Guest misn'thmourth Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 [Apprenez à connaitre l'histoire de votre pays! ] Alger,1963.Les caisses de l'état Algérien sont vides. Le pouvoir(Ben Bella) lance un appel au peuple pour les renflouer Dans un mouvement de solidarité,ces femmes viennent faire don de leurs bijoux... On appelait ça "Fonds de solidarité" صندوق التضامن mais c’était plutôt ''l'escroquerie" صندوق ,dès l'indépendance notre pays était mal parti ! Citer Link to post Share on other sites
tewfikhouari 10 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 [Apprenez à connaitre l'histoire de votre pays! ] Alger,1963.Les caisses de l'état Algérien sont vides. Le pouvoir(Ben Bella) lance un appel au peuple pour les renflouer Dans un mouvement de solidarité,ces femmes viennent faire don de leurs bijoux... On appelait ça "Fonds de solidarité" صندوق التضامن mais c’était plutôt ''l'escroquerie" صندوق ,dès l'indépendance notre pays était mal parti ! Ce que tu relates est reellement vrai, et tous les anciens le savent!!!! malheureusement "C EST UN MAUVAIS DEPART" du aux anciens harkas, qui se sont rangés aux cotés des braves. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 Le pays ne s'est jamais remis de ce départ catastrophique ! Heureux les martyrs qui n'ont pas connu ce lamentable dénouement . Citer Link to post Share on other sites
rymis 10 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 à l'independance ma mère a donné ses bijoux, m'hazma et s'khab de sa mère. Citer Link to post Share on other sites
Guest taki Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 à l'independance ma mère a donné ses bijoux, m'hazma et s'khab de sa mère. Idem pour mes grands-meres, nationalistes jusqu'au bout:) ce n'est pas le cas pour certaines personnes en ce moment assez nombreuses je dois dire, qui ne pensent qu'à leur épanouissement personnel en voulant à tout prix quitter le pays:( Citer Link to post Share on other sites
Zqoqo 10 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 Ce que tu relates est reellement vrai, et tous les anciens le savent!!!! malheureusement "C EST UN MAUVAIS DEPART" du aux anciens harkas, qui se sont rangés aux cotés des braves. Oui c'est sûr, puisqu'il faut trouver des coupables, voleurs et traitres ! Et on se souvient des dizaines de bateaux qui ont quitté l'Algérie remplis de tout cet or, et la preuve, c'est que les anciens harkas sont devenus milliardaires grâce à cet or. Et dernière preuve, les non-harkas sont tous honnêtes, ils sont restés au bled, et on a connu des années de misères avant de nationaliser le pétrole. Alhamdoullah ! J'ai eu des tantes qui ont donné l'or de leur trousseau ! Et pourquoi pas demander un remboursement ? Après tout les enfants de chouhadas ils ont obtenu begra ou bentha, et les pauvres femmes qui ont contribué à la richesse nationale en donnant leur trésor, pourquoi pas demander une récompense pour services rendus à la Nation ? Après tout, c'est aussi un sacrifice non ? Citer Link to post Share on other sites
belkarem 228 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 ma maman a donné 4 louis d'or sur les 8 qu'elle avait ...... 400 euros l'un au cours actuel : 1600 euros en 1963 a 5 % d'intert ca doit bien faire dans les 10000 euros au pif j'ai encore le recu ...avec les interets ......je peut m'acheter une voiture ...... heu!!!!! on peut les recuperer ? maintenant que l'algerie est riche ? he!!!! ben benbella c'est a toi que je m'adresse !!!!!!!! Citer Link to post Share on other sites
Zqoqo 10 Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 C'est l'or de TA MAMAN !!! La moindre des choses est de penser à le LUI restituer, pas à TTTTT 'acheter des choses POUR TOIIIII. C'est à ELLLLLLLLLLE. ELLLLE est prioritaire pour en disposer !!! Sauf si .... et dans ce cas, excuse-moi. Citer Link to post Share on other sites
Guest misn'thmourth Posted April 26, 2011 Partager Posted April 26, 2011 Belaïd Abdesslem remet sur le tapis le fameux trésor «Qu’est-il advenu de Sandouk et-tadhamoun ?» L’ancien Premier ministre, Belaïd Abdesslem, a remis sur le tapis l’affaire du fameux trésor constitué à partir des dons effectués par les Algériens au lendemain de l’indépendance du pays... Dans une longue mise au point, publiée on-line, Belaïd Abdesslem évoque cette question qui est passée inaperçue pour nombre d’observateurs et la presse nationale. Il revient sur cette affaire qu’il a tenté de résoudre en proposant aux décideurs de l’époque de convertir ce trésor en un gage garantissant la valeur du dinar. Il n’a pas été écouté, semble-t-il, puisque depuis cette date (1994), aucune information officielle n’est venue éclairer un tant soit peu l’opinion publique. Qu’est-il réellement advenu de cet effort de solidarité et pourquoi les autorités actuelles ne daignent-elles pas donner les tenants et les aboutissants de cette histoire? «Puisque certains ont cru bon, dans la foulée de la critique de mon livre, de soulever les problèmes de la gestion de nos finances publiques, cela me donne l’occasion de revenir sur une question que l’on semble oublier ou vouloir faire oublier: il s’agit du fonds de solidarité constitué sous la présidence de Ben Bella, le fameux «Sandouk et-tadhamoun», dit-il dans cette mise au point en forme de révélation. En effet, qui est le mieux placé pour évoquer cette «affaire» si ce n’est l’ancien ministre de l’Industrie sous le régime de Boumediène qui était aux commandes du pays juste après le coup d’Etat de juin 65. «Lors de la préparation du projet de loi de Finances pour l’année 1994, dit-il, très peu de temps avant le renvoi de mon gouvernement, les services financiers chargés du budget avaient suggéré de vendre aux enchères publiques les bijoux déposés dans ce fonds afin de procurer quelques nouvelles recettes à notre Trésor. Pour ma part, au cours du conseil du gouvernement consacré à l’examen de ce projet de loi de Finances et qui avait été l’un des derniers conseils que j’avais présidés, j’avais proposé et même pris l’option de faire évaluer ces bijoux pour les céder à la Banque d’Algérie. Ces bijoux reçus en dons étaient la propriété de l’Etat, c’est-à-dire du Trésor public. Au lieu de les vendre aux enchères et de donner aux familles de nos nouveaux milliardaires la possibilité de se pavaner en arborant des bijoux ayant appartenu à d’autres familles et présentant peut-être des caractéristiques susceptibles d’identifier leurs anciens propriétaires qui en avaient fait don à l’Etat dans un geste de solidarité nationale et patriotique, les céder à notre Banque centrale présenterait l’avantage d’éviter à ces anciens propriétaires l’éventualité de se retrouver dans une situation gênante pour leur fierté, en constatant que leurs bijoux de famille sont devenus une parure servant à l’exhibition de la richesse acquise par d’autres. En outre, en les cédant à notre Banque centrale, on se donnerait la possibilité de faire de ces bijoux une des contreparties de notre émission monétaire. De la sorte, ces bijoux, devenus des symboles des vertus de solidarité qui font honneur à notre peuple, deviendraient un élément du patrimoine définitif de l’Etat après qu’on ait pleinement tiré de leur valeur le produit destiné à concrétiser la solidarité nationale. Ce produit, au lieu d’être intégré dans la masse des recettes couvrant les dépenses générales de l’Etat, aurait pu être affecté au financement d’actions de bienfaisance en faveur des catégories de notre population envers lesquelles les autorités responsables éprouveraient la nécessité impérieuse de les soutenir par un acte d’entraide de la communauté nationale. Par ailleurs, ces bijoux, devenus comme indiqués plus haut des symboles de notre solidarité nationale, auraient pu être exposés dans un musée aménagé par la Banque d’Algérie dans ses propres locaux», explique Belaïd Abdesslem. Et de poursuivre d’un ton presque affecté: «Pourquoi les bijoux amassés par le Fonds de Solidarité formé au lendemain de notre indépendance ne seraient-ils pas également convertis en un des gages garantissant, même pour une part modeste, la valeur de notre dinar algérien? Depuis cette réunion au cours de laquelle a été examiné le projet de loi de Finances pour l’année 1994 par mon gouvernement, j’ignore ce qu’il est advenu du Fonds de Solidarité». L'ancien Premier ministre ne précise pas si entre-temps ces bijoux ont été cédés à la Banque centrale ni si leur valeur réelle de l’époque a été évaluée. Trop de non-dits entourent cette question qui reste pour l’ensemble des Algériens une question d’honneur et de confiance envers un Etat tout juste sorti d’une indépendance. Saïd Farhi Citer Link to post Share on other sites
Praline 10 Posted April 28, 2011 Partager Posted April 28, 2011 Franchement je ne connais pas ça !! Aucune idèe. Merci de me l'avoir appris. Citer Link to post Share on other sites
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