pmat 276 Posted November 4, 2007 Partager Posted November 4, 2007 Bonjour Pas folle la guêpe que je dirais tout d’abord On a la le pourquoi du comment de la Penseurs influencés par la déconstruction Déconstructivisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, Rechercher bloc d'aluminium de la façade nord du Daniel Libeskind's Imperial War Museum North. bloc d'aluminium de la façade nord du Daniel Libeskind's Imperial War Museum North. Le déconstructivisme, aussi appelé déconstruction, est une école de pensée récente en architecture qui tire ses bases philosophiques du mouvement littéraire déconstruction dont Jacques Derrida fut la figure de proue. Son nom dérive aussi du constructivisme russe des années 1920 dont il prend certaines de ses inspirations formelles. C'est un style contemporain qui s'oppose principalement à la rationalité ordonnée de l'architecture moderne. Les fondements de ce mouvement incluent des idées de fragmentation, des processus de design non linéaire, de la géométrie non-euclidienne, de polarités négatives comme une structure et une enveloppe, et ainsi de suite. Les apparences visuelles finales dans ce style sont caractérisées par une imprédictabilité stimulante et un chaos contrôlé. Cependant, les critiques de la déconstruction le voient comme un exercice purement formel avec peu de signification sociale. Quelques architectes connus qui pratiquent dans ce mode sont : • Peter Eisenman • Frank Gehry • Bernard Tschumi • Rem Koolhaas • Daniel Libeskind • Zaha Hadid • Coop-Himmelb(l)au [modifier] Pourquoi déconstruire l’architecture ? Il semble a priori absurde, voire contradictoire, de vouloir déconstruire ce qui appartient au domaine de la construction. Les bâtiments sont considérés comme l’accomplissement et l’aboutissement de toute une démarche de travail. Mais l’architecture déconstructiviste qui s’affirme dans les années 90 a de bonnes raisons d’être, en apparence, déraisonnable. Murs penchés, sols inclinés, poteaux de biais, fenêtres inclinées, ces édifices qui semblent avoir subi les secousses telluriques sont bien le résultat d’un travail pensé de la part des architectes. Cet article a pour but d’éclaircir les démarches des architectes qui ont participé au développement d’une recherche sur la décomposition des espaces dans un contexte post-moderne. En 1988 Philip Johnson et Mark Wigley organisent une exposition au musée MOMA à New York intitulée : « deconstructivist architecture ». Le public découvre la confluence du travail, depuis les années 80, des architectes : Frank Gehry, Peter Eisenman, Zaha Hadid, Rem Koolhaas, Daniel Libeskind, Coop-Himmelb(l)au, Bernard Tschumi. En effet, leur approche similaire qui se traduit par l’emploi d’un même registre de formes non conventionnelles et déstabilisantes, les a fait se regrouper non pas pour célébrer l’émergence d’un nouveau style, mais pour présenter des tendances très proches venant de différentes parties du monde occidental. Les architectes ou autres connaisseurs y découvrent une nouvelle post modernité puisant aux sources du modernisme et empruntant la géométrie des constructivistes. Cette explosion de formes reflète la liberté des virtuoses capables de faire naître des œuvres aussi fortes sur le plan plastique qu’intellectuel. [modifier] En quoi consiste la déconstruction Le déconstructivisme est donc un qualificatif mis en place par les critiques d’art selon certains critères bien spécifiques. Mais avant cela il faut rappeler que la déconstruction est une méthode d’analyse des textes littéraires et philosophiques mis en place par le philosophe Jacques Derrida. Néanmoins, si ce terme n’appartient pas uniquement à J.Derrida, il guide notre compréhension dans « 52 aphorismes pour un avant propos ». L’architecture a souvent été une métaphore de la philosophie , mais la déconstruction ne serait pas une architecture ni même une métaphore architecturale. Elle ne se présente pas comme un système clos, mais plutôt comme un questionnement. Elle ne conclut pas mais ouvre des portes de réflexion. Elle ne parachève pas des notions mais les analyse. C’est un commentaire interminable sur les textes, les langues et les notions de philosophie. La déconstruction est un « texte suspendu ». Elle ne cherche pas les fondations des parties visibles de l’édifice. Elle s’attaque aux causes qui mènent de l’origine à la fin de façon linéaire, et ceci car elle considère que les deux cohabitent en permanence. Son travail consiste en une lecture de la fin vers l’origine et vice-versa. Ce mouvement de va et vient de la lecture devient une philosophie à l’œuvre, un travail d’écriture qui poursuit la lecture. La déconstruction est une critique non pas négative mais productive. « la déconstruction est inventive ou elle n’est pas (…) sa démarche engage une affirmation. » . Elle veut inventer l’impossible, « réinventer l’invention même, une autre, inventer ce qui ne paraissait pas possible. (…) Donner lieu à l’autre, laisser venir l’autre. je dis bien laisser venir car si l’autre c’est ce qui ne s’invente pas, l’initiative ou l’inventivité déconstructive ne peuvent que consister à ouvrir, décloturer, déstabiliser des structures de forclusion pour laisser le passage à l’autre ». C’est donc une lecture critique des textes philosophiques que propose J.Derrida. Afin de saisir et de restituer des séquences de pensée, il a pratiqué le « montage parallèle » sur certains passages qu’ont produits les écrivains. Deux textes sont placés cote à cote, un sur la page de gauche un autre sur la page de droite. Par ce jeu de comparaisons qu’effectue le lecteur il reconstitue des systèmes de pensée et relève certaines contradictions. La déconstruction ne propose pas seulement une analyse littéraire, ce sont des textes à part entière. L’écriture de J.Derrida est redevable des recherches sur le langage de S.Freud. Celui ci faisait parler ses patients afin de trouver les indices qui révèlent les origines de leurs troubles profondément enterrés dans leur inconscient. Dans la déconstruction il a appliqué cette méthode d’analyse et d’interprétation du discours aux textes philosophiques pour faire ressortir les idées réprimées, les sujets évités, qui auraient pu contredire la cohérence du discours de l’auteur. Sous les arguments lisses et bien construits, il cherche dans les figures de rhétorique et les sujets évités à montrer qu’aucune théorie n’est absolument cohérente, logique ou entière. Il s’agit donc d’une technique qui vise à recomposer des œuvres littéraires mais délivrées de l’emprise de l’auteur, selon une autre règle du jeu que celle qui les a initialement produite. Citer Link to post Share on other sites
Guest kastor Posted August 21, 2009 Partager Posted August 21, 2009 Quelques œuvres de l’irakienne Zaha Hadid, Milan ; complexe Dubai ; tours dansantes Barcelone ; tour en spirale pour le front de mer Naples ; gare TGV Marseille ; siège social d’un groupe de transport maritime Cagliari ; musée d’art contemporain Abu Dhabi ; centre culturel Citer Link to post Share on other sites
yildis 10 Posted August 21, 2009 Partager Posted August 21, 2009 Milan ; complexe Dubai ; tours dansantes Barcelone ; tour en spirale pour le front de mer Naples ; gare TGV Marseille ; siège social d’un groupe de transport maritime Cagliari ; musée d’art contemporain Abu Dhabi ; centre culturel Bonjour pmat j'espère que tu vas bien. C'est très intéressant, parfois très beau aussi. Maintenant observons si ces constructions (ou plutôt déconstructions) vieillissent aussi bien que leurs rivales ! Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted August 21, 2009 Author Partager Posted August 21, 2009 Bonjour pmat j'espère que tu vas bien. C'est très intéressant, parfois très beau aussi. Maintenant observons si ces constructions (ou plutôt déconstructions) vieillissent aussi bien que leurs rivales ! Bonjour yildis merci oui je vais bien pour le sujet oui pour les yeux c'est beau ce qu'il est capable de faire l'homme mais sans le faire exprès o va être les constructeur d'aire tours de Babeles quand on vois ce que l'homme fabrique alors le coût alors que les hommes et des peuples meures de faim pourtant on aura pris chez eux de la matière première et bien d'autre matières a prix dérisoire et qu'on aura transporter et transformer pour être vendu a des prix d'or on demande quelques miettes pour la faim et la les portes se referment et tua s eut la plus justes des phrase voyons si ces architectures vieillirons bien Citer Link to post Share on other sites
yildis 10 Posted August 21, 2009 Partager Posted August 21, 2009 alors le coût alors que les hommes et des peuples meures de faim pourtant on aura pris chez eux de la matière première et bien d'autre matières a prix dérisoire et qu'on aura transporter et transformer pour être vendu a des prix d'or on demande quelques miettes pour la faim et la les portes se referment c'est vrai ce que tu dis, on a de très bons exemples à Paris, avec le cas de l'opéra de Bastille qu'ils ont voulu construire avec une architecture moderne atypique. Ils l'ont ornés de dalles de pierre extrêmement onéreuses sur les façades, mais elles n'ont pas tenu, il a fallu les remplacer une par une. Ca a coûté près de 10 Millions d'€ ! (Aux frais des contribuables bien sûr) Alors qu'il y a des milliers de clochards sur les trottoires parisiens. Citer Link to post Share on other sites
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