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L’histoire comme moyen d’identification .


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l'histoire c'est le miroir qui reflète cette identification

bonjour , merci monsieur pour cette sage réponse dans le sujet-questionnement!

 

Un proverbe algerien : dit en substance :

 

asselouka asselouKa

 

à vous de traduire !

 

et un autre du bled :

 

glabha ala foumha tachbah emmouha

 

celle ci plus longue :je pe traduire .

 

TRD : renverse là sur sa tète elle ressembleras à sa mère .

Bon vendredi saint .

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Guest fellay
Si monsieur il est sur toute les langues du terroir :

 

n'aviez vous pas entendu si vous êtes blédard ???

 

cette expression qu'on vous jette à la figure quand vous colliez aux basques de quelqu'un et que vous menacez de quitter et plus loin .

 

 

C'est vrai ce n'est pas un triangle car celui ci c'est mouthalath désolé ; je voulais dire "tiers " ou portion de terre déserte , VIDE et inexplorée .

 

et puis instinctivement et littéralement:

 

j'ai collé cette expression bien illustratrice à l'endroit de l'emplacement jadis de la région de la KAABA avant la venue de sidna ibrahim alih salam .

Jai lu la description lunaire , chaotique et complètement désolante d'un grand historien et sociologue orientaliste , monsieur Maxime Rodinson .

Voilà tt l'affaire de mes propos ET puis les légendes ne sont pas des choses exactes comme la composition d'un médicament.

On se contente d'imaginer pour percevoir le fond réel .

Et puis j'ai averti : l'oralité est parfois insaisissable .

Enfin ce n'est pas le propre du topic.

Je ne faisais que répondre à qq boutades péjoratives à propos de "bedoin" par opposition aux zenetes et autre berbères bâtisseurs de toutes les ruines ARCHEOLOGIQUES actuelles .

 

je trouve dommage que tu t'accroches à cette expression de telth lkhali. si un esprit habitué à une rigueur commence à se baser sur les erreures communes d'une sociétés, crois moi il sera très vite discrédité.

 

Dans le maghreb, il y a une erreure répandue qui a permuté le rob3 al khali en telth lkhali, et je t'ai bien rappelé la célèbre chanson du marocain doukkali qui porte ce nom.

 

le vrai nom de ce désert est rob3 lkhali et il se trouve à cheval entre le sud de l'arabie saoudite et le yemen. Je m'attendait sincérement à une réctification de ta part, et le sujet serait clos. bizzarement au lieu de cela, tu décide par toi même que le telth lkhali se trouve aux alentours de la mecque! comment la mecque pourrait ce trouvé dans le soi-disant telth lkhali alors que c'est un centre caravanier et le lieux de pelerinage des arabes avant et après l'islam? or le telth lkhali signifie: le tiers VIDE!

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C'est un bonne initiative que de réfléchir sur cette question. Mais il faut considérer tous les tenants et aboutissants. L'histoire a toujours été au centre de toute éducation, pourtant, dans ce message tu ne prends pas en compte des éléments essentiels qui font que l'histoire enseignée est toujours tronquée et faussée. :drinks_wine:

Aussi, cette image que tu places en début de ton poste, d’où vient-elle et qu'elle est le rapport avec ton texte, car c'est ta réflexion, n'est-ce pas?

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je ne pense pas que tu est de la maison ; pcq si tu l'etais tu aurais un peu de respect pour un sahabi sidna okba ibn nafeaa qu'un renégat a trahi ET ASSASSINE DANS UN TRAQUENARD ALORS QU'IL LUI ADONNE LE AMEN .

et je parle sans aucune autres considérations ethniques ou religieuses. c'est un fait historique.

 

Mm pour ton alibi géographique ne tient pas : on sent déjà la haine des arabes transperçait à travers tes boutades .

 

la discussion monsieur avec vous n'avance pas ! recule .

 

et je n'ai pas le temps de la polémique .

 

QUI RENIE la revendication territoriale des berbères en Afrique du nord ????

 

car ces derniers revendiquent une présence au Maghreb vieille de plus de cinq mille ans.

 

Leur communauté s’étend sur près de cinq millions de kilomètres carrés, de la frontière égypto-libyenne à l’Atlantique et des côtes méditerranéennes au Niger, au Mali et au Burkina.

 

Leur culture, leur identité et leurs droits ont longtemps été méprisés, leurs revendications étant assimilées d’abord au « parti colonial », puis plus tard interprétées comme sécessionnistes.

 

Mais l’on assiste à une renaissance du mouvement berbèreet leur reconnaissance notamment en algerie où toute une région de la population parle le Tamazight, langue berbère qui est aussi une langue nationale avec académie , télé et tutti quanti .

 

 

sans donner de leçon hautaine ! apprenons le respect d'autrui ;

on ne traite pas les gens d'ahuris aussi facilement sans les connaitre ..

 

car qui a parlé de FLEURS ou civilisation rose des arabes musulmans en Afrique du nord .

 

Ciao ...

 

 

 

 

Soit tu connaîs ton Histoire soit tu ne la connaîs pas pas la peine de tergiverser en propos larmoyants c'est une science l'Histoire pas du sentimentalisme.

 

Okba était un guerrier envoyé par Damas pour conquérir des territoires et je te conseille de lire Ibn Khaldoun pour voir ce qu'il pensait des razzias arabes avant de me faire un procès d'intention, à bon entendeur j'en ai fini avec toi et ta propagande d'arabo baathiste.

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Soit tu connaîs ton Histoire soit tu ne la connaîs pas pas la peine de tergiverser en propos larmoyants c'est une science l'Histoire pas du sentimentalisme.

 

Okba était un guerrier envoyé par Damas pour conquérir des territoires et je te conseille de lire Ibn Khaldoun pour voir ce qu'il pensait des razzias arabes avant de me faire un procès d'intention, à bon entendeur j'en ai fini avec toi et ta propagande d'arabo baathiste.

 

touché le dieudonné méprisant des arabes !

je tombe de bien haut ! moi baathiste ?????:mdr:

désolé algerien wa bess !

adieu formaté par la bétise !

ton ibn khaldon te ressemble il a la haine des arabes et des bédouins .

 

je voulais etre zen avec toi mais çà dégage fort chez toi

alors adieu .

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C'est un bonne initiative que de réfléchir sur cette question. Mais il faut considérer tous les tenants et aboutissants. L'histoire a toujours été au centre de toute éducation, pourtant, dans ce message tu ne prends pas en compte des éléments essentiels qui font que l'histoire enseignée est toujours tronquée et faussée. :drinks_wine:

Aussi, cette image que tu places en début de ton poste, d’où vient-elle et qu'elle est le rapport avec ton texte, car c'est ta réflexion, n'est-ce pas?

 

bonsoir , au contraire mon sujet : c'est de faire ressortit les tenants et aboutissant d'un vraie histoire pour contrebalancer les falsifications multiples qui se sont greffés chez certains mm comme concepts immuables .

 

la pic ce n'est qu'une illustration piquée sur le net .

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Dans le maghreb, il y a une erreure répandue qui a permuté le rob3 al khali en telth lkhali, et je t'ai bien rappelé la célèbre chanson du marocain doukkali qui porte ce nom.

comment la mecque pourrait ce trouvé dans le soi-disant telth lkhali alors que c'est un centre caravanier et le lieux de pelerinage des arabes avant et après l'islam? or le telth lkhali signifie: le tiers VIDE!

MAIS JE TE PARLE DE SIDNA IBRAHIM ALIH SALEM

bien bien avant l'islam PUR de sidna mohammed alih salat wa salem

MONDIEU VOUS FAITES EXPRES OU KOI

Avançez dans la discussion au lieu de piétiner et moi qui ai choisi le site pour des critiques constructives pour apprendre qq chose vu les sommités qui le fréquentent j'ai juste droit à des boutades méprisantes ou colorées de racisme latent de la part de certains habitués .

 

De grâce ! ne polluez pas je suis venu là pour construire mon opinion sur la question avec d'autres esprits sains et humbles .

 

Notre histoire est malmenée par des imposteurs qui en font un registre de commerce en ménageant et en faisant de l'equilibrisme pour ne pas froisser les adeptes de la civilisation occidentale d'içi et d'ailleurs .

 

ce fragment du topic est me semble til révélateur :

Nous en tant qu’algériens !

 

Dans une patrie qui tire ses racines d’un passé lointain traversé par d’immenses et cruelles épisodes et fut sujette à de différentes et terribles invasions ou nobles conquêtes et un brassage sans précédents de peuples , de cultures et de religions : sommes complètement déboussolés .

 

Laissez cet état brut de l’histoire sans éclairage est un grand danger pour l’identité citoyenne .

n'est' il pas plus clair ?????

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touché le dieudonné méprisant des arabes !

je tombe de bien haut ! moi baathiste ?????:mdr:

désolé algerien wa bess !

adieu formaté par la bétise !

ton ibn khaldon te ressemble il a la haine des arabes et des bédouins .

 

je voulais etre zen avec toi mais çà dégage fort chez toi

alors adieu .

 

 

 

 

Procès d'intention encore

 

Ibn Khaldoun était arabe pauvre ignorant , tu viens de me prouver noir sur blanc que tu ne connais rien à ton pays adios

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Procès d'intention encore

 

Ibn Khaldoun était arabe pauvre ignorant , tu viens de me prouver noir sur blanc que tu ne connais rien à ton pays adios

meskin et vlà encore un qui ve nous faire la leçon !

ya sahbi il ny a que les tnah qui ne connaisent pas ibn khaloun le noble seviteur de grandes castes comme son pere et la haine qu'il vehicule à travaers soN

 

 

ida 3oribet khoribet .

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meskin et vlà encore un qui ve nous faire la leçon !

ya sahbi il ny a que les tnah qui ne connaisent pas ibn khaloun le noble seviteur de grandes castes comme son pere et la haine qu'il vehicule à travaers soN

 

 

ida 3oribet khoribet .

 

 

 

Bon écoute le guignol tu viens de te ridiculiser une fois de plus, tu me sors que Ibn Khaldoun avait la haine des arabes et des bédouins alors qu'il était arabe issu d'une ancienne famille yéménite à la base donc de tradition bédouine, t'as juste tapé son nom sur google en t'aperçevant que t'avais dit une grosse connerie et en essayant de rattraper le coup.

 

Je sais pas si t'es nouveau ou si c'est encore un multi compte mais tu vas pas faire long feu ici toi

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Bon écoute le guignol tu viens de te ridiculiser une fois de plus, tu me sors que Ibn Khaldoun avait la haine des arabes et des bédouins alors qu'il était arabe issu d'une ancienne famille yéménite à la base donc de tradition bédouine, t'as juste tapé son nom sur google en t'aperçevant que t'avais dit une grosse connerie et en essayant de rattraper le coup.

 

Je sais pas si t'es nouveau ou si c'est encore un multi compte mais tu vas pas faire long feu ici toi

 

guignol toi mm espéce d'impoli qui ne respecte personne

 

ton ggogle tu le garde pour toi tellement il y a des âneries comme celle que tu énonce .

 

je te parle d'ibn khaldoun qui est dans ma biblio tt en bas écrasé par des encyclopédies de valeur et d'historiens modernes qui ont démonté les faussetés de ce haineux et çà tu ne le connais pas et çà touche ton formatage .

 

il a tjr détesté les bédouins et fait le paon aux différentes cours des rois et émirs qu'il courtisait .

 

Sa famille, s'était fixé d'abord à Séville où elle avait occupé une importante situation, puis elle était venue s'établir à Tunis auprès des princes Amazighs Hafsides qui lui prodiguèrent des marques de leur bienveillance et lui confièrent de hauts emplois.

 

Il avait une existence tourmentée dans laquelle il passa la plus grande partie de son existence, allant de Tunis à Fez, de Fez en Espagne, d'Espagne à Bougie, puis à Tlemcen, tantôt ambassadeur ou premier ministre, tantôt disgracié et jeté en prison.

 

ET VOICI QQ ÉCLAIRCISSEMENTS pour les lecteurs de ton arabe bédouins du yémen et sa haine des vrais bédouins et arabes .

A eux de juger :

 

Histoire des Berberes (IBN KHALDOUN)

Citons ensuite les vertus qui font honneur à l'homme et qui étaient devenues pour les Berbères une seconde nature ; leur empressement à s'acquérir des qualités louables, la noblesse d'âme qui les porta au premier rang parmi les nations, les actions par lesquelles ils méritèrent les louanges de l'univers, bravoure et promptitude à défendre leurs hôtes et clients, fidélité aux promesses, aux engagements et aux trairés, patience dans l'adversité, fermeté dans les grandes afflictions, douceur de caractère,....

 

Un pays conquis par les arabes est bientot ruiné (IBN KHALDOUN)

 

ES ARABES N'ÉTABLISSENT LEUR DOMINATION QUE SUR DES PAYS DE PLAINES.

 

 

Ils sont en effet, en raison de leur naturel farouche, gens de pilleries et de brigandage : tout ce dont ils peuvent se saisir sans lutte et sans danger, ils l'enlèvent, puis ils s'enfuient vers leurs pâturages du désert. Ils n'attaquent point ouvertement, ni ne combattent en bataille rangée, à moins d'y être contraints pour leur propre défense : aussi, s'ils se heurtent à une forteresse ou à un endroit qui leur réserve des difficultés, ils les laissent de côté, sans les attaquer, et se tournent vers quelque objet de conquête facile.

 

Les tribus qui se retranchent contre eux dans les rochers des montagnes sont à l'abri de leurs rapines et de leurs violences, car ils n'escaladent point les hauteurs, ni ne s'engagent dans des terrains difficiles, ni ne s'exposent à des dangers pour les atteindre. Quant aux plaines, s'ils peuvent s'en emparer du fait qu'elles sont mal gardées ou que le pouvoir gouvernemental manque de force, elles deviennent leur butin et la proie qu'ils dévorent : ils y multiplient leurs incursions, leurs pilleries et leurs violences, en raison de la facilité qu'elles leur offrent, si bien que leurs habitants finissent par tomber sous leur domination; puis ils se les passent les uns aux autres, et le désordre aboutit à la ruine de leur civilisation :

 

Dieu a puissance sur ses créatures; il est l'Unique, le Coerciteur, et il n'est point d'autre Seigneur que Lui.

 

UN PAYS CONQUIS PAR LES ARABES EST BIENTÔT RUINÉ

 

C'est là, en effet, un peuple farouche, chez lequel la rudesse de moeurs s'est ancrée au point de devenir leur tempérament propre et leur naturel; et ils s'y complaisent, parce qu'elle leur permet d'échapper à l'emprise de l'autorité et à la sujétion à un gouvernement.

 

Un tel naturel est incompatible avec la civilisation, et leur interdit de se développer, car errer et être les plus forts sont les seuls buts que leur assigne leur manière de vivre, ce qui interdit la vie sédentaire, de laquelle dépend la civilisation, et est incompatible avec elle.

 

Si, par exemple, ils ont besoin de pierres pour caler leurs marmites, ils en arrachent aux constructions, les ruinant pour en avoir; de même, s'ils ont besoin de bois pour faire des poteaux ou des piquets pour leurs tentes, ils démolissent des toitures pour en avoir : la nature de leur existence est donc incompatible avec l'art de construire, qui est la base de la civilisation. Voilà comment il en va d'eux en général.

 

En outre, leur naturel est d'arracher aux autres ce qu'ils possèdent : leurs moyens d'existence sont à la pointe de leurs lances, et ils ne connaissent, pour ce qui est de prendre le bien d'autrui, aucune limite à laquelle ils se tiennent; au contraire, chaque fois que leurs yeux tombent sur un troupeau, un objet, un ustensile, ils se l'approprient de force.

 

Si, ayant pris le dessus et s'étant adjugé l'autorité souveraine, ils ont toute latitude de se comporter ainsi, il n'est plus aucun moyen administratif de protection de la propriété, et la civilisation est ruinée.

 

Également, ils obligent les artisans et les corps de métier à des travaux sans leur en verser le salaire et le juste prix.

 

Or le travail est, comme je l'exposerai, la véritable source de la richesse; si donc le travail est vicié, du fait qu'il n'est pas plus profitable, l'espoir en la richesse s'évanouit, les bras cessent le travail, l'ordre établit se dérange, et la civilisation se corrompt.

 

De plus, ils n'ont aucun souci de gouverner, d'empêcher les gens de mal faire et de les protéger les uns des autres : la seule chose dont ils se préoccupent, c'est ce qu'ils arrachent aux autres, soit par le pillage, soit par des extorsions.

 

Parvenus à ce but, ils ne voient pas loin : nulle préoccupation d'améliorer la situation de la population, de veiller à ses intérêts, d'empêcher certains de mal faire.

 

Souvent, il est vrai, ils infligent des amendes pécuniaires, espérant en tirer profit, en exigent des sommes considérables, comme ils s'y entendent, mais cela ne suffit pas pour empêcher de mal faire et arrêter ceux qui ont de mauvais desseins.

 

Au contraire, car en la matière une amende pécuniaire pèse en regard de la réalisation des desseins.

 

C'est pourquoi leurs sujets restent, sous leur domination, comme privés de gouvernement, sans personne pour les régir, et l'absence de gouvernement est la perte de l'humanité et la ruine de la civilisation, en vertu de ce que j'ai exposé, à savoir que l'existence de l'autorité souveraine convient particulièrement à l'homme, et lui est naturelle, et qu'il ne peut avoir en dehors d'elle d'existence et de vie sociale.

 

En outre, tous parmi eux aspirent à commander : il est extrêmement rare que l'un d'eux consente à abandonner l'autorité à un autre, fût-il son père, son frère, ou le principal de sa famille, et encore n'agit-il ainsi qu'à contre-coeur et par respect humain.

 

Si bien qu'un grand nombre d'entre eux sont pourvus d'autorité et de pouvoir, qui pressurent et tyrannisent concurremment leurs sujets, et c'est la ruine et la fin de la civilisation.

 

Un Arabe venu en députation auprès de `Abdalmalik, comme celui-ci s'informait auprès de lui d'al-Hajjaj, lui répondait (et dans son esprit c'était là faire l'éloge de la manière dont il gouvernait et rendait prospère sa province) : « Quand je l'ai quitté, il ne faisait de tort qu'a lui-même».

 

Aussi, considère tous les pays qu'ils ont conquis et assujettis depuis la Création : tu verras combien leur civilisation est disloquée, leurs habitations appauvris; leur terre elle-même est transformée.

 

Au Yamen, tous les établissements sédentaires sont ruinés, à l'exception de quelques villes.

 

Dans l'Irak Arabe il en va de même : la civilisation que les Perses y avaient développé est ruinée pour sa plus grande part.

 

En Syrie, de nos jours, il en va de même. En Ifriquiya et au Maghreb, depuis que les Banou-Hilal et les Banou-Soulaïm y sont passés, au début du Ve siècle, et se sont acharnés sur ces pays pendant 350ans, toutes les plaines sont ruinées, alors qu'autrefois su Soudan jusqu'à la Méditerranée tout était cultivé, comme l'attestent les vestiges qui s'y trouvent : monuments, constructions, traces de fermes et de villages.

 

 

SANS COMMENTAIRE

 

c'est toi qui doit arrêter de lire n'importe quoi ?

Sois un peu JUSTE éclairé et moins insultant contre ceux qui t’apprennent qq chose .

 

J"ai déja dis que mon nom et ma localisation sont réels et ce n'est pas ton cas l'ahuri de ibn toz ou de la poubelle de WIKI PeDIA .

 

La toile a permis à tt les poltrons et ignares d'avoir un mur de lamentation et une fenêtre pour assouvir leurs BAS instinctS comme toi .

Je te dis adios l'imbecile heureux .

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VOI9I CE QUE DIT TON ILLUSTRE ARABE BEDOUIN

 

DE TOUT LES PEUPLES LES ARABES SONT LE PLUS INCAPABLE DE GOUVERNER.

 

La cause en est qu'ils sont le plus bédouin de tous les peuples, celui qui erre le plus profondément à l'intérieur des déserts, celui qui sait le mieux se passer des objets de première nécessaire et des grains des régions cultivées, tant ils sont accoutumés à une vie dure et grossière, si bien qu'ils se suffisent à eux-mêmes.

 

Leur goût et la rudesse de leurs moeurs font qu'ils n'acceptent que difficilement d'être soumis les uns aux autres; lorsque leur chef fait appel à eux, c'est le plus souvent à cause de l'esprit de corps qui les pousse à assurer leur commune défense, et il est obligé de n'exercer son autorité qu'en les ménageant et se garder de les contrarier, de peur de voir cet esprit de corps lui manquer, ce qui serait sa perte et la leur : or l'art de gouverner un empire ou un royaume exige que celui qui gouverne contienne par la force ses sujets dans leur devoirs, sinon il ne gouvernera pas correctement.

 

En outre, il est du naturel des Arabes, comme je l'ai déjà dit, d'arracher aux autres ce qu'ils possèdent en propre, et ils ne s'occupent de rien d'autres.

 

Si donc ils deviennent les maîtres d'un peuple quelconque, le but qu'ils assignent à leur domination est d'en profiter pour lui prendre ce qu'il possède, et ils négligent tout autre souci gouvernemental.

 

Souvent ils remplacent par des amendes pécuniaires les châtiments corporels destinés à punir les mauvaises actions, se proposant d'augmenter par là leurs revenus et de profiter d'avantage : pareille pratique est incapable de contenir les hommes dans leur devoir, et souvent même elle pousse au mal, car celui qui a dessein de mal faire considère ce qu'il doit débourser de la sorte comme de peu d'importance en regard de ce que lui assure la réalisation de son dessein; les crimes se multiplient, ce qui amène la ruine de la civilisation.

 

Un tel peuple reste donc comme s'il était dépourvu de gouvernement, chacun cherche à voler le voisin, la civilisation ne peut plus se développer correctement et est rapidement ruinée par l'anarchie, comme j'ai déjà dit.

 

Pour tous ces motifs, le naturel des Arabes les rend donc incapables de gouverner un empire : ils n'y peuvent parvenir qu'après avoir modifié leur caractère sous l'influence d'une religion qui efface d'eux tous ces défauts, leur fasse trouver un frein dans leur propre conscience, et les pousse à protéger les hommes les uns contre les autres, comme j'ai déjà dit.

 

A titre d'exemple, considère ce qu'il en fut de leur pouvoir lorsque, devenus musulmans, la religion leur offrit une base ferme de gouvernement dans la Loi et celles de ses stipulations qui sauvegardent, aussi bien d'une manière externe que d'une manière interne, les intérêts de la civilisation : les califes d'alors appliquant les uns après les autres ces prescriptions, leur empire devint considérable et leur pouvoir très fort.

 

Lorsqu'il vit les musulmans se rassembler pour la prière, Roustem s'écria :

 

«'Omar me ronge le coeur : il enseigne aux chiens la bonne éducation!»

 

Par la suite, des tribus cessèrent de prêter leur appui au pouvoir et négligèrent les préceptes de la religion, si bien qu'elles désapprirent l'art de gouverner et revinrent à leurs déserts, oubliant à la longue, du fait qu'elles n'étaient plus soumises à qui que ce fût et ignoraient les devoirs gouvernementaux, qu'elles aient jamais fait cause commune avec les représentants de l'autorité gouvernementale : elles retournèrent ainsi aux moeurs grossières qui avaient été les leurs auparavant, et le mot «empire» n'évoqua plus pour elles autre chose que leur communauté d'origine et de race avec les califes.

 

Lorsque la puissance du califat disparut sans laisser de traces, les Arabes perdirent toute autorité au profit exclusif des races étrangères : ils demeurèrent alors dans les solitudes de leurs déserts, ne sachant plus ce que c'est qu'un empire et l'art de le gouverner, ignorant même, pour leur plus grand nombre, qu'ils avaient autrefois possédé un empire, quand aucun peuple au monde n'eut jamais empire comme celui que détinrent leurs tributs, témoins les dynasties de `Ad, de Thamoud, des Amalécites, de Himyar, et des tobba' du Yemen, puis au sein de l'Islam la dynastie modarite : Omayyades et Abbassides. Ils sont devenus incapables de gouverner lorsque, oubliant les préceptes de la religion, ils sont revenus à leur bédouinisme originel : il peut arriver parfois qu'ils s'assujettissent des États faibles, comme c'est aujourd'hui le cas au Maghreb, mais ils n'aboutissent alors qu'à ruiner la civilisation des pays dont ils se sont emparés, comme nous l'avons dit :

 

Dieu donne à qui il veut Sa puissance souveraine.

 

Ils sont en effet, en raison de leur naturel farouche, gens de pilleries et de brigandage : tout ce dont ils peuvent se saisir sans lutte et sans danger, ils l'enlèvent, puis ils s'enfuient vers leurs pâturages du désert.

 

Ils n'attaquent point ouvertement, ni ne combattent en bataille rangée, à moins d'y être contraints pour leur propre défense : aussi, s'ils se heurtent à une forteresse ou à un endroit qui leur réserve des difficultés, ils les laissent de côté, sans les attaquer, et se tournent vers quelque objet de conquête facile.

 

Les tribus qui se retranchent contre eux dans les rochers des montagnes sont à l'abri de leurs rapines et de leurs violences, car ils n'escaladent point les hauteurs, ni ne s'engagent dans des terrains difficiles, ni ne s'exposent à des dangers pour les atteindre.

 

Quant aux plaines, s'ils peuvent s'en emparer du fait qu'elles sont mal gardées ou que le pouvoir gouvernemental manque de force, elles deviennent leur butin et la proie qu'ils dévorent ......

 

NOTA /

car tt personne ayant une once de genes arabes aurait compris cette haine d'un historien politisé envers les bédouins quio ont bouleversés tt l'afrique du nord .

 

 

Ibn Khaldoun apporta certainement un recit fantastique sur la situation sociale vécu à l'epoque par l'Afrique du Nord et sur la sauvagerie des "Arabes".

 

Je ne discutte nullement ces constatations, mais franchement je trouve ses conclusions un peu tirées par les cheveux.

 

Ils s'en prend aux Arabes a travers l'espace et le temps en se basant sur le comportement d'une tribue: les beni Hilals.

 

Mais les Hilaliens d'abord etaient des mercenaires, et plusieurs d'entre eux n'etaient tout simplement pas Hilaliens mais des mercenaires d'origine etrangere (aux Arabes et aux Berberes!) tel que Perse, Palestinien, Syrien, etc...

 

Ces gens conservaient quand meme une bonne part de leur culture qui n'avaient rien d'Arabes, de meme que leur sang.

 

En fait, il est tout a fait normal qu'Ibn Khaldoun haissent ces mercenaires, mais sa conclusion un peu trop rapide sur la nature des Arabes en general qu'il en tire par là est fausse a mon avis et frise le ridicule. Ainsi par exemple:

 

De plus Si, par exemple, ils ont besoin de pierres pour caler leurs marmites, ils en arrachent aux constructions, les ruinant pour en avoir; de même, s'ils ont besoin de bois pour faire des poteaux ou des piquets pour leurs tentes, ils démolissent des toitures pour en avoir

 

Voici un discours ridicule!

 

J'imagine deja les pauvres Egyptiens (d'ou sont venus ces Hillaliens d'ailleurs) tenirent le meme discours quelques siecles plus tot, lorsque une armée terrifiante est apparue sur leur terre, et s'est mise a tout piller et detruire tout comme Ibn Khaldoune decrit.

 

Et oui! C'etait les Fatimides, venus tout droit de Bejaia en Kabylie sous la direction de la tribue des Kutama (vers 740) qui arrachérent les parois de pierres blanches des pyramides pour construirent la ville du Caire vers 911. Ce n'etait pas pour caller une marmite c'est vrai, c'etait pour caler tout ce qu'ils possedaient entre 4 murs.

 

On voit donc bien que ce n'est pas un comportement d'Arabes en Afrique du Nord puisque nos propres ancetres ont fait kifkif en Egypte voisine dans la meme region.

Normalement c'est une evidence, mais j'ai quand meme tenu à dire que c'est un stéréotype raciste .

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ibn khaldoun

 

suite et fin sur ibn khaldoun pour nos lecteurs !

 

à eux de faire la part des choses.

 

Bonne lecture !

 

voiçi sa bio , sa vocation et son parcours :

 

ibn khaldoun

 

Abd el rahmen ibn khaldoun

 

 

 

Ibn Khaldoun, ou Abou Zeid Abd ar-Rahman ibn Mohammed ibn Khaled al-Hadhrami né le 27 mai 1332 à Tunis et décédé le 19 mars 1406 au Caire, est un sociologue hommme politique et historien d'Afrique du Nord.

 

Ibn Khaldoun est le descendant d'une famille de notables originaires du Yémen, établie en Andalousie dès le VIIIe siècle puis émigrée en Tunisie.

 

Il se considère ainsi comme arabe et se réclame d'une lignée remontant à l'Hadramaout (en l'an 10 de l'hégire). Il sera à la fois un historien et un sociologue (avant la lettre) des sociétés arabe, berbère et perse.

 

Il passe une partie de son existence à la cour mérinide, remplissant diverses fonctions politiques auprès des sultans de Tunis et de Fès (ce dernier ayant pour premier ministre l'écrivain Ibn al-Khatib avec lequel Ibn Khaldoun entretiendra longtemps des relations de rivalité amicale) puis du souverain de Grenade

 

Carrière:

 

Vizir

 

Ibn Khaldoun exerce d'abord une carrière de courtisan et de ministre et réussit la performance de changer à temps de maître, servant successivement les Hafsides de Tunis et de Bougie, les Mérinides de Fès, les Abdelwadides de Tlemcen, le sultan de Grenade et celui d'Égypte

 

Il est aussi ambassadeur auprès du roi Pierre Ier de Castille et du terrible Tamerlan. Ainsi a-t-il la possibilité de pratiquer et comparer les différents modes d'exercice du pouvoir et d'en mesurer la précarité.

 

Les différents souverains, impressionnés par ses hautes capacités intellectuelles , lui pardonnent pendant un certain temps sa versatilité et ses trahisons.

 

Chef de mercenaires

 

La vie de Ibn Khaldoun change au moment où, définitivement écarté des cours du Maghreb, il se lance dans une carrière militaire en prenant le chemin du désert où il devient recruteur auprès des terribles bédouins Hilaliens.

 

 

Il se consacre alors à l'histoire et à la science politique, où le pragmatisme acquis dans ses activités administratives et militaires, lui permet d'analyser avec esprit critique les différentes traditions ou opinions recueillies.

 

Par exemple, c'est lui qui raconte le plus en détail l'histoire de

la Reine guerrière, Kahena, des Berbères Djeraouas de l'Aurès, sans omettre les victoires initiales remportées par ceux-ci contre les envahisseurs arabes, les égards de celle-ci envers certains prisonniers arabes, ni encore sa mort au combat.

 

En outre, parce qu'il a souvent changé de maître, il manifeste dans ses écrits une grande indépendance d'esprit, qui le distingue des grands chroniqueurs du Moyen Âge chrétien, tels Jean de Joinville ou Philippe de Commynes qui, bien qu'eux aussi au contact du terrain, n'auront servi qu'un seul monarque, et qui ne nous ont donné en conséquence que des versions améliorées de leurs règnes.

 

Ibn Khaldoun critique par ailleurs l'école historique arabe dont les œuvres avaient tendance à se limiter aux généalogies un peu sèches des familles régnantes, et estimait qu'une place plus large aurait dû être faite au déroulement des faits sociaux expliquant la naissance, la durée et la disparition des différentes dynasties étudiées.

 

Parcours

 

En 1352, il entre en qualité de secrétaire au service du sultan Abou Ishaq. Au cours de cette même année, une guerre éclate entre l'émir de Tunis et celui de Constantine. Ibn Khaldoun met à profit cette guerre pour aller se reposer à Biskra. En 1354, il revient à Tunis et se marie avec une fille d'une famille influente.

 

Il se rend ensuite à Fès pour parachever sa formation intellectuelle. Il y réussit à se faire nommer secrétaire principal du sultan Abou Inan.

 

Mais celui-ci, influencé par certains courtisans hostiles à Ibn Khaldoun, fait jeter ce dernier en prison en 1356.

 

Il est libéré après la mort du sultan et devient cadi malékite pour ensuite partir à Grenade (Espagne) en 1362

 

C'est là qu'Ibn Khaldoun se lie d'amitié avec le philosophe renommé Ibn al-Khatib.

 

En 1365, il quitte l'Andalousie pour Bougie où l'un de ses amis, le prince hafside Abou Abdellah, vient de prendre le pouvoir.

 

Il y obtient le poste de premier ministre et assure les fonctions de prédicateur à la grande mosquée d'El Qacaba. Mais la ville de Bougie tombe entre les mains d'Aboul Abbas (un autre prince hafside). Ibn Khaldoun prend alors la fuite et se réfugie à Tlemcen, chez le prince Abdelwadid Abou Hammou, qui le charge alors de se rendre à Biskra en vue de lui recruter les soldats parmi les tribus arabes des Dhawawidas.

 

Puis, en 1370, il regagne Tlemcen pour assumer les fonctions de premier ministre. Mais la guerre éclate entre Fès et Tlemcen.

 

Ibn Khaldoun voulant retourner à Biskra est arrêté par des soldats mérinides lancés à sa poursuite. Il sauve alors sa tête en acceptant de se rendre une fois encore à Biskra pour y recruter des combattants pour le compte de Fès.

 

En 1372, Abou Hammou reconquiert le pouvoir et lance ses partisans à la recherche d'Ibn Khaldoun dont il veut se venger.

 

Celui-ci parvient à rejoindre Fès où la situation est confuse mais se retrouve en prison.

 

Il n'y restera pas longtemps grâce à l'intervention de son ami le prince de Marrakech.

 

En 1374, il décide de s'embarquer pour Grenade, Muhammad V se débarrassant de lui en le faisant débarquer au port de Honein (Tlemcen) et en le livrant ainsi à la merci d'Abou Hammou (devenu l'émir Abdelwadid Wanzammar).

 

L'émir de Tlemcen Wanzammar profite de l'occasion pour le charger encore une fois d'une mission à Biskra. Mais en cours de route, il renonce à cette tâche et s'établit dans une forteresse appartenant à son protecteur,la Qalaa de Beni Salama, située sur un piton à proximité de Taghazaout (aux environs de Frenda) où il compose les Muqaddima et une partie de l'histoire des Berbères.

 

Il y demeure de 1375 à 1378.

 

En 1378, il regagne Tunis où il demande et obtient un poste de professeur. .

 

En 1382, Ibn Khaldoun, lassé des complots et des polémiques autour de sa personnalité quitte Tunis pour l'Égypte.

 

Le roi Barqouq l'y nomme grand cadi malékite, fonction qu'il perdra par la suite.

 

Fidèle à son attachement vis-à-vis de sa famille, il lui demande de le rejoindre au Caire.

 

Malheureusement, tous les membres de celle-ci meurent dans un naufrage au large de la Libye.

 

Cette catastrophe est le coup le plus dur qu'il ait jamais ressenti dans son existence.

 

En 1401, Ibn Khaldoun rencontre Tamerlan qui est tristement célèbre pour sa cruauté.

 

En effet le roi égyptien Farraj, fils de Barqouq, souhaite repousser les troupes turco-mongoles et se fait accompagner de nombreuses personnalités dont Ibn Khaldoun.

 

Ce dernier retourne au Caire et récupère sa charge de grand cadi malékite.

 

Il l'exerce jusqu'à sa mort qui survient le mercredi 19 mars 1406 (25 Ramadan 808).

Œuvre

 

Ibn Khaldoun est l'un des penseurs les plus en vue . Depuis bientôt un demi-siècle, son importance est reconnue dans les milieux intellectuels qu'ils soient européens ou berberes .

 

 

les intellectuels musulmans le rejettent et est violemment dénigré par certains écrivains et publicistes musulmans.

 

Les critiques européens ont prétendu par le passé que ce n'était pas un vrai musulman mais un philosophe libre penseur et un émule d'Averroès.

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