliquer. Quand un Juif visite Jérusalem pour la première fois, ce n’est pas la première fois, c’est un retour aux sources. La première chanson que j’ai entendue était une berceuse chantée par ma mère à propos de Jérusalem. Sa tristesse et sa joie font partie de notre mémoire collective. Depuis que le roi David s’empara de Jérusalem comme sa capitale, les Juifs ont vécu à l’intérieur de ses murs, et, ils ont subi deux brusques changements : lorsque les envahisseurs romains, leur interdirent l’accès à la ville et, de nouveau, sous l’occupation jordanienne, les Juifs, sans distinction de nationalité se sont vus refuser l’entrée du vieux quartier juif, pour méditer et prier au Mur, le dernier vestige du temple de Salomon. Il est important de se rappeler, que si la Jordanie n’avait pas rejoint l’Egypte et la Syrie dans la guerre contre Israël, la vieille ville de Jérusalem serait encore arabe. De toute évidence, tandis que les Juifs étaient prêts à mourir pour Jérusalem, ils ne tueraient pas pour Jérusalem. Aujourd’hui, pour la première fois dans l’histoire, les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans, peuvent, sans entrave, vénérer leurs sanctuaires. Contrairement à certains rapports de médias, Juifs, Chrétiens et Musulmans sont autorisés à construire leurs maisons partout dans la ville. La douleur ressentie pour Jérusalem, ne concerne pas l’immobilier, mais la mémoire. Quelle est la solution ? La pression n’engendrera pas de solution. Y a-t-il une solution ? Il doit y en avoir une ! Et, il y en aura une ! Pourquoi lutter contre le problème le plus complexe et sensible si prématurément ? Pourquoi, avant toute chose, n’est-il pas pris des mesures qui permettront aux communautés israéliennes et palestiniennes de trouver des modalités pour vivre ensemble dans une atmosphère de sécurité ? Pourquoi, ne pas ranger, pour un temps, le plus embarrassant et délicat des problèmes ? Jérusalem doit rester la capitale spirituelle juive du monde, Jérusalem ne doit pas être un symbole d’angoisse et d’amertume, Jérusalem doit être un symbole de confiance et d’espoir. Comme le maître hassidique Rabbi Nahman de Bratslav l'a dit : "Tous dans ce monde ont un cœur, et le cœur, a lui-même son propre cœur." Jérusalem est le cœur de notre cœur, l’âme de notre âme ! Elie Wiesel. Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 Il écrit par exemple Jérusalem est au-delà des politiques ! Jérusalem est le cœur de notre cœur, l’âme de notre âme ! Elie Wiesel. Il n'y a aucune escroquerie ici. C,est son point de vue qu'il défend. A tord certainement, mais ce n'est pas de l'escroquerie. Comme tu sembles un habitué des procès d'intention ici j'anticipe :D Si je suis un habitué, donne-moi un exemple que je comprenne. Quand j'écris Il me semble, ce n'est pas un jugement mais un doute. Explique, svp... Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 Il n'y a aucune escroquerie ici. C,est son point de vue qu'il défend. A tord certainement, mais ce n'est pas de l'escroquerie. Si je suis un habitué, donne-moi un exemple que je comprenne. Quand j'écris Il me semble, ce n'est pas un jugement mais un doute. Explique, svp... L'escroquerie c'est le Congrès juif mondial dont Wiesel fait partie qui se sont appropriés le monopole des réparations pécuniaires réclamées à l'Allemagne et à la Suisse et dont les survivants de l'Holocauste n'ont pas vu la couleur ou beaucoup moins que prévue. Et de la récupération politique uniquement dans un but sioniste pur et dur qui s'en est ensuivie comme je l'ai dit précédemment. Citer Link to post Share on other sites
Laziz 208 Posted April 30, 2011 Author Partager Posted April 30, 2011 L'escroquerie c'est le Congrès juif mondial dont Wiesel fait partie qui se sont appropriés le monopole des réparations pécuniaires réclamées à l'Allemagne et à la Suisse et dont les survivants de l'Holocauste n'ont pas vu la couleur ou beaucoup moins que prévue. Et de la récupération politique uniquement dans un but sioniste pur et dur qui s'en est ensuivie comme je l'ai dit précédemment. Mwooouaih!!! Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted April 30, 2011 Partager Posted April 30, 2011 On verra si tu diras mouais après L'Industrie de l'Holocauste Aller à : Navigation, rechercher L’industrie de l’Holocauste est un sujet de controverse lancé par le politologue et historien américain Norman G. Finkelstein dans un livre publié en 2000 dont le titre complet est : L’Industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des juifs (titre original anglais : The Holocaust Industry - Reflections on the Exploitation of Jewish Suffering). Il s’agit d’un constat documenté sur des pratiques alléguées de groupes d’intérêt juifs. Le livre est une réponse au travail de l'historien américain Peter Novick intitulé The Holocaust in American Life qui analyse la façon dont l’interprétation de l’holocauste s’est développée dans la vie américaine. Finkelstein jugeait les critiques de Novick trop modérées, et il a donc décidé d'aller plus loin dans son propre livre1. Sommaire [masquer] 1 Contenu 2 Réception 3 Notes et références 4 Voir aussi 4.1 Articles connexes 4.2 Liens externes Contenu[modifier] Finkelstein distingue l'« holocauste nazi » (le fait historique) et l'« Holocauste » (avec un H majuscule, la campagne de relations publiques menée selon lui depuis 1967 surtout aux États-Unis). C’est ce second aspect qu’il appelle « l’industrie de l'Holocauste ». Dans son livre, il défend la thèse d'une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et le gain politique et financier2. Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage : Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ; La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par l'instigation de sentiments de culpabilité aux populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ; Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ; Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu'en 1945 ; Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ; Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ; Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ; De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs. Finkelstein ne veut pas accuser les victimes elles-mêmes et estime qu’elles ont droit à un dédommagement. Il conteste surtout le fait que, selon ses recherches, d'importantes sommes arrivent dans les poches des organisations juives américaines, argent qu’elles utiliseraient pour mener à bien leurs propres projets plutôt que de reverser les sommes dues aux survivants. Réception[modifier] Le livre a reçu aux États-Unis le soutien de Noam Chomsky et d'Alexander Cockburn. L'éminent historien de l'holocauste Raul Hilberg a également exprimé son admiration pour le travail de Finkelstein : « Lorsque j’ai lu le livre de Finkelstein L'Industrie de l'Holocauste juste après sa publication, j’étais moi-même en pleines recherches sur ce genre de questions, et j'en ai conclu qu’il suivait la bonne piste en ce qui concerne la partie du livre portant sur les réclamations contre les banques suisses et d’autres accusés en lien avec le travail forcé. Quand j’y réfléchis, je trouve qu’il a été plutôt modéré et que ses conclusions sont certainement fiables. Finkelstein est un spécialiste de la science politique expérimenté, sachant mener des recherches, et il est arrivé aux résultats corrects. Je ne serai certainement pas le seul dans les prochains mois et années à me déclarer entièrement d’accord avec la percée réalisée par Finkelstein4. » De nombreuses critiques se sont cependant élevées contre le livre de Finkelstein, lui reprochant de renforcer les sentiments antisémites[réf. souhaitée]. Les musées de l’holocauste les plus importants aux États-Unis, soit le Holocaust Memorial Museum à Washington et le Museum of Tolerance (Simon Wiesenthal Center) à Los Angeles, ne veulent pas se limiter aux simples victimes juives, ceci malgré la crainte exprimée par Elie Wiesel que le caractère unique de l’holocauste pourrait sinon s'effacer du moins s'affaiblir. Ces musées ont officiellement été dédiés à la commémoration des six millions de Juifs assassinés, tout comme plusieurs millions d’autres victimes du national-socialisme comme les Slaves, Tsiganes, handicapés, témoins de Jéhovah, homosexuels, syndicalistes (dans les pays occupés), dissidents politiques et prisonniers de guerre soviétiques3. Le professeur Novick est, comme le montre son livre, assez critique envers les grandes organisations juives américaines. Norman Finkelstein lui rend d’ailleurs un hommage appuyé, et souligne que c’est la lecture de The Holocaust in American Life qui l’a incité à écrire L’Industrie de l’Holocauste. Dès la parution du livre de Finkelstein, Novick a cependant exprimé publiquement le profond mépris que celui-ci lui inspire. Lorsque Finkelstein a été traduit en allemand, Peter Novick est revenu sur le sujet dans un article publié début février par la Süddeutsche Zeitung : « Il est difficile, écrit Novick, de voir dans L’Industrie de l’Holocauste quelque chose qui donnerait lieu à un débat. » Concernant les assertions de Finkelstein sur la question de la restitution des biens juifs, il déclare qu'un « bon nombre relève de la pure invention ». Ainsi, Finkelstein affirme que le Congrès juif mondial a « amassé au moins sept milliards de dollars ». Or Finkelstein « savait au moment où il a écrit son livre que le CJM n’avait reçu aucun versement. Il s’agit donc d’un mensonge délibéré. » Et Novick ajoute : « On pourrait multiplier les exemples. Il n’est pas un seul fait avancé par Finkelstein qui puisse être supposé authentique, pas une seule citation de son livre qui puisse être supposée exacte ; il faudrait prendre le temps de comparer précisément toutes ses affirmations avec les sources qu’il cite ». Quant à la thèse centrale de Finkelstein sur le rôle des « élites juives » dans l’invention de la prétendue « industrie de l’Holocauste », il s’agit, écrit Peter Novick, d’une « version du vingt-et-unième siècle des Protocoles des Sages de Sion ». Finkelstein donne sa réponse dans le préface de sa deuxième édition : « Les critiques émises par le mainstream(l'opinion majoritaire) prétendent que je développe une « théorie du complot » alors que ceux de gauche ridiculisent le livre comme une « défense des banques ». Pour autant que je sache, personne ne met mes constatations factuelles en question. » Le livre est utilisé par des milieux néo-nazis pour corroborer leur idéologie[réf. nécessaire], ce que Finkelstein dit regretter tout en faisant remarquer que cet épiphénomène secondaire ne diminue pas ses constatations fondamentales. En France seulement, le livre fera l'objet d'un procès pour « diffamation raciale » et « incitation à la haine raciale » intenté par Avocats sans frontières, que Norman Finkelstein et son éditeur gagneront en première instance et en appel.5 Citer Link to post Share on other sites
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