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Ouyahia vs Quotidien d'Oran


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Qui est qui… au Quotidien d'Oran

 

par K. Selim

 

Ahmed Ouyahia, sous sa casquette de secrétaire général du RND, s'est intéressé au Quotidien d'Oran pour y relever ce qui lui semble être des paradoxes. Il aurait notamment trouvé incompréhensible que dans notre journal, puissent exister un militant du RND et un «journaliste responsable qui est militant des droits de l'homme et qui fait dans l'opposition».

 

Cet intérêt pour la «ligne» de notre journal est un honneur qui nous contraint à l'exercice, qui peut déplaire aux lecteurs, de devoir parler de nous-mêmes. Mais commençons par le factuel. Le Premier ministre et SG du RND semble, selon des confrères, focaliser sur le talentueux, irrévérencieux mais néanmoins très constructif chroniqueur des Raïna Raïkoum, Kamel Daoud. Il faut préciser d'emblée, dans le cas où une confusion se serait faite sur les «fiches», que le journaliste Kamel Daoud, présentement vivant à Oran, et le chirurgien Kamel Daoud, présentement à Annaba, ne sont pas la même personne. Ils ont en partage le nom et la nationalité algérienne.

 

L'auteur de ces lignes, les connaissant tous les deux, peut aussi dire qu'ils partagent la conviction que les droits de l'homme doivent être ardemment défendus. La différence est que le chirurgien le fait par un engagement dans la Ligue des droits de l'homme, tandis que le journaliste le fait par sa plume, souvent acerbe mais toujours pertinente.

 

Ces précisions sur les personnes étant faites, il faudra aller sur le fond de l'apparent paradoxe du Quotidien d'Oran qui semble perturber notre Premier ministre : des journalistes qui ont des idées et des sensibilités différentes cohabitent dans le journal ! Cela semble vraiment choquer M. Ahmed Ouyahia et ses propos - espérons que cela n'est pas le cas - sonnent presque comme une sommation à une «purification» de la ligne. Le secrétaire général du RND serait encore plus choqué de savoir que ces journalistes, qui ont des idées différentes voire opposées, vivent en très bonne intelligence, ne se font pas la guerre mais se critiquent, s'écoutent et échangent en permanence. C'est vrai que cela ne donne pas un journal «ultra-discipliné», bien installé dans un camp contre un autre.

 

Mais les Algériens sont comme ça, monsieur Ouyahia ! Ils sont comme tous les peuples : ils ne pensent pas la même chose sur toutes les questions, ils ont des idées et des sensibilités différentes et trouvent suspect l'unanimisme. Qu'il y ait des journalistes qui reproduisent les idées de l'opposition n'offusque pas les lecteurs du Quotidien d'Oran. Ni la direction du journal.

 

La diversité des opinions qui s'expriment a été la marque de fabrique du journal à sa naissance, en 1994, dans un moment de polarisation extrême dans le pays. A cette époque déjà, on s'offusquait que le Quotidien d'Oran puisse permettre des expressions divergentes, alors que de très nombreux lecteurs y ont vu, dans un contexte particulièrement éprouvant, le signe d'une Algérie où la convivialité était possible malgré les différences et les divergences. Un journal à vocation à être ouvert et à refuser l'enfermement.

 

Son utilité sociale en dépend largement. Les appels à la «purification» de la ligne éditoriale sont mal venus.

 

 

K.Selim - Le Quotidien d'Oran - 12/04/2011

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Cet ouyahia accusé par le peuple d'être un grand corrompu et surtout d'être le bras politique des généraux sanguinaires est une vrai calamité pour l'algérie....:o

 

Il ne veut pas s'en aller et nous épargner sa sale tronche de serpent....Tout comme son alter-égo belkhadem.On dirait que l'algérie appartient à ces deux rapaces et à leurs chikours félons.....:rolleyes:

Ayez au moins la décence (je ne parle pas d'honneur que vous avez perdu) de vous casser et qu'on ne voit plus leurs figures d'aliens.

 

 

 

La riposte d’Abdelaziz Bouteflika au clan du Général Médiène « Guerre totale : Acte 1 »

 

Poste par faycal avr 11th, 2011 categorie Algérie. Vous pouvez suivre les reponses via RSS 2.0. Vous pouvez commenter et trackbacker cet article Print This Post Print This Post

 

Le sommet du pouvoir algérien se livre ces derniers jours à une véritable guerre de tranchées. Après un mois de consultations, de négociations et de conciliabules, le président Abdelaziz Bouteflika n’a finalement pas réussi à faire aboutir le projet politique avec lequel il espérait calmer une rue algérienne en ébullition, afin de préparer son retrait du pouvoir prévu en 2012.

 

En effet, selon des sources proches du palais d’El Mouradia, Bouteflika serait furieux d’avoir essuyé un sérieux revers politique. Il aurait en effet échoué à convaincre les militaires de sacrifier le premier ministre Ahmed Ouyahia et son gouvernement. Pendant tout le mois de mars, Bouteflika a multiplié les rencontres avec les principaux acteurs de l’Alliance Présidentielle, ainsi qu’avec les émissaires du général Mohamed Mediène dit « Toufik ». Ces rencontres nocturnes avec ces « visiteurs du soir » -qui souvent duraient de longues heures- avaient pour objectif d’affiner et de coordonner une nouvelle stratégie promue par Bouteflika en personne. Ce plan s’articulait autour des trois points suivants : démission du premier ministre Ouyahia, amendement de la constitution avant la fin de 2011, et nomination d’un vice-président auquel seraient confiés les rênes du pays et l’organisation de présidentielles anticipées.

 

Cette feuille de route n’a pas convaincu le clan du général Mohammed Médiène « Toufik » qui, par le biais du chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, a envoyé un message clair à Abdelaziz Bouteflika : Ahmed Ouyahia restera en fonction. Comme une démonstration de la puissance des militaires, le premier ministre a même été dépêché devant les caméras de la télévision le 1er avril dernier, et ce sans en informer au préalable le Président. Ouyahia a ainsi affirmé devant une Algérie incrédule qu’il « n’écartait pas » l’idée de se lancer à l’assaut du palais d’El Mouradia lors de la prochaine Présidentielle.

 

Inhabituellement combatif, Bouteflika n’a pas mis beaucoup de temps pour riposter et déclarer à son tour la guerre totale. Ainsi, le Président algérien a décidé d’effectuer une tournée dans plusieurs wilayas pour signifier aux Algériens qu’il est toujours le « Patron ». Il préparerait même un discours au cours duquel il répondrait subtilement à la «vanité» d’Ouyhia et de ses mentors. Ce discours sera prononcé à Tlemcen le 16 avril prochain lors de la célébration de cette ville comme capitale de la culture islamique.

 

En coulisses, les stratèges de Bouteflika avec à leur tête son frère Saïd, continuent à travailler sur tous les scénarios possibles pour déloger Ahmed Ouyahia de la primature. Et comme fer de lance de cette nouvelle compagne, ils ont choisi à nouveau Abdelaziz Belkhadem, chef du FLN. Contesté par la base de son parti, Belkhadem a néanmoins trouvé les ressources nécessaires pour qu’il se présente mercredi prochain devant la télévision nationale, afin de donner une « autre » lecture de la situation sociopolitique et économique de l’Algérie. Avec ce nouvel acte d’allégeance au clan présidentiel, Belkhadem espère revenir dans les bonnes grâces de Bouteflika, alors que celui-ci avait décidé récemment de le remplacer à la tête du FLN.

 

(maghreb-intelligence.com)

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Pourquoi le nain ne fait pas preuve de courage, pour une fois, et vire tout cet establishment ouyahia, belkhadem, tous les sinistres y compris les 13 tlemceniens, tous les walis y compris les 19 tlemceniens, toufrik-touati et leurs assassins, les généraux qui ont plus de 55 ans etc....Quel balai "majestueux" et quel soulagement pour notre peuple.....;)

 

A moins qu'il est entrain de "préparer" son frêre à la présidence.....:wavetowel3:

 

 

On ne sait jamais avec ces aliens. :28:

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Pourquoi le nain ne fait pas preuve de courage, pour une fois, et vire tout cet establishment ouyahia, belkhadem, tous les sinistres y compris les 13 tlemceniens, tous les walis y compris les 19 tlemceniens, toufrik-touati et leurs assassins, les généraux qui ont plus de 55 ans etc....Quel balai "majestueux" et quel soulagement pour notre peuple.....;)

 

A moins qu'il est entrain de "préparer" son frêre à la présidence.....:wavetowel3:

 

 

On ne sait jamais avec ces aliens. :28:

 

 

 

entièrement d'accord avec vous,boutef ouyahia belkhadem et toute la bande,partez,débarassez le plancher,laissez nous réspirer l'air libre que vous avez polluer,on y'étouffe.

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difficile de se passer des "vieux" et de voir des postes clés confiés à des guendouzes

 

les Tunisiens en savent quelque chose...

 

allons nous vers une afghanistanisation ? Une révolte twitérriso-faceboukisée avec le retour au bled d'un binational employé du FMI pour diriger l'Algérie ?

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