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1/2_ Mohamed :En lisant le Coran, j'ai découvert Jésus


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je signale ton insulte!

 

ya el bral , je défends tout ceux qui sont victimes de l'injustice du racisme du sexisme de l'intolérance et de la betise, les juifs, les femmes etc.

 

Et en matière de bétise tu en tiens une couche toi qui hait les Français, les Marocains, les Juifs, les Tunisiens et qui fait semblant hypocritement d'aimer les Algeriens.

 

:crazy:

Tu te tais et tu sors de ce topic!tu es un pollueur et tous les Algeriens,francais,tunisiens et juifs le savent!EL-BGHEL,venant d'un azzi,sujet a tout faire,non-citoyen...etre vivant,heritier de tes roitelets traitres,je l'ai signalé!tous les Algeriens,tunisiens,juifs et francais savent que tu n'es qu'un bipedes sans honneur!chez-vous,honneur est un mot byzzarroide,c'est vrai!:D
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derriere ton pc...lachement ,tu m'insultes!

 

ya el bral , je défends tout ceux qui sont victimes de l'injustice du racisme du sexisme de l'intolérance et de la betise, les juifs, les femmes etc.

 

Et en matière de bétise tu en tiens une couche toi qui hait les Français, les Marocains, les Juifs, les Tunisiens et qui fait semblant hypocritement d'aimer les Algeriens.

 

:crazy:

cela te mene ou?A l'exclusion.Tu aurais eté en face de moi,tu aurais fait pipi dans ta jupe!:D
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La femme est un homme comme les autres

ON naît homme ou femme, mais nous sommes avant tout des êtres humains. La sociologue Irène Théry réinterroge les grandes questions de société à partir de ce constat. Interview. L’artiste Spencer Tunick est connu pour ses installations où des centaines de volontaires posent nus. Ici, « Brugge 4 », 2005. Interview de Michèle Fitoussi. Le nouvel ouvrage d’Irène Théry, « La Distinction de sexe : une nouvelle approche de l’égalité » (Odile Jacob), va sans doute nous faire beaucoup réfléchir. Pourquoi imaginer le masculin et le féminin comme des propriétés intérieures des individus, alors que ce sont plutôt des manières d’agir en relation aux autres ? Pourquoi classer les individus en femmes ou hommes, homosexuels ou hétérosexuels ? Alors que nous sommes tous des êtres humains à part entière et qu’aucun de nous n’est enfermé ni dans son sexe ni dans sa sexualité... Nous devrions plutôt reconsidérer la personne, sa biographie, son itinéraire, nous explique la sociologue Irène Théry, c’est la meilleure façon de réfléchir aux bouleversements de la société en matière d’égalité des sexes, qui ont eu lieu ces dernières décennies. Et, sans doute, de repenser de façon plus sereine les problèmes mis en lumière par les nouvelles familles, homoparentales, recomposées, adoptives, etc.

 

ELLE. Selon vous, nous pensons mal les conséquences de l’égalité des sexes qui a bouleversé la société ces dernières décennies...

IRÉNE THÉRY. Oui. Certes, cette égalité n’est pas entièrement réalisée, mais, au plus haut de toutes nos institutions, on considère que la démocratie doit la promouvoir. Cependant, on peut s’interroger sur l’émergence d’un nouveau féminisme d’Etat qui partage toujours l’humanité en deux catégories : les hommes d’un côté et les femmes de l’autre. L’égalité serait que la moitié féminine rejoigne les performances de la moitié masculine. Toute la politique aujourd’hui est fondée là-dessus... Beaucoup vont s’en contenter parce que, à travers cette comparaison, on peut faire valoir un certain nombre de problèmes. Le paradoxe est que cette façon de voir ne rend pas compte de ce que nous sommes : chacun de nous n’est que d’un sexe, certes, mais aucun de nous n’est enfermé dans une moitié d’humanité. Le déni de cette réalité est particulièrement criant dans les politiques de parité pour lesquelles l’égalité semble se réduire à un partage 50/50 des postes à pourvoir.

 

ELLE. La loi sur la parité était peut-être contestable en théorie, mais comment l’éviter en pratique ?

I.T. La sous-représentation des femmes en politique est un vrai problème, qui méritait d’être résolu. Ça ne veut pas dire qu’on a posé le bon diagnostic ni qu’on a trouvé la bonne solution. Si la place des femmes dans l’entreprise ou en politique nous choque, le mieux est de tenter de comprendre les processus souvent complexes qui ont conduit à ces situations. Plutôt que de se contenter de désigner un repoussoir magique : la supposée préservation des « intérêts masculins » qui serait la cause de tout... Grâce à l’égalité des sexes, la société a été bouleversée dans sa structure. Un certain nombre de tâches et de valeurs, d’un côté le travail salarié, l’art, la science, la politique, et de l’autre les soins aux enfants, aux personnes âgées, aux malades, ne sont plus des domaines réservés aux hommes ou aux femmes. Ce n’est pas parce qu’on aura décrété que le gouvernement doit être paritaire que quelque chose sera changé dans la vie de millions de femmes qui courent entre la crèche, les enfants malades et le boulot ! Comment ne pas voir que les inégalités se sont accrues avant tout entre les femmes elles-mêmes face à ces problèmes ? Qu’il y a des milliers de femmes qui viennent pour accomplir des travaux domestiques que d’autres n’ont plus le temps d’accomplir ? Que ces problèmes ne se résoudront que lorsqu’on cessera de les considérer uniquement comme des problèmes « de femmes » ou des questions à négocier en couple ? C’est toute la société qui est en cause.

 

ELLE. Mais que faire alors de nos revendications au quotidien dans la sphère privée comme publique ? Si on compte sur la société, on est encore loin de la vraie égalité...

I.T. La vie change quand les gens changent et personne n’attend de grandes lois pour évoluer dans sa manière de vivre... Les jeunes hommes sont beaucoup plus impliqués que ne l’étaient leurs pères dans la vie domestique et les soins aux enfants. Ces changements sont cruciaux. Mais une question devrait être mieux posée : celle de la valeur que l’on accorde à l’éducation et aux soins à l’égard des plus fragiles. Ce que les Anglo-Saxons nomment le « care ». Faut-il accepter que ce qui est féminin soit par là même dévalorisé ? Dans nos sociétés obsédées par l’argent, le pouvoir et le clinquant, on peut souligner aujourd’hui que les attributions traditionnellement féminines portaient aussi des valeurs qu’il ne faut pas oublier ou dénigrer. Ce qui n’était pas acceptable, c’est que la vie des femmes soit bornée à cela, qu’elles soient enfermées dans l’espace domestique, dépendantes et subordonnées aux hommes. Si nous voulons valoriser la relation humaine et pas seulement la possession des choses ou du fric, il faut inventer une nouvelle complémentarité entre les liens privés et les services à la personne, les services collectifs : c’est l’enjeu majeur des politiques familiales de demain.

 

ELLE. La question de l’homoparentalité n’est pas résolue, selon vous, à cause de notre tendance à classifier les gens.

I.T. On continue, même avec les meilleures intentions du monde, à reproduire la conception du XIXe siècle victorien, qui a inventé les catégories « homosexuel, bisexuel, hétérosexuel » et a transformé les homosexuels en une « espèce ». Cette « spécification » se prolonge vers le couple de même sexe, la famille homoparentale, etc. Alors que les relations de même sexe participent de la société et de son histoire ! Autrefois, on voyait le couple comme la complémentarité nécessaire du mâle et de la femelle. Aujourd’hui, nous admettons que deux hommes ou deux femmes peuvent former un couple. Les familles homoparentales sont en réalité des révélateurs de trois grandes questions non réglées pour toute la société : les procréations médicalement assistées, les adoptions, les familles recomposées... Si on refuse de le voir, on risque d’en faire des boucs émissaires.

 

ELLE. C’est-à-dire?

I.T. Pourquoi, par exemple, pose-t-on pour les seuls homosexuels le problème du recours à des donneurs dans les procréations médicalement assistées (PMA) ? Comme ils sont de même sexe, leur impossibilité à engendrer sans recourir à un tiers est révélée. Mais c’est le cas de tous les parents qui ont besoin d’une PMA pour avoir un enfant ! Pourtant, actuellement dans les dons d’embryon, d’ovocyte ou de sperme, tout est organisé pour faire passer le couple receveur pour un couple engendreur, comme si les « dons d’engendrement » n’existaient pas. Les homosexuels, qui ne peuvent pas se faire passer pour des couples engendreurs, nous obligent à voir plus loin et à interroger autrement les pratiques des PMA pour tous. C’est la toute-puissance de la technique qui l’a emporté. On a dit : « il nous faut du matériau de reproduction » et, si on efface les donneurs, les dons, les relations humaines qui leur donnent sens, alors on aura ce matériau. Mais cette conception techniciste et réifiante nous revient aujourd’hui dans la figure. D’abord, c’est le socle idéal de la marchandisation, du trafic. Et, surtout, on ne fait pas impunément des enfants nés de « personne », ou d’un humain et d’un « matériau ». Car on reporte alors sur certains enfants les conséquences de cette irresponsabilité, en les coupant de la condition humaine des autres enfants, en les mettant à part. Or, ils ne sont pas nés de « personne » ; simplement l’histoire de leur naissance a été effacée, ils n’y ont pas accès. On peut avoir des parents de naissance qui n’ont pas vocation à vous élever. Dans ce cas, la filiation s’appuie sur l’engagement que prennent des adultes d’éduquer et de soigner un enfant qu’ils n’ont pas engendré (ou pas tous les deux). C’est un engagement inconditionnel, et chacun peut le comprendre.

 

ELLE. Et les adoptions ?

I.T. On a cru longtemps qu’il fallait effacer les parents de naissance pour garantir la sécurité des liens d’adoption. On s’aperçoit aujourd’hui que ce n’est pas absolument nécessaire, et on comprend mieux la souffrance des enfants adoptés dont une partie de l’histoire a, ici aussi, été effacée arbitrairement. S’il y a plus d’un homme, et plus d’une femme, dans la naissance, la vie et l’éducation d’un enfant, nous devons être capables de penser cette pluralité d’une façon sécurisante, qui ne crée pas de rivalités. C’est le rôle d’un système de parenté. Nous devrions être capables de faire évoluer le nôtre pour qu’il soit à la fois commun à tous et pluraliste, ménageant entre toutes les trajectoires biographiques les passerelles et les ponts témoignant de notre humanité commune.

 

ELLE. Il faudrait donc légiférer sur le droit de la famille en général et non pas par catégories ?

I.T. Bien sûr ! Le grand intérêt de l’Association des parents gays et lesbiens, c’est d’avoir inlassablement parlé des réalités. Tous les témoignages de parents homosexuels disent : « Nous sommes des mères, des pères, comme les autres. » Aujourd’hui, on vous demande tout de suite : « Vous êtes homo ou hétéro ? » Où est la place pour les trajectoires où on a aimé une fois un homme, une fois une femme ? Faisons la place aux événements relationnels qui peuvent amener quelqu’un qui ne s’y attendrait pas à tomber amoureux de quelqu’un du même sexe plutôt que de nous répartir dans de prétendues classes ontologiques.

 

 

C'est du copié collé!!!! je t'ai demasque!!!! ;) ;)

 

V'la la preuve La femme est un homme comme les autres - ELLE - La femme est un homme comme les autres - Interviews - Société - Elle

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La femme est un homme comme les autres

ON naît homme ou femme, mais nous sommes avant tout des êtres humains. La sociologue Irène Théry réinterroge les grandes questions de société à partir de ce constat. Interview. L’artiste Spencer Tunick est connu pour ses installations où des centaines de volontaires posent nus. Ici, « Brugge 4 », 2005. Interview de Michèle Fitoussi. Le nouvel ouvrage d’Irène Théry, « La Distinction de sexe : une nouvelle approche de l’égalité » (Odile Jacob), va sans doute nous faire beaucoup réfléchir. Pourquoi imaginer le masculin et le féminin comme des propriétés intérieures des individus, alors que ce sont plutôt des manières d’agir en relation aux autres ? Pourquoi classer les individus en femmes ou hommes, homosexuels ou hétérosexuels ? Alors que nous sommes tous des êtres humains à part entière et qu’aucun de nous n’est enfermé ni dans son sexe ni dans sa sexualité... Nous devrions plutôt reconsidérer la personne, sa biographie, son itinéraire, nous explique la sociologue Irène Théry, c’est la meilleure façon de réfléchir aux bouleversements de la société en matière d’égalité des sexes, qui ont eu lieu ces dernières décennies. Et, sans doute, de repenser de façon plus sereine les problèmes mis en lumière par les nouvelles familles, homoparentales, recomposées, adoptives, etc.

 

ELLE. Selon vous, nous pensons mal les conséquences de l’égalité des sexes qui a bouleversé la société ces dernières décennies...

IRÉNE THÉRY. Oui. Certes, cette égalité n’est pas entièrement réalisée, mais, au plus haut de toutes nos institutions, on considère que la démocratie doit la promouvoir. Cependant, on peut s’interroger sur l’émergence d’un nouveau féminisme d’Etat qui partage toujours l’humanité en deux catégories : les hommes d’un côté et les femmes de l’autre. L’égalité serait que la moitié féminine rejoigne les performances de la moitié masculine. Toute la politique aujourd’hui est fondée là-dessus... Beaucoup vont s’en contenter parce que, à travers cette comparaison, on peut faire valoir un certain nombre de problèmes. Le paradoxe est que cette façon de voir ne rend pas compte de ce que nous sommes : chacun de nous n’est que d’un sexe, certes, mais aucun de nous n’est enfermé dans une moitié d’humanité. Le déni de cette réalité est particulièrement criant dans les politiques de parité pour lesquelles l’égalité semble se réduire à un partage 50/50 des postes à pourvoir.

 

ELLE. La loi sur la parité était peut-être contestable en théorie, mais comment l’éviter en pratique ?

I.T. La sous-représentation des femmes en politique est un vrai problème, qui méritait d’être résolu. Ça ne veut pas dire qu’on a posé le bon diagnostic ni qu’on a trouvé la bonne solution. Si la place des femmes dans l’entreprise ou en politique nous choque, le mieux est de tenter de comprendre les processus souvent complexes qui ont conduit à ces situations. Plutôt que de se contenter de désigner un repoussoir magique : la supposée préservation des « intérêts masculins » qui serait la cause de tout... Grâce à l’égalité des sexes, la société a été bouleversée dans sa structure. Un certain nombre de tâches et de valeurs, d’un côté le travail salarié, l’art, la science, la politique, et de l’autre les soins aux enfants, aux personnes âgées, aux malades, ne sont plus des domaines réservés aux hommes ou aux femmes. Ce n’est pas parce qu’on aura décrété que le gouvernement doit être paritaire que quelque chose sera changé dans la vie de millions de femmes qui courent entre la crèche, les enfants malades et le boulot ! Comment ne pas voir que les inégalités se sont accrues avant tout entre les femmes elles-mêmes face à ces problèmes ? Qu’il y a des milliers de femmes qui viennent pour accomplir des travaux domestiques que d’autres n’ont plus le temps d’accomplir ? Que ces problèmes ne se résoudront que lorsqu’on cessera de les considérer uniquement comme des problèmes « de femmes » ou des questions à négocier en couple ? C’est toute la société qui est en cause.

 

ELLE. Mais que faire alors de nos revendications au quotidien dans la sphère privée comme publique ? Si on compte sur la société, on est encore loin de la vraie égalité...

I.T. La vie change quand les gens changent et personne n’attend de grandes lois pour évoluer dans sa manière de vivre... Les jeunes hommes sont beaucoup plus impliqués que ne l’étaient leurs pères dans la vie domestique et les soins aux enfants. Ces changements sont cruciaux. Mais une question devrait être mieux posée : celle de la valeur que l’on accorde à l’éducation et aux soins à l’égard des plus fragiles. Ce que les Anglo-Saxons nomment le « care ». Faut-il accepter que ce qui est féminin soit par là même dévalorisé ? Dans nos sociétés obsédées par l’argent, le pouvoir et le clinquant, on peut souligner aujourd’hui que les attributions traditionnellement féminines portaient aussi des valeurs qu’il ne faut pas oublier ou dénigrer. Ce qui n’était pas acceptable, c’est que la vie des femmes soit bornée à cela, qu’elles soient enfermées dans l’espace domestique, dépendantes et subordonnées aux hommes. Si nous voulons valoriser la relation humaine et pas seulement la possession des choses ou du fric, il faut inventer une nouvelle complémentarité entre les liens privés et les services à la personne, les services collectifs : c’est l’enjeu majeur des politiques familiales de demain.

 

ELLE. La question de l’homoparentalité n’est pas résolue, selon vous, à cause de notre tendance à classifier les gens.

I.T. On continue, même avec les meilleures intentions du monde, à reproduire la conception du XIXe siècle victorien, qui a inventé les catégories « homosexuel, bisexuel, hétérosexuel » et a transformé les homosexuels en une « espèce ». Cette « spécification » se prolonge vers le couple de même sexe, la famille homoparentale, etc. Alors que les relations de même sexe participent de la société et de son histoire ! Autrefois, on voyait le couple comme la complémentarité nécessaire du mâle et de la femelle. Aujourd’hui, nous admettons que deux hommes ou deux femmes peuvent former un couple. Les familles homoparentales sont en réalité des révélateurs de trois grandes questions non réglées pour toute la société : les procréations médicalement assistées, les adoptions, les familles recomposées... Si on refuse de le voir, on risque d’en faire des boucs émissaires.

 

ELLE. C’est-à-dire?

I.T. Pourquoi, par exemple, pose-t-on pour les seuls homosexuels le problème du recours à des donneurs dans les procréations médicalement assistées (PMA) ? Comme ils sont de même sexe, leur impossibilité à engendrer sans recourir à un tiers est révélée. Mais c’est le cas de tous les parents qui ont besoin d’une PMA pour avoir un enfant ! Pourtant, actuellement dans les dons d’embryon, d’ovocyte ou de sperme, tout est organisé pour faire passer le couple receveur pour un couple engendreur, comme si les « dons d’engendrement » n’existaient pas. Les homosexuels, qui ne peuvent pas se faire passer pour des couples engendreurs, nous obligent à voir plus loin et à interroger autrement les pratiques des PMA pour tous. C’est la toute-puissance de la technique qui l’a emporté. On a dit : « il nous faut du matériau de reproduction » et, si on efface les donneurs, les dons, les relations humaines qui leur donnent sens, alors on aura ce matériau. Mais cette conception techniciste et réifiante nous revient aujourd’hui dans la figure. D’abord, c’est le socle idéal de la marchandisation, du trafic. Et, surtout, on ne fait pas impunément des enfants nés de « personne », ou d’un humain et d’un « matériau ». Car on reporte alors sur certains enfants les conséquences de cette irresponsabilité, en les coupant de la condition humaine des autres enfants, en les mettant à part. Or, ils ne sont pas nés de « personne » ; simplement l’histoire de leur naissance a été effacée, ils n’y ont pas accès. On peut avoir des parents de naissance qui n’ont pas vocation à vous élever. Dans ce cas, la filiation s’appuie sur l’engagement que prennent des adultes d’éduquer et de soigner un enfant qu’ils n’ont pas engendré (ou pas tous les deux). C’est un engagement inconditionnel, et chacun peut le comprendre.

 

ELLE. Et les adoptions ?

I.T. On a cru longtemps qu’il fallait effacer les parents de naissance pour garantir la sécurité des liens d’adoption. On s’aperçoit aujourd’hui que ce n’est pas absolument nécessaire, et on comprend mieux la souffrance des enfants adoptés dont une partie de l’histoire a, ici aussi, été effacée arbitrairement. S’il y a plus d’un homme, et plus d’une femme, dans la naissance, la vie et l’éducation d’un enfant, nous devons être capables de penser cette pluralité d’une façon sécurisante, qui ne crée pas de rivalités. C’est le rôle d’un système de parenté. Nous devrions être capables de faire évoluer le nôtre pour qu’il soit à la fois commun à tous et pluraliste, ménageant entre toutes les trajectoires biographiques les passerelles et les ponts témoignant de notre humanité commune.

 

ELLE. Il faudrait donc légiférer sur le droit de la famille en général et non pas par catégories ?

I.T. Bien sûr ! Le grand intérêt de l’Association des parents gays et lesbiens, c’est d’avoir inlassablement parlé des réalités. Tous les témoignages de parents homosexuels disent : « Nous sommes des mères, des pères, comme les autres. » Aujourd’hui, on vous demande tout de suite : « Vous êtes homo ou hétéro ? » Où est la place pour les trajectoires où on a aimé une fois un homme, une fois une femme ? Faisons la place aux événements relationnels qui peuvent amener quelqu’un qui ne s’y attendrait pas à tomber amoureux de quelqu’un du même sexe plutôt que de nous répartir dans de prétendues classes ontologiques.

 

 

C'est du copié collé!!!! je t'ai demasque!!!! ;) ;)

 

V'la la preuve La femme est un homme comme les autres - ELLE - La femme est un homme comme les autres - Interviews - Société - Elle

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Je ne l'ai jamais nié que c'est du C/C.

 

:D mais tu as ri quand j'ai dit que la femme est un homme comme les autres.

 

Simone de Beauvoir aussi le disait. La difference biologique ne fait pas de l'inferiorité sinon ce sera justifié le racisme, le sexisme, etc.

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c'est un troll mokhazni,keddab,h'raymi!

 

ne le croyez pas!dans leur religion,zaouedj el-orfi ou la moutaa-mariage temporaire-c'est permis!et,ils disent :baad el-ichaa,efaal ma tachaa!ils prient,apres el-ichaa,ils boivent du wisky,fument de l'herbe et s'adonnent au zinaa et autres kabaiirr!
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Je ne l'ai jamais nié que c'est du C/C.

 

:D mais tu as ri quand j'ai dit que la femme est un homme comme les autres.

 

Simone de Beauvoir aussi le disait. La difference biologique ne fait pas de l'inferiorité sinon ce sera justifié le racisme, le sexisme, etc.

 

 

la je te suis plus! tu dis que la femme et l'homme n'ont pas les memes droits, alors donne moi un example stp.

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Pourquoi le code de la famille n'est pas accepté par les algériennes cultivées (leila Aslaoui, Fadela Mrabet,Louisa Hanoun..etc).

 

Parce qu'il impose un wali pour le mariage.

 

Il reste inégalitaire sur l'héritage.

 

La polygamie est toujours légale soumise à l'acceptation de la première femme mais le mari peut la fair chanter.

 

Battre sa femme est légal personne ne mettra son nez là dedans pour s'interposer.

 

Une Algérienne ne peut épouser un non-musulman.

 

Bien sûr, ce n'est pas propre à l'Algérie mais à toutes les sociétés islamiques et l'Arabie, l'Afghanistan, le Pakistan, l'Egypte sont pires. :mad:

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Pourquoi le code de la famille n'est pas accepté par les algériennes cultivées (leila Aslaoui, Fadela Mrabet,Louisa Hanoun..etc).

 

Parce qu'il impose un wali pour le mariage.

 

Il reste inégalitaire sur l'héritage.

 

La polygamie est toujours légale soumise à l'acceptation de la première femme mais le mari peut la fair chanter.

 

Battre sa femme est légal personne ne mettra son nez là dedans pour s'interposer.

 

Une Algérienne ne peut épouser un non-musulman.

 

Bien sûr, ce n'est pas propre à l'Algérie mais à toutes les sociétés islamiques et l'Arabie, l'Afghanistan, le Pakistan, l'Egypte sont pires. :mad:

 

Le wali (pour le premier mariage de la femme): l'islam impose un wali pour le mariage, et qu'est ce qui te gene en ça?? le wali est un tuteur, il aide la femme, il la soutien tout en respectant son choix, elle peut avoir un recours devant un juge (cadi) si le tuteur refuse son accord et qu'elle pense avoir des arguments valables.

 

L'heritage: la part du fils est plus grande que celle de la fille tout simplement parce que l'homme a l'obligation de nourrir sa famille.

 

La polygamie: est legale a condition d'etre juste envers toutes les epouses.

 

Battre sa femme: c'est pas permis s'il n'y a aucune raison valable

 

Une musulmane ne peut epouser un non musulman: c'est pour le bien des enfants d'avoir un pere musulman, la pere a une iffluence plus importante que la mere sur ces enfants.

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Justement, ce sont des lois qui datent du 7éme siècle, ni la Turquie ni la Tunisie ni même la Libye ne les acceptent maintenant.

 

Il n y a que des pays encore tenus par des vieux turbans réactionnaires qui admettent ces lois phalocratiques, sexistes, patriarcales qui humilient les femmes et les traitent toujours comme des objets sexuels. :zoo_taz:

 

La femme que tu le veuilles ou non a les mêmes droits que l'homme. :mdr:

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les lois chez les mokhaznis...

 

Justement, ce sont des lois qui datent du 7éme siècle, ni la Turquie ni la Tunisie ni même la Libye ne les acceptent maintenant.

 

Il n y a que des pays encore tenus par des vieux turbans réactionnaires qui admettent ces lois phalocratiques, sexistes, patriarcales qui humilient les femmes et les traitent toujours comme des objets sexuels. :zoo_taz:

 

La femme que tu le veuilles ou non a les mêmes droits que l'homme. :mdr:

existe-t-il des lois chez vous?Que nenni!nenni,en Algerien veut dire...dormir!:mdr: :mdr:
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Justement, ce sont des lois qui datent du 7éme siècle, ni la Turquie ni la Tunisie ni même la Libye ne les acceptent maintenant.

 

Il n y a que des pays encore tenus par des vieux turbans réactionnaires qui admettent ces lois phalocratiques, sexistes, patriarcales qui humilient les femmes et les traitent toujours comme des objets sexuels. :zoo_taz:

 

La femme que tu le veuilles ou non a les mêmes droits que l'homme. :mdr:

 

Ce ne sont pas des lois sexistes, ce sont des lois qui protegent la femme, et il y a des gens qui veulent annuler ces lois pour profiter de la femme musulmane.

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Ce ne sont pas des lois sexistes, ce sont des lois qui protegent la femme, et il y a des gens qui veulent annuler ces lois pour profiter de la femme musulmane.

 

Tu te trompes. Lis les livres des Algeriennes pour constater que loin de les proteger : le code de la famille les enfonce.

 

Lis "Coupables " de Leila Aslaoui ou "Les Algeriennes " de Fadela Mrabet.

 

Le Manifeste des Libertés : 24 mars 2005 : "Hypothèses sur le féminin en islam"

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=============MODERATION======================

 

icosiumus et yacoubm,

 

je vous demande de cesser les insultes et les attaques personnelles.

Dans le cas contraire, je me verrai dans l'obligation de suspendre vos deux comptes.

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=============MODERATION======================

 

icosiumus et yacoubm,

 

je vous demande de cesser les insultes et les attaques personnelles.

Dans le cas contraire, je me verrai dans l'obligation de suspendre vos deux comptes.

 

A partir de maintenant, je vais ignorer complètement ses posts.

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  • 2 years later...
J'avais besoin de lumière !

 

.../...

 

C'est ainsi qu'à chacune de mes prières musulmanes, j'invoquais Dieu afin qu'il se révèle à moi ; "Oh Dieu, dirige-moi ! C'est de tout mon coeur que je te demande de m'éclairer. Si c'est l'Islam qui est le chemin qui mène à toi, permets que je reste musulman toute ma vie. Si c'est le Christ, fais en sorte que je devienne chrétien".

.../...

Ces passages cités par mon marabout m'ont conforté dans ma conviction que le seul espoir de salut pour les musulmans comme pour les chrétiens était en Jésus.

 

.../...

.../...

 

Persécution et secours de Dieu

 

C'est ainsi que le 10 janvier 1978, je me suis confié en Dieu au nom du Seigneur Jésus-Christ. J'ai accepté le Christ au soir de ce jour en brûlant toutes mes amulettes et livres de marabout où je puisais puissance et formules pour la magie blanche. Suite à cette décision, je dû faire face à la persécution de mes parents, le soir même.

 

.../...

Je me suis rendu à la Mission et après avoir escaladé le mur, je me suis réfugié dans la chapelle. Le lendemain, des frères et soeurs chrétiens m'ont remis quelques habits.

 

Ils m'ont soutenu dans la prière et j'ai moi-même prié pour mes parents et tous les amis qui me persécutaient à cause de ma foi en Jésus, voyant derrière cela la colère du diable se déchaînant contre moi pour me faire abandonner Jésus, le seul chemin qui mène à Dieu.

 

Dieu a exaucé mes prières et un jour, mon père m'a fait chercher pour que je revienne m'installer en famille en me faisant dire : "Mon fils, je demeure toujours ton père et je ne peux t'abandonner! "

 

.../...

Ce que je suis devenu après ma conversion.

 

.../...

 

Pour tous mes amis musulmans qui n'ont pas encore découvert qui est Jésus-Christ, je prie afin que Dieu leur accorde par ce témoignage et par d'autres recherches de rencontrer Jésus-Christ, le Messie promis dans les Saintes Écritures et de l'accepter comme leur Sauveur.

 

.../...

Ce que Jésus a fait dans ma vie, il peut le faire aussi dans votre vie. En lui

Y. Mohamed.

 

Ce que pratique avec une infinie maestra notre Y. Mohammed alias Terrien porte un nom : Prosélytisme tout simplement.

Qu'il le fasse au nom de Jésus ou de tout autre prophète ou divinité , là n'est pas le problème.

Mais qu'il se serve du forum comme tribune pour exercer ses talents de rabatteur, voilà qui doit interpeller la Direction et la Modération de ce forum.

Car ce Monsieur, à la lecture des extraits que j'ai relevés ci-dessus, n'a qu'un seul but: rallier des personnes à ses convictions personnelles.

La question est maintenant:

Dans un espace public comme ce forum peut on admettre ce genre de comportement ?

Et je rappelle à toutes fins utiles, qu'en tant qu'ancien élève des Pères Blancs (Jésuites) , j'ai le plus grand respect pour les Gens du Livre qui jamais au plus grand jamais n'ont tenu de tels propos à leurs élèves musulmans dans leur enceinte.

J'en témoigne.

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Ce que pratique avec une infinie maestra notre Y. Mohammed alias Terrien porte un nom : Prosélytisme tout simplement.

Qu'il le fasse au nom de Jésus ou de tout autre prophète ou divinité , là n'est pas le problème.

Mais qu'il se serve du forum comme tribune pour exercer ses talents de rabatteur, voilà qui doit interpeller la Direction et la Modération de ce forum.

Car ce Monsieur, à la lecture des extraits que j'ai relevés ci-dessus, n'a qu'un seul but: rallier des personnes à ses convictions personnelles.

La question est maintenant:

Dans un espace public comme ce forum peut on admettre ce genre de comportement ?

Et je rappelle à toutes fins utiles, qu'en tant qu'ancien élève des Pères Blancs (Jésuites) , j'ai le plus grand respect pour les Gens du Livre qui jamais au plus grand jamais n'ont tenu de tels propos à leurs élèves musulmans dans leur enceinte.

J'en témoigne.

 

 

Safraoui, pourquoi a t-on peur des gens qui parlent ?? notre religion a une faiblesse qu'on veut cacher ?? nous musulmans savons pas répondre à ce genre de réflexions ?? doit-on le censurer pour prévenir qu'il arrive à convaincre quelques gens ??

 

 

la France, avec tous ses pères blancs, toutes ses nonnes, toute son église du 19 siècles, et toute son armée n'ont pas réussi à changer la religion des algériens, alors de quoi avons peur, et pourquoi doit-on censurer ???

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Ce que pratique avec une infinie maestra notre Y. Mohammed alias Terrien porte un nom : Prosélytisme tout simplement.

Qu'il le fasse au nom de Jésus ou de tout autre prophète ou divinité , là n'est pas le problème.

Mais qu'il se serve du forum comme tribune pour exercer ses talents de rabatteur, voilà qui doit interpeller la Direction et la Modération de ce forum.

Car ce Monsieur, à la lecture des extraits que j'ai relevés ci-dessus, n'a qu'un seul but: rallier des personnes à ses convictions personnelles.

La question est maintenant:

Dans un espace public comme ce forum peut on admettre ce genre de comportement ?

Et je rappelle à toutes fins utiles, qu'en tant qu'ancien élève des Pères Blancs (Jésuites) , j'ai le plus grand respect pour les Gens du Livre qui jamais au plus grand jamais n'ont tenu de tels propos à leurs élèves musulmans dans leur enceinte.

J'en témoigne.

 

les pères blancs sont français

terrien est un algérien

toute la différence est là

ne te casse pas la tete pour lui

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Ce que pratique avec une infinie maestra notre Y. Mohammed alias Terrien porte un nom : Prosélytisme tout simplement.

Qu'il le fasse au nom de Jésus ou de tout autre prophète ou divinité , là n'est pas le problème.

Mais qu'il se serve du forum comme tribune pour exercer ses talents de rabatteur, voilà qui doit interpeller la Direction et la Modération de ce forum.

Car ce Monsieur, à la lecture des extraits que j'ai relevés ci-dessus, n'a qu'un seul but: rallier des personnes à ses convictions personnelles.

La question est maintenant:

Dans un espace public comme ce forum peut on admettre ce genre de comportement ?

Et je rappelle à toutes fins utiles, qu'en tant qu'ancien élève des Pères Blancs (Jésuites) , j'ai le plus grand respect pour les Gens du Livre qui jamais au plus grand jamais n'ont tenu de tels propos à leurs élèves musulmans dans leur enceinte.

J'en témoigne.

 

tu remarquera que sur se forum il est permis de s'attaquer à l'islam sans etre inquiété par la modération.

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Safraoui, pourquoi a t-on peur des gens qui parlent ?? notre religion a une faiblesse qu'on veut cacher ?? nous musulmans savons pas répondre à ce genre de réflexions ?? doit-on le censurer pour prévenir qu'il arrive à convaincre quelques gens ??

 

la France, avec tous ses pères blancs, toutes ses nonnes, toute son église du 19 siècles, et toute son armée n'ont pas réussi à changer la religion des algériens, alors de quoi avons peur, et pourquoi doit-on censurer ???

 

En réponse à Monsieur Pluton, que je salue au passage pour sa grande tolérance et les propos modérés, je dirai:

Je n'ai pas du tout peur de ce Monsieur.

Ce que je reproche à ce Monsieur Terrien, c'est d'utiliser le forum à des fins personnelles en faisant l'apologie d'une religion au détriment d'une autre religion qu'il a vécue semble t'il.

Savez vous Mr Pluton qu'en France le proselytisme en lieu public est formellement interdit ainsi que le port de signes ostentatoires d'appartenance religieuse ou idéologique au nom de la laïcité qui met, et c'est très bien ainsi, toutes les convictions religieuses sur le même pied d'égalité.

J'ajouterai qu'en magnifiant le message du Christ tout en disant qu'avant il était musulman n'est ce pas là une façon de retrograder le rang de l'Islam ?. Vous ne pensez pas ?

Personnellement je n'oserai jamais faire l'apologie de l'Islam au détriment du Christianisme quand bien même le forum le tolérerait.

Je terminerai en vous disant que plus laïc que moi, vous en trouverez rarement mais je garde mes convictions religieuses pour moi.

Et puis vous etes vous posé la question: Et s'il y avait quelqu'un derrière Mr Terrien ?

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