icosiumus 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 C'est une visite d'etat ,pleine de succés pour les deux pays!5 milliards d'euros de contrats,qui s'en plaint?D'autres pays mal-dotés par la nature en revent...suivez mon regard:crazy: .C'est dieu et ce peuple fier qui ont voulu ainsi!:mdr: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
yacoubm 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 La question des visas est un point de discorde entre Paris et AlgerLE MONDE | 06.12.07 | 13h36 • Mis à jour le 06.12.07 | 13h36 ALGER, CONSTANTINE ENVOYÉS SPÉCIAUX es visas, des visas !", criaient les jeunes présents sur le parcours des présidents algérien et français, Abdelaziz Bouteflika et Nicolas Sarkozy, mercredi 5 décembre, à Constantine. La question des visas français nourrit la rancoeur de la population algérienne au moins autant que celle du passé colonial. Quand on est algérien, jeune, célibataire, étudiant ou sans emploi, pas la peine de rêver : un visa de tourisme pour passer huit ou quinze jours en France relève de l'impossible. L'administration française ne voit dans ce profil qu'un clandestin potentiel. Or 70 % des Algériens ont moins de 30 ans. Leur rêve à tous est d'aller rendre visite à un proche en France, ou simplement de changer d'air. Pas nécessairement pour s'établir dans l'Hexagone - même si beaucoup y pensent. Les responsables algériens ne se sont pas privés de dire à M. Sarkozy ce qu'ils pensaient : "Selon Bernard Kouchner (ministre des affaires étrangères), le peuple algérien et le peuple français sont frères. Moi, je sais que quand mon frère vient dans ma maison, il ne frappe pas à ma porte. Il vient avec ses enfants et entre sans frapper", a ainsi déclaré sèchement, mardi, Yazid Zerhouni, le ministre de l'intérieur, à quelques journalistes. Pour Alger, la France souffrirait moins du problème de l'immigration clandestine si elle ne se barricadait pas de façon si hermétique. L'obtention d'un visa est si difficile que beaucoup d'Algériens renoncent même à tenter la démarche. En 2002, le consulat de France à Alger a reçu 800 000 demandes. En 2006, 220 000 seulement. Et seuls 120 000 Algériens ont obtenu un visa cette année-là. DYSFONCTIONNEMENTS Cette chute brutale du nombre de demandeurs a une explication : les frais de dossiers imposés par les pays de l'espace Schengen depuis janvier 2003. Que le visa soit accordé ou non ne change rien : le demandeur doit débourser 60 euros. Une fortune dans un pays où le salaire minimum est de 12 000 dinars (environ 120 euros). Ces dernières années, le consulat de France a déployé de sérieux efforts pour faciliter les conditions de délivrance. Il n'y a plus de files d'attente interminables, comme c'était le cas auparavant. Les réponses sont plus rapides : entre quatre jours et trois semaines. Le nombre de visas de circulation (qui permettent de faire plusieurs allers et retours) est en augmentation. Reste que les Algériens se plaignent toujours de dysfonctionnement : absence de réponse, délais parfois si longs que certaines pièces s'en retrouvent périmées, centre d'appels téléphoniques du consulat saturé, etc. De quoi conforter les Algériens dans l'idée qu'ils sont victimes d'une politique de quotas inavouée. "Personne, à Paris, ne décide du nombre de visas que nous pouvons accorder, affirme un responsable du consulat. Seules comptent les garanties de retour du demandeur. Mais elles sont rarement suffisantes." Florence Beaugé et Philippe Ridet Article paru dans l'édition du 07.12.07 Le Monde.fr : Imprimez un élément Citer Link to post Share on other sites
essah 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 Je ne trouve pas de mots à ce cirque médiatique auquel la mère patrie des dirigeants FLN et ses derniers rejetons nous ont convié, mais il est clair que le peule algérien n'a que ce qu'il mérite, une poignée de voyous qui le mènent tout droit à la faillite.... cette fois absolue. Ainsi, après les révélations dites sensationnelles de l'existence de 50 milliards de dollars dans les caisses du trésor américain, autant l'Italie que la France se devaient de réagir vite pour arracher leur part de gâteau des autres 50 milliards de dollars restants. Ces derniers, contrairement aux dollars américains ont finalement transité par un circuit économique très court passant de main en main par quelques cérémonies protocolaires à la sauvette autant en Sardaigne qu'à Alger. La seule satisfaction que Bouterflika aura finalement "arraché" de haute lutte semble-t-il à Sarkozy est que cette fois c'est lui qui s'arroge le droit de recevoir et non le contraire, car dans le second cas contrairement au cas italien ceci aurait été perçu comme une simple capitulation devant l'hyène française reléguée à la seconde position pour une fois derrière la lionne américaine qui s'est réservée 10 fois plus de beefteck sans le moindre effort. Ainsi, le pouvoir estime que pour durer, il lui faudrait vendre davantage du "sang"des algériens, comprenez ses richesses en tous genres. En compensation, ces protocoles généreront 7000 emplois semble-t-il selon toute vraisemblance mais en fait à qui sont ils destinés? Aux binationaux bien sûr, pauvre peuple algérien devenu étranger chez lui et qui doit se contenter de la boutade d'un ministre des anciens combattants selon la dénomination française pour préserver ses intérêts déjà nuls en la matière et ce dès le départ. En fait l'escroquerie révolutionnaire qui a amené une coquille vide dénommée FLN au pouvoir dès la cession du bail de la France coloniale à l'Algérie française en 1962 est toujours en vigueur n'eut été cette grande interférence venue d'outre atlantique. Il aura donc fallu à sarkozy de transiter par Washington pour marcher un tant soit peu sur les plates-bandes de l'Amérique et se réserver des miettes en Algérie en langage des grands. Ainsi récoltées, ces mêmes miettes sont censées lui permettre d'asseoir sa domination atlantiste sur la scène politique française en profitant du garde-manger algérien à l'instar d'un certain De gaulle dont Eisenhower a accepté la main mise sur l'Algérie après 1962 pour endiguer le communisme au sud de l'Europe , notamment en France en évitant la famine aux français grâce à l'inépuisable mamelle algérienne, 15ème puissance économique mondiale de l'époque(1960). Il est tout de même curieux de constater que rien n'a été signé ni du temps de Chirac ni du temps de sarkozy juqu'à ces récentes vacances américaines de sarkozy où en parfait suzerein ce dernier a réussi à obtenir des largesses de son maître de Washington. Ainsi, il est même question de coopération civile dans le domaine nucléaire entre la France et l'Algérie, coopération qui bien que vague aurait pu passer pour une effraction en la matière pour les esprits non avertis, cependant avec l'accord de Washington en filigrane et sa capacité à monter en épingle des scénarios hollywoodiens, la France est venue vendre du vent à l'Algérie jusqu'en 2025. Entre temps le dernier des "mohicans" aura disparu sans rendre des comptes. Plus inquiétant, de la coopération militaire avec la France,rien n'a filtré à ce sujet. Chuut, il ne faut pas inquiéter les voisins qui curieusement ont adopté le profil bas avec un silence radio total sur ce voyage alors que la question sahraouie est encore pendante. En fait autant le maroc que la tunisie se devaient de rester calmes, leur mère patrie étant affairée à leur découper leur ration en silence, il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. "Avec les plus values générées en Algérie, on ira investir chez les voisins" en s'approvisionnant en énergie pas chère sans doute et en capital frais pour inaugurer des usines de voitures et autres.En somme, on déshabille les algériens pour habiller les valets peu encombrants que sont les voisins... Deux faits marquants viennent cependant à l'esprit dans toute cette histoire. En 1986 , lors d'une promenade à l'Ouest d'Alger feu Mitterand s'entend dire par le sergent Chadli Bendjedid que l'Algérie a besoin de sortir du socialisme pour adopter l'économie de marché et que pour cela il faudrait tout un corpus idéologique et législatif que les "têtes pensantes" du régime sont incapables de produire. Tout éberlué,Mitterand chef des socialistes de France rétorque calmement que Jacques Attali ancien juif d'Alger s'en chargera et sera le nouvel architecte de l'Algérie libérale. Excusez du peu!!! Le résultat on le connait bien, plus de paupérisation, la disparition totale de la classe moyenne du jour au lendemain, l'instrumentalisation du wahhabisme et ensuite le terrorisme comme sous produit final très prévisible dès le départ. L'algérie venait de dire adieu à un ordre post-colonial tout aussi injuste que l'ordre colonial.Mais en revanche, elle basculait dans l'ère de l'Etat-maffia où quelques pieuvres militaro-affairistes s'accaparaient l'essentiel des richesses du pays sans rendre compte à qui que ce soit. Vingt ans plus tard, Bouteflika ardent opposant de Chadli qu'il accusait d'imbécilité flagrante à chaque apparition publique au début de son premier mandat fait la même proposition sous une autre forme à Sarkozy je cite "Mr le Président, aidez nous à devenir un pays émergent" une formule lapidaire qui résume toute l'incurie du régime FLN et ses dérives politiques depuis le retrait du contingent français en 1962. Ainsi, personne ne peut renier sa vraie mère patrie que l'on soit ancien sergent en Indochine ou simple tenancier de bar pour ne pas dire autre chose. Seulement voilà, le 11 septembre 2001 est passé par là. Tout le monde doit alors s'aligner sur Washington sous peine de subir ses foudres et cet avertissement vaut aussi pour la France. L'Algérie ayant anticipé sur une telle démarche possède cette fois- ci en son sein plusieurs juifs natifs de Nedromah en MM Benachenhou et Chakib Khelil qui n'ont rien à envier à Mr Attali. Ce dernier(Chakib Khelil) après avoir coulé l'Argentine en 1999,s'est installé depuis à Alger.Principale cheville ouvrière de washington , il a réussi à redistribuer directement 50 milliards de nos dollars au trésor américain sous forme de placement à 05% l'an semble-t-il. Un geste de fidélité à sa mère patrie d'adoption qui lui avait ouvert les bras par le passé quand Boumédiène saignait l'Algérie avec ses utopies ubuesques de révolution agraire et autres. malheureusement pour lui, Sarkozy vient un tantinet en retard et son amitié intéressée avec Benachenhou n'y fera rien. Seule Washington distribue les miettes à qui elle veut avec la promesse d'un nouvel ordre colonial pour notre pays, témoins en sont la base militaire de Tamanrasset et le bâtiment d'écoute de la NSA à Blida. Certes, Boutef réclame toujours le droit de partir sans laisser la base de l'Africom s'installer sur le sol algérien mais pour combien de temps? D'un autre côté le ministre des moudjahidine -pour lui faire plaisir- devrait s'inquiéter d'abord des juifs assis à la table du gouvernement dans lequel il siège avant d'aller attaquer Sarkozy. En 2005, certes la France a pondu une loi scélérate glorifiant la colonisation mais Chakib Khelil a fait mieux, il a voté une loi pour privatiser le pétrole au profit des américains.Chaque camp "veille au grain "à sa manière. Dans le premier cas on voulait nous priver de mémoire, dans le second on voulait nous priver d'avenir et au milieu nous avons droit au cirque. Attention aux escrocs révolutionnaires, à bon entendeur salut. Citer Link to post Share on other sites
essah 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 Cité par "momo d'alger" du forum algerie-dz. Ceci va vous aider à comprendre ce qui se passe en arrière plan car comme tout le monde le sait la vérité est masquée... Citer Link to post Share on other sites
icosiumus 10 Posted December 7, 2007 Author Partager Posted December 7, 2007 Menteur de mokhazni! La question des visas est un point de discorde entre Paris et AlgerLE MONDE | 06.12.07 | 13h36 • Mis à jour le 06.12.07 | 13h36 ALGER, CONSTANTINE ENVOYÉS SPÉCIAUX es visas, des visas !", criaient les jeunes présents sur le parcours des présidents algérien et français, Abdelaziz Bouteflika et Nicolas Sarkozy, mercredi 5 décembre, à Constantine. La question des visas français nourrit la rancoeur de la population algérienne au moins autant que celle du passé colonial. Quand on est algérien, jeune, célibataire, étudiant ou sans emploi, pas la peine de rêver : un visa de tourisme pour passer huit ou quinze jours en France relève de l'impossible. L'administration française ne voit dans ce profil qu'un clandestin potentiel. Or 70 % des Algériens ont moins de 30 ans. Leur rêve à tous est d'aller rendre visite à un proche en France, ou simplement de changer d'air. Pas nécessairement pour s'établir dans l'Hexagone - même si beaucoup y pensent. Les responsables algériens ne se sont pas privés de dire à M. Sarkozy ce qu'ils pensaient : "Selon Bernard Kouchner (ministre des affaires étrangères), le peuple algérien et le peuple français sont frères. Moi, je sais que quand mon frère vient dans ma maison, il ne frappe pas à ma porte. Il vient avec ses enfants et entre sans frapper", a ainsi déclaré sèchement, mardi, Yazid Zerhouni, le ministre de l'intérieur, à quelques journalistes. Pour Alger, la France souffrirait moins du problème de l'immigration clandestine si elle ne se barricadait pas de façon si hermétique. L'obtention d'un visa est si difficile que beaucoup d'Algériens renoncent même à tenter la démarche. En 2002, le consulat de France à Alger a reçu 800 000 demandes. En 2006, 220 000 seulement. Et seuls 120 000 Algériens ont obtenu un visa cette année-là. DYSFONCTIONNEMENTS Cette chute brutale du nombre de demandeurs a une explication : les frais de dossiers imposés par les pays de l'espace Schengen depuis janvier 2003. Que le visa soit accordé ou non ne change rien : le demandeur doit débourser 60 euros. Une fortune dans un pays où le salaire minimum est de 12 000 dinars (environ 120 euros). Ces dernières années, le consulat de France a déployé de sérieux efforts pour faciliter les conditions de délivrance. Il n'y a plus de files d'attente interminables, comme c'était le cas auparavant. Les réponses sont plus rapides : entre quatre jours et trois semaines. Le nombre de visas de circulation (qui permettent de faire plusieurs allers et retours) est en augmentation. Reste que les Algériens se plaignent toujours de dysfonctionnement : absence de réponse, délais parfois si longs que certaines pièces s'en retrouvent périmées, centre d'appels téléphoniques du consulat saturé, etc. De quoi conforter les Algériens dans l'idée qu'ils sont victimes d'une politique de quotas inavouée. "Personne, à Paris, ne décide du nombre de visas que nous pouvons accorder, affirme un responsable du consulat. Seules comptent les garanties de retour du demandeur. Mais elles sont rarement suffisantes." Florence Beaugé et Philippe Ridet Article paru dans l'édition du 07.12.07 Le Monde.fr : Imprimez un élémentles etudiants scandaient:excuses,excuses et non visas,fils de bacchus traitre de jugh!:mdr: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
icosiumus 10 Posted December 7, 2007 Author Partager Posted December 7, 2007 essah?El-mahtal oui! Cité par "momo d'alger" du forum algerie-dz. Ceci va vous aider à comprendre ce qui se passe en arrière plan car comme tout le monde le sait la vérité est masquée...tu es de bedjaia,yemma gouraya?Kechinni a miss ellah'ram oui!theghyoul nethmourth ennagh!ettas a miss en harka,edzyayer ath-mazghenna n'a pas besoin des baba-sallem!:mdr: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
yacoubm 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 :crazy: :crazy: :crazy: le fou est à enfermer. Les ambiguïtés jusqu’au bout du voyage en Algérie Constantine . Nicolas Sarkozy, qui achevait hier son périple algérien, a abordé plusieurs thèmes très controversés, sources de tension entre la France et son ancienne colonie. Constantine (Algérie), envoyée spéciale. « Musulmans », « chrétiens » et « juifs ». Tout au long du discours qu’il a prononcé hier à l’université Mentouri de Constantine devant un parterre d’officiels et d’étudiants triés sur le volet, Nicolas Sarkozy a usé quasi exclusivement de catégories religieuses pour désigner les peuples et les identités et exhorter les Algériens à se « tourner vers l’avenir ». Le lieu n’était évidemment pas choisi au hasard, et le chef de l’État a usé et abusé des multiples symboles et références historiques offerts par la ville des ponts, cité plusieurs fois millénaire. Réitérant, dans cette ville qui fut autrefois celle de la plus importante communauté juive d’Afrique, sa ferme condamnation de l’antisémitisme, il l’a associée au rejet du racisme, et, plus curieusement, de « l’islamophobie », concept forgé, à l’origine, par les fondamentalistes religieux qu’il dénonce, pour verrouiller toute appréhension critique de la religion et disqualifier les revendications laïques. En fait d’adresse à la jeunesse, cette allocution, non dénuée de clichés et d’approximations sur l’Algérie et son histoire, a donc finalement pris la forme d’une interpellation du « monde musulman » dans son ensemble, et d’un appel à « aller au fond des traditions et des croyances » pour trouver, avec « l’Occident », un « idéal humain » commun et rendre possible, autour de la Méditerranée, une « nouvelle Renaissance » inspirée du « miracle andalou ». Le président français a exalté « une politique de civilisation qui ne produise pas seulement des progrès matériels, mais aussi des valeurs, […] de l’identité, […] de l’espérance ». Son leitmotiv, après son appel de Tanger à bâtir une Union méditerranéenne : faire de la « réconciliation » entre la France et l’Algérie un « pilier » de ce projet, comme la réconciliation franco-allemande permit la construction de l’UE, le « partage » de l’énergie nucléaire devant tenir ici, selon lui, la même place que le charbon et l’acier pour la CEE. La conclusion entre les deux pays d’un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil a été présentée pour l’occasion comme un acte fondateur, alors même que l’Algérie a déjà conclu de tels accords avec d’autres puissances, au premier rang desquelles les États-Unis. une convention sur dix ans Nicolas Sarkozy a également insisté sur la signature d’une convention de partenariat global sur dix ans, qualifiée par l’Élysée de « traité d’amitié simplifié ». Parmi les propositions qu’il a avancées : la création d’une « université franco-algérienne » et celle d’un « office franco-algérien de la jeunesse ». Aux étudiants qui rêvent de décrocher l’impossible sésame qu’est devenu le visa pour poursuivre des études en France, il a réitéré la promesse rituelle, mais sans effets, de « faciliter la circulation » entre les deux rives de la Méditerranée, en échange de l’appui d’Alger dans la « lutte contre l’immigration clandestine ». le poids du passé colonial Évoqué à Alger, le passé colonial a également fait l’objet d’un développement soupesé avec précision. S’il a dit voir dans le système colonial « une entreprise d’asservissement et d’exploitation », le président de la République a répété que « beaucoup de ceux qui étaient venus s’installer en Algérie étaient de bonne volonté et de bonne foi ». « De part et d’autres il y a eu des douleurs », a-t-il insisté, en citant les combattants de l’indépendance, les victimes de la « répression aveugle et brutal », les victimes civiles des attentats et les populations contraintes au départ. Évoquant, les massacres de civils d’origine européenne qui accompagnèrent l’insurrection du 20 août 1955, invoqués par l’armée pour justifier la guerre totale contre les insurgés, puis par les lobbies de mémoire pour illustrer « la barbarie fellagha », Nicolas Sarkozy a parlé d’un « déferlement de haine et de violence, […] produit de l’injustice que depuis plus de cent ans le système colonial avait infligée au peuple algérien ». Il a rendu, enfin, un hommage appuyé aux Algériens qui combattirent pour la libération de la France pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu’il devait recevoir à son retour, hier soir à Paris, les associations de rapatriés et de harkis à l’occasion de la journée d’hommage qui leur est dédiée, l’entourage du chef de l’État se défend, sur cette question du passé colonial, de tout « double langage ». Et l’on affiche, à l’Élysée, la volonté d’ouvrir, après la remise des plans de mines par l’armée française il y a quelques semaines, la volonté d’ouvrir « d’autres » dossiers, comme celui de la dépollution des sites des premiers essais nucléaires français dans le Sahara. Rosa Moussaoui Les ambiguïtés jusqu'au bout du voyage en Algérie - l'Humanite Citer Link to post Share on other sites
icosiumus 10 Posted December 7, 2007 Author Partager Posted December 7, 2007 Algeriens!jugez ce clown! :crazy: :crazy: :crazy:bravo inter-net!des siecles qu'on attendait que ces traitres de jughurtha,payent!la tachtari al abda illa ouel assa maak!:mdr: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
yacoubm 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 :p :p :p Citer Link to post Share on other sites
icosiumus 10 Posted December 7, 2007 Author Partager Posted December 7, 2007 essemche qui ettal ,etkoul lel-insanne,aslouka,aslouka! :p :p :pmais un batard n'a pas de reference!:mdr: :mdr: Citer Link to post Share on other sites
yacoubm 10 Posted December 7, 2007 Partager Posted December 7, 2007 Tu es bien placé pour le savoir. :04: :04: :04: Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.