Une fille venue d'ailleurs

[Guest D. ESSERHANE]

Une fille venue d’ailleurs

 

Je vais vous raconter une histoire étrange qui s'est passée aux alentours d'Alger. C'est une histoire vraie qu'a vécue un taxieur algerois dans les années 9O. C'atait un ami, que Dieu l'enveloppe dans Sa sainte miséricorde.

 

Cette histoire l'avait stigmatisée, elle l'avait marquée pour les restant des jours qu’il lui restait à vivre et qu’il n'était pas prêt d'oublier de son vivant.

 

Il me l'avait racontée à moi, à d'autres qu'il aimait, avec cette spontanéité sans égale, mais souvent, sans gaité de cœur

 

Pour vous dire, je suis incrédule à ce genre d’histoires à dormir debout, mais je l'ai cru dés le début de son récit, tellement que mon ami était sincère dans ses propos.

 

Il m'avait juré de ne plus faire état de cette histoire parce qu’elle était incroyable – quoique tout à fait vraie - de peur d'être pris pour un mythomane.

 

Et je crois qu’il s’était résigné à ne plus faire étalage de cette aventure ou plus tôt de sa mésaventure relevant beaucoup plus de la fiction.

 

Je crois qu’il avait tenu parole. J’étais le dernier à qui il s’était confié. Il devait rendre l'âme durant la tragédie qu'a connu le pays beaucoup plus de chagrin que par des balles assassines

 

Le temps a fini par me donner raison, lorsqu'un soir, presque 1O ans plus tard, face à mon téléviseur, j'ai vu cette même histoire se raconter sous d'autres cieux... C'était une histoire tout à fait semblable vécue par mon ami le taxieur, sauf que l'endroit et les acteurs étaient différents.

 

Je vais vous la raconter de la manière la plus fidèle telle qu'il me l'avait narrée alors que nous étions attablés dans un café du quartier

[Guest jazairia]

Avec impatience j'attends cette histoire didi.

[Guest D. ESSERHANE]

Avec impatience j'attends cette histoire didi.

 

j'ai la frousse

tu risques de faire des cauchemars

[Galatée 10]

J'attends aussi...

[Guest jazairia]

j'ai la frousse

tu risques de faire des cauchemars

 

Pas du tout j'ai vu et entendu pire, raconte t'en fais pas pour ta cousine.

[lampe magique 10]

j'ai la frousse

tu risques de faire des cauchemars

 

 

est ce qu'on a la tête de gens qui ont peur ? Non, alors raconte... et tourne pas autour du pot stp car ça me stresse et je le suis déjà...

[Guest Ziha-Dz]

 

Le temps a fini par me donner raison, lorsqu'un soir, presque 1O ans plus tard, ......

 

r

 

Vas y Papi ...raconte raconte......ehhh mais pas d'histoire ta3 el ghoulla :confused:

[Guest D. ESSERHANE]

Vas y Papi ...raconte raconte......ehhh mais pas d'histoire ta3 el ghoulla :confused:

la voici, elle me torture avec son avatar de malheur

[Guest Milgrame]

Une fille venue d’ailleurs

 

Je vais vous raconter une histoire étrange qui s'est passée aux alentours d'Alger. C'est une histoire vraie qu'a vécue un taxieur algerois dans les années 9O. C'atait un ami, que Dieu l'enveloppe dans Sa sainte miséricorde.

 

Cette histoire l'avait stigmatisée, elle l'avait marquée pour les restant des jours qu’il lui restait à vivre et qu’il n'était pas prêt d'oublier de son vivant.

 

Il me l'avait racontée à moi, à d'autres qu'il aimait, avec cette spontanéité sans égale, mais souvent, sans gaité de cœur

 

Pour vous dire, je suis incrédule à ce genre d’histoires à dormir debout, mais je l'ai cru dés le début de son récit, tellement que mon ami était sincère dans ses propos.

 

Il m'avait juré de ne plus faire état de cette histoire parce qu’elle était incroyable – quoique tout à fait vraie - de peur d'être pris pour un mythomane.

 

Et je crois qu’il s’était résigné à ne plus faire étalage de cette aventure ou plus tôt de sa mésaventure relevant beaucoup plus de la fiction.

 

Je crois qu’il avait tenu parole. J’étais le dernier à qui il s’était confié. Il devait rendre l'âme durant la tragédie qu'a connu le pays beaucoup plus de chagrin que par des balles assassines

 

Le temps a fini par me donner raison, lorsqu'un soir, presque 1O ans plus tard, face à mon téléviseur, j'ai vu cette même histoire se raconter sous d'autres cieux... C'était une histoire tout à fait semblable vécue par mon ami le taxieur, sauf que l'endroit et les acteurs étaient différents.

 

Je vais vous la raconter de la manière la plus fidèle telle qu'il me l'avait narrée alors que nous étions attablés dans un café du quartier

 

Je trouve que si on était dans un film, cette histoire cette chanson irait impeccablement avec ton histoire.

 

[YOUTUBE]IWvFjL8vs5w[/YOUTUBE]

[Guest jazairia]

Ne te fais pas supplier didi .

[rossignol 10]

et alors on veut l'histoire on ne peut pas patienter plus:crazy:

[Guest D. ESSERHANE]

C'était l’hiver ténébreux et glacial. C’était janvier 1999, si j’ai la mémoire bonne.

 

La pluie coulait à flots et le tonnerre fendait le silence de la nuit par ses brefs rugissements pendant que mon ami Mohamed longeait à toute allure la route de Douera pour la capitale où il demeurait.

 

Il se sentait triste. Il était brutalement saisi par une peur qu’il ne pouvait justifier, ni expliquer. Il se voyait incommodé par cette l'obscurité opaque de la nuit qui réduisait lamentablement sa visibilité et le contraignait souvent à modérer la vitesse de sa voiture, lui qui voulait arriver de bonne heure pour se reposer.......

[lampe magique 10]

moi je lis pas si c'est comme ça... deux lignes à chaque fois et toutes les dix min...

[Guest Milgrame]

Ne te fais pas supplier didi .

 

Tu sais la nana sur ton profil, on dirait un travestie.

[rossignol 10]

C'était l’hiver ténébreux et glacial. C’était janvier 1999, si j’ai la mémoire bonne.

 

La pluie coulait à flots et le tonnerre fendait le silence de la nuit par ses brefs rugissements pendant que mon ami Mohamed longeait à toute allure la route de Douera pour la capitale où il demeurait.

 

Il se sentait triste. Il était brutalement saisi par une peur qu’il ne pouvait justifier, ni expliquer. Il se voyait incommodé par cette l'obscurité opaque de la nuit qui réduisait lamentablement sa visibilité et le contraignait souvent à modérer la vitesse de sa voiture, lui qui voulait arriver de bonne heure pour se reposer.......

 

et après:rolleyes:

[Guest Ziha-Dz]

Je sens que ça sera une farce à la fin...je ne sais pas pourquoi !!!

[Guest Narjess]

Tu sais la nana sur ton profil, on dirait un travestie.

 

moi je la trouve ultra mignonne, elle me ressemble:D

[Guest D. ESSERHANE]

Il avait le pressentiment qu’un malheur l’attendait dans cette route déserte et sinueuse. Il sentait que son corps tremblait, tressaillait du pied à la tête et que ses saccades augmentaient en intensité.

 

Il savait que ce n’était pas le résultat du froid, mais de l’épouvante, cette peur qui vous saisisse soudainement devant un péril évident, devant un danger, devant la mort tout court.

 

Il n'en revenait pas, lorsqu'il remarqua que durant tout son trajet, il n'avait croisé sur son chemin, aucun véhicule, ni âme qui vive.

 

Il était là tendu, les mains crispées sur le volant et n'entendait que le ronflement de son moteur. Il se croyait, par moment, perdu dans cette contrée qu'il connaissait si parfaitement.

 

Le coeur battant, il était quasi certain qu'un malheur l'attendait au bout d'un détour...

 

...C'était son dernier virage qu'il allait amorcer et ce serait pour lui, une route rectiligne qu'il lui était loisible d'enfoncer à fond le champignon et d'échapper enfin à sa torpeur qui lui nouait la gorge.

 

Dans une demie heure au plus, il sera chez lui et tout sera fini, mais il s'était juré de ne plus emprunter cette route de malheur

 

 

Mais...

[Guest jazairia]

moi je lis pas si c'est comme ça... deux lignes à chaque fois et toutes les dix min...

 

Maaliche ,ça fait durer le suspense .

[Guest D. ESSERHANE]

alors qu'il engagea sa quatrième vitesse, il vit au loin, à une vingtaine de mètres, une ombre, une silhouette de femme qui paraissait se mouvoir dans le noir, tel un fantôme sorti du néant.

 

Il crut que c'était la peur qui lui jouait un mauvais tour et que ce qu'il voyait n'était que le fruit de son imagination.

 

Seulement, lorsqu'il arriva à sa hauteur, il se rendit compte qu'il s'agissait d'une jeune fille tout en blanc, d'à peine I8 ans

[Guest jazairia]

alors qu'il engagea sa quatrième vitesse, il vit au loin, à une vingtaine de mètres, une ombre, une silhouette de femme qui paraissait se mouvoir dans le noir, tel un fantôme sorti du néant.

 

Il crut que c'était la peur qui lui jouait un mauvais tour et que ce qu'il voyait n'était que le fruit de son imagination.

 

Seulement, lorsqu'il arriva à sa hauteur, il se rendit compte qu'il s'agissait d'une jeune fille tout en blanc, d'à peine I8 ans

 

Et après...

[Guest D. ESSERHANE]

Et après...

 

voila, Les feux des ses lanternes allaient droit sur corps frêle de la jolie demoiselle. Elle était sublime, envoûtante....enfin très belle avec cette chevelure blonde qui lui tombait sur les épaules.

 

Sa robe d'un blanc sale lui collait complètement sur sa peau et trahissait de loin sa féminité.

 

Il n'avait jamais vu pareille créature, m'avait-il dit. Elle était toute trempée et son regard traduisait la peur, mais, aussi la tristesse.

 

Fallait-il laisser cette fille seule dans la nuit ou presser la pédale et s'enfuir à vive allure droit sur la ville?

 

Il s'était résolu au dernier moment. Il freina aussi sèchement que la voiture alla se traîner sur plusieurs mètres avant de s'arrêter. Il engagea sa marche arrière et stoppa à sa hauteur.

[Guest jazairia]

voila, Les feux des ses lanternes allaient droit sur corps frêle de la jolie demoiselle. Elle était sublime, envoûtante....enfin très belle avec cette chevelure blonde qui lui tombait sur les épaules.

 

Sa robe d'un blanc sale lui collait complètement sur sa peau et trahissait de loin sa féminité.

 

Il n'avait jamais vu pareille créature, m'avait-il dit. Elle était toute trempée et son regard traduisait la peur, mais, aussi la tristesse.

 

Fallait-il laisser cette fille seule dans la nuit ou presser la pédale et s'enfuir à vive allure droit sur la ville?

 

Il s'était résolu au dernier moment. Il freina aussi sèchement que la voiture alla se traîner sur plusieurs mètres avant de s'arrêter. Il engagea sa marche arrière et stoppa à sa hauteur.

 

 

 

Je crois que je la connais didi cette histoire.

[Guest D. ESSERHANE]

Elle était raide, complètement raide qu'elle ne fit aucun effort pour monter à bord de la voiture.

 

C'était lui qui s'était penché pour lui ouvrir la portière. Elle osa alors de prendre place et pris une attitude d'une âme pétrifiée.

 

Elle regardait droit devant elle et son regard semblait fixer quelque chose à travers le pare brise. Un regard vide et inexpressif qui donnait le sentiment que cette personne renfermait dans son cœur tous les malheurs des opprimés

[Guest Ziha-Dz]

Je crois que je la connais didi cette histoire.

 

3awnihe yemala! psk rahou t9ile chwuiya ! :closedeyes: !!