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SALAM

 

AIME POUR TON FRERE CE QUE T'AIME POUR TOI-MÊME

 

 

 

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

 

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

 

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits……. parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

 

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

 

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

 

Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

 

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

 

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.

 

 

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

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Guest mamicha
SALAM

 

AIME POUR TON FRERE CE QUE T'AIME POUR TOI-MÊME

 

 

 

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

 

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

 

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits……. parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

 

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

 

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

 

Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

 

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

 

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.

 

 

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

 

Magnifique histoire qui m'a donné la chair de poule. Si seulement, nous autres humbles créatures de Dieu, pouvions avoir la sagesse et la bonté de cet aveugle...Bien des peines seraient épargnées à l'humanité.

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SALAM

 

L'oeil

 

Ma mère n'avait qu'un seul oeil. Je la détestais... Elle était comme un fardeau. Elle cuisinait pour les élèves et les professeurs, pour apporter son soutien à la famille.

Mais il y a eu ce jour, pendant que j'étais en primaire, ma mère était venue me dire bonjour. J'étais si embarrassé. Comment pouvait-elle me faire sa ? Je l'ai ignorée, et je lui ai jeté un regard rempli de haine et je me suis enfui. Le lendemain, à l'école, un de mes camarades m'a dit : "heeee, ta mère n'a qu'un oeil !! ".

 

Je voulais me brûler tout entier.

Je voulais également que ma mère disparaisse !!

Donc je suis allé la voir ce jour, et je lui ai dit : "Si tu veux que je ris un peu, pourquoi tu ne meurs pas ???"

Ma mère n'a pas répondu...

Je n'ai pas eu le temps de penser, une seconde à ce que je disais, parce que j'étais sous l'emprise de la colère. Je m'en moquais éperdument de ses sentiments. Je voulais qu'elle s'en aille de cette maison, je ne voulais plus d'elle. Ainsi j'ai étudié très dur, et j'ai obtenu la chance d'aller à Singapour pour étudier.

Puis je me suis marié. Je me suis acheté moi-même, une maison. J'ai eu des enfants.

J'étais heureux de ma vie, de mes enfants, et de tout ce que j'avais. Jusqu'au jour où ma mère est venue me rendre visite. Elle ne m'avait pas vu depuis de très nombreuses années, et n'avait ni vu ses petits enfants. Quand elle est arrivée sur le pas de la porte, mes enfants se sont moqués d'elle, et moi, je l'ai accusée d'être venue sans être invitée !

Je lui ai hurlé : "Comment oses-tu venir chez moi, et faire peur à mes enfants !! DEGAGE D'ICI, MAINTENANT !!" Et à cela, ma mère a calmement répondu : "Oh, je suis désolée. J'ai dû me tromper de maison." et elle a disparu jusqu'à ce que je ne la voie plus.

 

Un jour, une lettre à propos d'une réunion scolaire, est venue à la maison, à Singapour.

J'ai menti à ma femme prétextant un voyage touristique. Après la réunion, je suis allé à la vieille cabane, simplement par curiosité. Mes voisins m'ont dit qu'elle était morte.

Je n'ai pas versé une seule larme. Ils m'ont donné une lettre qu'elle voulait que je lise :

 

"Mon cher fils, Je pense à toi tout le temps. Je suis désolé d'être venue à Singapour et d'avoir fait peur à tes enfants. J'étais si heureuse quand j'ai appris que tu venais ici pour la réunion scolaire. Mais je ne pourrais pas me lever du lit cette fois ci, pour venir te voir. Je suis désolée d'avoir été un fardeau constant pour toi, pendant que tu grandissais. Tu vois..... quand tu étais très petit, tu as eu un accident, et tu as perdu un oeil. En tant que mère, je ne supportais pas de te voir grandir avec un seul oeil. Alors je t'ai donné le mien. J'étais si heureuse de mon fils, qui grandissait et qui voyait un tout nouveau monde pour moi, à ma place, avec cet oeil.

Avec mon amour pour toi. Ta mère."

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  • 4 weeks later...

SALAM

 

 

 

A une époque lointaine où la Sagesse régnait en Asie, un Maitre et son disciple marchaient sur une des allées de gravier blanc d’un extraordinaire jardin Zen, où partout régnaient la beauté et l’harmonie.

Partout était l’équilibre des couleurs et des tons. Des papillons voletaient emplissant l’espace de leur nuance de bleu et de jaune. Quelques insectes pressés, passaient de fleurs en fleurs.

L’air ambiant était empreint d’une grande douceur et du parfum du jasmin bordant le chemin.

Le Maitre, malgré son grand âge, marchait d’un pas léger, à côté de lui, Chen-Yu, son disciple le plus avancé, qui le suit avec un plaisir évident plein de respect …

Ils allèrent ainsi jusqu’au moment où Chen-Yu rompit le silence.

"Mon Maitre, j’aimerai que vous me fassiez par de votre sagesse sur un point sur lequel je me questionne depuis plusieurs jours en venant dans ce merveilleux jardin"

Le Maitre, le regard plein de bonté, l’invita à poursuivre.

"Pourquoi la vie du commun des mortels n’est pas à l’image de ce merveilleux jardin"

Il appuya ses mots d’un geste de la main désignant l’espace autour de lui.

Le Maitre pris le temps d’arriver sur le banc de pierre où il avait coutume de venir méditer l’après-midi.

Après quelque seconde il dit :

"Mon bon Chen-yu, tu dis que ce jardin est parfait, mais je te le dis, il ne l’est pas… Il manque quelque chose pour qu’il le soit"

Le disciple examina autour de lui l’air surpris et ne vit rien qui ne puisse venir étayer les dires de son Maitre dont les affirmations étaient toujours fondées. Il connaissait son immense Sagesse et il savait qu’il avait raison.

"Maitre, avec votre autorisation, je vais m’en rendre ce jardin parfait"

"J’ai toute confiance en toi mon disciple, je te sais assez sage pour être à la hauteur de cette entreprise"

Chen-yu, l’âme légère et arborant un large sourire, partit à la recherche de ce qui rendait ce jardin imparfait, non sans avoir salué le vieil homme.

Le vieux Maitre avait sorti d’une de ses manches, un long rouleau dont il entreprit la lecture à voix haute.

Chen-yu pris du temps pour examiner tout le jardin, en long et en large.

C’est avec un grand plaisir qu’il ramena, presqu’une heure plus tard, dans une petite corbeille en osier, quelques feuilles et brindilles sèches.

Il s’approcha lentement de son Maitre et s’inclina devant lui.

"Mon Maitre, une fois encore vous aviez raison, je loue votre sagesse"

Il montra les quelques feuilles qui avait trouvé.

Le Maitre examina la corbeille puis regarda son disciple

"Mon bon Chen-Yu, tu t’es donné beaucoup de mal, je ‘ai vu à l’œuvre mais, je te le dis, ce merveilleux jardin n’est encore pas parfait"

"Mon Maitre, je puis vous l’assurer, j’ai fait le tour de ce jardin, il n’y a plus une feuille au sol, ni une seule brindille. Ce jardin est parfait. Cependant je connais votre sagesse et j’ai toute confiance en vous. Alors, une fois encore je pars œuvrer pour que ce jardin soit, cette fois, parfait."

"Tu as tout mes encouragements, vas !"

Chen-yu s’éloigna de son Maitre le sourire aux lèvres, non sans l’avoir salué de nouveau.

Il examina partout, souleva chaque branche de chaque fourré. Une longue demi-heure passa sans qu’il ne trouva rien mais il continua sa quête.

Au bout d’une heure, il revint souriant prêt de son maitre, heureux du travail qu’il avait fait. Il e salua avec respect

"Mon maitre, vous connaissez mon sérieux et je peux vous dire avec assurance qu’il n’y a plus dans ce jardin la moindre feuille jaunie au sol, ni la moindre brindille sèche. Je peux dire mon Maitre, que cet endroit ravirait Boudha lui-même"

Tout en disant cela il montra le butin qu’il avait ramassé : 2 minuscules feuilles jaunes !

"Mon bon Chen-Yu, je connais ton sérieux tu peux en être sur et je sais que si tu me dis que dans ce jardin il n’y a plus une feuille morte sur le sol ni la moindre brindille jaunies, je te crois, cependant mon apprenti, je te le dis, malgré toute ta bonne volonté et l’énergie que tu as déployé, ce jardin n’est toujours pas parfait !

Chen-yu examina autour de lui, un peu perdu.

" Mon apprenti, ne sois pas troublé, tu a acquis une grande sagesse depuis toute ces années que tu as passé en ma compagnie. Je sais que tu as la capacité de résoudre ce qui te semble un mystère. Réfléchies un instant, calme tes pensées et retrouve ton calme intérieur. Tu trouveras la réponse !"

Chen-yu se recueillit un instant jusqu’au moment où il arbora un immense sourire.

"Mon Maitre, votre Sagesse est infinie et l’humble disciple que je suis vous remercie pour la leçon d’aujourd’hui"

Le vieux sage parut satisfait en voyant s’éloigner de lui son apprenti qui marcha jusqu’à un magnifique saule.

Là, il fit quelque chose qui aurait horrifié les 3 jardiniers qui veillent chaque jour sur ce havre de paix.

Il saisit une branche et la secoua vigoureusement.

Le voyant faire, le Maitre Zen partit dans un rire tonitruant

Chen-Yu cessa que lorsqu’autour de lui, le sol fut couvert de feuille.

L’Ancien s’était levé de son banc et s’était rapproché de son apprenti.

"Quelle est cette folie que tu viens d’accomplir là mon bon Chen-Yu ?"

"Mon Maitre, la leçon de ce jour est extraordinaire et je vous en remercie"

"Quelle était-elle mon bon Chen-Yu ?"

"Maitre, j’ai compris qu’à l’image de la vie, ce jardin dois faire preuve d’un peu de désordre pour que l’harmonie céleste soit présente car la vie n’est pas un long fleuve tranquille"

"Un jour je te le dis, tu seras un bon Maitre"

Satisfait, le maitre invita son disciple à continuer la visite de ce jardin, maintenant, parfait.

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SALAM

 

Planter des arbres pour la postérité

 

C'était la saison des pluies de la mousson et un très vieil homme creusait des trous.

 

" Qu'est-ce-que vous faites là?" demanda son voisin.

 

" Je plante des manguiers" répondit-il.

 

" Vous attendez-vous à manger des mangues de ces arbres?"

 

" Non je ne vivrai pas assez vieux pour cela. Mais d'autres le feront. Il m'est venu la pensée, l'autre jour, que toute ma vie j'ai eu le plaisir de manger des fruits de manguiers plantés par d'autres. C'est ma manière de leur manifester ma reconnaissance."

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SALAM

 

 

J'ai commencé à sortir avec une femme… autre que ma femme...

 

 

 

Après 21 ans de mariage, j'ai commencé à trouver une nouvelle lueur d'amour.

 

Depuis un moment j'ai commencé à sortir avec une femme autre que ma femme et… c'était l'idée de ma femme qui m'a dit un jour : « Je sais très bien combien tu l'aimes ! »

 

La femme avec qui ma femme voulait que je sortais, était… ma mère… qui est devenue veuve depuis 19 ans mais…à cause des activités de la vie courante, mes trois enfants et d'autres responsabilités, je ne lui rendais visite que rarement.

 

Un jour je l'ai contacté et je l'ai invité à dîner… elle me demanda : « tu vas bien ? ». Elle n'était pas habituée à recevoir des appels de ma part à cette heure-ci.

 

 

Elle s'est inquiétée mais je l'ai rassurée : « Oui je vais très très bien mais je voulais passer un moment avec toi maman ».

 

 

« Nous deux, seuls ? » demanda t-elle ; elle a réfléchi un peu puis elle répondit : « Oui j'aime bien cela ! »

 

 

Jeudi, après le travail, je suis passé chez elle pour la prendre… j'avais un peu le trac…

 

 

En arrivant chez elle je l'ai trouvée aussi perturbée. Elle m'attendait devant la porte… dans une belle robe !

 

 

Il semble que c'était la dernière robe que mon père lui avait achetée… avant sa mort.

 

 

Avec un sourire angélique, maman me dit : « J'ai dit à tout le monde qu'aujourd'hui je vais sortir avec mon fils. Ils sont tous contents et ils attendent impatiemment ce que je vais leur raconter à mon retour. »

 

 

Nous sommes allés à un restaurant exceptionnel, calme et magnifique…ma mère tenait mon bras comme si elle était La Première Dame.

 

Nous étions assis, j'ai commencé à lire le menu car elle ne pouvait lire que l'écriture large.

 

 

Tandis que je lisais, elle me contemplait avec un large sourire sur ses lèvres ridées… elle m'a dit : « C'étais moi qui lisais pour toi quand tu étais petit »

 

 

Je répondis : « Le moment est venu pour te rendre un peu de ce que tu as fait pour moi. Ne te déranges donc pas maman »

 

 

On a beaucoup discuté pendant le dîner. Rien d'inhabituel mais… c'était de vielles histoires et de nouvelles…

 

 

Sans nous rendre compte, le temps s'est écoulé et nous n'avons pas remarqué que minuit fût passé.

 

 

A notre retour, devant sa porte elle me dit : « Je suis d'accord pour une autre sortie, mais cette fois-ci, ce sera moi qui vais payer! »… j'ai embrassé sa main et je l'ai saluée.

 

Quelques jours plus tard maman est décédée d'une crise cardiaque… cela s'est produit si vite que je n'avais pas eu le temps de lui faire quoi que ce soit.

 

Quelques jours après, j'ai reçu une lettre postée de la part du restaurant dans lequel nous avions eu ce dîné… avec une remarque écrite de sa propre main me disant : « J'ai payé d'avance car je savais que je ne serais pas là… l'essentiel, le repas est payé pour deux personnes, toi et ta femme. Tu ne pourras savoir l'importance de cette nuit pour moi …. je t'aime mon fils ! »

 

 

A ce moment là j'ai vraiment compris ce que signifie le mot « aimer » et… « je t'aime » et ce que signifie l'expression de cet amour pour l'autre.

 

Rien de plus important que les parents, surtout la mère… donne leur le temps qu'ils méritent.

 

Ceci est un droit Divin et leur propre droit et cela ne peut être reporté.

 

 

 

*****************

 

 

Après la lecture de cette histoire, je me suis rappelé l'histoire de celui qui demanda à Abdallah ibn Omar (qu'Allah soit satisfait de lui) :

 

« Ma mère est très âgée et ne peut plus bouger. Elle dépend complètement de moi. Je la porte partout même pour aller faire ses besoins et parfois elle ne peut se retenir et fais ses besoins sur moi alors que je suis en train de la porter ; Penses-tu que j'ai payé ma dette envers elle ? »

 

Abdallah ibn Omar lui répondit :

 

« tu n'as même pas payé une seule des contractions quand elle t'a mis au monde ! Car elle fait cela et tu lui souhaites la mort pour te délasser, alors que, quand tu le faisais tu étais petit et elle te souhaitait la vie »

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SALAM

 

 

LE CHOIX D'UNE EPOUSE

 

 

Un riche marchand avait deux épouses. Toutes les deux étaient d'une remarquable beauté .

 

Un voisin commença un jour à faire la cour à la première femme. Mais celle-ci le repoussa sans ménagement. Alors il se mit à courtiser la deuxième épouse, qui se laissa facilement séduire .

 

Peu de temps après, le marchand mourut. Le voisin, ayant décidé de fonder un foyer, demanda la main de la première femme.

 

Ses amis lui dirent:

 

— Pourquoi veux-tu te marier avec la première épouse qui t'a repoussé et humilié, au lieu de te marier avec la seconde épouse qui s'est montrée "gentille" avec toi?

 

L'homme répondit:

 

— Quand il s'agit de la femme d'un autre, on aime bien qu'elle se laisse facilement séduire . Mais quand il s'agit de sa propre femme, on aime bien qu'elle repousse toute proposition malhonnête. La deuxième épouse, qui a eu une liaison avec moi, ne manquera pas d'avoir d'autres liaisons avec d'autres hommes. Jamais je ne l'épouserai, car elle sera la femme de tout le monde. Par contre, avec la première épouse, je suis assuré de sa fidélité absolue. C'est pour cette raison que je l'épouserai.

 

 

Commentaire

 

Le raisonnement du voisin est tout imprégné de bon sens. Une femme malhonnête peut être choyée, adulée, mais seulement pendant quelque temps. Au moment du choix décisif, c'est immanquablement vers la femme honnête et sérieuse que se tournera l'homme.

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SALAM

 

 

 

 

 

Il n'est pas une brin d'air qu'il ne voit pas ....

 

 

 

Dans une salle de classe d'une école islamique, le professeur lance un défi à ses élèves : "Qui d'entre vous est capable de trouver une cachette ?"

 

Les élèves, amusés, relèvent le défi en pensant à la simplicité de la tâche. Mais le professeur précise un point essentiel à cette épreuve : Il y a une condition : Cette cachette ne devra être découverte par personne."

 

Les élèves ne se laissent pas perturber pour autant et assurent qu'ils réussiront à trouver une cachette à l'abri de tout regard. Quelque temps après, les élèves reviennent les uns après les autres, certifiant avoir bien trouvé une cachette... sauf un petit garçon qui arrive en pleurs.

 

Le professeur lui demande alors la raison de ces pleurs, et le petit garçon répond :

"Je n'ai pas pu relever le défi : S'il s'agit de trouver une cachette, j'en ai trouvé plusieurs, mais à chaque fois que je me souvenais de la condition à respecter, je me disais que cette cachette est impossible à découvrir, car je sais qu'il y a toujours une présence."

 

"Une présence ? Mais quelle présence ?" interroge le professeur.

L'élève dit : "Allah ! ! Comment faire pour me cacher d'Allah ? Lui Qui voit et entend tout !"

 

Le professeur lui demanda de sécher ses larmes et le félicita car c'est exactement ce qu'il attendait de ses élèves.

 

En effet cet enfant avait atteint ce qu'on appelle : "Le bel agir" (al-ihsan) qui consiste à adorer Allah comme si on Le voyait, car si on le voit pas, Allah, Lui nous voit.

 

Cet enfant avait toujours à l'esprit le verset 7 de la sourate 58, Al-Moujâdala, La discussion :

 

« Ne vois-tu pas qu'Allah sait ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Pas de conversation secrète entre trois sans qu'Il ne soit leur quatrième, ni entre cinq sans qu'Il n'y ne soit leur sixième, ni moins ni plus que cela sans qu'Il ne soit avec eux, là où ils se trouvent. Ensuite, Il les informera, au Jour de la Résurrection, de ce qu'ils faisaient, car Allah est Omniscient. »

 

Ainsi, si nous avions toujours en tête ce verset, nous éviterions de commettre des péchés.

 

A vous de tirer les conclusions utiles de cette histoire.

 

Qu'Allah nous guide !

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SALAM

 

La vie est courte

 

 

 

 

À la dernière minute,je me suis dépêchée de me rendre au magasin pour faire mes emplettes de L' Aïd. Quand j'ai vu tout le monde qu'il y avait,je me suis mise à maugréer, ronchonner.. ; "Je vais passer un temps interminable ici, alors que j'ai encore tant de choses à faire!"

L' Aïd commence vraiment à devenir une véritable corvée. Ce serait tellement bien de se coucher et de se réveiller seulement après...

Mais je me suis fais un chemin jusqu'au rayon des jouets et là, j'ai commencé à ronchonner de nouveau contre le prix des jouets, en me demandant si les enfants joueraient vraiment avec.

Je me suis donc retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui...

 

Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui:

 

 

"Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?"

 

La dame lui répondit avec un peu d'impatience:

 

"Tu le sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter".

Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques

minutes.Puis elle partit rapidement. Le petit garçon tenait toujours la poupée dans ses mains.

 

Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui

demandé à qui il voulait donner la poupée.

 

 

"C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour L' Aïd.Elle était sûre qu' une personne généreuse la lui apporterait"

 

 

Je lui dis alors que cette personne allait peut-être lui apporter

 

Il me répondit tristement :

 

"Non, personne ne peut aller là où ma petite soeur se trouve maintenant... Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte".Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.

"Elle est partie rejoindre Allah. Papa dit que maman va aller retrouver Allah bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur "

 

Mon coeur s'est presque arrêté de battre.

 

Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit :

 

"J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin. "

 

Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin,sur laquelle il tenait la poupée en me disant :

 

"Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle,comme ça,elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas,mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur".

 

Puis il baissa la tête et resta silencieux.

 

Je fouilla dans mon sac à mains, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon :

 

"Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? "

 

"OK " dit-il " Il faut que j'en ai assez "

 

Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.

Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: " Merci mon Dieu pour m'avoir donné assez de sous".

 

Puis il me regarda et dit : " J'avais demandé à Allah de s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière".

Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman,mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches... "

 

Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé.

 

Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon.

 

Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d' ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.

La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée.

La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur.

 

Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller au funérailles de la jeune dame.

 

Le petit garçon était là, souriant tenant une jolie rose blanche dans sa main,avec la poupée et sa photo dans le magasin. J'ai quitté le lieu en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours.

 

L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde,un conducteur ivre lui a tout enlevé...

 

 

"Inna' lilah wa inna' ilaïhy ra'djioune" (Nous appartenons à Allah et c'est vers lui notre retour)

La vie d'ici-bas n'est que jouissance trompeuse,la vie de l'au-delà est bien meilleure !

 

La vie est courte, ne perdons pas notre temps dans des futilités, rapprochons-nous du chemin d'Allah et faisons en sorte de bien utiliser le temps qu'il nous reste.

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  • 3 weeks later...

Discussion entre deux bébés...

 

 

Dans le ventre de la mère, deux bébés discutent. L’un est croyant l’autre non.

 

« Bébé-Athée : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?

 

- Bébé-Croyant : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Et nous sommes juste ici pour devenir forts et prêts pour ce qui nous attend après.

 

- BA : Tout ça c'est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement. Est-ce que tu peux t'imaginer toi, à quoi une telle vie pourrait ressembler ?

 

- BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.

 

- BA : Mais c’est du n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Et de cette autre vie, il n’y a encore eu aucun revenant. La vie se termine tout simplement par l’accouchement.

 

- BC : Non ! Je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler mais dans tous les cas nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

 

- BA : Maman ? Tu crois en maman !? Et où se trouve-t-elle ?

 

- BC : Mais elle est partout ! Elle est autour de nous ! Grâce à elle nous vivons, et sans elle nous ne sommes rien. Elle veille sur nous à chaque instant.

 

- BA : C’est absurde ! Tu l’as déjà vue toi ? Moi non plus ! C’est donc évident qu’elle n’existe pas. Et puis, si elle existait vraiment, pourquoi ne se manifeste-t-elle pas ?

 

- BC : Eh bien, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante... sentir quand elle caresse notre monde... Je suis certain que notre Vraie vie ne commence qu'après l’accouchement.

 

- BA : Moi je suis surtout convaincu qu'après l'accouchement il n'y a rien. Cela est tout simplement irrationnel. »

 

*

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  • 3 weeks later...

SALAM

 

Derrière tout mal se cache un bien: le roi et son conseiller

 

 

 

 

Il y avait très longtemps vivait dans un grand palais un Roi musulman. Il était toujours accompagné de son fidèle Conseiller, un homme très sage qui aimait Allah et qui donnait des conseils au Roi quand il avait des problèmes.

 

A chaque fois qu'un malheur arrivait au Roi, le Conseiller le consolait en lui disant :

 

" Ce n'est pas grave, Roi, c'est un bien d'Allah ! ".

 

Le roi ne comprenait pas toujours et il lui arrivait de se fâcher. Un jour, en allant à la chasse, le Roi se blessa et perdit 3 doigts. Tout le monde criait

 

" Quel malheur !! Pauvre Roi !! "

 

Sauf le Conseiller qui s'approcha du Roi et lui dit :

 

" Mon Roi, ne pleurez pas comme ça ! Ce n'est pas trop grave, il vous reste encore des doigts ; c'est un bienfait d'Allah !! "

 

Le Roi avait très mal et se mit très en colère :

 

" Conseiller ! Tes paroles ne me plaisent pas ! Au lieu de me consoler, tu dis que ce qui me fait mal est un bienfait d'Allah ! Qu'on l'emmène en prison !!! " .

 

Le Roi prit un nouveau conseiller et oublia celui qu'il avait fait jeté en prison. Des années plus tard , il partit dans la forêt en promenade avec toute sa troupe quand des cannibales les attaqua. Leur chef ordonna :

 

" Capturez moi tous les hommes en bonne santé. Par contre, ceux à qui il leur manque quelque membre, libérez les car je n'aime pas les infirmes !! "

 

Tout le monde fut capturé, sauf le Roi car il lui manquait 3 doigts. Triste, il rentra seul au château. C'est alors qu'il se rappela que son premier Conseiller était toujours en prison et alla vite le rechercher.

 

" Ô, mon brave Conseiller, pardonne moi de t'avoir laissé si longtemps en prison. Tes paroles étaient pleines de vérité ! Je suis en vie grâce aux 3 doigts qui me manquent : c'est un bienfait d'Allah mais je n'avais pas compris tout de suite. Acceptes tu mes excuses, car c'est toi le plus sage !! "

 

Le conseiller, heureux que le Roi avait compris que tous les malheurs qui lui étaient arrivés était un bien pour lui de la part d'Allah, lui répondit :

 

" Mon Roi, ne t'excuse pas de m'avoir mis en prison, c'est un bienfait pour moi !! ".

 

Le Roi, étonné, lui dit :

 

" Mais, tu n'es pas faché contre moi ?? Je t'ai puni sans raison valable et ce, pendant des années. "

 

Le Conseiller, toujours aussi sage, lui répondit en souriant :

 

" Mon Roi ! Si j'étais resté auprès de vous, les cannibales m'auraient fait prisonnier et je serais à cet instant mangé !! Tout est un bienfait d'Allah, même si on ne le comprend pas tout de suite ! ".

 

Dans toutes choses qui nous arrive, un bienfait se cache...

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un bon dieu qui fait des roi qui decide de la vie et de la mort ...un dieu .qui permet le canibalisme ........ouais ...un dieu tres sage en effet .....

 

ceci etant dit ...je me rappelle avoir lu cette histoire sur un receuil de contes d'afrique et il n'etait pas question de dieu...ni d'islam ..... comme quoi certains ramasse n'importe quoi ...et tente de les introduire dans l'islam !!!!!

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un bon dieu qui fait des roi qui decide de la vie et de la mort ...un dieu .qui permet le canibalisme ........ouais ...un dieu tres sage en effet .....

 

ceci etant dit ...je me rappelle avoir lu cette histoire sur un receuil de contes d'afrique et il n'etait pas question de dieu...ni d'islam ..... comme quoi certains ramasse n'importe quoi ...et tente de les introduire dans l'islam !!!!!

SALAM

certains feraient mieux de se taire au lieux de dire des sotises surtout si on ne s'adresse pas a eux,mais peut-etre pour eux c'est "existentiel".

ceci etant dis ,raconte nous ton conte africain apres on verra.....:cool:

 

pour infos, dieu et l'islam existe aussi en afrique.

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SALAM

 

l'avarice Quiconque est avare, l'est cependant à son détriment

 

Parmi les joyaux des faits mémorables d'Oum Al Banine Bint Abdelaziz, soeur d'Omar Ibn Abdelaziz, ayant trait à la générosité, il y a le fait qu'elle invitait chez elle les femmes auxquelles elle offrait de beaux habits et des sommes en dinars en disant : les habits c'est pour vous et l'argent, c'est pour les pauvres de votre entourage. Elle cherchait évidemment à travers ce geste à leur apprendre la constance dans la générosité. On rapporte d'ailleurs à son sujet qu'elle disait : fi! si l'avarice avait été un habit, je l'aurais pas porté et si elle avait été une voie, je l'aurais pas empruntée!

 

Et parmi ses aphorismes sur la générosité, il y a lieu de citer : "Certains ont la fringale dans une telle chose, la mienne est dans la donation. Je jure par Allah que le don et la consolation sont plus aimables à mon coeur que la nourriture après la faim et que le fait de me désaltérer suite à une grande soif."

 

 

 

Elle était si attachée à dépenser judicieusement dans les voies du Bien qu'elle disait- qu'Allah ait son âme- : je n'ai jamais envié quelqu'un à moins qu'il soit généreux ; auquel cas, je souhaiterais y prendre part.

 

 

 

Extrait de La femme la plus heureuse au monde de A'id el Qarni.

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  • 1 month later...

SALAM

 

Histoire de Sagesse

 

 

 

 

 

"Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.

Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.

Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.

 

La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit : "Richesse, peux-tu m'emmener ? "

La Richesse répondit : "Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau, je n'ai pas de place pour toi."

 

L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau : "Orgueil, aide moi je t'en prie !"

"Je ne puis t'aider, Amour, tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau.", répondit l'Orgueil.

 

La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda : "Tristesse, laisse moi venir avec toi ".

" Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"

 

Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler !

 

Soudain, une voix dit : "Viens Amour, je te prends avec moi."

C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.

 

L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir, qui était un autre vieillard : "Qui m'a aidé ?"

"C'était le Temps." répondit le Savoir.

"Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.

"Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"

 

Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit : "C'est parce que seul le temps est capable de comprendre combien beau est l'Amour."

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salam

 

Un extrait du livre « Emir Abd el-Kader, Écrits spirituels » présentés et traduits de l’arabe par Michel Chodkiewicz, édition du Seuil (Paris 1982) :

 

Du pur amour

 

Dieu a dit à l’un de ses Serviteurs : « Prétends-tu m’aimer ? Si tel est le cas, sache que ton amour pour Moi est seulement une conséquence de Mon amour pour toi. Tu aimes Celui qui est. Mais Je t’ai aimé, Moi, alors que tu n’étais pas ! »

 

Il lui dit ensuite : « Prétends-tu que tu cherches à t’approcher de Moi, et à te perdre en Moi ? Mais Je te cherche, Moi, bien plus que tu Me cherches ! Je t’ai cherché afin que tu sois en Ma présence, sans nul intermédiaire, le Jour où j’ai dit « ne suis-je pas votre seigneur ? » (Coran 7 :172), alors que tu n’étais qu’esprit (rûh). Puis tu M’as oublié, et Je t’ai cherché de nouveau, en envoyant vers toi Mes envoyés, lorsque tu as eu un corps. Tout cela était amour de toi pour toi et non pour Moi. »

 

Il lui dit encore : « Que penses-tu que tu ferais, si, alors que tu te trouvais dans un état extrême de faim, de soif, et d’épuisement, Je t’appelais à Moi tout en t’offrant Mon paradis avec ses houris, ses palais, ses fleuves, ses fruits, ses pages, ses échansons, après t’avoir prévenu qu’auprès de Moi tu ne trouverais rien de tout cela ? »

 

Le serviteur répondit : « Je me réfugierais en Toi contre Toi. »

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  • 1 year later...

une histoire remplie de sagesse.

 

SALAM

 

 

 

 

une histoire remplie de sagesse

 

 

Cette histoire vient vous parler d'un homme qui est le père de 4 garçons.

 

 

 

Il voulait apprendre à ses fils à ne point juger précipitamment. Pour cela il les envoya faire une enquête personnelle pendant laquelle ils devaient se rendre à une distance lointaine et aller chacun observer un poirier.

 

 

 

Le premier fils partirait en hiver, le second au printemps, le troisième en été et le benjamin en automne.

 

 

 

Quand tous furent partis et revenus, il les rassembla et leur demanda de lui décrire ce qu'ils avaient vu.

 

 

 

Le premier fils dit que l'arbre était noir, affreux, tout plié et que ses branches étaient tordues.

 

 

 

Le second dit : "Non, il était couvert de pousses vertes et plein de belles promesses".

 

 

 

Le troisième avait un point de vue bien différent : "il était plein de fleurs agréables à sentir et je l'ai trouvé majestueux, c'était l'arbre le plus gracieux que je n'avais jamais vu".

 

 

 

Le benjamin secoua sa tête pour leur faire remarquer que son observation n'était pas du tout la même : "les fruits étaient tous murs, lourds de leur jus, plein d'engagements et d'espoirs".

 

Le brave homme leur dit alors : "mes fils vous avez tous raison. Eh oui, vous êtes tous allés voir ce poirier à une saison différente et chacun d'entre vous a vu une seule période de la vie de cet arbre".

 

 

 

Il leur dit aussi : "vous ne pouvez pas juger un arbre en seulement une saison, ni un être humain sur une impression. L'essence de ce qu'ils sont en réalité ne peut être connue en seulement une petite partie de vie, car il y a les joies, les peines, les regrets, etc. Ils peuvent seulement être appréciés que bien plus tard dans leur existence. Si vous abandonnez en hiver alors vous manquez inévitablement la promesse du printemps la beauté de l'été et l'accomplissement de l'automne.

 

 

 

Ne laissez pas le chagrin d'une saison détruire toute la joie de ce qui est encore à venir. Ne jugez pas la vie à cause d'un passage difficile.

 

 

 

Persévérez et n'évitez pas les chemins caillouteux qui se présentent à vous car, soyez-en sûrs, l'avenir est plein de promesses parce que tout change éternellement.

 

 

 

Vivez simplement, aimez généreusement, prenez soin de vous et des autres grandement.

 

Parlez poliment, respectueusement et gentiment puis laissez le reste à Dieu et à la Source.

 

Le bonheur vous garde doux et en beauté, les expériences vous fortifient et les larmes vous rendent humain.

 

 

 

Les échecs préservent votre humilité et les succès vous font briller, mais seulement Dieu et la Source de la Vie vous permettent de faire tout ça.

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SALAM

j'ouvre ce toipic pour reunir quelques histoires de sagesse islamique,de morale,de meditation et autres.pour celles qui ont ete deja publiés ce sera un rappel et pour les autres ce sera une decouverte.

 

 

La ilâha illâ llâh point de divinité si ce n'est Allah est le fondement doctrinal sur lequel tout repose en Islam.

 

{ Et votre Dieu est un Dieu Unique **

[ Sourate 16 - Verset 22 ]

 

L'Unicité d'Allah , dont la seule affirmation constitue la profession de foi (shahâda), témoignage par lequel l'individu devient musulman, signifie d'abord la négation de toute forme de polythéisme : Un de par Son Essence et Unique quant à Ses Attributs :

 

{ Allah ! Point de divinité à part lui [...] **

[ Sourate 2 - Verset 255 ]

 

{ Et votre Dieu est une divinité unique. Pas de divinité à part Lui,

le Tout-Miséricordieux, le Très miséricordieux. **

[ Sourate 2 - Verset 163 ]

 

L'Histoire d'un vieux menuisier

 

Un menuisier était arrivé à l'âge de la retraite.

 

 

Il informa alors son employeur de son intention de quitter le monde de la construction afin de passer le reste de sa vie paisiblement avec son épouse.

 

Son employeur fut très déçu de devoir laisser partir un si bon travailleur et il lui demanda comme faveur personnelle de construire juste une toute dernière maison. Le menuisier accepta mais cette fois il était facile de voir que son coeur n'était pas à l'ouvrage. Il accomplit un travail médiocre et utilisa des matériaux de qualité inférieure.

 

Quand le menuisier eut terminé la maison, son employeur arriva et en fit l'inspection puis il présenta la clé de cette maison au menuisier en disant : "Cette maison est la tienne, c'est mon cadeau pour toi".

 

Le menuisier était si triste, quelle honte ! Si seulement il avait su qu'il construisait sa propre maison, il aurait tout fait si différemment.

 

 

 

Il en est de même pour nous, dans notre vie. Nous la construisons malheureusement trop souvent avec négligence et insouciance... Un moment donné, avec étonnement, nous réalisons que nous devons vivre dans la maison que l'on s'est construite. S'il nous était possible de recommencer, nous aurions fait différemment mais nous ne pouvons faire de retour en arrière.

 

 

 

Nous sommes les artisans de cette maison qu'est notre vie. Chaque jour nous enfonçons un clou, plaçons une planche, érigeons un mur.

 

 

 

La vie est un projet de tous les instants. C'est par notre attitude et nos choix d'aujourd'hui que nous construisons la maison que nous allons habiter demain et pour le reste de notre vie...

 

Alors pourquoi ne pas la construire avec sagesse ????

 

pourquoi ne pas lui avoir dit la vérité?………tout simplement.

Pour te récompenser de tes bons et loyaux services je te donne les moyens de construire ta propre demeure……

tu vois, machin, le trajet le plus court pour aller d'un point à un autre est la ligne droite…….apparemment pas celle de celle de cet enfoiré de patron…….amateur d'arabesques

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