Guest D. ESSERHANE Posted April 4, 2011 Partager Posted April 4, 2011 Comme je n'ai rien foutre demain, je tente de remonter mes billets Mafias algériennes, mythe ou réalités? Décidément, chaque soir que Dieu fait, en remontant le soir la presse nationale écrite, je ne cesse de rencontrer de longs articles traitant sur une nouvelle mafia spécialisée dans tel ou tel domaine d’activité que je garde, souvent en mémoire et que je ne suis pas prêt d’oublier. Il y en a autant, il y en a tellement de mafias que je me suis dit, que si ça pousse à ce rythme effréné, on risque de talonner l les ricains et les ritales, dans le grand banditisme et le crime organisé. Quelle foutaise ! Soyons sérieux, quand même! Mais pour vous dire en toute franchise et rien vous cacher, il m’arrive si souvent d’avoir la trouille aux tripes de m’exposer inutilement dehors, surtout la nuit venue. Pas par peur des fantômes, bien sur! Non, mais par peur de surprendre un mafiosi à l’affût, en train de me tendre un guet-apens pour m’offrir gratuitement, un joli pruneau assassin… C’est dingue ces histoires de mafias algériennes que les journalistes de chez nous, tentent de nous assener à longueur d’années et puis, ce matraquage en règle, savamment distillé, ça peut nous coûter cher, au point de nous causer de graves problèmes de santé. Rien qu’à les compter une à une, j’ai - ya errab- une de ces tachycardies qui me rapproche un petit peu de la mort…Alors, je fais mine de ne plus penser, ni à la mafia des généraux, ni à celle du rond à béton, ou celles de médocs, ni même à celle du ciment, de l’or, des devises, de l’import ou encore, celle du lait. Et je me dis que ces histoires là, ne sont que des histoires à nous faire dormir… debout Didine RAYAN Citer Link to post Share on other sites
Guest D. ESSERHANE Posted April 4, 2011 Partager Posted April 4, 2011 TOUNSI/OULTACH DEUX COLONELS, QUELQUES LIGNES ET DES BALLES ASSASSINES Personne, aucun devin sur terre ne pouvait prédire une fin aussi triste et tragique que celles de ces deux colonels en retraite. Deux officiers supérieurs pourtant, si proches l'un de l'autre, et si unis par les liens sacrés du métier, qui suppose le respect et le sens accru de la discipline, critères sine qua non, volés en éclat par quelques lignes ébruitées prématurément, à l'aide d'une ronéo tapageuse et des balles assassines. C’est cette affaire floue pour le commun des mortels, hautement sensible aussi, que tente aujourd’hui, le tribunal criminel de mettre en lumière, pour comprendre le mobile de cette folie meurtrière. Mais entre nous, n’était-il pas si sage, pour les deux militaires, de considérer une retraite comme un mérite d’un long parcours bien accompli et non d’une misérable forfaiture ? Ah, si retraite savait, vieillesse pouvait !! Didine RAYAN Citer Link to post Share on other sites
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