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Aux Algériens qui ont des revendications, allez à la source, allez chez Obama ou Sarkozy


Guest anincognito

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Guest anincognito

Moi citoyen Algérien, j'ai enfin compris que depuis toujours, l'on a mal procédé nous gens du peuple, notre incompréhension trouve enfin une explication, nos souverains sont Obama, ou Sarkozy, c'est au choix. Enfin, et avec un tel soulagement je me rends compte de ça.

 

Dorénavant, lorsque nous aurons des revendications à faire, nous devons nous adresser directement aux institutions responsables et qui détiennent vraiment les prérogatives, et les pouvoirs requis. Car au moment où je vois ces médecins, ces étudiants, ces fonctionnaires s'adresser à leurs différentes tutelles, leurs différents ministères, et que ces derniers font la sourde oreille, incapables de répondre ou d'ouvrir un dialogue sérieux, lorsque ces tutelles en arrivent à déclarer qu'elles n'ont pas les prérogatives nécessaires, puis lorsque les protestataires s'adressent à la Présidence, et que sur leur chemin, les forces d'occupation en casques et uniformes bleus, les bloquent et les tabassent.

 

Là, je comprends que ce qu'on appelle par pouvoir n'a en réalité aucun pouvoir pour répondre à nos besoins, à nos revendications. Rien ne viendra de lui.

 

En même temps, je remarque que lorsque Mme. Clinton s'exprime durant de brèves minutes pour signaler au pouvoir Algérien qu'il doit entamer le changement, et que ce dernier s'empresse juste après d'annoncer une multitude de mesures pour montrer à Mme. Clinton qu'elle a bien été écoutée. Là, j'en déduis que dorénavant, il faudrait que je m'adresse directement à Mme. Clinton, à Mr. Obama, ou à Mr. Sarkozy dont la ministre des AE peut sans qu'il n'y ait de réaction de la part de notre supposé pouvoir, proposer d'envoyer ses forces de l'ordre pour maintenir l'ordre dans ce que j'ai cru être jusque là mon pays, et qui devrait tout logiquement être ordonné par des institutions et des Hommes uniquement issus des capacités de notre pays, ceci est une question de souveraineté.

 

A partir de là, je dis au diable les théories du complot et les thèses du néo-colonialisme, je dis vive l'ingérence étrangère, car seul légitime pouvoir, et ce depuis toujours dans ce que j'ai cru être mon pays.

 

Vive les souverains de l'Algérie, Mr. Obama, Mme. Clinton, et Mr. Sarkozy.

 

Ceci n'est nullement un coup de gueule, mais l'expression de ma joie d'avoir enfin pu comprendre, mais surtout accepter la réalité des choses. Je ne reproche d'ailleurs rien aux État-Unis, et à la France, ni à leurs souverains, car en fin de compte, ce sont nos souverains, respectons-les, et demandons leur gentiment d'examiner nos revendications et de leur accorder une réponse favorable.

 

L'Algérie souveraine, j'y avais cru un moment, mais il faut se rendre à l'évidence que ça n'a jamais été qu'un mirage où le peuples est trompé, vivant dans la misère et alimenté afin de le maintenir dans son asservissement par des mythes d'une révolution illusoire, et d'une indépendance malfaisante qui ne lui a apporté que malheur et dégradations à tous les niveaux.

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beaucoup

son un jour blanc un jour noire

 

il accuse et dénoncent l'algérien

 

applaudissent et lui cris démocratie justice a l'occident

 

alors que l'algérien a ses propres structure de droit et de justice

 

et ca c'est a tout les niveaux

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Moi citoyen Algérien, j'ai enfin compris que depuis toujours, l'on a mal procédé nous gens du peuple, notre incompréhension trouve enfin une explication, nos souverains sont Obama, ou Sarkozy, c'est au choix. Enfin, et avec un tel soulagement je me rends compte de ça.

 

Dorénavant, lorsque nous aurons des revendications à faire, nous devons nous adresser directement aux institutions responsables et qui détiennent vraiment les prérogatives, et les pouvoirs requis. Car au moment où je vois ces médecins, ces étudiants, ces fonctionnaires s'adresser à leurs différentes tutelles, leurs différents ministères, et que ces derniers font la sourde oreille, incapables de répondre ou d'ouvrir un dialogue sérieux, lorsque ces tutelles en arrivent à déclarer qu'elles n'ont pas les prérogatives nécessaires, puis lorsque les protestataires s'adressent à la Présidence, et que sur leur chemin, les forces d'occupation en casques et uniformes bleus, les bloquent et les tabassent.

 

Là, je comprends que ce qu'on appelle par pouvoir n'a en réalité aucun pouvoir pour répondre à nos besoins, à nos revendications. Rien ne viendra de lui.

 

En même temps, je remarque que lorsque Mme. Clinton s'exprime durant de brèves minutes pour signaler au pouvoir Algérien qu'il doit entamer le changement, et que ce dernier s'empresse juste après d'annoncer une multitude de mesures pour montrer à Mme. Clinton qu'elle a bien été écoutée. Là, j'en déduis que dorénavant, il faudrait que je m'adresse directement à Mme. Clinton, à Mr. Obama, ou à Mr. Sarkozy dont la ministre des AE peut sans qu'il n'y ait de réaction de la part de notre supposé pouvoir, proposer d'envoyer ses forces de l'ordre pour maintenir l'ordre dans ce que j'ai cru être jusque là mon pays, et qui devrait tout logiquement être ordonné par des institutions et des Hommes uniquement issus des capacités de notre pays, ceci est une question de souveraineté.

 

A partir de là, je dis au diable les théories du complot et les thèses du néo-colonialisme, je dis vive l'ingérence étrangère, car seul légitime pouvoir, et ce depuis toujours dans ce que j'ai cru être mon pays.

 

Vive les souverains de l'Algérie, Mr. Obama, Mme. Clinton, et Mr. Sarkozy.

 

Ceci n'est nullement un coup de gueule, mais l'expression de ma joie d'avoir enfin pu comprendre, mais surtout accepter la réalité des choses. Je ne reproche d'ailleurs rien aux État-Unis, et à la France, ni à leurs souverains, car en fin de compte, ce sont nos souverains, respectons-les, et demandons leur gentiment d'examiner nos revendications et de leur accorder une réponse favorable.

 

L'Algérie souveraine, j'y avais cru un moment, mais il faut se rendre à l'évidence que ça n'a jamais été qu'un mirage où le peuples est trompé, vivant dans la misère et alimenté afin de le maintenir dans son asservissement par des mythes d'une révolution illusoire, et d'une indépendance malfaisante qui ne lui a apporté que malheur et dégradations à tous les niveaux.

Quand l'ironie s'installe, c'est que la tristesse est grande.Et je trouve ton texte d'une telle tristesse.

 

La grande question serait plutot: comment des peuples aussi anciens peuvent-ils se faire damner le pion par une nation aussi jeune et hétéroclite que les USA?

 

Parce que la véritable richesse tant de la France que des Etats-Unis est d'avoir pu occuper sa main-d'oeuvre, par l'éducation, la recherche, la transformation, la diversité des emplois et un marketting agressif.

 

Mais vous pouvez faire tout cela.Pour la main-d'oeuvre, il n'y a pas de problème. Il vous reste à développer des stratégies d'affaires, former vos gens, découvrir de nouveaux crénaux et mettre en place un leader qui n'aura pas peur d'innover et saura entrainer la masse derrière lui.

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La grande question serait plutot: comment des peuples aussi anciens peuvent-ils se faire damner le pion par une nation aussi jeune et hétéroclite que les USA?

 

Cette remarque est aussi valable pour l'Allemagne, la France, le Japon ou la Chine.

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