chaton 10 Posted March 28, 2011 Partager Posted March 28, 2011 On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent Puis le cœur reprend ses battements insatiables On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies Le souffle fatigué d’une journée chargée Résonne en échos pâles qui cognent la voûte Dans l’autre sens le sang des veines recoule Et reprend un couloir innombrable Là , Retour au point qui refuse l’exil D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart Chaton Citer Link to post Share on other sites
Guest Milgrame Posted March 28, 2011 Partager Posted March 28, 2011 On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent Puis le cœur reprend ses battements insatiables On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies Le souffle fatigué d’une journée chargée Résonne en échos pâles qui cognent la voûte Dans l’autre sens le sang des veines recoule Et reprend un couloir innombrable Là , Retour au point qui refuse l’exil D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart Chaton :eek: intéressant, j'aime bien. Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted March 29, 2011 Partager Posted March 29, 2011 On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent Puis le cœur reprend ses battements insatiables On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies Le souffle fatigué d’une journée chargée Résonne en échos pâles qui cognent la voûte Dans l’autre sens le sang des veines recoule Et reprend un couloir innombrable Là , Retour au point qui refuse l’exil D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart Chaton Kaci nnegh valqassem Hamou nnegh deqqich amchich dayem damchich... Très bien écris, bien mis en page, j'adore Au plaisir de te lire! Citer Link to post Share on other sites
Guest milka Posted March 29, 2011 Partager Posted March 29, 2011 ce beau .........merci pour le partage :o Citer Link to post Share on other sites
kakashi31 10 Posted March 29, 2011 Partager Posted March 29, 2011 On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent Puis le cœur reprend ses battements insatiables On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies Le souffle fatigué d’une journée chargée Résonne en échos pâles qui cognent la voûte Dans l’autre sens le sang des veines recoule Et reprend un couloir innombrable Là , Retour au point qui refuse l’exil D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart Chaton vraiment magnifique... merci pour le partage chaton ^^ je profite de l'occasion pour te souhaiter la bienvenue parmi nous ;) au plaisir et encore bonne continuation avec la poésie, j'ai bien aimé ton beau poème Citer Link to post Share on other sites
Panonique 10 Posted March 29, 2011 Partager Posted March 29, 2011 Merci pour le partage et surtout bonne continuation ... Citer Link to post Share on other sites
Kryptonien 10 Posted March 29, 2011 Partager Posted March 29, 2011 On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent Puis le cœur reprend ses battements insatiables On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies Le souffle fatigué d’une journée chargée Résonne en échos pâles qui cognent la voûte Dans l’autre sens le sang des veines recoule Et reprend un couloir innombrable Là , Retour au point qui refuse l’exil D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart Chaton jamais je n'oublierai cette premiere fois ou à ta nuque j'ai gouttée et les sensations qui naquirent en moi lorsque tu me caressais avec tes petits doigts et je me vois fou fou de joie, fou de toi lorsqu'un regard doux me faisant croire que je suis un roi prit la place de cette petite moue j'en suis resté coi mon coeur vide s'est empli de gaieté lorsque je caressais tes joues c'est comme si la vie fetait le fait qu'un "toi" et un "moi" ait créé un "nous" et j'aurai tant souhaité ne jamais te quitter, je l'avoue Citer Link to post Share on other sites
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