Macaria fille d'Hades

[arezkee 10]

Dans la mythologie grecque, Macaria ou Makaria (en grec ancien Μακαρία / Makaría), fille d'Hadès, est une déesse de la mort « heureuse ». Elle est uniquement citée par la Souda, un lexique byzantin tardif (Xe-XIe siècle), ce qui rend son ancienneté peu assurée.

 

Son nom signifie littéralement « bonheur », « béatitude ». La notice de la Souda cite d'ailleurs l'expression βάλλ' ἐς μακαρίαν / báll' es makarían, « aller à la béatitude », utilisée comme euphémisme pour « mourir » ; ou bien μακαρῖται / makarĩtai, les « bienheureux », pour désigner les morts eux-mêmes. Cette racine se retrouve d'ailleurs dans les μακάρων νῆσοι / makárôn nễsoi, « îles des Bienheureux » ou « îles Fortunées », déjà décrites par Pindare (Ve siècle av. J.-C.) comme un havre de repos où séjournaient les âmes défuntes (IIe Olympique).

 

Macaria serait alors le pendant bénéfique de Thanatos, synonyme de destruction.

(WIKIPEDIA)

vous en pensez koi?

[LAFCADIO 10]

Dans la mythologie grecque, Macaria ou Makaria (en grec ancien Μακαρία / Makaría), fille d'Hadès, est une déesse de la mort « heureuse ». Elle est uniquement citée par la Souda, un lexique byzantin tardif (Xe-XIe siècle), ce qui rend son ancienneté peu assurée.

 

Son nom signifie littéralement « bonheur », « béatitude ». La notice de la Souda cite d'ailleurs l'expression βάλλ' ἐς μακαρίαν / báll' es makarían, « aller à la béatitude », utilisée comme euphémisme pour « mourir » ; ou bien μακαρῖται / makarĩtai, les « bienheureux », pour désigner les morts eux-mêmes. Cette racine se retrouve d'ailleurs dans les μακάρων νῆσοι / makárôn nễsoi, « îles des Bienheureux » ou « îles Fortunées », déjà décrites par Pindare (Ve siècle av. J.-C.) comme un havre de repos où séjournaient les âmes défuntes (IIe Olympique).

 

Macaria serait alors le pendant bénéfique de Thanatos, synonyme de destruction.

(WIKIPEDIA)

vous en pensez koi?

Salutations

 

Peut être une proximité avec le Nirvana Hindou: extinction de la souffrance, vu que la vie selon les vielles religions indiennes considèrent l’existence comme une souffrance née entre autres du désir qui crée la passion inassouvie, donc l'extinction de celle ci serai en fait la béatitude: le nirvana, le détachement total vis a vis des "choses" matérielles, et donc un état de non désir qui mène a la paix et a la béatitude, un peu comme suggère la définition sus citée de Makaria!

[arezkee 10]

Salutations

 

Peut être une proximité avec le Nirvana Hindou: extinction de la souffrance, vu que la vie selon les vielles religions indiennes considèrent l’existence comme une souffrance née entre autres du désir qui crée la passion inassouvie, donc l'extinction de celle ci serai en fait la béatitude: le nirvana, le détachement total vis a vis des "choses" matérielles, et donc un état de non désir qui mène a la paix et a la béatitude, un peu comme suggère la définition sus citée de Makaria!

wow, merci beaucoup pour les précision, j'adore la vision des Hindous,