Jump to content

Prostitution en FAC


Recommended Posts

Là ou j'habite (USTO) , il y a une nouvelle cité univesitaire pour filles qui vient d'être inaugurée par Bouteflika . Coincée entre la clinique Nekkache , la cité ou j'habite sur le grand boulevard et à l'arrière .........une cité universitaire pour garçons !!!! :eek:

 

A mon avis , le mur qui sépare les deux cités U ne va pas tenir longtemps , le temps que les filles s'installent . :mdr:

Link to post
Share on other sites
  • Réponses 94
  • Créé
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Là ou j'habite (USTO) , il y a une nouvelle cité univesitaire pour filles qui vient d'être inaugurée par Bouteflika . Coincée entre la clinique Nekkache , la cité ou j'habite sur le grand boulevard et à l'arrière .........une cité universitaire pour garçons !!!! :eek:

 

A mon avis , le mur qui sépare les deux cités U ne va pas tenir longtemps , le temps que les filles s'installent . :mdr:

 

 

des trous fel hit en dirait fromage gruyère :04:

Link to post
Share on other sites
Au Canada par exemple :mdr:

 

Vas expliquer ça aux parents de la fille.

 

Je te trouve bien naive. Tu me rappelle Villepin, il y'avait qq qui se plaignait parce qu'il ne trouvait pas de boulot, il lui a repondu : Pourquoi tu ne crée pas ta boite ? :mdr:

 

Et pourquoi pas faire une IPO au Nasdaq :mdr:

 

;) ma3lich moul eniya yarbah et moul el hila ymil comme on dit fier d'être niya et pas sortir des limittes de ma religions

 

en ce qui concerne les parents de la fille ... tout dépend s'ils veulent la livrer au plus vite

 

Au Canada par exemple :mdr:

 

la preuve la semaine passé un jeune DZ dans la 30ene s'est suicidé en se jetant sur les rails du métro puisqu'il en pouvait plus ;)

Link to post
Share on other sites
Guest houda03
Là ou j'habite (USTO) , il y a une nouvelle cité univesitaire pour filles qui vient d'être inaugurée par Bouteflika . Coincée entre la clinique Nekkache , la cité ou j'habite sur le grand boulevard et à l'arrière .........une cité universitaire pour garçons !!!! :eek:

 

A mon avis , le mur qui sépare les deux cités U ne va pas tenir longtemps , le temps que les filles s'installent . :mdr:

mdr :D

moi je dirai que c'est les garçons qui courent derrière les filles pas le contraire ! :04:

Link to post
Share on other sites
  • 1 month later...
Au-delà de la vie misérable qu’ils mènent, les étudiants, plus ils avancent dans leur cursus, plus ils font de nouvelles découvertes.

 

 

Mener à terme son cursus universitaire en Algérie relève du parcours du combattant. Que de «châtiments» à subir et que de chemin à parcourir avant «d’échouer» sur les rivages de la vie active, muni d’un diplôme qui, en fin de compte, s’avère dérisoire. Dérisoire parce qu’il n’est reconnu dans aucun pays du monde.

Il faut le dire et, mieux encore, le souligner en rouge : l’université algérienne est tombée dans le trente-sixième dessous. La situation ne cesse d’empirer. «Depuis que je suis arrivé à l’université, voilà maintenant cinq ans, les choses vont de mal en pis», déplore un étudiant en 4e année de psychologie à la faculté des sciences humaines et sociales de Bouzaréah, à Alger.

 

«On passe sa vie à s’ennuyer. On voit les jours glisser entre ses mains comme une poignée de sable, sans pour autant pouvoir faire quoi que ce soit. Nous sommes coincés et condamnés à mener cette vie jusqu’à la fin du cursus et puis on verra...», ajoute notre interlocuteur sur un ton désespéré. A se fier aux déclarations des étudiants, on déduit que l’université est un lieu de prédilection pour fuir le temps. Néanmoins, cette idée s’estompe et s’évapore d’elle-même dès qu’on donne la parole à ses occupants.

Le commun des mortels s’accorde sur un principe: la fac est un lieu de culture, de savoir et de science. Toutefois, à s’aventurer dans ses dédales, on découvre un autre visage qui nous fait comprendre que ce que nous venons de voir n’est qu’un masque.

La note de la misère

C’est un masque et des plus sordides. En effet, au-delà de la vie misérable qu’ils mènent quotidiennement, les étudiants, plus ils avancent dans leur cursus, plus ils font de nouvelles découvertes, à leur grande surprise. Et la surprise est d’autant plus grande pour le sexe féminin. Curieusement, c’est à la fin de l’année que la véritable mésaventure commence.

 

Cela arrive à la fin des examens. Les délibérations se font quelques jours plus tard. Certaines étudiantes découvrent alors que leurs notes ne correspondent guère au travail et aux efforts qu’elles ont fournis. Leurs notes sont en deçà de toutes leurs espérances. Commencent alors les «tractations» avec l’enseignant. «Les pourparlers» ne dépassent pas quelques minutes. Les intentions du «prof» sans conscience sont vite dévoilées, ignobles.

«Un de mes enseignants me l’a signifié carrément et sans scrupules: je reconnais que vous avez travaillé et que vous méritez mieux que cela mais...j’ai envie de...toi...», nous raconte Nadia, étudiante en sociologie, sans pour autant réussir à achever sa phrase convenablement. Après un petit effort, elle lâche enfin, non sans indignation: «Il m’a demandé de passer une nuit en sa compagnie à Sidi-Fredj, ajoutant que mon problème sera réglé le lendemain, à la première heure».

«Devant mon refus catégorique de tomber dans son jeu et la menace de le dénoncer, il me répond par ces propos: «va voir qui tu veux et tant que je prends en charge ce module, tu seras condamnée à passer ta vie à l’université», ajoute Nadia. «Et il n’a pas hésité à mettre ses menaces à exécution».

 

Ceci est malheureusement une vérité que nul ne peut contester. Le cas de Nadia n’est en effet qu’un petit échantillon parmi tant d’autres. Et souvent, lorsque «la cible» refuse de courber l’échine et de satisfaire la libido de son enseignant, elle devra alors chercher un autre moyen de s’en sortir tout en gardant la tête haute. Et le chemin le plus sûr est celui du bakchich, la «tchipa».

 

«Lorsque j’ai refait l’année, je suis tombée entre les mains du même prof. Retour donc à la case départ. A la fin de l’année, suivant le conseil d’une copine, je suis allée voir un employé à l’administration. Celui-ci a exigé la somme de 5000 dinars», nous raconte Nadia. «Comme je n’avais pas le choix, poursuit-elle, j’ai dû emprunter à gauche et à droite cette somme faramineuse et mon cauchemar a pris fin.»

Selon des agents de l’administration, il existe à l’université de véritables réseaux de ce genre. Ainsi, certains enseignants malhonnêtes et «administrateurs» sans scrupules travaillent en étroite collaboration. Et l’étudiant se retrouve dans l’obligation de payer la rançon. Le prix de sa note. Faut-il se méfier des enseignants? Que non, car il existe bel et bien des professeurs qui n’acceptent en aucun cas et en dépit de leur situation sociale délicate, ce genre de pratiques. Préférant ainsi donner un sens à la noble tâche qui leur est assignée, à savoir la transmission du savoir.

 

Toutefois, certaines sources parlent de «trucages» qui se font à l’intérieur même de l’administration. Quel genre de trucages et comment cela se fait-il?

L’opération est toute simple, en voici donc la recette. Lorsque les copies d’examen parviennent à l’administration, des «mains invisibles et démoniaques» revoient les notes. Cela, bien sûr, tout en choisissant la victime. Ainsi, lors des délibérations, les notes affichées sont autres que celles que l’enseignant a attribuées. Cependant, si l’étudiant découvre ce «trafic» et qu’il va se plaindre auprès du correcteur de sa copie, qui est aussi son enseignant, il est fort probable que l’erreur sera corrigée. Cela sera justifié, par la suite, par le simple prétexte de «faute de frappe».

Les sentiers de la prostitution

 

«Occupation: étudiante. Profession: prostituée». Cela se passe dans une boîte de nuit à Alger. En y entrant le soir, plusieurs figures féminines qu’on voit la journée à l’université, viennent ici pour se faire du fric.

Vous qui êtes de passage devant les cités universitaires filles, ne soyez pas étonnés du nombre de voitures rutilantes et flambant neuves stationnées à l’entrée. C’est en effet ici le marché de «la bonne chair». Les étudiantes, souvent en quête d’argent, se font avoir par des jeunes issus des quartiers huppés de la capitale. Si certaines filles le font pour s’amuser et profiter de leur jeunesse, d’autres s’y adonnent par pauvreté. Issue de l’intérieur du pays, Asma affirme fréquenter les boîtes de nuit juste «pour aider ses parents pauvres». «A la maison, tout le monde croit que je travaille vraiment. Chaque mois, en rentrant, je leur apporte tout ce dont ils ont besoin. Je sais qu’ils ne pourront jamais découvrir la vie lascive et licencieuse que je mène», souligne notre interlocutrice qui refuse le qualificatif de prostituée. Elle affirme, néanmoins, ne jamais regretter son geste «du moment que je sais qu’à la fin de mon cursus, j’aurai de fortes chances de trouver un emploi et je peux espérer encore plus». Asma nous apprend en outre l’existence de proxénètes dans l’enceinte même des résidences universitaires. «Ce sont d’anciennes étudiantes qui ont pu décrocher un job ici à Alger et à qui on a octroyé des chambres. Cela, sous les yeux bienveillants des agents de sécurité qui cautionnent leurs pratiques». A noter dans cette optique que ce phénomène se passe dans la plupart des cas au vu et au su des responsables des résidences universitaires. Cependant, il existe comme un pacte tacite entre eux et ces anciennes étudiantes.

 

Par ailleurs, ce qui est frappant dans cette histoire, c’est le nombre d’étudiants et étudiantes qui viennent tout juste de débarquer à l’université et qui n’ont pas bénéficié de chambres à la cité universitaire. On ne comprend vraiment plus rien lorsqu’on apprend que des chambres sont inoccupées et que des étudiants cherchent chaque soir, un gîte pour passer la nuit. Y a-t-il un capitaine dans le bateau pour contrôler et mettre un terme à cette situation dramatique?

Assurément pas. C’est négatif car ce problème se répète indéfiniment. Et avec les masses estudiantines qui arrivent, l’on se demande comment le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique compte régler ce problème. Et comment, par là même, l’Office national des oeuvres universitaires (Onou) compte le gérer. C’est, en effet, un véritable casse-tête chinois. Cela en dépit des assurances de M.Rachid Harraoubia qui affirme que son département «réceptionnera quelque 70.000 places pédagogiques et un nombre important de lits». Toutefois, la situation demeure telle quelle.

Autre phénomène qui apparaît au grand jour et qui vient s’ajouter à la ribambelle de fléaux secouant l’université: les vols. En effet, lors de la grève déclenchée pendant le mois en cours à la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion de Dely Ibrahim, les étudiants affirment que plusieurs agressions physiques ont eu lieu à l’intérieur même de la fac. Ces violences nous affirme-t-on sont perpétrées par des individus étrangers à l’université. Ainsi donc, l’université algérienne n’arrive toujours pas à s’extirper de la mélasse. Pourtant , selon un analyste, «l’étudiant coûte à la collectivité 100.000 DA par an, soit en moyenne cinq à sept fois moins que le coût d’un étudiant en Europe». Une situation à méditer.

 

Source journal d'expression

malheureusemen c vrai.....personnelemen j'ai entendu plusieus histoirs de ce genre..

Link to post
Share on other sites

ce genre de chose est devenu presque normale, il l'est déjà pour certains, la montalité occidentale a pris controle des cerveaux de certains et comme chez nous on prends que les mauvais coté alors on est tombé bien bas.

ce qui me rage le plus c'est beaucoup de filles qui za3ma se voile fons partie du lot et yezniw normalement.

on est vraiment tombé très très bas

Link to post
Share on other sites

je suis navre par la situation de certaines. mais je ne pense pas que se soit le fait d`etre pauvre qui les pousse a faire cela.

j`avais des amis a l`universite qui venaient de famille tres pauvre. a tel point que parfois on les confondait avec des cadavres. pourtant je n`ai jamais vu l`une d`entre elles se vendre ou faire le tapin?!?!

quant on dit qu`elles se prostituent par pauvrete. je pense plus que c`est pour avoir un niveau de vie plus eleve. de s`acheter du linge, de frequenter les salon de the........

Link to post
Share on other sites
je suis navre par la situation de certaines. mais je ne pense pas que se soit le fait d`etre pauvre qui les pousse a faire cela.

j`avais des amis a l`universite qui venaient de famille tres pauvre. a tel point que parfois on les confondait avec des cadavres. pourtant je n`ai jamais vu l`une d`entre elles se vendre ou faire le tapin?!?!

quant on dit qu`elles se prostituent par pauvrete. je pense plus que c`est pour avoir un niveau de vie plus eleve. de s`acheter du linge, de frequenter les salon de the........

l'université prend tout en charge question logement ou nouriture

Link to post
Share on other sites
Guest Clairière
Quel salaud!

 

Un cochon pareil, faut lui mijoter une bonne sauce et le faire cuir à petit feu, avant le grand festin, le manger en plein public, pour qu'il serve d'exemple. :furious:

 

C'est ce que je conseille aux jeunes filles qui tombent sur ce genre d'obsédés, il ya des moeyns de les coincer en toute légalité, il faut faire travailler un peu sa tête et surtout ne pas rester seule dans son coin.

 

Quel minable! :gun_nep:

et ça s'appelle un enseignant cette sale chose?

 

Tant qu'ils auront "qque chose à se mettre sous la dent", ils continueront!

 

C'est à ces filles de refuser et de dénoncer tout ça! En parler à qui de droit et alerter les parents...

Link to post
Share on other sites

Charge aux étudiantes de ne pas tomber dans le panneau et de ne pas céder au chantage !

 

Moi personnellement plus rien ne m'étonne, et être enseignant ne veut pour autant dire leur donner le bon dieu sans confession, malheureusement il y a des obsédés dans tous les corps de métiers, dans toutes les classes sociales, à nous de nous montrer vigilant et d'éduquer nos enfants de manière à ce qu'il le soit aussi.

Link to post
Share on other sites

Perso, je pense que si ces filles étaient sure, qu'en portant plainte, les choses changeraient, elles l'auraient fait depuis longtemps !

mais malheureusement en algérie ca ne se passe pas comme ca.

Elles savent tres bien que les professeurs sont protégés par leur supérieur qui en général sont leurs amis !!

De nos jours c malheureusement la loi du plus fort qui prime ! les autorités et le gouvernement algérien ont laissé passé beaucoup trop de choses du coup tout le monde se permet de faire des choses déplacées !

 

Et puis avant de dénoncer l'attitude de certains enseignants (parce qu'il ne faut pas non plus généraliser), il faudrait peut etre commencer par chasser les proxenètes qui sont au sein de l'université, et éviter que la fac ne se transforme en véritable bordels ! (si ce n'est pas déjà fait... ) Car je pense que ce genre de chose est beaucoup flagrant et là tout le monde a sa part de responsabilité, car tout le monde ferme les yeux ! Donc ce n'est pas étonnant ensuite que les professeurs s'y mettent...

Link to post
Share on other sites
Perso, je pense que si ces filles étaient sure, qu'en portant plainte, les choses changeraient, elles l'auraient fait depuis longtemps !

mais malheureusement en algérie ca ne se passe pas comme ca.

Elles savent tres bien que les professeurs sont protégés par leur supérieur qui en général sont leurs amis !!

De nos jours c malheureusement la loi du plus fort qui prime ! les autorités et le gouvernement algérien ont laissé passé beaucoup trop de choses du coup tout le monde se permet de faire des choses déplacées !

 

Et puis avant de dénoncer l'attitude de certains enseignants (parce qu'il ne faut pas non plus généraliser), il faudrait peut etre commencer par chasser les proxenètes qui sont au sein de l'université, et éviter que la fac ne se transforme en véritable bordels ! (si ce n'est pas déjà fait... ) Car je pense que ce genre de chose est beaucoup flagrant et là tout le monde a sa part de responsabilité, car tout le monde ferme les yeux ! Donc ce n'est pas étonnant ensuite que les professeurs s'y mettent...

 

Oui, tu as raison il faut que ces etudiantes potrtent plainte.

C'est une honte si c'est vrai mais on peut aussi accuser sans preuves un enseignant de harcèlement sexuel.

Link to post
Share on other sites
  • 2 months later...

Ce que je ne comprend pas en Algérie, c'est pourquoi le terme "prostituée" est employé à tort et à travers. Je m'explique:

 

Les années qu'on passe à l'université sont biensûr dédiées aux études, le but étant de préparer un diplôme dans un domaine précis. Mais, pour la majorité des jeunes étudiantes et étudiants, ces années sont l'occasion de s'affranchir du carcan familiale, de la bulle dans laquelle on a grandi, de toutes les années que l'on a passé à se faire contrôler par le père, la mère, le grand frère, l'oncle etc...

Quand on a la chance d'accéder à l'université, on acquièrt le sentiment qu'on est enfin libre, adulte, qu'on le droit de faire ses choix, de prendre des risques, d'avoir certaines experiences, d'avoir des aventures amoureuses, de sortir, de s'amuser et faire certaines choses qu'on avait pas le droit de faire avant etc...

 

Donc, les filles comme les garçons se retrouvent à avoir un certain mode de vie. Disant beaucoup profitent de leur éloignement de la maison familiale pour jouir d'une certaine libérté. Ce qui est tout à fait normal pour des jeunes de 17 à 25 ans en moyenne. Alors, pourquoi traîter de prostitués, des filles, tout silmplement parce qu'elles ont des copains, des amis? Juste parce qu'elles sortent en boîtes de nuit ou vont au restaurant? Si une fille a un ami ou un amant qui viendrait la chercher pour aller au restaurant ou ailleurs, je ne vois pas pourquoi je la traîterait de prostitué! Une fille de 17, 20, 25 ans sortant le soir de sa CU pour rejoindre ses amis, son copain, son fiançé ou son amant, pourquoi est-ce qu'il faut la taxer de prostituée? Si son ami, son fiançé, son amant arrivent avec une belle voiture, pourquoi tout de suite penser que c'est une prostituée?

 

J'ai vécu en CU et je connaissais beaucoup de filles qui sortaient, allaient en boîtes, se faisaient inviter dans des soirées privées, sortaient au restaurant, avaient des copains, des amants, certaines collectionaient les aventures amoureuses, d'autres étaient plus stables et gardaient le même copain... Il y avait de tout, mais je n'ai jamais entendu dire que telle ou telle était une prostituée.

 

J'ai vécu 5 ans à la cité universitaire de Beni-Messous qui était une CU mixte pourtant et je n'ai jamais entendu de telles choses!!!! Arr$etons de voir une prostituée dans chaque fille!

Est-ce qu'il y aurait des rapport de police qui parleraient de ce phénomène si il existait? Est-ce que des sociologues, des reporters dignes de ce nom se sont penchés sur ce soi-disant phénomène? Est-ce qu'il existerait un journliste de la presse écrite algérienne ou d'un quelconque média qui aurait fait un travail d'invéstigation digne de ce nom pour que nous puissions être sûrs à ce point que la prostitution a envahi nos universités comme le prétendent certains sur ce topic? Non, je pense que tout ça n'est que spéculation, rumeurs, médisance et blablabla!!!!!!!!! Rien d'autre. Une filles qui sort, qui fréquente un garçon, même si il a de l'argent, n'est pas forçément une prostitué!!!!! Arrêtons le délire!!

Link to post
Share on other sites

Solidarité contre le mal

 

Bonjour à tous;

en parcourant l'article, ca m'a révolté et je ne souhaite qu'à passer à l'action, car l'étudiante peut etre ma soeur, ma fille, mon amie,...

La pauvrete n'est pas une raison pour justifier le mauvais geste

 

Je me demande est-ce possible de constituer une "Association d'Etudiante d'Aide et de Suivi ou d'Assistance", au sein meme de l'université, traitant tous les problemes surtout des etudiantes, ou meme créer un syndicat d'Etudiants(es) controlant le travail administratif. L'essentiel est qu'il y'a toujours une issue quelque part, faut simplement y reflechir serieusment et s'unir meme en cachette et etre surtout solidaire.

 

Quand aux malheureuses amies que sont les votres, une idée est qu'elles s'accompagnent et vont en groupe à chaque reclamation (meme 2), car seule! l'amie est très vulnérable.

 

Aussi je propose de pieger les ingrats de profs, par des enregistrements audios ou videos.

Link to post
Share on other sites

Bonjour , en etant etudiant à la fac centrale , en pharmacie voila ce qui se passe à l'administration:

1-Des etudiantes avec l'aide des agents de sécurité , elles arrivent à avoir les sujets des examens soit la veille de l'examen ou la matinée avant l'examen , mais elles leur donnent quoi en contre partie!!!

2-Des etudiants payent des agents de securité , a la fin des examens , les copies passent impérativement par l'administration , là les agents changent les copies et les eutdiants viennent remplir lde nouvelles copies avec de bonnes reponses.

3-L'année passée , une enseignante avait passé le sujet de l'examen au fils du doyen , mais comme le professeur responsable avait essayé de saboter son jeu , ça a dégénéré , mais à la fin de l'année , le fils du doyen a eu 16 en Galénique grace à elle (pour ce module quand tu as un 7 ou 8 tu dois t'estimer heureux car trop difficile).

4-Cette année , cette enseingante est devenue Chef du département de pharmacie , avec le bénédiction du Doyen , donc son fils passera la 4eme année et la 5eme sans meme pas avoir à reviser.

5-Un professeur n'accepte pas dans son service à l'hopital , les etudiants de sexe masculin , il ne veut que des filles et des filles non voilées!!!.

Link to post
Share on other sites
Au-delà de la vie misérable qu’ils mènent, les étudiants, plus ils avancent dans leur cursus, plus ils font de nouvelles découvertes.

 

 

Mener à terme son cursus universitaire en Algérie relève du parcours du combattant. Que de «châtiments» à subir et que de chemin à parcourir avant «d’échouer» sur les rivages de la vie active, muni d’un diplôme qui, en fin de compte, s’avère dérisoire. Dérisoire parce qu’il n’est reconnu dans aucun pays du monde.

Il faut le dire et, mieux encore, le souligner en rouge : l’université algérienne est tombée dans le trente-sixième dessous. La situation ne cesse d’empirer. «Depuis que je suis arrivé à l’université, voilà maintenant cinq ans, les choses vont de mal en pis», déplore un étudiant en 4e année de psychologie à la faculté des sciences humaines et sociales de Bouzaréah, à Alger.

 

«On passe sa vie à s’ennuyer. On voit les jours glisser entre ses mains comme une poignée de sable, sans pour autant pouvoir faire quoi que ce soit. Nous sommes coincés et condamnés à mener cette vie jusqu’à la fin du cursus et puis on verra...», ajoute notre interlocuteur sur un ton désespéré. A se fier aux déclarations des étudiants, on déduit que l’université est un lieu de prédilection pour fuir le temps. Néanmoins, cette idée s’estompe et s’évapore d’elle-même dès qu’on donne la parole à ses occupants.

Le commun des mortels s’accorde sur un principe: la fac est un lieu de culture, de savoir et de science. Toutefois, à s’aventurer dans ses dédales, on découvre un autre visage qui nous fait comprendre que ce que nous venons de voir n’est qu’un masque.

La note de la misère

C’est un masque et des plus sordides. En effet, au-delà de la vie misérable qu’ils mènent quotidiennement, les étudiants, plus ils avancent dans leur cursus, plus ils font de nouvelles découvertes, à leur grande surprise. Et la surprise est d’autant plus grande pour le sexe féminin. Curieusement, c’est à la fin de l’année que la véritable mésaventure commence.

 

Cela arrive à la fin des examens. Les délibérations se font quelques jours plus tard. Certaines étudiantes découvrent alors que leurs notes ne correspondent guère au travail et aux efforts qu’elles ont fournis. Leurs notes sont en deçà de toutes leurs espérances. Commencent alors les «tractations» avec l’enseignant. «Les pourparlers» ne dépassent pas quelques minutes. Les intentions du «prof» sans conscience sont vite dévoilées, ignobles.

«Un de mes enseignants me l’a signifié carrément et sans scrupules: je reconnais que vous avez travaillé et que vous méritez mieux que cela mais...j’ai envie de...toi...», nous raconte Nadia, étudiante en sociologie, sans pour autant réussir à achever sa phrase convenablement. Après un petit effort, elle lâche enfin, non sans indignation: «Il m’a demandé de passer une nuit en sa compagnie à Sidi-Fredj, ajoutant que mon problème sera réglé le lendemain, à la première heure».

«Devant mon refus catégorique de tomber dans son jeu et la menace de le dénoncer, il me répond par ces propos: «va voir qui tu veux et tant que je prends en charge ce module, tu seras condamnée à passer ta vie à l’université», ajoute Nadia. «Et il n’a pas hésité à mettre ses menaces à exécution».

 

Ceci est malheureusement une vérité que nul ne peut contester. Le cas de Nadia n’est en effet qu’un petit échantillon parmi tant d’autres. Et souvent, lorsque «la cible» refuse de courber l’échine et de satisfaire la libido de son enseignant, elle devra alors chercher un autre moyen de s’en sortir tout en gardant la tête haute. Et le chemin le plus sûr est celui du bakchich, la «tchipa».

 

«Lorsque j’ai refait l’année, je suis tombée entre les mains du même prof. Retour donc à la case départ. A la fin de l’année, suivant le conseil d’une copine, je suis allée voir un employé à l’administration. Celui-ci a exigé la somme de 5000 dinars», nous raconte Nadia. «Comme je n’avais pas le choix, poursuit-elle, j’ai dû emprunter à gauche et à droite cette somme faramineuse et mon cauchemar a pris fin.»

Selon des agents de l’administration, il existe à l’université de véritables réseaux de ce genre. Ainsi, certains enseignants malhonnêtes et «administrateurs» sans scrupules travaillent en étroite collaboration. Et l’étudiant se retrouve dans l’obligation de payer la rançon. Le prix de sa note. Faut-il se méfier des enseignants? Que non, car il existe bel et bien des professeurs qui n’acceptent en aucun cas et en dépit de leur situation sociale délicate, ce genre de pratiques. Préférant ainsi donner un sens à la noble tâche qui leur est assignée, à savoir la transmission du savoir.

 

Toutefois, certaines sources parlent de «trucages» qui se font à l’intérieur même de l’administration. Quel genre de trucages et comment cela se fait-il?

L’opération est toute simple, en voici donc la recette. Lorsque les copies d’examen parviennent à l’administration, des «mains invisibles et démoniaques» revoient les notes. Cela, bien sûr, tout en choisissant la victime. Ainsi, lors des délibérations, les notes affichées sont autres que celles que l’enseignant a attribuées. Cependant, si l’étudiant découvre ce «trafic» et qu’il va se plaindre auprès du correcteur de sa copie, qui est aussi son enseignant, il est fort probable que l’erreur sera corrigée. Cela sera justifié, par la suite, par le simple prétexte de «faute de frappe».

Les sentiers de la prostitution

 

«Occupation: étudiante. Profession: prostituée». Cela se passe dans une boîte de nuit à Alger. En y entrant le soir, plusieurs figures féminines qu’on voit la journée à l’université, viennent ici pour se faire du fric.

Vous qui êtes de passage devant les cités universitaires filles, ne soyez pas étonnés du nombre de voitures rutilantes et flambant neuves stationnées à l’entrée. C’est en effet ici le marché de «la bonne chair». Les étudiantes, souvent en quête d’argent, se font avoir par des jeunes issus des quartiers huppés de la capitale. Si certaines filles le font pour s’amuser et profiter de leur jeunesse, d’autres s’y adonnent par pauvreté. Issue de l’intérieur du pays, Asma affirme fréquenter les boîtes de nuit juste «pour aider ses parents pauvres». «A la maison, tout le monde croit que je travaille vraiment. Chaque mois, en rentrant, je leur apporte tout ce dont ils ont besoin. Je sais qu’ils ne pourront jamais découvrir la vie lascive et licencieuse que je mène», souligne notre interlocutrice qui refuse le qualificatif de prostituée. Elle affirme, néanmoins, ne jamais regretter son geste «du moment que je sais qu’à la fin de mon cursus, j’aurai de fortes chances de trouver un emploi et je peux espérer encore plus». Asma nous apprend en outre l’existence de proxénètes dans l’enceinte même des résidences universitaires. «Ce sont d’anciennes étudiantes qui ont pu décrocher un job ici à Alger et à qui on a octroyé des chambres. Cela, sous les yeux bienveillants des agents de sécurité qui cautionnent leurs pratiques». A noter dans cette optique que ce phénomène se passe dans la plupart des cas au vu et au su des responsables des résidences universitaires. Cependant, il existe comme un pacte tacite entre eux et ces anciennes étudiantes.

 

Par ailleurs, ce qui est frappant dans cette histoire, c’est le nombre d’étudiants et étudiantes qui viennent tout juste de débarquer à l’université et qui n’ont pas bénéficié de chambres à la cité universitaire. On ne comprend vraiment plus rien lorsqu’on apprend que des chambres sont inoccupées et que des étudiants cherchent chaque soir, un gîte pour passer la nuit. Y a-t-il un capitaine dans le bateau pour contrôler et mettre un terme à cette situation dramatique?

Assurément pas. C’est négatif car ce problème se répète indéfiniment. Et avec les masses estudiantines qui arrivent, l’on se demande comment le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique compte régler ce problème. Et comment, par là même, l’Office national des oeuvres universitaires (Onou) compte le gérer. C’est, en effet, un véritable casse-tête chinois. Cela en dépit des assurances de M.Rachid Harraoubia qui affirme que son département «réceptionnera quelque 70.000 places pédagogiques et un nombre important de lits». Toutefois, la situation demeure telle quelle.

Autre phénomène qui apparaît au grand jour et qui vient s’ajouter à la ribambelle de fléaux secouant l’université: les vols. En effet, lors de la grève déclenchée pendant le mois en cours à la faculté des sciences économiques et des sciences de gestion de Dely Ibrahim, les étudiants affirment que plusieurs agressions physiques ont eu lieu à l’intérieur même de la fac. Ces violences nous affirme-t-on sont perpétrées par des individus étrangers à l’université. Ainsi donc, l’université algérienne n’arrive toujours pas à s’extirper de la mélasse. Pourtant , selon un analyste, «l’étudiant coûte à la collectivité 100.000 DA par an, soit en moyenne cinq à sept fois moins que le coût d’un étudiant en Europe». Une situation à méditer.

j'espere que ASMA se protege et met des preservative cela existe des preservayives en algerie et ou cela s'achete -t- il

 

,

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


×
×
  • Create New...