batoul2003 10 Posted May 17, 2011 Partager Posted May 17, 2011 LA TROMPERIE DE L'EVOLUTION Chaque détail dans cet univers est le signe d'une création supérieure. A l'inverse du matérialisme, qui cherche à nier la réalité de la création dans l'univers, et qui n'est en fait qu'une tromperie qui n'a rien de scientifique. Une fois le matérialisme infirmé, toutes les autres théories fondées sur cette philosophie deviennent caduques. La principale parmi ces dernières n'est autre que le darwinisme, autrement dit, la théorie de l'évolution. Cette théorie, qui soutient que la vie est née de la matière inanimée par pure coïncidence a été démolie par la reconnaissance que l'univers a été créé par Allah. C'est Allah Qui a créé l'univers et qui l'a conçu dans le moindre détail. De ce fait, il est impossible que la théorie de l'évolution, qui soutient que les êtres vivants n'ont pas été créés par Allah mais sont le produit de coïncidences, soit vraie. La théorie de l'évolution ne résiste ni à l'analyse ni aux dernières découvertes scientifiques. La conception de la vie est extrêmement complexe et étonnante. Dans le monde inanimé, par exemple, nous pouvons explorer la fragilité des équilibres sur lesquels reposent les atomes et plus loin, dans le monde animé, nous pouvons observer la complexité de la conception qui a pu unir ces atomes et comment sont extraordinaires les mécanismes et les structures telles que les protéines, les enzymes et les cellules, qui en sont issues. Cette conception extraordinaire de la vie a réfuté le darwinisme à la fin du 20ème siècle. Nous avons traité ce sujet, en plein détail, dans certaines de nos autres études et nous continuons toujours à le faire. Cependant, nous pensons qu'en raison de son importance, il serait utile de résumer ce qui a été avancé. L'effondrement scientifique du darwinisme Bien que cette doctrine remonte à la Grèce antique, la théorie de l'évolution n'a été largement promue qu'au 19ème siècle. Le développement le plus important qui a irrésistiblement propulsé cette théorie comme sujet majeur dans le monde scientifique est la publication en 1859 du livre de Charles Darwin intitulé L'origine des espèces. Dans ce livre, Darwin a nié que les différentes espèces vivantes sur terre aient été créées séparément par Allah. Selon Darwin, tous les êtres vivants auraient un ascendant commun et se seraient diversifiés à travers le temps suite à de petits changements. La théorie de Darwin n'est basée sur aucune découverte scientifique concrète ; comme il l'a lui-même admis, il ne s'agit en fait que d'une "hypothèse". De plus, comme il le reconnaît dans le long chapitre de son livre intitulé "Les difficultés de la théorie", cette théorie a échoué à donner des réponses aux plusieurs questions cruciales qui l'entourent. Darwin a donc investi tous ses espoirs dans les nouvelles découvertes scientifiques, qu'il espérait voir résoudre "les difficultés de la théorie". Cependant, contrairement à ses espérances, les découvertes scientifiques ont étendu les dimensions de ces difficultés. La défaite du darwinisme face à la science peut être résumée en trois points essentiels : 1) Cette théorie ne peut en aucun cas expliquer comment la vie a été produite sur terre ; 2) Il n'existe aucune découverte scientifique démontrant que les "mécanismes évolutionnistes" proposés par cette théorie aient quelque pouvoir pour se développer. 3) Les fossiles à notre disposition révèlent, tout à fait, le contraire de ce que suggère la théorie de l'évolution. Dans cette section, nous examinerons sommairement ces trois points essentiels. La première étape insurmontable : l'origine de la vie La théorie de l'évolution se base, en principe, sur le fait que toutes les espèces vivantes se sont développées à partir d'une cellule vivante unique qui est apparue sur terre il y a 3,8 milliards d'années. Mais la théorie de l'évolution ne peut répondre au fait de savoir comment une seule cellule a pu produire des millions d'espèces vivantes aussi complexes. Et si une telle évolution s'est vraiment produite, pourquoi les traces de cette évolution ne peuvent-elles être observées dans les archives fossiles ? Mais, tout d'abord, nous devons analyser le premier stade du processus évolutionniste présumé. Comment est apparue cette "première cellule" ? Comme la théorie de l'évolution nie la création et n'accepte aucune sorte d'intervention surnaturelle, elle entretient l'idée que "la première cellule" était accidentellement née suivant les lois de la nature, mais sans aucune conception préalable, ni plan, ni arrangement d'aucune sorte. Selon cette théorie, la matière inanimée doit avoir produit accidentellement une cellule vivante. C'est, hélas, une revendication incompatible avec les règles élémentaires des sciences biologiques. "La vie vient de la vie" Dans son livre, Darwin n'a jamais mentionné l'origine de la vie. Les connaissances scientifiques primitives de son époque étaient fondées sur la supposition que les êtres vivants avaient une structure très simple. Depuis les temps médiévaux, la génération spontanée est une théorie largement partagée. Elle affirme que des matières non vivantes s'associent pour former des organismes vivants. On croyait ainsi que les insectes naissaient des restes de nourriture et que les souris provenaient du blé. Des expériences intéressantes ont été conduites pour tenter de démontrer, en vain, la véracité de cette théorie. Du blé a été placé sur un chiffon sale dans l'espoir que des souris en sortent au bout d'un moment, mais sans succès. L'apparition de vers sur de la viande a, par contre, été considérée à tort comme une preuve de génération spontanée. Or, quelque temps plus tard, il est devenu manifeste que les vers n'apparaissaient pas sur la viande spontanément, mais y étaient transportés par des mouches sous forme de larves, invisibles à l'œil nu. D'autre part, durant la période où Darwin a écrit L'origine des espèces, l'idée que les bactéries pouvaient apparaître de la matière inanimée était largement partagée dans le milieu scientifique. Mais, cinq ans après la publication du livre de Darwin, la découverte de Louis Pasteur a réfuté cette croyance qui constituait la base de la théorie de l'évolution. Après une longue période consacrée à la recherche et l'expérimentation, Pasteur conclut de façon définitive : "La revendication que la matière inanimée peut produire la vie est enterrée dans l'histoire pour toujours."1 Les avocats de la théorie de l'évolution se sont longtemps opposés aux découvertes de Pasteur. Depuis lors, le développement de la science a révélé comment était complexe la structure de la cellule d'un être vivant, et l'idée que la vie puisse naître accidentellement se trouve dans une impasse plus grande encore. Les efforts peu concluants du 20ème siècle Le premier évolutionniste qui s'est intéressé à la question de l'origine de la vie au 20ème siècle fut le célèbre biologiste russe, Alexandre Oparin. Il proposa diverses thèses dans les années trente pour tenter de prouver que la cellule d'un être vivant serait le fruit du hasard. Ces études, cependant, furent condamnées à l'échec et Oparin a dû faire la confession suivante : Malheureusement, l'origine de la cellule reste, en réalité, une question qui représente le point le plus sombre de toute la théorie de l'évolution.2 Les disciples évolutionnistes d'Oparin ont essayé de continuer les expériences pour résoudre l'énigme de l'origine de la vie. L'expérience la plus célèbre est celle du chimiste américain Stanley Miller en 1953. Lors de son expérience, il associa les gazes qui étaient censés exister dans l'atmosphère initiale de la terre, puis y ajouta de l'énergie. Miller réussit à synthétiser plusieurs molécules organiques (des acides aminés) présentes dans la structure des protéines. Mais il ne fallut que quelques années pour apprendre que cette expérience, qui avait alors été présentée comme un pas important achevé au nom de la théorie de l'évolution, devait être invalidée car l'atmosphère utilisée dans l'expérience différait largement de celle des conditions réelles de la terre.3 Après un long silence, Miller reconnut que les conditions atmosphériques mises en place n'étaient pas réalistes.4 Tous les efforts des évolutionnistes tout au long du 20ème siècle pour expliquer l'origine de la vie se sont soldés par des échecs. Jeffrey Bada, géochimiste de l'Institut Scripps de San Diego, le reconnaît dans un article qu'il publie dans le magazine Earth en 1998 : Aujourd'hui, alors que le 20ème siècle touche à sa fin, nous nous trouvons toujours face au plus grand problème non résolu et que nous avions toujours eu depuis le début du 20ème siècle : quelle est l'origine de la vie sur terre ?5 * texte de Harun Yahya (extrait fin de livre) les mensonges de l'évolution tous les livres de Harun Yahya sur son site officiel Citer Link to post Share on other sites
batoul2003 10 Posted May 17, 2011 Author Partager Posted May 17, 2011 La structure complexe de la vie La cause principale de l'impasse majeure dans laquelle se trouve la théorie de l'origine évolutionniste de la vie réside dans le fait que même les organismes vivants considérés comme les plus simples ont des structures incroyablement complexes. La cellule d'un être vivant est plus complexe que tous les produits technologiques développés par l'homme. Aujourd'hui, même dans les laboratoires les plus développés du monde, une cellule vivante ne peut pas être produite, en associant uniquement des matières inorganiques. Les conditions requises pour la formation d'une cellule sont trop importantes en terme de quantité pour pouvoir avancer l'idée de coïncidences et la retenir comme explication convaincante. La probabilité que les protéines, composantes de la cellule, soient synthétisées par hasard est de l'ordre de 1 pour 10950 pour une protéine moyenne composée de 500 acides aminés. En mathématiques, une probabilité de l'ordre de 1 sur 1050 est considérée comme relevant quasiment du domaine de l'impossible. La molécule d'ADN, qui se trouve dans le noyau de la cellule et qui stocke l'information génétique, est une banque de données incroyable. Selon les calculs établis, si l'information codée de l'ADN était retranscrite, on obtiendrait l'équivalent d'une bibliothèque géante composée de 900 volumes d'encyclopédies de 500 pages chacun. A ce stade, nous sommes confrontés à un dilemme très intéressant : l'ADN ne peut se reproduire qu'à l'aide de quelques protéines spécialisées (les enzymes). Et la synthèse de ces enzymes ne peut être obtenue qu'en utilisant l'information codée de l'ADN. Mais comme les uns dépendent des autres, ils doivent exister en même temps pour que la reproduction se fasse, et ce qui plonge dans une impasse totale le scénario de la vie produite par elle-même. Le célèbre évolutionniste, le professeur Leslie Orgel, de l'Université de San Diego en Californie, le reconnaît dans la publication du numéro de septembre 1994 du magazine Scientific American : Il est extrêmement improbable que des protéines et des acides nucléiques, tous les deux reconnus comme étant structurellement complexes, aient surgi spontanément au même endroit, et ce en même temps. Tout comme il semble impossible d'avoir l'un sans l'autre. Et donc, à priori, il est possible de conclure que la vie n'a jamais pu être le résultat de réactions chimiques.6 S'il est impossible que la vie soit apparue à la suite de causes naturelles, alors l'idée qu'elle a été "créée" de façon surnaturelle doit être admise. Ce fait contredit clairement la théorie de l'évolution dont le but principal est de nier l'idée de création. Les mécanismes imaginaires de l'évolution Le deuxième élément important qui remet en question la théorie de Darwin est que les deux concepts clefs de la théorie, considérés comme "les mécanismes évolutionnistes", n'avaient en fait aucune réalité évolutionniste. Darwin a entièrement fondé sa théorie de l'évolution sur le mécanisme de la "sélection naturelle". L'importance accordée à ce mécanisme ressort clairement de l'intitulé même de son livre : L'origine des espèces, au moyen de la sélection naturelle… Pour la sélection naturelle, les êtres vivants qui sont les plus forts et les mieux adaptés aux conditions naturelles de leur environnement sont les seuls à pouvoir survivre, et ce dans le cadre de ce qu'on appelle la lutte pour la vie. Ainsi, dans un troupeau de cerfs sous la menace d'animaux sauvages, seuls les plus rapides survivent. De ce fait, le troupeau de cerfs sera composé uniquement des individus les plus rapides et les plus forts. Mais il est incontestable que ce mécanisme n'entraîne aucune évolution du cerf et ne le transforme pas non plus en une autre espèce vivante telle que le cheval. Le mécanisme de sélection naturelle n'a donc aucun pouvoir évolutionniste. Darwin en était totalement conscient et a dû l'exposer dans son livre L'origine des espèces en disant : "La sélection naturelle ne peut rien faire jusqu'à ce que des variations favorables aient la chance de se produire."7 L'influence de Lamarck Comment ces "variations favorables" pourraient-elles ainsi se produire ? Darwin a essayé de répondre à cette question en se fondant sur la connaissance scientifique limitée de son époque. Selon le biologiste français Lamarck, qui vécut avant Darwin, les créatures vivantes transmettraient les caractéristiques acquises pendant leur vie à la génération suivante. Ces caractéristiques, qui s'accumulent d'une génération à une autre, entraîneraient la formation d'une nouvelle espèce. Selon Lamarck, les girafes, à titre d'exemple, auraient évolué à partir des antilopes ; ayant lutté pour manger les feuilles des grands arbres, leurs cous se seraient allongés de génération en génération. Darwin a aussi proposé des exemples similaires, et dans son livre L'origine des espèces, a affirmé, par exemple, que certains ours qui se rendaient dans l'eau pour trouver de la nourriture se seraient transformés en baleines avec le temps.8 Cependant, les lois de l'hérédité découvertes par Mendel et vérifiées ensuite par la science de la génétique, et qui se sont développées au 20ème siècle, ont complètement démoli la légende selon laquelle des caractéristiques seraient transmises aux générations suivantes. Ainsi, la théorie de la sélection naturelle est tombée en éclipse en tant qu'élément dans l'histoire de l'évolution. Le néodarwinisme et les mutations Pour trouver une solution, les darwinistes ont avancé l'idée de "la théorie synthétique moderne", plus communément connue sous le terme de "néodarwinisme", et ce à la fin des années 1930. A la sélection naturelle, le néodarwinisme a ajouté les mutations qui sont des altérations formées dans les gènes des créatures vivantes en raison de facteurs externes comme la radiation ou des erreurs de reproduction comme étant "la cause de variations favorables". Aujourd'hui, le modèle qui représente la théorie de l'évolution dans le monde est le néodarwinisme. La théorie maintient que des millions de créatures vivantes sur la terre se sont formées suite à un processus par lequel de nombreux organes complexes de ces organismes comme les oreilles, les yeux, les poumons et les ailes, ont subi "des mutations", c'est-à-dire des désordres génétiques. Pourtant, une évidence scientifique contredit cette théorie : les mutations n'aident pas les créatures vivantes à se développer, bien au contraire, elles leur toujours été nuisibles. La raison en est très simple : l'ADN a une structure très complexe et des changements aléatoires ne peuvent qu'avoir des effets destructeurs. C'est ce que nous explique le généticien américain, B. G. Ranganathan : Tout d'abord, les mutations sont infimes dans la nature, et secundo, elles sont à la plupart nuisibles vu leur caractère aléatoire., plutôt que des changements ordonnés de la structure de gènes ; n'importe quel changement aléatoire dans un système fortement ordonné ne sera que pour le plus mauvais, et pas pour le mieux bien sûr. Par exemple, si un tremblement de terre devait secouer une structure fortement ordonnée, comme le cas d'un bâtiment, il y aurait un changement aléatoire dans la structure de ce bâtiment, qui ne serait pas du tout une amélioration dans tous les cas.9 C'est sans surprise qu'aucun exemple de mutation utile, c'est-à-dire qui est censé développer le code génétique, n'a été observé jusqu'ici. Toutes les mutations se sont avérées nuisibles. Il a été observé que la mutation, qui est présentée comme "un mécanisme évolutif", n'est en réalité qu'une modification génétique qui nuît aux êtres vivantes et les handicape. (La mutation la plus célèbre chez l'être humain est le cancer). Un mécanisme destructif ne peut en aucun cas être "un mécanisme évolutif". Par ailleurs, la sélection naturelle "ne peut rien faire par elle-même" comme Darwin l'a aussi admis. Ceci nous montre qu'il n'existe aucun "mécanisme évolutif" dans la nature. Et puisque c'est le cas notamment, le processus imaginaire de "l'évolution" ne saurait se produire. Citer Link to post Share on other sites
batoul2003 10 Posted May 17, 2011 Author Partager Posted May 17, 2011 Le relevé des fossiles : aucune trace de formes intermédiaires La preuve la plus évidente que le scénario suggéré par la théorie de l'évolution ne s'est pas produit, n'est autre que les archives fossiles qui nous la fournissent. Selon la théorie de l'évolution, chaque espèce vivante est issue d'une espèce qui l'a précédée. Une espèce existante précédemment se métamorphose en quelque chose d'autre au cours du temps, et toutes les espèces sont venues en vie de cette façon. Selon cette théorie, cette transformation se met en place graduellement sur des millions d'années. Si cela avait été le cas, alors de nombreuses espèces intermédiaires auraient dû exister et vivre durant cette longue période de transformation. Par exemple, certaines espèces mi-poisson/mi-reptiles auraient dû exister dans le passé et acquérir des caractéristiques de reptiles en plus de celles de poissons qu'elles avaient déjà. Ou il aurait dû exister des oiseaux reptiles ayant acquis quelques caractéristiques d'oiseaux en plus des celles des reptiles qu'ils avaient déjà. Comme ils étaient dans une phase de transition, il devait alors s'agir de créatures vivantes déformées, déficientes et infirmes. Les évolutionnistes, qui se réfèrent à ces créatures imaginaires, pensent qu'elles ont vécu dans le passé en tant que "formes intermédiaires". Si de tels animaux avaient réellement existé, il devrait y en avoir des millions, voire des milliards en nombre et en variété. Plus important encore, il devrait exister des traces de ces étranges créatures dans le relevé des fossiles. Dans son livre, L'origine des espèces, Darwin l'explique : Si ma théorie est correcte, des variétés intermédiaires innombrables, liant intimement toutes les espèces du même groupe, devraient certainement avoir existé… Par conséquent, la preuve de leur existence précédente ne pourrait être retrouvée que parmi les restes de fossiles.10 Les espoirs de Darwin volent en éclats Cependant, malgré une recherche acharnée de fossiles dans le monde entier, depuis le milieu du 19ème siècle, les évolutionnistes n'ont pas retrouvé la moindre forme intermédiaire. Tous les fossiles retrouvés pendant la période des fouilles ont montré que, contrairement à ce qu'espéraient les évolutionnistes, la vie sur terre est bien apparue de manière soudaine et entièrement formée. Un célèbre paléontologue britannique, Derek V. Ager, l'admet bien qu'il soit lui-même un évolutionniste : Ce qui apparaît à l'examen minutieux des fossiles, que ce soit au niveau des ordres ou des espèces, n'est pas, à maintes reprises, l'évolution progressive mais l'explosion soudaine d'un groupe aux dépens d'un autre.11 Cela signifie que, selon les archives fossiles, toutes les espèces vivantes sont apparues de façon soudaine et entièrement formées, sans aucune forme intermédiaire. C'est exactement le contraire des suppositions de Darwin. Ce qui est la preuve déterminante que les créatures vivantes ont bien été créées. La seule explication à ce qu'une espèce vivante apparaisse de façon aussi soudaine et entièrement formée sans aucun ancêtre intermédiaire est que cette espèce a été créée. C'est également ce qu'admet le célèbre biologiste évolutionniste Douglas Futuyama : La création et l'évolution épuisent à elles seules les explications possibles sur l'origine des êtres vivants. Ou que les organismes sont apparus sur terre entièrement développés ou ils ne le sont pas. S'ils ne sont pas apparus entièrement développés, alors ils doivent s'être développés à partir d'espèces préexistantes grâce à un processus de modification. S'ils sont vraiment apparus entièrement développés, ils doivent en effet avoir été créés par une intelligence toute puissante.12 Les fossiles montrent que les créatures vivantes sont apparues sur terre dans un état complet et parfait. Cela signifie que "l'origine des espèces" est à l'opposé des suppositions de Darwin. Il s'agit non pas d'évolution, mais de création. La légende de l'évolution humaine Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l'évolution est celui de l'origine de l'homme. Les darwinistes prétendent que l'homme d'aujourd'hui s'est développé à partir de quelques créatures qui ressemblent au singe. Pendant le prétendu processus évolutionniste, que l'on suppose avoir commencé avant 4 à 5 millions d'années, il a été affirmé que certaines "formes intermédiaires" entre l'homme actuel et ses ancêtres existaient. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" de base sont dénombrées : 1. L'Australopithèque 2. L'Homo habilis 3. L'Homo erectus 4. L'Homo sapiens Les évolutionnistes appellent les premiers ancêtres prétendus des hommes, qui sont semblables aux singes, les "australopithèques", ce qui signifie "singes sud-africains". Ces êtres vivants n'étaient en réalité rien d'autre qu'une vieille espèce de singe qui s'est éteinte. La vaste recherche faite sur des spécimens d'australopithèques divers par deux anatomistes célèbres sur l'échelle mondiale, et qui sont originaires d'Angleterre et des Etats-Unis, Lord Solly Zuckerman et le professeur Charles Oxnard respectivement, a montré que ces espèces ont appartenu à une espèce de singe ordinaire qui s'est éteinte et n'avait aucune ressemblance avec les êtres humains.13 Dans leur classification, les évolutionnistes attribuent le terme "homo", c'est-à-dire "homme", pour désigner l'étape suivante de l'évolution humaine. Selon eux, les êtres vivants appartenant aux catégories de l'Homo sont plus développés que ceux de l'australopithèque. Les évolutionnistes conçoivent un schéma d'évolution imaginaire en organisant les différents fossiles de ces créatures selon un ordre particulier. Ce schéma est imaginaire parce qu'aucune relation évolutionnaire entre ces différentes classes n'a jamais été prouvée. Ernest Mayr, un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution au 20ème siècle, l'admet en disant que "la chaîne remontant à l'Homo sapiens est en réalité perdue."14 En schématisant la chaîne de liens de la façon suivante "Australopithèque => Homo habilis => Homo erectus => Homo sapiens", les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de la suivante. Mais les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis et l'Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde et pendant la même époque.15 De plus, un certain segment des humains faisant partie de la classe des Homo erectus a vécu jusqu'à des époques très récentes. L'Homo sapiens neandarthalensis (l'homme de Neandertal) et l'Homo sapiens sapiens (l'homme actuel) ont coexisté dans la même région.16 Cette situation indique apparemment l'impossibilité d'une lignée généalogique quelconque entre ces différentes classes. Stephen Jay Gould, un paléontologue de l'Université de Harvard, explique l'impasse dans laquelle se trouve la théorie de l'évolution, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste : Qu'advient-il de notre échelle si trois lignées d'hominidés coexistent (l'australopithèque africanus, l'australopithèque robuste et l'Homo habilis) et qu'aucune ne provient clairement d'une autre ? De plus, aucune des trois n'a montré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre.17 Bref, le scénario de l'évolution humaine que l'on cherche à soutenir à l'aide de divers dessins de quelques créatures "mi-singe/mi-homme" paraissant dans les médias et les livres scolaires, c'est-à-dire au moyen d'une propagande éhontée, n'est qu'une légende sans fondement scientifique. Lord Solly Zuckerman, un des scientifiques les plus célèbres et les plus respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout étudié, particulièrement, pendant 15 ans des fossiles d'australopithèques. Il a finalement conclu, malgré le fait qu'il est lui-même un évolutionniste, qu'il n'existe en réalité aucun arbre généalogique constitué de ramifications rattachant l'homme à des créatures semblables au singe. Zuckerman a aussi établi un intéressant "spectre de la science". Il a formé un spectre des sciences allant des disciplines qu'il considère comme scientifiques à celles qu'il considère comme non scientifiques. Selon le spectre de Zuckerman, les disciplines les plus "scientifiques", c'est-à-dire fondées sur une base de données concrètes, sont la chimie et la physique. Ensuite viennent les sciences biologiques suivies par les sciences sociales. A l'autre extrémité du spectre, qui est la partie considérée comme la "moins scientifique", se trouvent les perceptions extrasensorielles, dont font partie la télépathie et "le sixième sens", et enfin la théorie de "l'évolution humaine". Zuckerman en explique les raisons : Nous nous déplaçons alors directement du registre de la vérité objective dans ces champs de la science biologique présumée, comme la perception extrasensorielle ou l'interprétation de l'histoire des fossiles humains, où pour le fidèle (l'évolutionniste) tout est possible, et où le partisan ardent (de l'évolution) est parfois capable de croire en même temps à plusieurs choses contradictoires.18 La légende de l'évolution humaine ne repose que sur quelques interprétations préconçues à partir d'un certain nombre de fossiles déterrés par certaines personnes qui adhèrent aveuglément à leur théorie. Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Le relevé des fossiles : aucune trace de formes intermédiaires Je te présente Archéoptéryx. L'oiseau-reptile. Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Je te présente Archéoptéryx. L'oiseau-reptile. Ce qui est frappant chez l'archéoptéryx , c'est la présence de dents , un oiseau avec des dents Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Cependant, les lois de l'hérédité découvertes par Mendel et vérifiées ensuite par la science de la génétique, et qui se sont développées au 20ème siècle, ont complètement démoli la légende selon laquelle des caractéristiques seraient transmises aux générations suivantes. Première loi de Mendel: Les hybrides pour un caractère donné possèdent deux types de facteur (deux allèles) qui portent sur ce caractère. Lors de la formation de gamètes, les deux allèles se séparent et chaque gamète n'en contient qu'un (loi de la séparation ou de la ségrégation des allèles d'un même gène). Qui dit gamète, dit hérédité. Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Ce qui est frappant chez l'archéoptéryx , c'est la présence de dents , un oiseau avec des dents Justement, c'est une caractéristique reptilienne. Sinornis santensis, trouvé en Chine en 1987 possède: Un crâne reptilien. Un pied de type percheur avec hallux opposé (Le "pouce" de l'oiseau). Un petit bréchet. Une fusion partielle des doigts. Une ceinture scapulaire aviaire. Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Justement, c'est une caractéristique reptilienne. Sinornis santensis, trouvé en Chine en 1987 possède: Un crâne reptilien. Un pied de type percheur avec hallux opposé (Le "pouce" de l'oiseau). Un petit bréchet. Une fusion partielle des doigts. Une ceinture scapulaire aviaire. exact , d'ailleurs même les poulets ont gardé une caractéristique reptilienne sais-tu laquelle ? :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Narjess Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 exact , d'ailleurs même les poulets ont gardé un caractéristique reptilienne sais-tu laquelle ? :D Euh...ils pondent aussi des oeufs ?:crazy: Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Euh...ils pondent aussi des oeufs ?:crazy: Non ce n'est pas ça :D c'est les écailles présentent au niveau de leurs pieds Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 les mutations n'aident pas les créatures vivantes à se développer, bien au contraire, elles leur toujours été nuisibles. Pas forcément :31: Notre ADN est sujet à des mutations tous les jours. C'est dangereux si ça se répète au même endroit (Dans le cas du cancer, au delà de 6 ou 7 mutations). Sinon ça peut altèrer la fonction de la protéine finale ou la modifier ou rien faire. Sinon, vite fait. Très vite fait. L'ADN est constitué de parties codantes (Exons) et parties non-codantes (Introns). Les exons contiennent l'information nécessaire à la synthèse protéique. Les introns sont non-traduits (Fragments coupés lors de l'épissage). En gros, si une mutation survient sur les introns, on peut pas dire que c'est nuisible. Limite, si cette région joue un rôle "enhancer", activant la transcription, ça peut "ne pas encourager" le processus. Donc, il est complètement faux de dire que les mutations sont toujours nuisibles. Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 exact , d'ailleurs même les poulets ont gardé une caractéristique reptilienne sais-tu laquelle ? :D Les poules ont des dents ? :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Pas forcément :31: Notre ADN est sujet à des mutations tous les jours. C'est dangereux si ça se répète au même endroit (Dans le cas du cancer, au delà de 6 ou 7 mutations). Sinon ça peut altèrer la fonction de la protéine finale ou la modifier ou rien faire. Sinon, vite fait. Très vite fait. L'ADN est constitué de parties codantes (Exons) et parties non-codantes (Introns). Les exons contiennent l'information nécessaire à la synthèse protéique. Les introns sont non-traduits (Fragments coupés lors de l'épissage). En gros, si une mutation survient sur les introns, on peut pas dire que c'est nuisible. Limite, si cette région joue un rôle "enhancer", activant la transcription, ça peut "ne pas encourager" le processus. Donc, il est complètement faux de dire que les mutations sont toujours nuisibles. La mutation des virus les rend plus résistants n'est-ce pas , donc elle est bénéfique pour eux Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Les poules ont des dents ? :D Un peu de sérieux voyons :closedeyes: en plus j'ai donné la réponse plus haut, c'est les écailles qu'ils ont au niveau de leurs pieds Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Et la synthèse de ces enzymes ne peut être obtenue qu'en utilisant l'information codée de l'ADN.. Les prions se multiplient sans aucun acide nucléique :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Un peu de sérieux voyons :closedeyes: en plus j'ai donné la réponse plus haut, c'est les écailles qu'ils ont au niveau de leurs pieds Ah ! Tiens, c'est juste chez les poulets ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Pourquoi la baleine n'a pas juste une cuillère géante en guise de nageoire si ce n'est à cause d'une adaptation quelconque du squelette à la vie aquatique ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Ah ! Tiens, c'est juste chez les poulets ? C'est ce que je sais , mais je n'ai aucune idée quant à leur présence ou absence chez d'autres espèces d'oiseaux , ce qui est sûr c'est que celles des poulets sont les plus grandes et donc elles sont plus visibles Citer Link to post Share on other sites
Guest Narjess Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Les prions se multiplient sans aucun acide nucléique :D ispice de petit génie va, b'startek wipet ti m'epates:confused: L'autre Batoul, tu la remis à sa place lol... Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 ispice de petit génie va, b'startek wipet ti m'epates:confused: L'autre Batoul, tu la remis à sa place lol... Boah c'est pas vraiment de remettre El Batoul à sa place, mais de souligner les erreurs de l'article. Il y a beaucoup d'affirmations basées sur... rien. En fait, les créationnistes défendent la création de chaque espèce distincte par Dieu. Les évolutionnistes défendent religieusement leurs idées contre toute création. Je me demande pourquoi faut-il toujours les opposer l'un à l'autre ? Oui, peut-être qu'il y a Dieu pour avoir créé la vie. Mais faut-il absolument nier l'évolution des êtres ? Sommes-nous réellement immuables ? Citer Link to post Share on other sites
Guest Narjess Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Boah c'est pas vraiment de remettre El Batoul à sa place, mais de souligner les erreurs de l'article. Il y a beaucoup d'affirmations basées sur... rien. En fait, les créationnistes défendent la création de chaque espèce distincte par Dieu. Les évolutionnistes défendent religieusement leurs idées contre toute création. Je me demande pourquoi faut-il toujours les opposer l'un à l'autre ? Oui, peut-être qu'il y a Dieu pour avoir créé la vie. Mais faut-il absolument nier l'évolution des êtres ? Sommes-nous réellement immuables ? moi y un animal qui m'intrigue, c'est l'ornitorynx, c'est un mamifére avec un bec de canard et il pond des oeufs, c'est bizarre quand même:confused: Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 moi y un animal qui m'intrigue, c'est l'ornitorynx, c'est un mamifére avec un bec de canard et il pond des oeufs, c'est bizarre quand même:confused: C'est l'ornithorynque , il fait partie de l'ordre des monotrèmes , c'est des mammifères qui pondent des œufs :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Wipet Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 moi y un animal qui m'intrigue, c'est l'ornitorynx, c'est un mamifére avec un bec de canard et il pond des oeufs, c'est bizarre quand même:confused: C'est un monotrème ! Les seuls mammifères à être ovipares :D Lui et son cousin échidné. C'est pas joli tout de suite :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Narjess Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 C'est l'ornithorynque , il fait partie de l'ordre des monotrèmes , c'est des mammifères qui pondent des œufs :D Ca vaaaaa on peut se tromper nan :confused::whistling: Citer Link to post Share on other sites
Guest Black Hawk Posted May 19, 2011 Partager Posted May 19, 2011 Ca vaaaaa on peut se tromper nan :confused::whistling: Oui bien sûr :confused::D Citer Link to post Share on other sites
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