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NOS ENFANTS NOUS GLISSENT ENTRE LES DOIGTS ,ILS SE SERVENT DES IDES ET DES PENSEES DES NOUVELLISTES


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SALAM

BONJOUR

 

NOS ENFANTS NOUS GLISSENT ENTRE LES DOIGTS ,ILS SE SERVENT DES IDES ET DES PENSEES DES NOUVELLISTES ET DES ARRIVISTE QUE DES SAVANTS CRITIQUAIENTT VOILA 3 SIECLES

DEJA EN EUROPE

 

 

DES DEVERGONDEUR DE POPULATION POUR MIEUX VENDRE LEUR PRODUITS

UN VIEKLLE AMI IL EST MORT DEPUIS QUE DIEU AIT SON AME

 

ALLAH Y RAHMOU WA Y WASSA3 ALIH

ME DIT J4AVAIT TOUT INSTALLER LA BAS (EN ALGERIE)

CHEZ MON FRERE MOI QUI N4AI NI FEMME NI ENFANTS

MAIS J'AI REGRETE

CAR MES NIECES DEPUIS QUE JAI MEUBLER LEUR MAISON ET LEUR AI ACHETE LA TLEVISION ET LA PARABOLE

ON LES VOIS PLUS PARMIS LA FAMILLE

ET UN JOUR JE ME SUIS MIS A ALLER DANS LEUR CHAMBRE POUR LES INVITE A NOUS JOINDRE

 

VOILA QUE JE DECOUVRE QU4ELLE ETAIENT SUR DES EMMISSION DU X

 

 

DES ARTISTES EN GENERALE ET DES ARTS DERRIVE ,SONT LES RESPONSABLE DE L'IMMORALITÉ

DANS CE MONDE

 

MAIS COMME RIEN NE LES CALME

 

TOUT COMME LE DROGUESS IL EN VEUILLENT D'AVANTAGE DES DROITS

 

C'EST POURQUOI NOUS ECOUTANT LE CONSEIL DU SAGE :

 

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

1. Dis : "Je cherche protection auprès du Seigneur des hommes.

2. Le Souverain des hommes,

3. Dieu des hommes,

4. contre le mal du mauvais conseiller, furtif,

5. qui souffle le mal dans les poitrines des hommes,

6. qu'il (le conseiller) soit un djinn, ou un être humain".

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TIEN JE VOUS OFFRE CE QUE J'AI TROUVER

PARTAGEONS LE

 

Les nouvellistes

Dans la critique des mœurs françaises au 18ème siècle, Montesquieu parlai d’un groupe

d’opportunistes appelés les « les nouvellistes ». Ces gens aux mœurs basses s’activaient à occuper la

cime de la république sans scrupule et au mépris du peuple. Des gens très inutiles à l’Etat, mais qui se croyaient

sauveurs d’une nation en péril. Ils entretenaient des projets magnifiques pour le pays, ils n’avaient rien à

avoir avec lui, parce que visant leurs honneurs et poches. La base de leur conversation est une curiosité frivole et

ridicule. Devant eux, il n’y a point des cabinets si mystérieux où ils ne prétendent pénétrer et être écouté.

A peine ont-ils épuisé le présent, ils se précipitent dans l’avenir en marchant au-devant du pays, le préviennent

de tous les dangers au cas où leurs intérêts ne seront pas garantis. Ils conduisent l’homme fort du moment par

la main en marchant sur son contestataire lucide et populaire, mais moins rassurant pour eux. Ils lui préparent des

projets pour davantage compliquer la vie.Ils ont des ponts sur toutes les rivières, des sentiers obscurs dans toutes les

montagnes, dans magasins immenses dans les sables brûlants. Il ne leurs manque que du bon sens. Le bien commun

n’est pas le leur. Voilà pourquoi ils l’étouffent. Et pourtant le passé donne le sens au présent et au futur sa

justification.En ce qui nous concerne, les nouvellistes sont tous ces dignitaires de la 2ème république de triste mémoire.

Qui refusent de mourir politiquement car la loi n’existe pas pour eux. Quand ils en parlent, c’est dans le

but de se mettre à l’abri de l’assaut populaire qu’ils redoutent. Ce que les kabilistes et mobutistes

font jusqu’à nous imposer encore une fois un polonais de mère rwandaise, naturalisé belge, à la tête du sénat

d’un pays souverain autre que la Pologne est une injure, voire une gifle au peuple congolais et un

encouragement de plus aux nouvellistes, pilleurs attitrés des nations à travers le monde. Ils viennent de se confirmer sur

le manifeste des ennemis de ce peuple que l’histoire jugera avec plus de sévérité car, ils viennent de proclamer

le décès du droit civil dans ce pays de Lumumba. Le philosophe et théologien congolais Kä Mana a encore une fois

réconforté notre opinion dans son article intitule sous le titre : Les princes du mobutisme et l’avenir de notre pays

quand il écrit nous citons : « Mobutu est ressuscité et que son ténébreux paraclet s’est emparé de toutes les

institutions de la nation : les partis, le gouvernement, l’assemblée nationale et le sénat. Je suis sûr que ce

ténébreux paraclet s’est même emparé de l’âme du Chef de l’Etat actuel, dont la vision du pouvoir

devient de plus en plus un poison pour la nation. La mobutisation souterraine ou manifeste des esprits et des institutions

est, à mes yeux, le danger profond qui pèse maintenant sur le présent et sur l’avenir de la Rdc. J’ai

profondément peur de la résurrection de Mobutu Sese Seko et de l’omniprésence de son nuisible paraclet» fin

de citation. A tous ceux qui continuent à tromper le peuple qu’ils mettent du leur dans le processus de la libération

en cours, nous leur disons que la vérité subtile. Le jour viendra où ils demanderont pardon. Mais ce sera courir audevant

du trop tard.Où sont passés les nouvellistes du 18ème siècle ? Pierre corneille disait : « A qui tient à se libérer, il

n’est rien d’impossible » ! Au peuple, nous lui demandons de reprendre tout son courage et de continuer la

lutte. Car, c’est dans la patience que se trouve la sève de la victoire. La liberté ne s’est jamais donnée icibas.

Elle s’arrache. Que le peuple congolais arrache la sienne.Richard Kabamba

Mouvement d Action pour la D�mocratie et la Paix - Madp

http://www.

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VOICI DEJA IL Y A QUELQUES SIECLES EN EUROPE UNE GUERE QUI N4EN FINI PAS

 

y sont suivies du remercîment que cet auteur prononça dans celte assemblée . le 3o de décembre l65a.

VOICI DEJA IL Y A QUELQUES SIECLES EN EUROPE UNE GUERE QUI N'EN FINI PAS

QUE AUJOURDHUI CE SONT LES MUSULMANS QUI LA SUPPORTE

LA HAINE DES UNS

 

 

 

(B) // a paru quelque chose de son ouvrage sur l'eucharistie. ] Voyez l'extmit que M. de Beau val en donne dans son Histoire des Ouvrages des Savans (3), et celui de M. Cousin (sj).

 

© Ses réflexions sur les différent de la religion.] La première partie de cet ouvrage fut imprimée à Paris en deux volumes in-ii, l'an 1606. Voyez l'extrait qui en fut donné dans les Nouvelles de la République des Lettres (5). L'année suivante 1 auteur lc lit réimprimer avec l'addition d'un nouveau tome, intitulé : Réponse aux Objections d'Angleterre et de Hollande, ou de l'Autorité du grand nombre dans lu religion chrétienne. Voyez le Journal des Savans (6). Quelque temps après il y joignit un autre tome , divisé en quatre parties, et intitulé: Les Chimères de

 

Jurieu: Réponse générale il ses lettres pastorales de la seconde année contre le lÀvre des Réflexions , et Examen abrégé de ses Prophéties. On devine facilement les avantages qu'un esprit aussi délié que celui-là put remporter sur un interprète chimérique de l'Apocalypse. On a réimprimé en Hollande tous ces ouvrages de M. Pellisson. Voyez le Journal de Leipsic (7). Ils composent les trois premières parties des réflexions sur les différends de la religion. La quatrième partie fut publiée à Paris l'an 160,2, et a pour titre : De la Tolérance des Religions. Lettres de M. de Leibniz et Réponses de AI. Pellisson. Voici la note marginale que l'on trouve à la première page. Ces objections sont de M. de Leibnitz, assez connu par son mérite. Elles furent envoyées en France par Madame la duchesse d'Hanovre à madame l'abbesse de Jrlaubuisson sa sœur. On n'en savait point fauteur en ce tempsla. Ceux mêmes qui savent par mille preuves l'étendue de génie de M.Leibnitz , ne peuvent assez admirer qu'il

 

(3) Mois d'août 160.4 > png' 5i3 et suie.

 

(4) Dans le XXe. Journaldes Savans de ifit)\.

 

(5) Mois de juillet 1686 , art. 1. /'ores amen le Journal des Savans , du ag, d'avril i6St>.

 

\6) Du la d'avril 16S8 , pag. 54o, e'dition ,1e Hollande.

 

(-) Mois de novembre iGftq, pas;. 504"- rl"" Supplément, tom. ï, pag. ftoij.

 

{misse écrire aussi purement en français que ces objections sont écrites. Il est des ces hommes rare9 qui ne trouvent point de bornes dans la sphère du mérite humain; ils la remplissent toute.

 

(D) La voie de l'examen. . . . est plutôt recueil de Rome, que celui de Genève , comme je l'ai dit ailleurs.] Voyez l'article de M. Nicolle (8), Tous y trouvères que ce docteur, après avoir objecté de grandes difficultés , n'a pu répondre à celles qu'on lui a faites. L'ordre voulait qu'il satisfit aux objections qu'on lui rétorqua, et qu'il ncttoy:1t la voie de l'autorité. Les embarras, ou pour me servir d'un vieux terme très-expressif, les encombriers qu'on y avait entassés, demandaient incessamment tout le travail de ses mains; et cependant il renvoya cette affaire a une autre fois, et même il n'osa pas y engager sa parole positivement. Voici comment il s'exprima (9) : Au reste, M. Jurieii traitant dans son livre deux questions principales, l'une du système de l'église , l'autre de l'analyse de la foi, je n'ai dessein dans ce traité de m'attacher qu'à la première , en y joignant les conséquences quiy ont du rapport, et que M. Jurieu traite en divers endroits , et principalement dans son ///*. livre. On verra dans la suite s'il y aura la même utilité a traiter de l'analyse de la foi. Mais la question de l'église est assez importante pour être examinée séparément, et par un ouvrage h part. Fa c'est ce qu'on s'est proposé de faire ici. Une infinité de gens ont jugé que ce partage fut fait avec artilice. Lune des deux pièces fut prise, et l'autre laissée : c'est que l'une promettait que pour le moins la vie

 

sorte que son silence ne doit pnti passer pour une preuve d'hypocrisi*

 

mais pour uu effet de cette prudent qui ne permet pas qu'on fasse cm nattrq aux hérétiques qu'il j a il* vérités importantes qu'on ne pn bien soutenir contre les dilEculti des adversaires. Je ne me mêle poii de juger de ce qui se passe dans cœur de l'homme, je n'ai donegan de dire que M. Nicolle n'était p; persuadé de ce qu'il a dit dans 111 de ses livres. diditdisputationibuseorum,utnm » quàm inventant opus quod oper » tus est 11 est certain au contrai » qu'elle no laisse pas de paraltr* » et même d'éclater parmi les nu » ges que l'on tâche de répandre po » l'obscurcir, et que les person» » humbles , sincères et intelligent » ne laissent pas de la décourr » parmi ces embarras de questions » de fausses subtilités dont ou se » force de l'envelopper (10).

 

SUITE

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SUITE 1

 

toire serait disputée , au lien que signifie que la controverse sur la l'autre menaçait d'une défaite inevi- de l'autorité, et sur la voie de l'i table. Sur quoi il y a des gens qui ont m en , n'est pas une de ce» choses q conclu que M. Nicolle savait très-bien Dieu a livrées à la dispute des ho que la voie de l'autorité n'est qu'une mes , sans leur permettre de dto chimère. D'antres pins sages se sont vrir jamais ce qu'il a fait. Or cjt contentés de croire qu'il ne doutait ques-uns s'imaginent que M. Ki"

 

Êoint que ce ne fût le chemin que croyait le contraire: il avait mil ieu a marqué aux simples , quoiqu'il ne soit pas possible de satisfaire aux objections des protestans: de

 

(ftl Prtranjur (Cl.

 

t(|) Xirdlle , dr l'Unîtr df ITglise, à la /in dt

 

la pt-^favp.

 

objections terrassantes contre la T0 de l'examen : il savait qu'on 1«' torque contre la voie de l'autoriti et qu'on y en joint de nouvelles '|"

 

(i la pt-rfiter*

 

j l' lit impossible île résoudre. Il oyait dooc que la voie par laiclle il faut discerner les vérités rélées, est toute semblable aux nu«ges de la nature,sur lesquels Dicn tus permet de disputer, sans sottfIr qae nous en découvrions jamais mystère (il). Encore tin coup , je i pas la témérité de juger de la

 

ii-ncc d'autrui. M. Pellisson n'a pas été pins heu\ qae M. Nicolle , à l'égard de la ftnsive. J'avoae qu'il n a pas eu aneonp de peine à ruiner la disnclion de l'examen d'attention , et ! l'examen de discussion, et quelles autres ; mais enfin il s'est troui court comme ses confrères, quand a fallu résoudre la rétorsion, et ilanir les difiicultés de la voie de itrtorité. De sorte qne nous pouvons ■péter ici qu'il eût mieux valu , >ur l'une et pour l'autre église , de ■remuer jamais cette question (ta), trn n'est plus pernicieux que la méorle de M. Tficolle; car enfin s'il lui-ait "une fois persuader le monde til est impossible de trouve?' la vêlé par la voie de l'examen , comme y travaille de toute sa force, il verut bientôt qu'il n'a travaillé qu'à abltr le pyrrhonisme , et par consé*tnl qu'à ruiner la religion. Chacun rail alors ce raisonnement : il est ^possible de trouver la vérité par i «lie de l'examen. Cest de quoi 'I- Nicolle nous a convaincus. Il est fuient qu'on ne saurait la trouver or Ut voie de l'autorité, et ceci est "ui autrement certain que le reste. )ael autre parti y a-l-il a prendre , iutie renoncer pour un bon coup à "pérance de jamais connaître cette ériti que tant de gens cherchent, et » d paraît bien que personne ne sautul trouver? C'est là l'effet naturel t la méthode de M. Nicolle ; d'où «a peut conclure combien elle est trnicieuse. Car enfin rien n'est plus "pose à la religion que lepyrrhonis

 

C'est l'extinction totale , non'"Ument de ta foi, mais de la rai"l, et rien n'est plus impossible que r ramener ceux qui ont porté leur

 

(il) Bfundum tradidit âisputalionibut eorum , 1 ■■ inventant opiu ifuod operatus eit.

 

>a!{*noo, in Ecclcaiast., cap. III, vt. IL.

 

lu) Vojei l'avuclc NieoLLr , fiant ce volume, *»• *!fi , remarque (D).

 

égarement jusqu'à cet excès (i3). Ces paroles sont d'un habile homme (î/j), qui a médité long-temps , qui jiossède a fond l'art île raisonner * , et qui a fait à M. Nicolle plusieurs objections nouvelles. Car non-seulement il montre qu'afin d'employer avec prudence la voie de l'autorité, il faut connaître quelle est l'église qui possède l'autorité; mais aussi que les raisons de M. Nicolle nous conduiraient nécessairement à la doctrine de la probabilité dans tonte son étendue. Ce dernier point serait fort contraire à M. Nicolle, qui n combattu si solidement le dogme de la probabilité. L'autre point embrasse une infinité de discussions. On ne peut connaître on réside l'autorité , qu'en examinant quelles sont les marques de l'église qui la possède. Il faut savoir le nombre précis de ces marques. Il faut savoir non-seulement qu'il y en a tant, mais encore qu'il n'y en a pas davantage (i5). 11 faut savoir si ceux qui en comptent cent, sont plus raisonnables que ceux qui en com]>tent quinze , ou douze, ou dix , ou six , ou seulement quatre. Quand on aura fixé le nombre des marques , il faudra examiner si elles conviennent i l'église romaine plutôt qu'à IVglise grecque. Tout cela demande un long travail, et une suite pénible de discussions; de sorte qu'ayant voulu éviter la voie de l'examen , on s'y retrouve néanmoins nécessairement.

 

11'est à craindre qu'il ne s'élève un tiers parti , qui enseignera que les hommes ne sont conduits à la vraie religion , ni par la voie de l'autorité, Ai par la voie de l'examen , mais les uns par l'éducation , et les autres pav la grâce. L'éducation, sans la grâce et sans examen , persuade simplement. La grâce avec l'éducation, et quelquefois sans l'édneation et sans examen,

 

(i?0 La Placetle , Traité de U On... ieni . , pag. 3*;-. avait dit , dont la page 3ço , que rien nV.it plu» faut, rien plus peraicienx , que* cette objection de M. jfietille .' qu'elle roule nr des 'apposition» très-certainement contraire» à I» vérité , et qu'elle n'est propre qu'à bannir la certitude de la foi et de la morale, et à établir un, pyrrbonisme universel dans la religion.

 

(t4) Ci-devant ministre en Be'am , et présentement à Copenhague.

 

* Voyna les notée sur la remarque (D) de l'article Mamaoean , lotn. X, pac,. l35.

 

(iS) U Plarettr, Traité de la

 

>'"*• il1'

 

ou avec un examen superficiel, pcr- on regarderait ce doute comme m suade salutaircment. Graliâ Dci sum funeste suggestion de l'esprit malii quod sum , doit dire chaque ortbo- ainsi Ton ne se met point dans 1 et doxe ; par la grâce de Dieu je suis ce où saint Augustin remarque qu'il que je suis. Je suis orthodoxe par faut mettre , quand on veut bien di grâce (16), et cela non point de moi, cerner l'orthodoxie d'avec l'héler c'est le don de Dieu , non point par doxie. 11 faut, selon lui, se dépoui mes œuvres , par des recherches, par 1er de la pensée que l'on tient déjà des discussions, afin que nul ne se vérité. Ut autem faciliùs milescalu glorifie. Que l'examen soit facile , et non inimico animo vobisque pern ou du moins possible ; qu'il soit mal- cioso mihi adversemini, quovis juâi aisé ou même impossible; une chose me impetrare a vobis oportet, ut t et très-certaine, c'est que personne utrâque parte omnis arroganua d ne s'en sert (17). La plupart des ponatur. JVemo nostrdm dical jam gens ne savent point lire : parmi invenisse veritatem : sic eam quan ceux qui savent lire, la plupart ne mus , quasi ab utrisque nescialur.l lisent jamais les ouvrages des ad- enim ailigenter et concorditer qua versaires; ils ne connaissent les rai- poterit, si nullâ temerarid prasumj sons de l'autre parti, que par les tione inventa et cognitd esse crcàau morceaux qu'ils en trouvent dans les (18). Ceux qui disent que la corru| écrits de leurs auteurs. Ces morceaux tion du cœur empêche l'homme héri ne représentent «u'imparfaitement et tique de trouver la vérité, se troir très-faiblement les droits du parti pent souvent , s'ils entendent

 

SUITE

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SUITE 2

 

toute l'attention de son âme à inven saire, ils emploient toutes les forces ter des réponses; et il ne saunù de leur esprit, non pas à chercher croire que ses réponses soient mm s'il a raison , mais à trouver qu'il a Vaises , puisque selon lui elles com tort, et à inventer des réponses. Tou- battent l'erreur, et sont destinées si tes les réponses qu'ils inventent leur maintien de la vérité. Il se trompe

 

Paraissent bonnes , parce qu'ils ne se s'il s'imagine qu'il a bien examiné l< éfont jamais de la forte persuasion système de l'autre parti. Mais ditesqu'il est hérétique. Cela non plus ne moi, je vous prie, les ortbodoief saurait être nommé examen qu'abusi- n'ont-ils pas une semblable perîu»" vement. La première chose qu'il fau- sion , quand ils examinent la cao'

 

relire les papiers qu'elles produisent ■

 

(16) Concret f'Éptir» an Éptiinieiu, chap. ils croient que ce ne sont que des chi

 

(17) Note* tfue c'est le discours, non pas de (18) Augml., ronlri rpiit. fond»TM., tff. l'auteur de ce Itère, mais de ee tiers parti qu'on (itj) Vojes. le Coramenuire philosophiT" pourrait craindre. Il faut noter cela en plusieurs Contratni^lrs d'rnirer, part, fi,eh*?. autres iW. oit.'. j^H ,t tutmnUa; rt jxirt. IV, ptig, «7 ft tvlr'

 

mes; et après même que les juges ibalternes et souverains les ont conimnés, ils croient avoir raison ; ils 1 appelleraient à un autre tribunal il \ en avait. D'où vient cela? N'est* : pas de ce qu'ils examinent tout >ec une forte prévention d'avoir la istice de leur côté ? Rien n'est plus ipablede nous convaincre de l'inulité de tout examen qui ne se fait "sans prévention, que ce qui arrive ras les jours aux nouvellistes. Ils se ersuadent que le parti qu'Us époua la justice de son côté , et ils mbaitentpassionnément qu'il triomSie. Ils sentiraient un chagrin morI ■ si quelque lumière vive se rtsentait à leurs yeux , qui les conlinquit du droit et de la bonne irtnnedu parti contraire. Voici l'ef■I île ces passions. Ils ne lisent les unifestes et les relations de l'enneii que comme des faussetés : quelae probables que soient ses raisons, s les rejettent ; ils appliquent tout ur esprit à considérer ce que l'on peut répondre. Or, pendant qu'ils M attentifs aux apparences spécieu'Je la réponse, etnullemcntatten's au beau côté de l'objection , ils acquièrent jamais d'autre connaismee que celle qui flatte leurs préiu« S'il court de mauvaises nouvelles,

 

* sont incrédules ; ils inventent, cent «sons pour les combattre; ils ne appliquent qu'à cela. S'il en court < bounes, leur crédulité n'a point

 

* bornes ( Qo ) j les apparences les 'lus faibles leur tiennent lieu de forte """e; ila travaillent ardemment à Wojerces apparences; ils éloignent 'e leur imagination 1rs apparences onlraires ; et ils passent ainsi l'année

 

ebagrin et sans inquiétude, grâ'à leur industrie qui écarte les 4* désagréables , et qui crée en B de beaux fantômes de jour en xw. Il n'y a qu'une évidence inconfstablequi les puisse détromper; et ■ «aminent profondément, ils se ^nrront rendre témoignage qu'ils se ^entdes mêmes raisons poursefiat'r i dont ils ne tiendraient nul "rapte si elle» étaient alléguées en "fur de l'ennemi. N'est-il pas vrai

 

W| tfùtn qu'il y a une autre sorte tfg nouvel(ii tll„t lnf.)nieujr it t'ajfliger; ils croient Jt*i/i traignent, et non pas ce nu'ds touhai

 

ÏOME XI.

 

que si l'on n'examine pas mieux le pour et le contre,dans les matières de religion, que dans les affaires du temps , cela ne mérite pas le nom d'examen ? F.t n'est-il pas vrai que le même esprit qui règne ordinairement dans les nouvellistes , ardemment affectionnés à un parti , règne dans la plupart des personnes passionnées pour leur religion ? Une bataille perdue afflige le nouvelliste : une bataille gagnée lui donne un très-grand plaisir. C'est pour cela qu'il épuise toutes les forces de son esprit à se convaincre que la bataille est gagnée; et si les preuves du conlraire ne sont pas inconstestables , s'il y a trois probabilités à alléguer pour le gain, contre dix ou douze probabilités pour la perte , il se convainc qu'elle est gagnée. On n'a pas moins de plaisir dans une dispute de religion , lorsqu'on croit que l'adversaire est battu : on n'aurait pas moins de chagrin si Ton voyait son triomphe. Ainsi, de part et d'autre, le chagrin à éviter, leplaisir à se procurer, empêchent que l'on n'examine équitablement, et font qu'on emploie double poids et double mesure.

 

Voilà ce qu'on pourrait craindre qu'un tiers parti ne vînt avancer, soutenant le droit et niant le fuit; soutenant qu'il faut se conduire par la voie de l'examen, et que néanmoins personne ne marche par cette voie Quoi qu'il en soit, la différence est fort grande dans l'événement; car au lieuquecetix quierrent deviendraient pent-être orthodoxes , s'ils n'étaient persuadés qu'ils te sont déjà , les orthodoxes se garantissent peut-être de l'hérésie, parce qu'ils retiennent fermement la prévention qu'ils sont orthodoxes.

 

SUITE

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SUITE 3(E) Les obstacles d'un bon eramen .... viennent de ce que l'esprit. . . . est plein de préjugés/] Ceci n'a guère besoin de commentaire après ce qu'on vient de lire. L'exemple des plaideurs et des nouvellistes , dont je viens de me servir, est très-propre à faire com prendre qu'un homme qui est juge et partie est peu en état de bien discerner la vérité et la fausseté. 11 y a deux fortes raisons qui ont établi qu'il soit défendu A l'homme de soutenir ces deux personnages tout à la fois: l'une est prise du danger qu'il y aurait qu'il oe prononçât en sa faveur , et par conséquent c'est leur incline lors même qu'il connaîtrait son injus- lion et non leur lumière qui est t ticc ; l'autre vient du péril qu'il y principe Je leur persuasion. G q . aurait qu'il ne crût avoir raison, lors y a de plus terrible en cela, est que même que la bonne cause de sa par- tant si facile d'une part que les hoa tic serait aisée à connaître. Dan* les mes tombent dams l'erreur et l'dluêioi disputes de religion chacun est jHge il est trit-difficile de l'autre qu'ti et partie ; car on n'examine point les s'en retirent, parce qu'ils ne connan raisons de son adversaire après s'être sent point les défauts qui les y 01 revêtu d'un esprit sceptique et pyr- engages , et que n'ayant point d'an rlionien : on croirait commettre un très yeux spirituels pour les discerna crime , si l'on se mettait en cet état; Us jugent d'eux -mêmes et des autre on examine donc étant bien persuadé par cesyeux mêmes qui sont malade, que la religion que l'on professe est Ita fit ut aniraus de se ipso tùm judi la seule véritable. Et nous voilà près- cet, eu ni id ipsum quo judicat aegr» que dans les passions des nouvellistes tet (ai). Prenez bien garde, i°. que exposées ci-dessus. Trois probabilités certain cas la vérité qui nous làck du côté de notre préoccupation pré- est si manifeste , que l'on Be saurai valent sur dix ou douze de l'autre venir à bout de la méconnaître^ M côté j et cela parce que l'attention de qu'il y a des procès civils et des coi notre esprit se porte infiniment plus troverscs , où la vérité est si difl vers les probabilités qui plaisent, que à démêler de la fausseté , que le* jv vers celles qui chagrinent. Al. Nicolle ges les plus désintéressés , et que l< confirme cette pensée. Quelque infi- pyrrhoniens mêmes les plus ùbiU nie que sait la disproportion qu'il y a uc sauraient de quel côté se teurnei entre Dieu et les créatures , entre les 11 est donc vrai que les préjuges < choses éternelles et Us temporelles , les (tassions n'avauglent pas en touli on ne laisse pas de préférer tous les rencontres , et que les difficulté) jours a Dieu et aux biens éternels les l'examen sont quelquefois dans 1< moindres plaisirs , e( les moindres in- objets.

 

téréts du monde ; parce que l'on sent (F) On aurait tort d'imputer un. vivement oes intérêts et ces plaisirs , protestant les bruits... qu'il r, j; et qu'au conbaire on ne conçoit Dieu se confesser pendant sa darnièrtni^ et les choses éternelles que faible- /«»<•. i Plusieurs personne*, apn ment. Oest en cette même manière avoir lu la gazette de Rotterdam, "We. , c , . ,

 

'. r . ■ . . '(aa) Guette de Bottrrdam, du I0*.M

 

. et c est leur passion qui les applique; ifiç)3 . a tariiJe ,h Paru, dut) Je frner

 

ste sur qui les soupçons tombèrent. :1a était fondé sur diverses lettres l'on avait reçues de France. Mais , ra-t-on , ces lettres n'avaient-ellcs is été écrites par des protestans de iris? je n'en sais rien; je sais seuleent que les catholiques de Paris rent les premiers qui débitèrent tle nouvelle et qui en murmurèrent, •demoiselle de Scudéri , intime lie du défunt, fut affligée de ce vil, et pria M. de Meaux de lui prendre la vérité. Ce prélat lui mit une lettre qui fut imprimée, parut d'autres écrits et en France en Hollande , et peu après on ne rla plus de cela. Ce qu'il y eut incontestable, fut que M. Petlisson

 

•jrut sans avoir communié, et sans tre confessé. 11 y eut là-dessus trois rtesde jugemens , comme il arrive «que toujours. Les amis de M. Jli&son soutinrent, conformément

 

narré de M. de Meaux , qu'il avait iodé un confesseur; mais que sa iiion le suffoqua avant que l'heure ifquée à ce confesseur fût venue *« s ennemis donnèrent le plus mau'■■ tour qu'il- purent à toutes les 'constances. Les personnes neutres contentèrent de dire qu'il fallait

 

— Paa

 

ainsi. Quant au reste, ils coudamTïntceux qui débitèrent qu'il moult SàSS «OII VOOIO ESTEKDRE fE»SSl SUR LE SOJET DE IA RELIGION

 

tl\ car cela suppose qu'il y eut des ms qui se présentèrent pour lui arlerde religion , et qu'il refusa de • entendre. Or, disent-ils , cela est èifaux. Ils ajoutent qu'il est arrive plusieurs personnes pieuses d'avoir iffére leur confession et leur comunion dans leurs maladies; soit "ce qu'elles ne croyaient pas être Mi malades qu'elles l'étaient, soit irec que des raisons de famille décodaient qu'on ne les crût pas au "'M de la fosse (a4). De tels délais où

 

L'abbé BoMjuillon, auteur d'un Eloge de 'i .lit positivement qu'il remit seulement nnrfeiaion aa lendemain . pour s'y préparer Montage. Joly penche pour ce récit. |ft3| Ci-arum, citation (ai). '!) M. Pascal, l'étant confessé durant sa ^"rr maladie, alarma ses amis , et fut cause "les médecins l'accusèrent d'appréhension. "il dit : J'eusse voulu

 

la conscience n'a point de part peuvent dire cause qu'un homme meure sans confession. Quoi qu'il en soit on alléguera sans doute contre M' Pcllisson un historien catholique (i5) dont 1 ouvrage fut imprimé à Paris avec pnvilegedu roi, l'an i6q4. Vous trouverez ces paroles d la page M3 du 1K tome : on partait diversement de la religion de Paul Pellisson : tes uns disaient qu'il n'en avait aucune ■ qu U ncjaisait que s'accommoder au temps; et que selon lui la religion du prince et celle qui servait le plus à son ambition était toujours la meilleure : d'autres l'ont cru protestant dans l ame; et d'autres catholique de bonne foi. Ce qu'il y a de certain c est qu il a professé ces deux religions en divers temps de sa vie et au il a paru zélé dans l'une et dans l autre. Mais à rheure de sa mort, il n en professa aucune ouvertement ■ car il ne voulut point participer aux sacremens de l'église romaine , ni n osa se dire huguenot; mais il persista jusqu'à la fin dans un silence profond, dont il n'y a que Dieu gui tache les causes (a6). Mais ceux qui savent que cela n'est point dans l'édition de Paris , n'oseront produire ce témoin. J'ai sn que l'édition de Hollande contient plusieurs choses a quoi M. de Riencourt ne songea jamais. Note* que l'édition de Hollande contient au titre , à Paris, chez Claude Barbin, au Palais, ,6q4 avec prwilége du roi. Ceux q„i là trouveront dans quelque bibliothèque , d ici à quarante ans , pourrontils savoir qu'elle est supposée ? Ne croiront-ils pas de bonne foi que tout ce qu elle contient fut publié à Paris par un correcteur des comptes > Et si quelqu'un leur objecte que son édi

 

puisque je vois qu'on est si surpris de ma confession, j aurais peur qn'on ne le fit davantage. C'est pourquoi il vaut mieur. différer; et monsieur le cure avant été de cet avis, il ne communia pas 5°'".'" Vk'' 43- Dan. le temps qu'on

 

réimprime celte feuille, aa mois de janvierÏ101 les Gazettes de Hollande publient que M H'ose' secrétaire du cabinet et V. Slouppe, lieutenant général , sont morts a Pari, sans avoir- reçu aucun sacrement. On n'rn tjre point de conséquence contre leur catholicité. Il y a dan, le Ménagiana que de, malades diffèrent leur testament et leur conjession , comme mawais augure.

 

(a5) M. de Riencourt, correcteur des complet.

 

(■•6) Riencourt , Histoire de Louis XIV par. 71S, «4. '1

 

lion ne contient pas ce profond silence , celle rejection des sacremens, etc. (J7), et qu'ils falsifient l'histoire publique , ne produiront-ils pas un exemplaire qui fera voir aux yeux de mille témoins , A Paris cm /. Claude Ijarbin , etc. ? Prendra-t-on la peine de faire nommer des experts pour la vérification des éditions? Nullement: chacun suivra ses préjuges , et prendra pour l'édition supposée celle qui ne lui agréera pas. D'où l'on peut connaître combien il est difficile à l'homme d'éviter l'erreur , au milieu de tant de ténèbres que l'on répand par avance sur les années à venir. Nos prédécesseurs n'ont pas moins songe à nous séduire que l'on songe présentement à tromper la postérité. Et si pendant qu'un auteur est plein de vie on ose falsilier ses ouvrages , qui nous répondra que les manuscrits des pères aient été respectés? Qui nous répondra qu'il n'y ait des gens qui souffrent persécution , pour soutenir l'artifice d'un corrupteur de bibliothèques.

 

(G) Cette famille « produit plusieurs personnes illnsttvs. ] « De la Pellissons sont sortis

 

SUITE

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SUITE 4 ET FIN

(G) Cette famille « produit plusieurs personnes illnsttvs. ] « De la Pellissons sont sortis

 

» à Lyon, i53o, in-16, parTbibi » Paycn , selon tin ye.rdier en » Bibliothèque Française. Il a ans » fait l'Eloge tre cents ans , qui ont paru ta » dans les armes que dans la jnstic » avec leurs illustres alliances: » parler d'un Louis Pellisson , do » le président Faber a témoigné » grand savoir par l'honorable me » tion qu'il en a fait au Traité tic l; » roribus pragma.; et en celui » conjecturis,cha p. 10. Comme .i" » de Pierre et Jean-Jacques Pel! » son , conseillers au parlement » Toulouse et chambre de l'édit » Castres,hommes de savoir exempl » re , dont le premier a été si gft » joueur d'échecs , qu'un itali » très-savant en ce jeu , et qui cb( » chait son semblable , ayant jo » avec lui incognito , et étant gagi » proféra ces paroles : o èil diavo n o il signor Pellissono

 

famille des Pellissons est aussi d

 

.. famille d~

 

J> RaimomJ Pellisson , premier pré- » cendue, parles femmes, de celle » sident à Chambéri; P-ieire Pellis- » du Bourg (agi, célèbre par le grai u son, second président au mi1me « lieu ; Thomas Pellisson, maréchal » des logis de la compagnie des gen» darmes de Guy de Maugiron, gou» verneur de Chambéri, et grand » prevôt de Dauphiné; Benoît Petit lisson , seul greffier civil et crimi» nel du parlement de Dauphiné , il u y a six vingts aus, charge si consi» dérablc,qu'elle est maintenant diviM séc en neuf, dont chacune vaut « onze mille écus; Jean Pellisson » de Condrieu , principal du. collège a de Tournon , qui a fait un Epitome » de la Grammaire laitue, que Desu pautier a augmenté (a8), et corail posa le premier la Grammaire lati» ne et ses règles, avec l'Institution » des Enfans en un Collège, imprimée prince de Galles

 

Guyenne.

 

ii-) Car il nu Tochît point participer aux lacremenr de l r'gliie romaine. Hiencourt, Histoire de Louis XIV , pag. - ■ \ .

 

(18) Cet auteur, " coirrni dans tel /cotes de France , Y porte le nom de Drspantere

 

PÉNÉLOPE , fille d'I carius © jusques au retour de son mafrère de Tyndare, roi de Lacé- ri, qui les extermina tous. Ou -emone, fut femme d'Ulysse, et loue avec beaucoup de raison la se rendit si célèbre par sa chas- prévoyance qu'elle eut de ne vouteté, qu'on la propose en exem- loir pas traiter Ulysse comme pie encoreaujourd'liui, et qu'elle son mari, avant que de s'être bien ni passée en proverbe. On dit éclaircie "qu'il était Ulysse (D). qu'Ulysse l'obtint par les bons Sa vertu , quoique chantée par offices de Tyndare (a), en récom- le plus grand de tous les poètes, p-nse d'un bon conseil qu'il avait et par une infinité d'écrivains, donné (b). D'autres disent qu'il n'a pas laissé d'être exposée à la la gagna à la course, Icarius médisance. Quelques-uns ont dit avant déclaré à ceux qui lui de- que si ses galans échouèrent, ce mandaient sa fille, qu'il la don- fut à cause qu'ils aimaient mieux lierait à celui qui courrait le faire bonne chère aux dépens d'Uniieux © : Ulysse fut celui-là. lysse, que de coucher avec sa femOa le pourrait donc comparer à me (E). D'autres disent qu'effecfcuiqui courent un bénéfice , et tivement ils couchèrent avec elle, qui l'emportent pour avoir eu et que le dieu Pan fut le fruit de de meilleurs chevaux. Il ne put leurs amours (F) : mais quelques jamais se résoudre à demeurer à auteursontmieuxaimédirequ'elLacédémone, comme son beau- le conçut Pan lorsque Mercure père le souhaitait : il reprit le déguisé en bouc lui ôta par force chemin d'Ithaque, et fut suivi sa virginité (G). C'est une opinion par son épouse. Ce qu'elle fit, assez générale que, ne pouvant lorsque son père courant après pas jouird'elle, ils s'adressèrent à tui les attrapa en chemiu , mé- ses servantes, et lesdéhauchèrent rite d'être observé (A). Ces nou- (H). Les habitans de Manlinée veanx mariés s'aimèrent fort ten- contaient qu'elle mourut dans Jreraent, de sorte qu'Ulysse fit leur ville (I). Ceux qui disent tout ce qu'il put pour n'aller pas qu'Homère ne l'a tant louée su siège de Troie {d) : mais, tou- que parce qu'il était de ses deste ses ruses furent inutiles; il cendans, ne raisonnent pas fort fallut se séparer de sa chère fem- juste (K). On verra dans la reine, qui lui avait donné ungar- marque où je traitede ceci, que ren. 11 fut vingt ans sans la re- Pénélope survécut à Ulysse , et ?oir. Pendant cette longue ab- qu'elle se remaria. Je parlerai wnce, elle se vit recherchée par en particulier de la louange dont M grand nombre de personnes Ausone l'a couronnée (L). K;qui la pressaient de se déclarer;

 

mais elle éluda leurs poursuites (A> Cr 1,Ce"''A ' lors1',e sonP{TM

 

v courant après eux tes attrapa en che

 

Apollodoms , Biblioth. , lib. 11/ , min , mérite d'être observé. ] Icarius,

 

f9^ m-217 , 218. n'ayant pu persuader à son gendre

 

tt) Voytz dans rartirlc (THÉL^nr , tome jc aemeurcr à Lacedémone, tacha

 

i a"''-r'^;''rt,Va-' ce d'obtenir de sa fille qu'elle voulût

 

V U muetUm à Tyndare touchant le maria' , .

 

*r Jfjsikne Dien y demeurer ; mai» ses prières ne l*ai»anu< , lib. Ht, ptig. Çj3. \fi- >'oyez. CartieU Umssf, U>m. XIK.

 

trop déraisonnable; il demandait ui

 

{>référence qui ne s'accorde ni av< es loix de la nature, ni avec 1' droits matrimoniaux. Comme tout» choses sont instructives dans la pa rôle de Dieu , on a observé qne i Psalmiste n'emploie pas beaucoup d raisons pour persuader à une fil qu'il faut préférer à la maison de so père la maison de son mari. Il sera fort inutile de s'étendre en raisonne mens pour persuader une telle chc se : c'est pourquoi le Saint-Esprit i contente de promettre à cette fi II qu'elle sera heureuse en enfans, t que son mari l'aimera (i): Escoute, fille en beauté nompesreilse . Enten à moi , et me preste l'oreille: Il te convient ton peuple familier. El la maison de ton pere oublier. Car nostre roi, nostre souverain sire . Moult ardemment ta graruf bemsetr iesvrr Doresnavant ton seigneur il sera , Et de toi humble obéissance aetra. (3)

 

rte plaint donc pas de quitter père et mer Cas en lieu iteux mariage prospère Te produira beaux et nobles enfans r Que tu feras partout rois triomphant. Ce psaume est très-beau , lors raêro qu'on le détache de son sens my«li que, et qu'on ne le considère sùnpk ment que comme une pièce de poôie Mats voici une traduction bcancoaj plus belle que ne l'est presentemen le vieux gaulois de Clément Marot Tuque ad eu, regina t auoM; et rem pet*-" conde:

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OU SONT ILS

MAIS OU ILS VONT

 

NOUS ON SAIT D'OU ON VIENT COMME CETTE CHANSON QUI DIT:

 

de Ceux que l'amour a blessés

 

interprétées par Johnny Hallyday :

 

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants du front

Ils ont la peur aux yeux

Ils ont la ride au front

Comme des jeunes vieux

Ils marchent le dos courbé

Ils font un peu pitié

Ils font un peu pitié

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

 

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants de loin

Qui ont offert leur vie

A qui ont ne rend rien

Ils crient pour avoir l'air

J'ai fait l'amour, moi, monsieur

Comme s'ils en étaient fiers

Comme s'ils étaient heureux

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

 

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants chez soi

Ils trouvent leur feu éteint

On ne les attend pas

Devant les cendres froides

Comme des chiens, sans pleurer

Ils lèchent leurs blessures

Ils soignent leur passé

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a blessés

 

Comme des revenants de guerre

Comme des revenants d'amour

Ils jurent, c'est la dernière

A jamais, pour toujours

Il faut ranger les armes

Il faut sécher les larmes

Ils veulent mourir en paix

Et qu'on leur fiche la paix

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour

Ceux que l'amour a tués

A tués

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OU SONT ILS

MAIS OU ILS VONT..........

 

Tu les a repoussés

En leur disant que tu ne les aimais pas....

TU EST DE MAUVAISE FOIE HURLEVENT

45 afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes.

46 Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même?

47 Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même?

48 Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.

 

 

relit ce que te dit jesus

 

23 Si donc tu présentes ton offrande à l'autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi,

24 laisse là ton offrande devant l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère; puis, viens présenter ton offrande.

25 Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu'il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l'officier de justice, et que tu ne sois mis en prison.

26 Je te le dis en vérité, tu ne sortiras pas de là que tu n'aies payé le dernier quadrant.

27. Vous avez appris qu'il a été dit: Tu ne commettras point d'adultère.

28 Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.

29 Si ton oeil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; car il est avantageux pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne.

30 Et si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi; car il est avantageux pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier n'aille pas dans la géhenne.

1 Il a été dit: Que celui qui répudie sa femme lui donne une lettre de divorce.

32 Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère.

33. Vous avez encore appris qu'il a été dit aux anciens: Tu ne te parjureras point, mais tu t'acquitteras envers le Seigneur de ce que tu as déclaré par serment.

34 Mais moi, je vous dis de ne jurer aucunement, ni par le ciel, parce que c'est le trône de Dieu;

35 ni par la terre, parce que c'est son marchepied; ni par Jérusalem, parce que c'est la ville du grand roi.

36 Ne jure pas non plus par ta tête, car tu ne peux rendre blanc ou noir un seul cheveu.

37 Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu'on y ajoute vient du malin.

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7. Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira.

8 Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe.

9 Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain?

10 Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent?

11 Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent.

TIEN ENCORE POUR TOI HURLEVENT

 

 

 

6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.

7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés.

8 Ne leur ressemblez pas; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez.

9. Voici donc comment vous devez prier: Notre Père qui es aux cieux! Que ton nom soit sanctifié;

10 que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

11 Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien;

12 pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés;

13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen!

14 Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi;

15 mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.

16. Lorsque vous jeûnez, ne prenez pas un air triste, comme les hypocrites, qui se rendent le visage tout défait, pour montrer aux hommes qu'ils jeûnent. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense.

17 Mais quand tu jeûnes, parfume ta tête et lave ton visage,

18 afin de ne pas montrer aux hommes que tu jeûnes, mais à ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.

19. Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent;

20 mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.

21 Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur.

22 L'oeil est la lampe du corps. Si ton oeil est en bon état, tout ton corps sera éclairé;

23 mais si ton oeil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres!

24 Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.

25. C'est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n'est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement?

26 Regardez les oiseaux du ciel: ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n'amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux?

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ENCORE POUR DE GENS QUI VEUILLENT SAVOIR

ET QU SAVENT LIRENT ENTRE LES LIGNES

 

13 et, si la maison en est digne, que votre paix vienne sur elle; mais si elle n'en est pas digne, que votre paix retourne à vous.

14 Lorsqu'on ne vous recevra pas et qu'on n'écoutera pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville et secouez la poussière de vos pieds.

15 Je vous le dis en vérité: au jour du jugement, le pays de Sodome et de Gomorrhe sera traité moins rigoureusement que cette ville-là.

16. Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes.

17 Mettez-vous en garde contre les hommes; car ils vous livreront aux tribunaux, et ils vous battront de verges dans leurs synagogues;

18 vous serez menés, à cause de moi, devant des gouverneurs et devant des rois, pour servir de témoignage à eux et aux païens.

19 Mais, quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz: ce que vous aurez à dire vous sera donné à l'heure même;

20 car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est l'Esprit de votre Père qui parlera en vous.

21 Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir.

22 Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom; mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.

23 Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. Je vous le dis en vérité, vous n'aurez pas achevé de parcourir les villes d'Israël que le Fils de l'homme sera venu.

24 Le disciple n'est pas plus que le maître, ni le serviteur plus que son seigneur.

25 Il suffit au disciple d'être traité comme son maître, et au serviteur comme son seigneur. S'ils ont appelé le maître de la maison Béelzébul, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi les gens de sa maison!

26 Ne les craignez donc point; car il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu.

27 Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en plein jour; et ce qui vous est dit à l'oreille, prêchez-le sur les toits.

28 Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne.

29 Ne vend-on pas deux passereaux pour un sou? Cependant, il n'en tombe pas un à terre sans la volonté de votre Père.

30 Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés.

31 Ne craignez donc point: vous valez plus que beaucoup de passereaux.

32 C'est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux;

33 mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux.

34 Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.

35 Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère;

36 et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison.

37 Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi;

38 celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi.

39 Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera.

40 Celui qui vous reçoit me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m'a envoyé.

41 Celui qui reçoit un prophète en qualité de prophète recevra une récompense de prophète, et celui qui reçoit un juste en qualité de juste recevra une récompense de juste.

42 Et quiconque donnera seulement un verre d'eau froide à l'un de ces petits parce qu'il est mon disciple, je vous le dis en vérité, il ne perdra point sa récompense.

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6 Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même; comment donc son royaume subsistera-t-il?

27 Et si moi, je chasse les démons par Béelzébul, vos fils, par qui les chassent-ils? C'est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges.

28 Mais, si c'est par l'Esprit de Dieu que je chasse les démons, le royaume de Dieu est donc venu vers vous.

29 Ou, comment quelqu'un peut-il entrer dans la maison d'un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort? Alors seulement il pillera sa maison.

30 Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse.

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et encore hurlevent

 

on a jamais dit on vous aime pas a nos enfant

 

on aime pas les rencontres qu'ils font comme c'est dis ici

 

 

10. Ayant appelé à lui la foule, il lui dit: Écoutez, et comprenez.

11 Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme; mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui souille l'homme.

12 Alors ses disciples s'approchèrent, et lui dirent: Sais-tu que les pharisiens ont été scandalisés des paroles qu'ils ont entendues?

13 Il répondit: Toute plante que n'a pas plantée mon Père céleste sera déracinée.

14 Laissez-les: ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse.

15 Pierre, prenant la parole, lui dit: Explique-nous cette parabole.

16 Et Jésus dit: Vous aussi, êtes-vous encore sans intelligence?

17 Ne comprenez-vous pas que tout ce qui entre dans la bouche va dans le ventre, puis est jeté dans les lieux secrets?

18 Mais ce qui sort de la bouche vient du coeur, et c'est ce qui souille l'homme.

19 Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies.

20 Voilà les choses qui souillent l'homme; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille point l'homme.

21. Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon.

22 Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria: Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon.

23 Il ne lui répondit pas un mot, et ses disciples s'approchèrent, et lui dirent avec insistance: Renvoie-la, car elle crie derrière nous.

24 Il répondit: Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël.

25 Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi!

26 Il répondit: Il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.

27 Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres.

28 Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu veux. Et, à l'heure même, sa fille fut guérie.

29. Jésus quitta ces lieux, et vint près de la mer de Galilée. Étant monté sur la montagne, il s'y assit.

30 Alors s'approcha de lui une grande foule, ayant avec elle des boiteux, des aveugles, des muets, des estropiés, et beaucoup d'autres malades. On les mit à ses pieds, et il les guérit;

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1. En ce moment, les disciples s'approchèrent de Jésus, et dirent: Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux?

2 Jésus, ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d'eux,

3 et dit: Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux.

4 C'est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux.

5 Et quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.

6 Mais, si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu'on le jetât au fond de la mer.

7. Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive!

8 Si ta main ou ton pied est pour toi une occasion de chute, coupe-les et jette-les loin de toi; mieux vaut pour toi entrer dans la vie boiteux ou manchot, que d'avoir deux pieds ou deux mains et d'être jeté dans le feu éternel.

9 Et si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; mieux vaut pour toi entrer dans la vie, n'ayant qu'un oeil, que d'avoir deux yeux et d'être jeté dans le feu de la géhenne.

10 Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.

11 Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu.

12 Que vous en semble? Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres sur les montagnes, pour aller chercher celle qui s'est égarée?

13 Et, s'il la trouve, je vous le dis en vérité, elle lui cause plus de joie que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.

14 De même, ce n'est pas la volonté de votre Père qui est dans les cieux qu'il se perde un seul de ces petits.

15. Si ton frère a péché, va et reprends-le entre toi et lui seul. S'il t'écoute, tu as gagné ton frère.

16 Mais, s'il ne t'écoute pas, prends avec toi une ou deux personnes, afin que toute l'affaire se règle sur la déclaration de deux ou de trois témoins.

17 S'il refuse de les écouter, dis-le à l'Église; et s'il refuse aussi d'écouter l'Église, qu'il soit pour toi comme un païen et un publicain.

18 Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.

19 Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux.

20 Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux.

21. Alors Pierre s'approcha de lui, et dit: Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi? Sera-ce jusqu'à sept fois?

22 Jésus lui dit: Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à septante fois sept fois.

23 C'est pourquoi, le royaume des cieux est semblable à un roi qui voulut faire rendre compte à ses serviteurs.

24 Quand il se mit à compter, on lui en amena un qui devait dix mille talents.

25 Comme il n'avait pas de quoi payer, son maître ordonna qu'il fût vendu, lui, sa femme, ses enfants, et tout ce qu'il avait, et que la dette fût acquittée.

26 Le serviteur, se jetant à terre, se prosterna devant lui, et dit: Seigneur, aie patience envers moi, et je te paierai tout.

27 Ému de compassion, le maître de ce serviteur le laissa aller, et lui remit la dette.

28 Après qu'il fut sorti, ce serviteur rencontra un de ses compagnons qui lui devait cent deniers. Il le saisit et l'étranglait, en disant: Paie ce que tu me dois.

29 Son compagnon, se jetant à terre, le suppliait, disant: Aie patience envers moi, et je te paierai.

30 Mais l'autre ne voulut pas, et il alla le jeter en prison, jusqu'à ce qu'il eût payé ce qu'il devait.

31 Ses compagnons, ayant vu ce qui était arrivé, furent profondément attristés, et ils allèrent raconter à leur maître tout ce qui s'était passé.

32 Alors le maître fit appeler ce serviteur, et lui dit: Méchant serviteur, je t'avais remis en entier ta dette, parce que tu m'en avais supplié;

33 ne devais-tu pas aussi avoir pitié de ton compagnon, comme j'ai eu pitié de toi?

34 Et son maître, irrité, le livra aux bourreaux, jusqu'à ce qu'il eût payé tout ce qu'il devait.

35 C'est ainsi que mon Père céleste vous traitera, si chacun de vous ne pardonne à son frère de tout son coeur.

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Pmat

Ne te donne pas tout ce trouble

Je ne lis pas cette littérature

Merci quand même.

DE RIEN

MOI SI JE L'ADORE CET LITERATURE

 

ET JE LA CHANGERAIS CONTRE LE MONDE

S'IL LE FALAIT

ET JE VOUS LAISSERAIS CE MONDE

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Ce sujet vu son contenu devrait pas aller en la partie Religion?:rolleyes:.....Nimos est déja sorti...:)

 

PEUT ETRE QUE T'A RAISON NIMOS

 

A NOS AMIS (IES) LES MODOS DE CHOISIR

 

oui toutes bonne parole vien du createur

l'honne n'est que le technicient pour s'en servir

a ses interets

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Guest anincognito

Pmat, toi c'est toi, et tes enfants sont eux-mêmes, eux aussi, surtout lorsqu'ils s'affirment et veulent voler de leurs propres ailes.

 

Et si en fait, tes enfants étaient sur le point de faire mieux que toi? D'aller au-delà de là où se trouvent tes limites?

 

Il faut accepter que les choses, que les gens évoluent.

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Pmat, toi c'est toi, et tes enfants sont eux-mêmes, eux aussi, surtout lorsqu'ils s'affirment et veulent voler de leurs propres ailes.

 

Et si en fait, tes enfants étaient sur le point de faire mieux que toi? D'aller au-delà de là où se trouvent tes limites?

 

Il faut accepter que les choses, que les gens évoluent.

 

s'il me fallait par ce que tu dis anincognito

 

ma vie n'aurais plus aucun sens

 

et la je prefererai ne m'etre jamais marier

 

dans lo mot

le terme

le sens

 

DONNER UN SENS A MA VIE

 

une question s'impose

 

comment elle aura plus de sens?

 

si celui qui a perdu les siens

 

ou celui qui a pas voulu ecouter ses parens et leurs conseille

 

me disent cela

 

je peux comprendre mais pas etre d'accord du tout

 

et je dois posr la question a mes enfans qui etes vous

a quoi vous croyez

 

et ce a quoi je croi et ce qui est dit et ce dit

 

ne me dit pas les choses que vous me proposez

 

donc a ce sujet chacun sa vie et les siens

 

avec tout mon respect

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