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Blaoui refuse de cautionner son portrait


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El Watan. Edition du 10 novembre 2007 > Oran Info

Documentaire : Blaoui refuse de cautionner son portrait

 

Blaoui El Houari refuse de donner sa caution au film-portrait réalisé dans le cadre de la manifestation Alger capitale de la culture arabe et intitulé Parlez moi… de Blaoui.

 

« Je veux juste remettre les pendules à l’heure », a-t-il déclaré jeudi lors d’un point de presse organisé chez lui, à Protin (quartier où il réside). « Mon but n’est pas, explique-t-il, de chercher à polémiquer ou de faire le procès de quiconque mais je récuse ce qui a été dit sur ma personne à un moment ou un autre du récit. » Il proteste d’abord contre le fait que personne n’est venu le consulter à ce sujet, pour demander son avis, avoir son approbation ou même présenter une copie pour éventuellement corriger certaines erreurs. Le réalisateur Mrah Abdelatif aurait-il agi sans demander l’avis du sujet essentiel de son documentaire ? « Je tiens, affirme le chanteur, à faire connaître au sus cité (Mrah, ndlr) d’avoir agi sans l’approbation du concerné et d’avoir mis un contenu contraire à la réalité et c’est pour cela que je décline toute responsabilité sur des faits qui pourraient m’être attribués à tort. » Quand le film a été projeté à Oran fin septembre, Blaoui était en voyage (Omra) et c’est sur la base de ce qui a été dit mais surtout rapporté dans la presse entre le 1er et le 4 octobre qu’il a réagi. Dans le détail au moins 3 aspects sont contestés. Il tient d’abord à rectifier que son lieu de naissance se situe du côté de Sidi Blel à Mdina Djdida (rue Stambouli) et non à Sidi El Hasni. Il expliquera ensuite comment, arrêté par les agents de la DOP (destruction des organisations politiques), il a été amené dans un commissariat avant d’être transféré à la prison d’Oran (El Kasba) mais comme celle-ci était pleine, il a été transféré à Sig et non à la prison d’Arcole comme rapporté. BlaouiEl Houari, modestement, ne voulant pas être pris pour ce qu’il n’est pas, déclare également qu’il n’était pas le compagnon d’armes de Zabana. « Etant enfants, nous jouions dans la même rue mais quand nous avons grandi, chacun est parti de son côté, lui a choisi la politique et moi l’art », confie-t-il. Contacté, M. Mrah qui a reconnu l’erreur du lieu de naissance a juste précisé que son film, dit que Blaoui et Zabana étaient voisins, sans plus. « Blaoui, que je vénère, n’a pas vu le film et ce sont des tierces personnes qui l’ont poussé à réagir », indique le réalisateur qui rappelle qu’au moment de la projection à la cinémathèque, il avait déclaré publiquement que le film n’était pas terminé et que non seulement il allait montrer Blaoui tel qu’il est actuellement mais qu’il allait faire parler Khaled, Benchenet, etc. et récupérer plus d’archives. Pour lui, cette version n’est pas commercialisable et, concernant le budget du film, il considère que la ville doit s’impliquer pour avoir au final un produit digne du monument de la chanson oranaise dont il a rêvé de faire le portrait au même titre que Ahmed Wahbi qui reste à faire. « Je connaissait M. Mrah, mais de loin, quand il était cameraman à la RTA. Cela fait des années qu’il me courait après pour un portrait mais à chaque fois je lui répondais : ‘après…’’ », reconnaît Blaoui qui n’a pas encore accepté.

 

D. B.

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El Watan. Edition du 10 novembre 2007 > Oran Info

Documentaire : Blaoui refuse de cautionner son portrait

 

Blaoui El Houari refuse de donner sa caution au film-portrait réalisé dans le cadre de la manifestation Alger capitale de la culture arabe et intitulé Parlez moi… de Blaoui.

 

« Je veux juste remettre les pendules à l’heure », a-t-il déclaré jeudi lors d’un point de presse organisé chez lui, à Protin (quartier où il réside). « Mon but n’est pas, explique-t-il, de chercher à polémiquer ou de faire le procès de quiconque mais je récuse ce qui a été dit sur ma personne à un moment ou un autre du récit. » Il proteste d’abord contre le fait que personne n’est venu le consulter à ce sujet, pour demander son avis, avoir son approbation ou même présenter une copie pour éventuellement corriger certaines erreurs. Le réalisateur Mrah Abdelatif aurait-il agi sans demander l’avis du sujet essentiel de son documentaire ? « Je tiens, affirme le chanteur, à faire connaître au sus cité (Mrah, ndlr) d’avoir agi sans l’approbation du concerné et d’avoir mis un contenu contraire à la réalité et c’est pour cela que je décline toute responsabilité sur des faits qui pourraient m’être attribués à tort. » Quand le film a été projeté à Oran fin septembre, Blaoui était en voyage (Omra) et c’est sur la base de ce qui a été dit mais surtout rapporté dans la presse entre le 1er et le 4 octobre qu’il a réagi. Dans le détail au moins 3 aspects sont contestés. Il tient d’abord à rectifier que son lieu de naissance se situe du côté de Sidi Blel à Mdina Djdida (rue Stambouli) et non à Sidi El Hasni. Il expliquera ensuite comment, arrêté par les agents de la DOP (destruction des organisations politiques), il a été amené dans un commissariat avant d’être transféré à la prison d’Oran (El Kasba) mais comme celle-ci était pleine, il a été transféré à Sig et non à la prison d’Arcole comme rapporté. BlaouiEl Houari, modestement, ne voulant pas être pris pour ce qu’il n’est pas, déclare également qu’il n’était pas le compagnon d’armes de Zabana. « Etant enfants, nous jouions dans la même rue mais quand nous avons grandi, chacun est parti de son côté, lui a choisi la politique et moi l’art », confie-t-il. Contacté, M. Mrah qui a reconnu l’erreur du lieu de naissance a juste précisé que son film, dit que Blaoui et Zabana étaient voisins, sans plus. « Blaoui, que je vénère, n’a pas vu le film et ce sont des tierces personnes qui l’ont poussé à réagir », indique le réalisateur qui rappelle qu’au moment de la projection à la cinémathèque, il avait déclaré publiquement que le film n’était pas terminé et que non seulement il allait montrer Blaoui tel qu’il est actuellement mais qu’il allait faire parler Khaled, Benchenet, etc. et récupérer plus d’archives. Pour lui, cette version n’est pas commercialisable et, concernant le budget du film, il considère que la ville doit s’impliquer pour avoir au final un produit digne du monument de la chanson oranaise dont il a rêvé de faire le portrait au même titre que Ahmed Wahbi qui reste à faire. « Je connaissait M. Mrah, mais de loin, quand il était cameraman à la RTA. Cela fait des années qu’il me courait après pour un portrait mais à chaque fois je lui répondais : ‘après…’’ », reconnaît Blaoui qui n’a pas encore accepté.

 

D. B.

Et il a appris

.... a dire tout ca sans bagayer ?

.... sacre Blaoui il etonnera toujours

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KISAFIDIR...

Autrement dit eclaire nous STP, merci...

Aya SALi

Ca veut dire

... que les vrais fidayines

... ne sont plus de ce monde

... pour te dire si M. Blaoui

... les a cotoye ou pas

... Hammeto Tenazet est mort

... dans les annees 70 tues par

... des gangsters zwawas

... Peto est mort en Belgique dans

... les annees 70 lui aussi

... Pons aussi mort a Oran durant

... la meme periode

... reste que Sennine mais il a perdu

... la memoire

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