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Histoire de Sidi bel abbés :Tribus du Grand Télagh !


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Les idrissides en Algérie en tout cas ce sont mélangés à des tribus hillalienne, zenete et même d'autre tribus arabe comme les Hamyannes et elle ont formés des tribus distinctes. Donc oui, il y a des tribus dit idrisside.

 

 

 

Il y a un des dialects arabe post hilalien et hilalien au Maghreb, renseigne toi et tu verra que l'Arabe de fès et différent de celui de Oujda par exemple.

 

 

Ps: Désolé Moudjahed pour le hors sujet.

 

bonsoir TLEMCENARAB , pas du tout c'est moi qui vous remercie d'avoir répondu à monsieur Felay ,

(son avatar me semble un peu salé )!

 

car nous sommes deux peuples musulmans et non ce qu'il insinue en tt les cas c'est mon opinion perso et c'ESt ce que j'en ai déduit .

REVENONS A NOTRE SUJET

 

effectivement dans notre région une pure tribu arabe idrissite a existait et existe maintenant dans une région de sidi bela bbées : je nomme les méhadja ou "quarante chechias" prés de oued mebtouh et m'cid.et el gaada prés de SFISEF .

 

DANS L'ORANIE EN 1830,par exemple :

 

il avait des Mehadja , tribu idrisside

Les dix fractions des Chorfa dits M'hadja :

 

les Ouled Sidi Blaha ,enfants de Sidi Saïd ,

les Ouled Sidi El Freïh,

et les Ouled Sidi Abderezak

 

Les Mehadja lors de l’avènement de l’émir ont

accordé La fatwa à l’émir Abdelkader pour le djihad.

 

certains étaient cadres de l’Etat de l’émir :

 

dont " Mohamed Benfreha Al Mahaji."

Les silos de l’émir Abdelkader furent chez les Mehadja .

 

 

dans notre topic ?

Il s'agit de restituer ce qui reste dans la mémoire collective et dans les documents sur la saga des TRIBUS ARABES OU ARABO BERBER ou berber et d'en faire les éléments du chantier de l'histoire de ceS TRIBUS et de contribuer ainsi à l'écriture de l'histoire de l'Algérie.

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Guest fellay
bonsoir TLEMCENARAB , pas du tout c'est moi qui vous remercie d'avoir répondu à monsieur Felay ,

(son avatar me semble un peu salé )!

 

car nous sommes deux peuples musulmans et non ce qu'il insinue en tt les cas c'est mon opinion perso et c'ESt ce que j'en ai déduit .

[/b]

 

je dois faire un petit hors sujet pour expliquer un peu mon avatar puisque tu l'a commenté:

 

"zouj bghal" est le nom du poste frontière entre le Maroc et l'Algérie, et je trouve qu'il porte bien son nom. si insinuation il y a, tu peux etre sûr qu'elle cible les états et aucunement les peuples.

 

parenthèse close

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bonsoir TLEMCENARAB , pas du tout c'est moi qui vous remercie d'avoir répondu à monsieur Felay ,

(son avatar me semble un peu salé )!

 

car nous sommes deux peuples musulmans et non ce qu'il insinue en tt les cas c'est mon opinion perso et c'ESt ce que j'en ai déduit .

REVENONS A NOTRE SUJET

 

effectivement dans notre région une pure tribu arabe idrissite a existait et existe maintenant dans une région de sidi bela bbées : je nomme le méhadja ou "quarante chechias" prés de oued mebtouh et m'cid.

 

bonsoir Moudjahed

 

Ok il y a pas de souci akhi

 

Ah d'accord je connais les tribus Idrisside de la wilaya de Tlemcen mais pas ceux de sidi-bel-abbés

 

Vous pouvez me tutoyer. :)

 

Si il y a plus d'info sur ces tribus idrisside de sidi-bel-abbès je suis preneur.

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Arrête de dire des sottises qui n'ont ni queue ni tête PX-25. ;)

 

En plus des hillaliens de très nombreuses tribus alliées à cette première sont venu s'installer dans l'Ouest Algérien.

 

D'autre ont continués plus vers l'ouest au Maroc et jusqu'en Mauritanie. Le nier est une aberration.

 

 

je ne voudrais pas faire de hors sujet, donc on en discutera de cette arabisation sur un autre topic. ;)

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Guest Frontalier

 

 

 

Au Maroc Les tribus établies au Maroc accordent plus d’importance à la dimension cultuelle de leur attachement à Sidi Yahia. Par exemple, le Saint gardien de la ville de Oujda est Sidi Yahia à quelques kms (05) de la frontière algérienne

 

- 2- Les khelayfas ou ouled sidi khelifa

 

- 3-les Oulad Belagh, De Dhaya (ex bossuet) à sidi ali benyoub (chanzi )les Beni-Mathar et les autres tribus des Ahl Angad-Ech-Cheraga jusqu’à titen yahia , oued sebaa et ain beni methar .

 

dhaya, ex (Bossuet) fut L’ancienne Sidi-bel-Khéradji » terre de l’ancêtre des aieux de ma mére les kharadji ou ouled sidi bel kharadj , premiers autochtones de la région , bien avant ouled balegh.

 

 

-4- Les Beni-Mathar se divisent en deux grandes fractions : les Ouled-Amran et les Ouled Attia.

 

Une fraction des Ouled Attia porte encore de nos jours le nom de Ouled-Zyane en souvenir d’une alliance avec le roi yaghmoracen de tlemcen qui leur offrit le pays de l’oued Messoulane au Sud-est de Dhaya, marhoum et sidi chaib où ils vivent aujourd’hui, et qui était occupé à cette époque par les Ouled-sidi Chaïb.

 

- 5- les Ouled nhar dans l’oued sbaa , ras el maa,hassaiba et le gor : on rencontre les ouled sidi yahia ben sfia enehari ou ould nhar .

 

 

 

Bonjour,

 

J'ai lu ce long texte et il est parfois difficile de suivre le labyrinthe de ces tribus.

Si vous avez une carte de la région, il sera plus facil de voir clair.

 

J'ai soulevé quelques points que j'aimrais bien que vous nous donnez plus de précisions

 

 

Au Maroc Les tribus établies au Maroc accordent plus d’importance à la dimension cultuelle de leur attachement à Sidi Yahia. Par exemple, le Saint gardien de la ville de Oujda est Sidi Yahia à quelques kms (05) de la frontière algérienne

 

.

 

Vous avez cité Sidi Yahya en Algérie et de Sidi Yahya d'Oujda ? Quel est le lien ?

 

 

 

- 3-les Oulad Belagh, De Dhaya (ex bossuet) à sidi ali benyoub (chanzi )les Beni-Mathar et les autres tribus des Ahl Angad-Ech-Cheraga jusqu’à titen yahia , oued sebaa et ain beni methar .

 

dhaya, ex (Bossuet) fut L’ancienne Sidi-bel-Khéradji » terre de l’ancêtre des aieux de ma mére les kharadji ou ouled sidi bel kharadj , premiers autochtones de la région , bien avant ouled balegh.

.

 

De l'autre côté de la frontière il ya les tribus arabes " Ahl Angad leghraba" qui se considèrent comme cousins des "Ahl Angad Ech chrarga" de l'Algérie. La frontière les a séparés. Il s'agit des deux pricipales tribus "Mzaouir" et " Mhaya". Les Mzaouir sont localisés entre la frontière algérienne et à quelques Km au nord d'Oujda. Les Mhaya sont localisés au sud et à l'ouest d'Oujda. Ils constituent l'essentiel de la population de la ville d'Oujda. La plaine d'Angad du côté marocain était toujours le lieu de bataille entre les Mhaya et les Zénètes Béni Znassen pour le contrôle de la région. Quand un contribule des Mhaya a assassiné le chef des Beni Snassen originaire de Mascara, les Mhaya ont été bannis par les Beni Znassen pour aller se réfugier dans l'Angad Algérien chez leurs cousins. Ils ne sont revenus que plusieurs années aprés qu'ils ont acceptés leur soummission aux Béni Znassen. Je vous donnerai l'ancêtre des Mhaya et des Mzaouir quand j'aurais le temps d'aller chercher la référence.

 

Si ça vous intéresse, je pourrais vous renseigner sur toutes les tribus Arabes installées d'ans l'Est du Maroc par les Zianides et les Mérinides . Ces arabes que les Zianides , les Mérinides mais aussi les dynasties suivantes ont permis l'occupation définitive de ces plaines afin d'assurer la sécurité des caravanes qui venaient d'Algérie pour aller à Fès au Maroc. Cette route s'appellait " Tri9 essoultane = la route du Sultan".

 

Concernat les Beni Mathar, est ce qu'il s'agit de la tribu arabe des Beni Mathar au sud d'Oujda ou une autre qui est en Algérie ?

 

 

Merci

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Les Ouled Ali

"

El Gaâda est peuplé au XIXe siècle par une fraction de la tribu des Ouled Ali, les Ouled Ali Maadja[8]. Les Ouled Ali appartiennent à la confédération des Beni Amer, d'ascendance hilalienne, dont l'histoire est assez bien connue.

 

Les tribus arabes des Banou Hilal envoyées en 1051/1052 dans l'Ifriqia (Tripolitaine et Tunisie actuelles) par les califes fatimides en réprésaille contre El Moezz, prince Sanhadja et gouverneur de cette province qui avait pris le parti des Abbassides, déferlent d'abord en Ifriqiya dont ils prennent le contrôle, puis dans le Maghreb central[9]. Leurs fractions Zoghbiennes, et parmi elles, les Beni Amer dont sont issus les Ouled Ali, nomadisent aux XIIe et XIIIe siècles du djebel Amour (alors nommé djebel Rached) au M'zab[10], et tiennent leurs quartiers d'été dans la région du Hamza (vaste plaine au sud du Djurdjura) , où ils s'approvisionnent en grains[11].

 

Au XIIIe siècle, les Beni Amer vont tirer profit de l'ascension de la tribu berbère des Abd el Wadites qu'ils côtoyaient au désert, et sont attirés dans les environs de Tlemcen par Yaghmoracen, fondateur de la dynastie abd el Waddite[12]. Les tribus Beni Amer jouent alors un rôle politique de premier plan, certaines de ces tribus combattant pour les Abd el Wadites, et d'autres pour les Mérinides de Fès[13] et leur puissance leur permet de s'installer au XIVe siècle dans le Tell oranais et de le contrôler[14].

 

L'entrée au Maghreb au XVIe siècle de deux puissances technologiquement mieux équipées, l'Espagne, puis l'Empire ottoman, va réduire, puis annuler, leur prestige[15]. Ils connaissent parallèlement une évolution culturelle, assimilant des groupes berbères sédentaires, réduisant peu à peu leurs activités de grand nomadisme (même si, au XIXe siècle, ils vivent encore sous la tente), gagnant la réputation de bons agriculteurs, marqués progressivement au plan religieux par l'influence du maraboutisme. Dans ce double mouvement historique et culturel, les Ouled Ali seront en première ligne: leur population est formée presque à moitié de fractions maraboutiques[16], et installés au début du XVIe siècle dans la plaine du Tlélat, au plus proche des Espagnols qui ont conquis Oran en 1508, ils sont parmi les premiers des Beni Amer à devoir leur faire allégeance en 1523[17]. Cette situation ne dut guère leur plaire, car ils se replient vers 1550 dans les massifs montagneux du Tessalah[18], et ne participent guère aux alliances de circonstance passés entre diverses tribus Beni Amer et les Espagnols, qu'ils se contentent de ravitailler[19].

 

Le jeu complexe des Turcs et des Espagnols avec les diverses fractions de Beni Amer, va se retourner un temps contre les Ouled Ali: le bey de Mascara Youssef, fils du bey Bou Chelagham (+1735 à Mostaganem) et d'une Ouled Zaer (tribu Beni Amer des environs de l'actuelle Aïn Témouchent) favorise à leurs dépens les Ouled Abdallah (autre tribu Beni Amer), et ils doivent renoncer, après quelques années de lutte, à leurs terres au nord du Tessala, ce qui les conduit à se rapprocher des Turcs pour tenter de les récupérer[20]. L'heure sonne alors de la fin de la relative indépendance des Beni Amer, et parmi eux, des Ouled Ali: les tribus deviennent raïas (c'est à dire soumises à l'impôt) à la fin du XVIIIe siècle et sont organisées en deux aghaliks. Ceci explique sans doute que les Beni Amer participent à la révolte Derkaoua contre les Turcs menée par Abd el Kader ben Ech Cherif en 1803. Ils sont écrasés en 1805 au pied du Tessala par le bey Mekallech [21].

 

Après la prise d'Alger par les Français en 1830, les Ouled Ali ont-ils participé, à l'instar des Hachem de la région de Mascara, à la proclamation, en 1832, de Hadj Abd el-Kader comme leur sultan dans la plaine d'Eghris (plaine au sud de Mascara) ? Les auteurs sont partagés sur la question, mais la plupart d'entre eux considèrent que les Beni Amer ont participé avec les Hachem à l'évènement. Malgré leur refus de payer l'achour (impôt religieux) dès que la paix est retrouvée à la suite du traité Desmichels en 1834, Abd el Kader les ménage, en reconstituant leur unité dans un aghalik des Beni Amer[22]. La reprise des hostilités, et la première campagne de Bugeaud en Oranie (1836-37) conduit les Ouled Ali à se soumettre en 1836, acte de peu de conséquence, puisque le traité de la Tafna en 1837 les intègre dans l'Etat d'Abd el Kader[22]. Leurs troupes irrégulières à la disposition d'Abd el Kader représentent, d'après Daumas [23] 200 hommes à pied, et 300 cavaliers[24]. La reprise des hostilités en 1839 met les Beni Amer en première ligne, et les Ouled Ali sont deux fois sévèrement razziés en 1840 [25], et font leur soumission à la fin de 1842[26]. Ils ne participent pas, en 1845, à l'émigration au Maroc d'importantes fractions de la plupart des tribus des Beni Amer[27].

Relations orales[modifier]

 

Cet article doit être recyclé.

Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion.

 

Une grande famille idrisside s'installa sur ce site géographique et sera connue sous le nom d'Al Mahaja qui, après l'apparition du maraboutisme s'appellera Al Mahaja rab'ine chachias (Al Mahaja les 40 coupoles) selon la légende populaire régionale. Car beaucoup de ses imams auront droit chacun à son mausolée (goubba) et ses serviteurs (khoudem). Ces Mahaja sont considérés par les tribus installées dans l'Ouest algérien, et se considèrent eux-mêmes, comme des Chorafas dont l'arbre généalogique remonte à Hassan fils de sayida Fatima Zahra, fille de Mahomet, et de l'imam Ali ibn Abi Talib son gendre et cousin. Des arbres généalogiques circulent au sein de plusieurs fractions des ces Mahaja pour attester chacune de sa noblesse (nesbiya). [réf. nécessaire]

 

L'historien de l'Oranie et l'ancien maire d'Oran, Saddek Benkada, qualifie cette localité de « bosse culturelle » de l'Oranie pour son rôle historique dans l'éducation arabe et religieuse assurée par ses Oulama et chouyoukh de Zaouïas auprès des populations de l'Ouest algérien (Live ORAN Face à sa mémoire Page 87). Les familles originaires de cette localité, qu'on appelle Al Mahaja, s'affirment de souche noble (reconnus par les populations de la région comme nobles) et prétendent avoir des ancêtres remontant à Idriss II (le fondateur de la dynastie arabe, les Idrissides (788-985) الأدارس), par son fils Mohamed Ibn Idriss II et Ahmad fils de ce dernier , qui fonderont la première dynastie musulmane d’origine moyen-orientale.[réf. nécessaire]

 

Ces tribus se sont d'abord installées dans un lieu appelé aujourd'hui douar Al Aâraiba, situé à 4 kilomètres environ au sud (direction Bel Abbès) de l'actuelle El Gaada-centre ville (daïra de Zahana). Jusqu'à présent on continue de nommer les uns, les Al Mahaja el Fwaga (ceux qui habitent au sommet, à côté du premier lieu d'installation, c'est-à-dire le village des Swaihiya et ses environs) et les autres, les Al Mahaja el T'hata (ceux qui habitent plus bas sur le plateau d'El Gaada, à côté de la source dite Ain Afferd, aujourd'hui centre ville d'El Gaada). La tradition orale raconte que les Al Mahaja se sont installés dans cette région (actuel douar Al Aâraiba) à cause de l’eau douce de la rivière Ain Chorfa (Source des nobles).[réf. nécessaire]

 

"

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Guest fellay

Si ça vous intéresse, je pourrais vous renseigner sur toutes les tribus Arabes installées d'ans l'Est du Maroc par les Zianides et les Mérinides .

 

oui ca m'interesse!

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Bonjour,

J'ai lu ce long texte et il est parfois difficile de suivre le labyrinthe de ces tribus.

Si vous avez une carte de la région, il sera plus facil de voir clair.

Bonjour ; voici une carte de la région de sidi bel abbés en l'occurence :

"le grand Télagh

 

a-4.png

 

3-468f5.jpg

 

 

 

 

Vous avez cité Sidi Yahya en Algérie et de Sidi Yahya d'Oujda ? Quel est le lien ?

Car toutes les quobas sur tt l'afrique du nord se revendiquaient à cette confrérie le saint "sidi yahia "marquait ses déplacement par des sanctuaires repris ensuite par ses descendants ou ses ouailles de sa tribu ou alliés par le sang.

 

 

De l'autre côté de la frontière il ya les tribus arabes " Ahl Angad leghraba" qui se considèrent comme cousins des "Ahl Angad Ech chrarga" de l'Algérie. La frontière les a séparés. Il s'agit des deux pricipales tribus "Mzaouir" et " Mhaya". Les Mzaouir sont localisés entre la frontière algérienne et à quelques Km au nord d'Oujda. Les Mhaya sont localisés au sud et à l'ouest d'Oujda. Ils constituent l'essentiel de la population de la ville d'Oujda.

 

Merci pour la précision des ahl angad , c'est un plus dans la contribution

 

je soupçonnais çà et vous venez de le confirmer.

 

Si ça vous intéresse, je pourrais vous renseigner sur toutes les tribus Arabes installées d'ans l'Est du Maroc par les Zianides et les Mérinides .

 

Ces arabes que les Zianides , les Mérinides mais aussi les dynasties suivantes ont permis l'occupation définitive de ces plaines afin d'assurer la sécurité des caravanes qui venaient d'Algérie pour aller à Fès au Maroc.

 

Cette route s'appellait " Tri9 essoultane = la route du Sultan".

 

c'est avec plaisir !et vos info sont de taille et confirment l'essai historique .

 

Concernat les Beni Mathar, est ce qu'il s'agit de la tribu arabe des Beni Mathar au sud d'Oujda ou une autre qui est en Algérie ?

Merci

 

oui c'est la mm tribu qui etait éparpillée sur la route du sultan comme vous dites .

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bonjour moualim , avec tous mes respects ;pas du tout c'est le contraire ce qui s'est produit et pas seulement pour ces tribus mais toute la tamazgha est devenue berbero arabe et en plus elles se sont devenues arabophones avec le forcing des docteurs de la foi et autres intellectuels et savants parmi les conquérants et la suprématie de la langue arabe adoptée même par les juifs savants qui ont n'en fait un outil de traduction des sciences greques et latines ce qui a fait émerger la civilisation occidentale .

 

La preuve la berberité a reculée dangereusement si ce n'est quelques ilots montagnards ou ksours dans le sud.

Certes ! les noms des sources , villages ,hameaux ou territoires ont gardé leur nom berbère et je parle pour ma région.

perso j'en suis trés fier car mes propres terres se nomment farj taga et theghalimet prouvant l'appartenance primaire , mais que voulez vous ainsi est faite la vie et le monde !les conquérants se sont installés et ont tout modeler suivant leur mœurs , langue surtout par le biais de leur religion tolérante adoptée par les anciens autochtones berbères païens ou judaïques ou donatistes qui étaient écrasés et tyrannisés par les colons romains .

 

 

c'est la berberophonie qui recule, pas les berberité !

dis moi ce que tu sais et pense des AMARNAS

merci pour l'ensemble de tes écrits

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c'est la berberophonie qui recule, pas les berberité !

dis moi ce que tu sais et pense des AMARNAS

merci pour l'ensemble de tes écrits

bonsoir monsieur ADHAR , c'est juste merci pour la rectification

ce n'est plus globale !

car on ne pas faire l'extinction de toute une ethnie autochtone mm pendant des millénaire à moins qu'il n'eut un vrai génocide .

 

pour votre question ?

j'avance sans aucune prétentions , vu le manque de traces matérielles et sur seulement les documents colonialistes et l'oralité sans cesse malmenée ceci:

 

Le territoire de la tribu des Ouled-brahim, cercle et subdivision de Sidi-bel Abbés, province d'Oran, comprenant une superficie de quarante-six mille quatre vingt-onze hectares trente ares vingt-neuf centiares (46.091 h. 30 a. 29 c.) y compris la section des Amarna réunie à commune de Sidi-bel-Abbès qui est définitivement réparti entre les trois douars dont les noms suivent :MESSER-SIDI YAGOUB -TENIRA .

 

L'historique de cette fraction (LES AMARNAS )se rattache intimement à celui de la tribu dont elle est issue.

Soumise à la même époque à la France, elle participa à la révolte et à l'émigration de 1845- au Maroc .

Son retour tardif en Algérie n'ayant pas permis de la comprendre dans la reconstitution des Ouled-Brahim, ont du l'établir au sud de Sidi-bel-Abbés, sur des terres qui avaient été réservées pour le service de la colonisation et n'étaient point encore concédées.

 

Plus lard, lorsque l'autorité civile fut établie à Sidi-belÀbbès, ce territoire se trouva compris dans les limites du district, mais l'autorité militaire en conserva l'administration

 

d'aprés l'oralité locale Les amarnas sont UNE FRACTION DES OULED BRAHIM DE LA TRIBU MÈRE DES BENI AMEURS HILLALIEN

Leur territoire est l'actuelle périmètre de la ville de sidi belabbes et alentours au sud .

 

D'aprés les décrets français de délimitation et de réparation, les Ouled-Brahim ont une petite portion de leur territoire, connue sous le nom de fraction des Amarna, comprise dans le territoire civil de SIDI BEL ABBES .

 

Ces décrets fixent d'une manière définitive la délimitation du territoire des Ouled Brahim qui sera réparti en 3 Douars,sus cités plus une section, dite des Amarnas, rattachée dans les limites du district de la Commune de Sidi-bel-Abbès.

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Guest Frontalier

A propos de Sidi Yahya d'Oujda, voici ce que dit la tradition:

 

Sidi Yahya Ben Younes

 

Ce saint est "mokhfi", c'est-à-dire caché; nul ne connaît l'emplacement exact de sa tombe.

 

Abou Ahmed en Ghezali aurait écrit avoir lu dans le livre Hakim el Younani (le sage Grec) qu'Abou Yahya ben Younes était mort à Oujdaet y avait été inhumé. C'était un des pôles du monde; il adora Dieu pendant quatre-vingt ans dans le jeûne, le silence et la prière. Sa présence fait disparaître les lions qui infestaient les environs de la ville d'Oujda alors considérable. Sidi Yahya fut un précurseur; il était contemporain du Christ, mais il prédit la venue du prophète cinq cents ans avant sa naissance; il doit par conséquent être considéré comme musulman.

 

D'aprés les traditions locales, le saint passa sa ie auprés de Jésus, puis, étant devenu malade, ses compagnons le montèrent sur une chamelle et, quand il se sentit mourir, il leur demanda de creuser sa fosse là où l'animal s'arrêterait. Sidi Yahia expira au cours de ce voyage; la bête qui le protait s'arrêta à la source d'alimentation d'Oujda; il fut inhumé à côté. Les disciples qui l'accompagnaient ne lui élevèrent pas de monument; ils s'attachèrent au contraire à dissimuler sa tombe de peur que ses partisans ne cherchent à rapporter ces cendres en Syrie ou que ses ennemies ne tentent de le profaner; quant à eux ils restèrent prés de lui dans le Ghar el Houriate et continuèrent à adorer le seigneur.

 

Un lettré musulman d'Algérie, M. Mohammed ben Rahal, a émis l'opinion que le nom de Jean, fils de Jonas, était probablement celui d'un ancien Chrétien, qui aurait peut-être été l'êveque d'une ville édifiée à la place d'Oujda, seul point où la construction d'un centre important soit possible dans tous l'Angad.

 

Les juifs prétendent que Sidi Yahia est un des leurs saints injustement accaparé par lesmusulmans. Voici leur version:

Sidi Yahia était un juif de Castille, du nom de Rebbi Yahia Ben Doussa; il fut surnommé Ben Younes par les musulamns, lorsqu'il vint se fixer à Oujda au moment de la persécution d'Espagne commencée en 1391. N'yant pas d'eau pour faire ses ablutions avant la prière, il gratta le sol de ses mains et fit jaillir la source.

 

C'est ainsi qu'à Tlemcen juifs et musulmans vénèrent la Koubba de Sidi Yacoub. On peut encore citer un autre exemple curieux dans les Trara, près de Nédroma, où l'on montre chez les Beni Chaâbane le tombeau de Sidi Oucha ou Youcha (Josué). Le tombeau de Sidi Oucha se trouve dans la mosquée; le corps, auquel on attribue une taille gigantesque; dépasse le mur et vient finir à l'extérieur dans une haouita. On place généralemnt la sépulture de Josué à Kafr Karma Sephoris, Kafr Uzza, Halhoul ou Hébron, et il est bien certain qu'il n'st jamais venu dans la région de Nedroma. Les musulmans et les juifs des environs ont pourtant une conviction contraire, ils vont faire leurs dévotions au monument des Beni Chaabane. Les juifs qui peuvent pénétrer dans l'enceinte rapportent de la terre à leurs coréligionnaires.

 

Références:

1- L'Algérie légendaire

2- Basset

3- Mohammed Ben Rahal

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A propos de Sidi Yahya d'Oujda, voici ce que dit la tradition:

 

Sidi Yahya Ben Younes

 

Ce saint est "mokhfi", c'est-à-dire caché; nul ne connaît l'emplacement exact de sa tombe.

 

Abou Ahmed en Ghezali aurait écrit avoir lu dans le livre Hakim el Younani (le sage Grec) qu'Abou Yahya ben Younes était mort à Oujdaet y avait été inhumé. C'était un des pôles du monde; il adora Dieu pendant quatre-vingt ans dans le jeûne, le silence et la prière. Sa présence fait disparaître les lions qui infestaient les environs de la ville d'Oujda alors considérable. Sidi Yahya fut un précurseur; il était contemporain du Christ, mais il prédit la venue du prophète cinq cents ans avant sa naissance; il doit par conséquent être considéré comme musulman.

 

D'aprés les traditions locales, le saint passa sa ie auprés de Jésus, puis, étant devenu malade, ses compagnons le montèrent sur une chamelle et, quand il se sentit mourir, il leur demanda de creuser sa fosse là où l'animal s'arrêterait. Sidi Yahia expira au cours de ce voyage; la bête qui le protait s'arrêta à la source d'alimentation d'Oujda; il fut inhumé à côté. Les disciples qui l'accompagnaient ne lui élevèrent pas de monument; ils s'attachèrent au contraire à dissimuler sa tombe de peur que ses partisans ne cherchent à rapporter ces cendres en Syrie ou que ses ennemies ne tentent de le profaner; quant à eux ils restèrent prés de lui dans le Ghar el Houriate et continuèrent à adorer le seigneur.

 

Un lettré musulman d'Algérie, M. Mohammed ben Rahal, a émis l'opinion que le nom de Jean, fils de Jonas, était probablement celui d'un ancien Chrétien, qui aurait peut-être été l'êveque d'une ville édifiée à la place d'Oujda, seul point où la construction d'un centre important soit possible dans tous l'Angad.

 

Les juifs prétendent que Sidi Yahia est un des leurs saints injustement accaparé par lesmusulmans. Voici leur version:

Sidi Yahia était un juif de Castille, du nom de Rebbi Yahia Ben Doussa; il fut surnommé Ben Younes par les musulamns, lorsqu'il vint se fixer à Oujda au moment de la persécution d'Espagne commencée en 1391. N'yant pas d'eau pour faire ses ablutions avant la prière, il gratta le sol de ses mains et fit jaillir la source.

 

 

bonjour frontalier,

certaines légendes sont farfelues et j'ai déjà averti dans le préambule de ma contribution .

il ne faut pas les prendre comme argent comptant .

 

c'est facile de faire un délire sur un nom .

Exemple : yahia en musulman c'est aussi jean en chretien (ancien testament) c'etait aussi le nom de prophète cité dans le coran : yahia , zakaria etc

 

celui dont je parle est un aïeul par généalogie traditionnelle approximative héritée de père en fils en notre possession .

 

Ce nom antique est courant parmi toutes les ethnies et races humaines sémites ou de aryennes , pour les autres je ne sais pas .

 

wa allah houa el alem et dieu seul sait !

 

Et puis ce nom existe et différament prononcé dans toutes les écritures saintes c'est un nom ancien du temps de israélites premiers musulmans sur terre avant leur incrédulité .

comment vous le savez ! tous les prophète et apôtres envoyés par dieu sont venus prêcher l'islam .

Ce sont les hommes qui ont faillis et les premiers pécheurs étaient des hébreux .

 

ils ont fait exiler , assassiner , mépriser et railler leurs prophètes et la voix divine .

bonne journée monsieur .

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bonsoir monsieur ADHAR , c'est juste merci pour la rectification

ce n'est plus globale !

car on ne pas faire l'extinction de toute une ethnie autochtone mm pendant des millénaire à moins qu'il n'eut un vrai génocide .

 

pour votre question ?

j'avance sans aucune prétentions , vu le manque de traces matérielles et sur seulement les documents colonialistes et l'oralité sans cesse malmenée ceci:

 

Le territoire de la tribu des Ouled-brahim, cercle et subdivision de Sidi-bel Abbés, province d'Oran, comprenant une superficie de quarante-six mille quatre vingt-onze hectares trente ares vingt-neuf centiares (46.091 h. 30 a. 29 c.) y compris la section des Amarna réunie à commune de Sidi-bel-Abbès qui est définitivement réparti entre les trois douars dont les noms suivent :MESSER-SIDI YAGOUB -TENIRA .

 

L'historique de cette fraction (LES AMARNAS )se rattache intimement à celui de la tribu dont elle est issue.

Soumise à la même époque à la France, elle participa à la révolte et à l'émigration de 1845- au Maroc .

Son retour tardif en Algérie n'ayant pas permis de la comprendre dans la reconstitution des Ouled-Brahim, ont du l'établir au sud de Sidi-bel-Abbés, sur des terres qui avaient été réservées pour le service de la colonisation et n'étaient point encore concédées.

 

Plus lard, lorsque l'autorité civile fut établie à Sidi-belÀbbès, ce territoire se trouva compris dans les limites du district, mais l'autorité militaire en conserva l'administration

 

d'aprés l'oralité locale Les amarnas sont UNE FRACTION DES OULED BRAHIM DE LA TRIBU MÈRE DES BENI AMEURS HILLALIEN

Leur territoire est l'actuelle périmètre de la ville de sidi belabbes et alentours au sud .

 

D'aprés les décrets français de délimitation et de réparation, les Ouled-Brahim ont une petite portion de leur territoire, connue sous le nom de fraction des Amarna, comprise dans le territoire civil de SIDI BEL ABBES .

 

Ces décrets fixent d'une manière définitive la délimitation du territoire des Ouled Brahim qui sera réparti en 3 Douars,sus cités plus une section, dite des Amarnas, rattachée dans les limites du district de la Commune de Sidi-bel-Abbès.

 

 

 

Merci d'avoir pris la peine de répondre

et bonne continuation.

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Guest Frontalier

 

Envoyé par Frontalier

Concernat les Beni Mathar, est ce qu'il s'agit de la tribu arabe des Beni Mathar au sud d'Oujda ou une autre qui est en Algérie ?

Merci

 

 

 

 

oui c'est la mm tribu qui etait éparpillée sur la route du sultan comme vous dites .

 

 

Les Beni Mathar occupent le territoire autour de la petite localité Ras El Aïn (Berguent) au sud d'Oujda. Ils sont des Arabes et vivent sous la tente. Ils sont originiares des Ghenanma de l'oued Saoura: ils sont parents des Beni Mathar des environs de Saïda (Algérie). Ils sont affiliés aux Ahl Angad côté Maroc.

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bonjour tout le monde,

vous n'avez pas d'infos sur Ouled Sbaa installé a oued sabah dans la région de m'lata au nord de tassala.

et merci pour ce sujet.

 

Aparament c'est une branche des Dhouaouda. :p Je supose que ceux dont tu parle sont issue de ceux qui viennent de Biskra et dont le texte parle.

 

"Puis, au fil des alliances et des guerres avec les états locaux, les Hilaliens occupèrent plus de terres et gagnèrent plus de pouvoir.

 

Dans son livre "el îbar" (vol. 7), ibn Khaldoun nous raconte que la tribu Riah était la plus puissante des tribus des Beni Hilal et la plus nombreuse, et qu'elle était dirigée par le clan des Dhouaouda, enfants de Dhouad ibn Riah. Leur émir abu Serhan Messaoud ibn Sultan ibn Zimam ibn Rudaini ibn Dhouad ibn Merdes ibn Riah joua un rôle important à l'époque des Mouahiddine. Les branches Riah occupaient alors tout le pays qui s'étend du Djerid et Kairouan jusqu'au Zab, M'sila et Ouargla. Elles possédaient aussi des biens fonciers au Hodna, Béjaia et le Constantinois.

 

Ibn Khaldoun a aussi longuement parlé des Dhouaouda (et des branches tribales qui en découlaient : les Ouled Assakar ibn Sultan, les Ouled Mohamed ibn Messaoud ibn Sultan et les Ouled Sebâa Yahia ibn Sultan) car il a vécu pendant six années entières avec sa famille à Biskra sous leur protection, voyageant beaucoup et en contact permanent avec son ami Yakoub ibn Ali Dhouadi, l'émir de la tribu Riah à cette époque."

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Aparament c'est une branche des Dhouaouda. :p Je supose que ceux dont tu parle sont issue de ceux qui viennent de Biskra et dont le texte parle.

 

"Puis, au fil des alliances et des guerres avec les états locaux, les Hilaliens occupèrent plus de terres et gagnèrent plus de pouvoir.

 

Dans son livre "el îbar" (vol. 7), ibn Khaldoun nous raconte que la tribu Riah était la plus puissante des tribus des Beni Hilal et la plus nombreuse, et qu'elle était dirigée par le clan des Dhouaouda, enfants de Dhouad ibn Riah. Leur émir abu Serhan Messaoud ibn Sultan ibn Zimam ibn Rudaini ibn Dhouad ibn Merdes ibn Riah joua un rôle important à l'époque des Mouahiddine. Les branches Riah occupaient alors tout le pays qui s'étend du Djerid et Kairouan jusqu'au Zab, M'sila et Ouargla. Elles possédaient aussi des biens fonciers au Hodna, Béjaia et le Constantinois.

 

Ibn Khaldoun a aussi longuement parlé des Dhouaouda (et des branches tribales qui en découlaient : les Ouled Assakar ibn Sultan, les Ouled Mohamed ibn Messaoud ibn Sultan et les Ouled Sebâa Yahia ibn Sultan) car il a vécu pendant six années entières avec sa famille à Biskra sous leur protection, voyageant beaucoup et en contact permanent avec son ami Yakoub ibn Ali Dhouadi, l'émir de la tribu Riah à cette époque."

en faite j'ai juste pour info qu'il sont venus de Sakiya lhamra au sahara occidental et il n'était pas nombreux on les appelent ouled sbaa ou sbayiine ou sbayia, mais si la branche de dhouaouda c installé dans la plaine de mlata? je ne sais pa si il y'a une liaison.

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en faite j'ai juste pour info qu'il sont venus de Sakiya lhamra au sahara occidental et il n'était pas nombreux on les appelent ouled sbaa ou sbayiine ou sbayia, mais si la branche de dhouaouda c installé dans la plaine de mlata? je ne sais pa si il y'a une liaison.

 

A d'accord, je sais juste que le sahara était l'autoroute de l'époque on pouvait y faire de longue distance plus facilement pour des nomades. Mais je sais pas vraiment pour ta question.

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  • 8 months later...

merci pour l'histoire

 

( Suite )

On trouve bien avant eux !d’autres tribus anciennes du 1er ou 2eme contingent des conquérants Arabes (fatihines ) ou (mourabitines )au 9 ème siècle ou (Saadiens )au 12 ème siècle.

 

La majorité de celles du grand Télagh on font partie :

 

Les tribus des Ouled Sidi Yahia, Khleifa, M’hamid, H’malta, K’rarma, Blaiha, ; ouled fayed et Ouabed entre autres les ouled balegh et beni matehars .

 

Et autres Djaafras :

 

cette vaste confédération des Beni-Amer se partage en deux branches :-1-(les Thouama et -2-les Djaaffra-ben-Djaaffer)

 

les M’Hamid que constituent (les Ouled-Daoud et les Oulcd-Zeghir)sont des Djaaffra .

 

Les Djafra-ben-Djafeur ( tribu alliée à notre famille) vint s’établir au 14 ème siècle dans les bassins de la Mekerra, de la Tenira, et de l’oued Sefioun et hassi el abed.

 

à suivre !

 

merci pour cette contribution sur l'histoire de cette région .juste quelques questionnements:y a t il des ouvrages sur le saint Sidi Yahia,et quel est le lien entre les M'hamids et Ouled Sidi Yahia?

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  • 4 months later...

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