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Rapport Oxford Business Group 2011 / Economie algérienne : Un avenir brillant


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Dans son dernier rapport Intitulé «Algeria 2011», le cabinet international Oxford Business Group (OBG) écrit : «L’Algérie est promise à un avenir brillant en raison de son important programme de développement, sa production croissante en hydrocarbures, sa stabilité politique et son rôle dans le monde».

Dans son dernier rapport Intitulé «Algeria 2011», le cabinet international Oxford Business Group (OBG) écrit : «L’Algérie est promise à un avenir brillant en raison de son important programme de développement, sa production croissante en hydrocarbures, sa stabilité politique et son rôle dans le monde».

 

Ce rapport de 200 pages passe en revue tous les secteurs économiques de l’Algérie en évoquant les réformes introduites dans ce domaine, et illustré par des interviews du Président de la République, qui a mis en exergue «la nécessité vitale de diversifier l’économie». «Passant en revue les différents secteurs d’activité et leurs perspectives, Oxford Business Group affirme que «l’Algérie a su gérer la crise économique mondiale, assurer une stabilité politique et sociale, et il reste au gouvernement de s’appuyer sur les potentialités du pays pour mettre les fondations du développement qui permettront à l’économie de décoller au cours des prochaines années». Grâce à ses importantes réserves financières, «ce pays s’est lancé dans un ambitieux programme de développement tous azimuts qui permettra à son économie de décoller au cours des prochaines années», écrit OBG. La stabilité politique et sociale ont permis «une crédibilité» dans les réformes introduites progressivement, qui ont constitué la pierre angulaire de la politique du gouvernement durant les mandats du Président Bouteflika, qualifié «d’acteur majeur» dans le développement du pays au cours de ces dernières années, souligne encore le rapport d’OBG. Si le développement socioéconomique «probant» enregistré par l’Algérie au cours de cette décennie revient en grande partie aux revenus générés par le pétrole et le gaz, il n’en demeure pas moins que «la stabilité politique qu’a connue le pays depuis l’élection du président Abdelaziz Bouteflika a joué un rôle important dans la prospérité de l’Algérie», ajoute le rapport.

 

Le plan quinquennal 2010-2014 déchiffré

 

Dans le domaine économique, ce Cabinet met en exergue les projets entrepris par l’Etat dans le cadre du plan quinquennal 2010- 2014, doté d’une enveloppe de 286 milliards de dollars ainsi que les immenses possibilités offertes par l’Algérie en matière d’investissements. Le rapport mentionne, entre autres, l’effort entrepris par l’état dans le secteur de la construction, ou il est prévu la réalisation de 2 millions de logements à l’horizon 2014 pour répondre à la demande. Il insiste sur la consistance des projets dans les secteurs des Travaux publics et des Transports avec la réalisation d’autoroutes, de développement du réseau ferroviaire, de transfert d’eau, de dessalement d’eau de mer et d’énergies renouvelables, « autant de chantiers qui feront de l’Algérie un pays résolument tourné vers la modernité». Le marché algérien est encore largement inexploré et les investissements étrangers dans ce pays ne cessent d’augmenter d’année en année affirme OBG, soulignant les facilités accordées en matière d’investissements. «L’Algérie a fait réellement de grands progrès économiques durant les dernières années avec un taux de croissance de 5% par an», souligne OBG ajoutant que les prix du pétrole sur le marché international ont permis a l’Algérie de renforcer ses ressources financières, d’améliorer les équilibres de la balance extérieure et de traduire cette embellie sur la qualité de vie des citoyens.

 

Adda A (le financier)

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Dans son dernier rapport Intitulé «Algeria 2011», le cabinet international Oxford Business Group (OBG) écrit : «L’Algérie est promise à un avenir brillant en raison de son important programme de développement, sa production croissante en hydrocarbures, sa stabilité politique et son rôle dans le monde».

Dans son dernier rapport Intitulé «Algeria 2011», le cabinet international Oxford Business Group (OBG) écrit : «L’Algérie est promise à un avenir brillant en raison de son important programme de développement, sa production croissante en hydrocarbures, sa stabilité politique et son rôle dans le monde».

 

Ce rapport de 200 pages passe en revue tous les secteurs économiques de l’Algérie en évoquant les réformes introduites dans ce domaine, et illustré par des interviews du Président de la République, qui a mis en exergue «la nécessité vitale de diversifier l’économie». «Passant en revue les différents secteurs d’activité et leurs perspectives, Oxford Business Group affirme que «l’Algérie a su gérer la crise économique mondiale, assurer une stabilité politique et sociale, et il reste au gouvernement de s’appuyer sur les potentialités du pays pour mettre les fondations du développement qui permettront à l’économie de décoller au cours des prochaines années». Grâce à ses importantes réserves financières, «ce pays s’est lancé dans un ambitieux programme de développement tous azimuts qui permettra à son économie de décoller au cours des prochaines années», écrit OBG. La stabilité politique et sociale ont permis «une crédibilité» dans les réformes introduites progressivement, qui ont constitué la pierre angulaire de la politique du gouvernement durant les mandats du Président Bouteflika, qualifié «d’acteur majeur» dans le développement du pays au cours de ces dernières années, souligne encore le rapport d’OBG. Si le développement socioéconomique «probant» enregistré par l’Algérie au cours de cette décennie revient en grande partie aux revenus générés par le pétrole et le gaz, il n’en demeure pas moins que «la stabilité politique qu’a connue le pays depuis l’élection du président Abdelaziz Bouteflika a joué un rôle important dans la prospérité de l’Algérie», ajoute le rapport.

 

Le plan quinquennal 2010-2014 déchiffré

 

Dans le domaine économique, ce Cabinet met en exergue les projets entrepris par l’Etat dans le cadre du plan quinquennal 2010- 2014, doté d’une enveloppe de 286 milliards de dollars ainsi que les immenses possibilités offertes par l’Algérie en matière d’investissements. Le rapport mentionne, entre autres, l’effort entrepris par l’état dans le secteur de la construction, ou il est prévu la réalisation de 2 millions de logements à l’horizon 2014 pour répondre à la demande. Il insiste sur la consistance des projets dans les secteurs des Travaux publics et des Transports avec la réalisation d’autoroutes, de développement du réseau ferroviaire, de transfert d’eau, de dessalement d’eau de mer et d’énergies renouvelables, « autant de chantiers qui feront de l’Algérie un pays résolument tourné vers la modernité». Le marché algérien est encore largement inexploré et les investissements étrangers dans ce pays ne cessent d’augmenter d’année en année affirme OBG, soulignant les facilités accordées en matière d’investissements. «L’Algérie a fait réellement de grands progrès économiques durant les dernières années avec un taux de croissance de 5% par an», souligne OBG ajoutant que les prix du pétrole sur le marché international ont permis a l’Algérie de renforcer ses ressources financières, d’améliorer les équilibres de la balance extérieure et de traduire cette embellie sur la qualité de vie des citoyens.

 

Adda A (le financier)

 

ah bon ?! ben, c'est pour ça que les algériens sont contents et qu'ils sortent pas dans la rue alors, ça doit être la magnifique santé de l’économie algérienne. tout va bien madame la marquise alors !!! :closedeyes:

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The Report: Algeria 2011

 

Algeria is currently the second largest country in Africa (and will be the largest if, as is widely expected, Sudan splits into two countries) with a total landmass of 2.38m sq km.

 

The country is rich in natural resources, including substantial reserves of iron ore, coal, phosphates, uranium, zinc, lead, mercury and gold. Fossil fuels are the backbone of the economy, representing over 98% of exports, 60% of revenue and 40% of GDP.

 

Nevertheless, Algeria is still largely unexplored and foreign firms are increasingly investing in joint ventures with Sonatrach, the state-owned oil company, to further exploration and development of natural resources.

 

The country’s population is estimated at 35.6m inhabitants based on 2010 figures, with the majority concentrated in the north of the country. Approximately 70% of the population are Arabs, while Berbers make up around 30%. A vast majority of around 99% of the population is Sunni Muslim. Literacy rates are currently around 70% and women constitute the majority of enrolments in higher education at 54%.

 

The Report: Algeria 2011 | Oxford Business Group

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