Jump to content

Amour fugace, t Amour fugace, tue j’éta


Recommended Posts

Guest D. ESSERHANE

Amour fugace, tendres baisers et Constantine

 

 

 

 

Elle, Constantine, c’était aussi une lycéenne

que j'ai rencontrée par hasard

pas spécialement belle, mais qui m’avait fendue

le cœur d'un simple regard.

 

Il faut dire parce que j’étais assez, fou, assez stupide pour qu’elle prenne le dessus

 

à notre au premier rendez vous

 

. Mais au fond, il me plaisait aussi son bel accent de Constantine que je trouvais mon goût

 

Elle était sublime et merveilleuse avec son rire moqueur qui résonne toujours dans mon cœur

 

. Elle m’aimait autant que je l’aimais. Je l’avais senti à sa façon de tenir mon col pour m’embrasser.

 

C’était drôle lorsqu’elle s’oubliait sur mes lèvres que je suffoquais.

 

Il faut dire qu’elle m’avait gâtée d’autant de baisers à notre premier et dernier rendez-vous.

 

Quel chagrin, que de pleures lorsqu’elle m’avait quittée.

 

Depuis, j’ai si horreur de la nuit

 

que je faisais de mon deuil

 

une façon bien à moi de noyer mes ennuis

 

Alors, je lui écrivais de mes larmes,

 

poème sur poème que je déchirais,

 

car je ne trouvais jamais les justes mots

 

pour la consoler.

 

Elle a été comme ça ma vie,

 

jusqu'à ce que j’ai pu l’oublier

 

O quelle était belle et ma chérie… !

 

Constantine était un amour fugace pleins de tendres baisers.

 

Didine RAYAN

Link to post
Share on other sites
Guest vanityfair

Amour fugace, tendres baisers et Constantine

 

 

 

 

Elle, Constantine, c’était aussi une lycéenne

que j'ai rencontrée par hasard

pas spécialement belle, mais qui m’avait fendue

le cœur d'un simple regard.

 

Il faut dire parce que j’étais assez, fou, assez stupide pour qu’elle prenne le dessus

 

à notre au premier rendez vous

 

. Mais au fond, il me plaisait aussi son bel accent de Constantine que je trouvais mon goût

 

Elle était sublime et merveilleuse avec son rire moqueur qui résonne toujours dans mon cœur

 

. Elle m’aimait autant que je l’aimais. Je l’avais senti à sa façon de tenir mon col pour m’embrasser.

 

C’était drôle lorsqu’elle s’oubliait sur mes lèvres que je suffoquais.

 

Il faut dire qu’elle m’avait gâtée d’autant de baisers à notre premier et dernier rendez-vous.

 

Quel chagrin, que de pleures lorsqu’elle m’avait quittée.

 

Depuis, j’ai si horreur de la nuit

 

que je faisais de mon deuil

 

une façon bien à moi de noyer mes ennuis

 

Alors, je lui écrivais de mes larmes,

 

poème sur poème que je déchirais,

 

car je ne trouvais jamais les justes mots

 

pour la consoler.

 

Elle a été comme ça ma vie,

 

jusqu'à ce que j’ai pu l’oublier

 

O quelle était belle et ma chérie… !

 

Constantine était un amour fugace pleins de tendres baisers.

 

Didine RAYAN

 

C'est très joli didine...Ta sensibilité transparait...

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...