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Sid Ahmed Ghozali sceptique sur les intentions du pouvoir


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Il parle de manoeuvre du pouvoir mais ne se gène pas de cautionner la mascarade en acceptant l'invitation.

 

Bonjour la crédibilité.

 

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TSA

Sid Ahmed Ghozali a été reçu ce dimanche 22 mai par l’instance de consultations sur les réformes politiques dirigée par Abdelkader Bensalah. « J’ai exprimé franchement ma position concernant ces consultations », a indiqué à TSA l’ancien Premier ministre à sa sortie de l’audience. « Si on veut avoir un bon remède, il faut bien diagnostiquer. Le problème ne réside pas dans les lois. Vous trouverez qu'il y a des partis autorisés par la loi mais interdits par le pouvoir. Donc pourquoi changer les lois ? Sauf si on veut interdire légalement ce qu'on a jusqu'ici interdit illégalement. Prenons par exemple le problème de la corruption, est-ce que vous pensez qu'il faut changer la constitution pour y remédier ? Le problème n'est pas là », a-t-il précisé.

 

« Comment peuvent-ils affirmer qu’ils veulent ouvrir les champs politique et démocratique pour faire face à la situation actuelle ?. Ce n’est pas raisonnable. Les champs politique et démocratique ont été ouverts par les lois depuis 1989 et la Constitution garantit ces droits aux Algériens », a-t-il ajouté. Pour lui, le pouvoir, à travers cette « manœuvre » des consultations sur les réformes politiques, « cherche à priver les Algériens de leurs droits de manière légale après l’avoir fait de manière illégale depuis quelques temps ». Sid Ahmed Ghozali estime que le problème en Algérie ne réside pas dans les lois mais dans leur application. « Ce que je reproche au pouvoir actuel est le fait de ne pas respecter la loi. On ne s'est pas donné l'occasion d'appliquer les lois, de connaître leurs faiblesses ».

« Je leur ai dit qu'il y a un pas de géant à faire (dans le cadre de cette commission): le respect de la loi en ajoutant un article à la Constitution : cette Constitution doit être respectée », ajoute l’ancien Premier ministre dont le parti est en attente d’agrément depuis plusieurs années. Avant de conclure : « Ceux qui ont été invités ou ceux qui vont être invités ne peuvent rien apporter en dissertant sur des projets dont je ne vois pas le lien avec l'état actuel du pays. Il faut situer d'abord où sont les vrais problèmes du pays. Je pense qu'ils sont dans le système lui-même qui a échoué. Il faut qu'ils le reconnaissent ».

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Guest Nimos

Les Algériens tant que nous nous plarireons dans l´admiration des jeux de clanismes et ghabawisme nous ne mériterons que les incompétents qui font offices d´épouvantailles.

 

A croire qu´on est soit maso ou amoureux de l´immobilisme á aimer lire et dire cool il l´ont bien eu....oubliant qu´il s´agit bien de la vie de nos enfants et petits enfants qu´ils ont "eue" parceque la notre nous avons choisi de la "gaspiller á admirer leur Clan et "Cabinet toilette noire"

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Il parle de manoeuvre du pouvoir mais ne se gène pas de cautionner la mascarade en acceptant l'invitation.

 

Bonjour la crédibilité.

 

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TSA

Sid Ahmed Ghozali a été reçu ce dimanche 22 mai par l’instance de consultations sur les réformes politiques dirigée par Abdelkader Bensalah. « J’ai exprimé franchement ma position concernant ces consultations », a indiqué à TSA l’ancien Premier ministre à sa sortie de l’audience. « Si on veut avoir un bon remède, il faut bien diagnostiquer. Le problème ne réside pas dans les lois. Vous trouverez qu'il y a des partis autorisés par la loi mais interdits par le pouvoir. Donc pourquoi changer les lois ? Sauf si on veut interdire légalement ce qu'on a jusqu'ici interdit illégalement. Prenons par exemple le problème de la corruption, est-ce que vous pensez qu'il faut changer la constitution pour y remédier ? Le problème n'est pas là », a-t-il précisé.

 

« Comment peuvent-ils affirmer qu’ils veulent ouvrir les champs politique et démocratique pour faire face à la situation actuelle ?. Ce n’est pas raisonnable. Les champs politique et démocratique ont été ouverts par les lois depuis 1989 et la Constitution garantit ces droits aux Algériens », a-t-il ajouté. Pour lui, le pouvoir, à travers cette « manœuvre » des consultations sur les réformes politiques, « cherche à priver les Algériens de leurs droits de manière légale après l’avoir fait de manière illégale depuis quelques temps ». Sid Ahmed Ghozali estime que le problème en Algérie ne réside pas dans les lois mais dans leur application. « Ce que je reproche au pouvoir actuel est le fait de ne pas respecter la loi. On ne s'est pas donné l'occasion d'appliquer les lois, de connaître leurs faiblesses ».

« Je leur ai dit qu'il y a un pas de géant à faire (dans le cadre de cette commission): le respect de la loi en ajoutant un article à la Constitution : cette Constitution doit être respectée », ajoute l’ancien Premier ministre dont le parti est en attente d’agrément depuis plusieurs années. Avant de conclure : « Ceux qui ont été invités ou ceux qui vont être invités ne peuvent rien apporter en dissertant sur des projets dont je ne vois pas le lien avec l'état actuel du pays. Il faut situer d'abord où sont les vrais problèmes du pays. Je pense qu'ils sont dans le système lui-même qui a échoué. Il faut qu'ils le reconnaissent ».

Ce n'est qu'un bahloul

.... il fallait le voir faire des courbettes

.... a Chadli

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Il parle de manoeuvre du pouvoir mais ne se gène pas de cautionner la mascarade en acceptant l'invitation.

 

Bonjour la crédibilité.

 

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TSA

Sid Ahmed Ghozali a été reçu ce dimanche 22 mai par l’instance de consultations sur les réformes politiques dirigée par Abdelkader Bensalah. « J’ai exprimé franchement ma position concernant ces consultations », a indiqué à TSA l’ancien Premier ministre à sa sortie de l’audience. « Si on veut avoir un bon remède, il faut bien diagnostiquer. Le problème ne réside pas dans les lois. Vous trouverez qu'il y a des partis autorisés par la loi mais interdits par le pouvoir. Donc pourquoi changer les lois ? Sauf si on veut interdire légalement ce qu'on a jusqu'ici interdit illégalement. Prenons par exemple le problème de la corruption, est-ce que vous pensez qu'il faut changer la constitution pour y remédier ? Le problème n'est pas là », a-t-il précisé.

 

« Comment peuvent-ils affirmer qu’ils veulent ouvrir les champs politique et démocratique pour faire face à la situation actuelle ?. Ce n’est pas raisonnable. Les champs politique et démocratique ont été ouverts par les lois depuis 1989 et la Constitution garantit ces droits aux Algériens », a-t-il ajouté. Pour lui, le pouvoir, à travers cette « manœuvre » des consultations sur les réformes politiques, « cherche à priver les Algériens de leurs droits de manière légale après l’avoir fait de manière illégale depuis quelques temps ». Sid Ahmed Ghozali estime que le problème en Algérie ne réside pas dans les lois mais dans leur application. « Ce que je reproche au pouvoir actuel est le fait de ne pas respecter la loi. On ne s'est pas donné l'occasion d'appliquer les lois, de connaître leurs faiblesses ».

« Je leur ai dit qu'il y a un pas de géant à faire (dans le cadre de cette commission): le respect de la loi en ajoutant un article à la Constitution : cette Constitution doit être respectée », ajoute l’ancien Premier ministre dont le parti est en attente d’agrément depuis plusieurs années. Avant de conclure : « Ceux qui ont été invités ou ceux qui vont être invités ne peuvent rien apporter en dissertant sur des projets dont je ne vois pas le lien avec l'état actuel du pays. Il faut situer d'abord où sont les vrais problèmes du pays. Je pense qu'ils sont dans le système lui-même qui a échoué. Il faut qu'ils le reconnaissent ».

 

 

 

et pourtant il a fait partie de ce pouvoir !

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Je pense

... qu'il n'ya que lui

... et Benyelles assez

... asservis aux chwawas

... pour etre acceptes par le vrai pouvoir

 

Mr Ladoz n'est pas loin de penser qu'il s'agit du successeur de Bouteflika :crazy::crazy:

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Ca serait un

.... bon alibi

.... et moins malin que Boutef

 

Bouteflika n'est pas éternel ...

Et personne ne semble mieux placé que Ghozali pour lui succéder car il aura pour lui le soutien des Américains , de bonnes relations avec le cabinet noir ....

 

Et son atout principal c'est qu'il s'est bien fait oublier en Suisse :mdr::mdr: donc il ne risque pas d'être mal accepté par le ghachi

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Guest Zancko
Bouteflika n'est pas éternel ...

Et personne ne semble mieux placé que Ghozali pour lui succéder car il aura pour lui le soutien des Américains , de bonnes relations avec le cabinet noir ....

 

Et son atout principal c'est qu'il s'est bien fait oublier en Suisse :mdr::mdr: donc il ne risque pas d'être mal accepté par le ghachi

 

Comment vois-tu l’Algérie sous Sid Ahmed Ghozali ?

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