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Déclin de la langue arabe


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Un autre changement important annoncé par le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) est le déclin de l’utilisation de langue arabe parmi les musulmans.

Selon Ibn Mard’waih, Ibn Abas a rapporté qu’une époque viendrait ou les lignes de croyants seront très longues mais on entendra trop de voix.

La période du Hadj présente un exemple frappant de cette situation.

L’un des objectifs du Hadj est de réunir les musulmans du monde entier et leur donner l’occasion de discuter ensemble de problèmes communs.

Mais cela est devenu impossible car les musulmans vivant en dehors de l’Arabie ont abandonné l’utilisation de l’arabe.

Parce qu’il n’y a pas de langue commune, il ne peut y avoir d’échange d’idées à l’occasion du Hadj.

Cette grande réunion ne peut plus servir à la promotion des objectifs religieux, sociaux et culturels communs.

La conservation de la connaissance de l’arabe aurait permit de créer une force unifiante entre les musulmans du monde entier et aucune force extérieure n’aurait pu la briser.

 

http://www.islam-ahmadiyya.org]Islam ahmadiyya : connaître l'Islam véritable et l'Ahmadiyya, sa renaissance

 

 

 

Déclin de la littérature arabe classique

 

L'expansion des populations arabes aux VIIe et VIIIe siècles les firent entrer en contact avec une variété de peuples différents qui ont, peu à peu, influencé leur culture.

L'ancienne civilisation perse fut, de toutes, celle qui eu l'impact le plus important sur la littérature arabe.

La Perse aimait toujours à se considérer comme la quintessence de la culture islamique en dépit de la régression de son influence depuis plusieurs siècles. " Shu'ubiyya " est le nom de la querelle qui opposait la vie rude, rurale et désertique des Arabes à celle du monde perse, plus aisée et plus raffinée.

Bien que cela ait provoqué des débats passionnés parmi les érudits et contribué à la diversification des styles littéraires, ce ne fut pas un conflit préjudiciable car il y avait plus important à faire à l'époque, comme par exemple de forger une identité culturelle islamique unique.

L'écrivain persan Bashshar ibn Burd résuma sa propre position dans les quelques lignes de poésie suivante :

Jamais il ne chanta les chants des chameaux derrière une bête galeuse,

Ni ne transperça la coloquinte amère, complètement affamé

Ni ne déterra un lézard du sol et le mangea...

L'héritage culturel des habitats arabes du désert a continué à montrer son influence même si de nombreux écrivains et érudits vivaient dans les grandes cités arabes.

Lorsque Khalid ibn Ahmad a énuméré les parties de poésie, il nomma les strophes "bayt", ce qui signifie "tente", et les pieds "sabah", ce qui signifie "corde de tente".

Même au cours du XXème siècle cette nostalgie pour la vie simple du désert apparaissait dans la littérature ou du moins les écrits postérieurs étaient consciencieusement remis au goût du jour.

Une lente résurgence du persan et une délocalisation du gouvernement et des principaux centres d'apprentissage à Bagdad réduisirent la production de la littérature arabe. Les thèmes et les genres de la prose arabe furent majoritairement repris en persan par des auteurs comme Omar Khayyam, Attar et Rumi, qui furent tous manifestement influencés par les premières œuvres.

Au début, la langue arabe conserva son importance dans les domaines politique et administratif, mais avec l'ascension de l'Empire ottoman son usage fut restreint à celui de la religion uniquement.

C'est ainsi qu'à côté du persan, les nombreuses variantes des langues turques domineront la littérature des régions arabes jusqu'au XXe siècle, tout en intégrant quelques influences sporadiques de l'arabe.

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Je me demande où vois-tu le déclin!? A l'époque prophétique, elle n'était la langue que de l'Arabie. Aujourd'hui, elle est celle (maternelle) de millions de peuples que ce soit au Moyen-Orient ou en Afrique du nord.

 

Ceci sont parler du fait qu'elle est la langue liturgique de centaines de millions d'individus toutes origines, cultures et nationalités confondues; que ce soit en Afrique, en Asie, en Europe ou aux Amériques.

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Je me demande où vois-tu le déclin!? A l'époque prophétique, elle n'était la langue que de l'Arabie. Aujourd'hui, elle est celle (maternelle) de millions de peuples que ce soit au Moyen-Orient ou en Afrique du nord.

 

Ceci sont parler du fait qu'elle est la langue liturgique de centaines de millions d'individus toutes origines, cultures et nationalités confondues; que ce soit en Afrique, en Asie, en Europe ou aux Amériques.

 

il est question du déclin de l'arabe classique, que par ailleurs, pour la plupart, vous 'baragouinez' plus que vous ne parlez, pas d'arabe dialectal.

à certaines conditions (reconnaissance officielle de la langue amazigh comme composante officiel de la culture algérienne concrétisée par une allocation d'aide à la promotion de cette langue),

je comprends bien que l'arabe dialectal, soit langue officielle.

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il est question du déclin de l'arabe classique, que par ailleurs, pour la plupart, vous 'baragouinez' plus que vous ne parlez, pas d'arabe dialectal.

à certaines conditions (reconnaissance officielle de la langue amazigh comme composante officiel de la culture algérienne concrétisée par une allocation d'aide à la promotion de cette langue),

je comprends bien que l'arabe dialectal, soit langue officielle.

 

Pourquoi tu a choisi un texte provenant d'une secte?

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C'est vrai qu'à part Naguib Mahfouz les arabes croûlent sous les prix nobels de littérature. Pas étonnant vu qu'il a échappé à une tentative d'assassinat des intégristes je suppose que ça a du calmer les velléités des autres écrivains sûrement :mdr: Pareil pour Rushdie, c'est pas bon d'être écrivain dans un monde qui n'aime pas la culture

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il est question du déclin de l'arabe classique, que par ailleurs, pour la plupart, vous 'baragouinez' plus que vous ne parlez, pas d'arabe dialectal.

à certaines conditions (reconnaissance officielle de la langue amazigh comme composante officiel de la culture algérienne concrétisée par une allocation d'aide à la promotion de cette langue),

je comprends bien que l'arabe dialectal, soit langue officielle.

 

Tu te fous comme de l'an 1000 de la langue kabyle (qui elle-même fait appelle à l'arabe dialectal "baragouiné" pour s’enrichir)...Ce qui t'intéresse c'est le français et rien d'autre.

 

Ta "berbérité" c'est de la poudre aux yeux.

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Tu te fous comme de l'an 1000 de la langue kabyle (qui elle-même fait appelle à l'arabe dialectal "baragouiné" pour s’enrichir)...Ce qui t'intéresse c'est le français et rien d'autre.

 

Ta "berbérité" c'est de la poudre aux yeux.

 

c'est l'arabe classique qui est "baragouiné", pas l'arabe dialectal.

c'est bien essayé, trouve autre chose...

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c(est l'arabe classique qui est "baragouiné", pas l'arabe dialectal.

c'est bien essayé, trouve autre chose...

 

و أي علاقة لكَ بهذا الأمر؟ أعدمُ اتقان فئة من الجزائريين لها أصبحَ همُك الأول؟

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و أي علاقة لكَ بهذا الأمر؟ أعدمُ اتقان فئة من الجزائريين لها أصبحَ همُك الأول؟

 

dans un post ou il était question de l'arabe lié a la religion, j'ai humblement fait remarquer que je récitais la 'Fatiha' sans comprendre sa signification.

grace aux traducteurs, dont tu pourrais faire partie si tu n'étais pas si borner, je comprends le sens de la 'Fatiha'.

merci aux traducteurs.

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dans un post ou il était question de l'arabe lié a la religion, j'ai humblement fait remarquer que je récitais la 'Fatiha' sans comprendre sa signification.

grace aux traducteurs, dont tu pourrais faire partie si tu n'étais pas si borner, je comprends le sens de la 'Fatiha'.

merci aux traducteurs.

 

Parle pour toi l'ami car moi, en tant qu'Algérien, l'arabe est ma langue.

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Parle pour toi l'ami car moi, en tant qu'Algérien, l'arabe est ma langue.

 

contrairement à toi, l'approche que j'ai des langues est uniforme, je n'en dénigre aucune.

il se trouve que l'arabe n'est pas ma langue maternelle.

mais voilà, je suis né musulman et j'aspire à le devenir.

ce sont des an-nassir, partisans de l'hégémonie linguistique, qui freinent de toutes leurs forces.

 

à partir du douzième siècle déjà,

 

A partir du 12e s., l’enseignement a pris la forme d’apprentissage quantitatif sans réflexion. Les cours d’algèbre, de grammaire, etc. étaient enseignés sous forme de poèmes de plusieurs centaines de vers que l’élève devait apprendre par cœur.

A partir du moment où l’élève savait son poème par cœur et où il pouvait retrouver les vers qui répondent à un cas donné il était licencié.

Ibn Khaldun, dans sa Muqaddima, a critiqué ce type d’enseignement pratiqué à son époque au Maghreb, le qualifiant de stérilisateur de la réflexion.

 

pardon, j'oublie que tu n'aimes pas Ibn Khaldun.

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il se trouve que l'arabe n'est pas ma langue maternelle.

 

Je te l'ai dit: parle pour toi.

 

pardon, j'oublie que tu n'aimes pas Ibn Khaldun.

 

C'est qui celui-là? Ne serait-ce pas lui qui a écrit l'Histoire des Berbères en...arabe.

 

Tu vois, même "ton" histoire est rédigée en arabe.

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