Jazairi 10 Posted June 4, 2011 Partager Posted June 4, 2011 par Hicham Hamza - publié le samedi 4 juin 2011 Mauvaise passe pour le ministre de la Culture. L’affaire Strauss-Kahn braque le projecteur sur les mœurs des dirigeants et l’omerta qui recouvre leurs éventuels délits sexuels. Depuis six ans, une confession méconnue de Frédéric Mitterrand à propos de ses relations tarifées en Tunisie est passée sous silence. Flashback. « L’échange paraît facile... mais la transgression est absente. On sert de femme de remplacement et de livret de caisse d’épargne ; les beaux gosses arrivent comme au sport et pour financer l’électroménager de leur futur mariage avec la cousine choisie par leur mère... ce sont les familles qui mènent le jeu et gagnent à tous les coups... de vieilles folles compulsives y trouvent leur avantage... puis les garçons disparaissent d’un seul coup... la fatigue ne vous donne plus très envie de continuer » : en ces termes, Frédéric Mitterrand dévoilait la face obscure de son amour pour la Tunisie. C’était en 2005, à l’occasion de la parution de son ouvrage intitulé « La mauvaise vie ». Ce récit crû et mélancolique relatait alors les expériences transgressives et autres égarements d’un esthète voyageur en mal de sensations fortes. Ainsi, à défaut de pouvoir s’aventurer dans les bordels d’Asie du Sud-Est, le narrateur admettait recourir à une alternative plus commode : la « solution Maghreb ». Fin 2009, lors de la révélation médiatisée de passages faisant état de relations avec des « garçons » en Thaïlande, le journaliste de L’Express Jérôme Dupuis s’était livré à une analyse détaillée du récit. A propos du passage concernant la Tunisie, son commentaire fut explicite : « Ce qu’il appelle crûment la "solution Maghreb" (comprendre le tourisme sexuel en Afrique du Nord) serait une impasse, car les compagnons d’une nuit ne souhaitent pas le suivre en France. "Le minet n’immigre pas", conclut-il avec regret... ». Plus loin, le critique littéraire renchérissait : « C’est pourtant un chapitre consacré à la Tunisie qui, peut-être, suscite chez le lecteur la plus grande gêne. Frédéric Mitterrand y raconte, en une scène déchirante, comment il emmène vivre avec lui à Paris un garçonnet tunisien, l’arrachant à une mère évidemment consentante mais éplorée. Pour l’éducation de ce "fils adoptif", le ministre se démène sans compter et se prive de vie mondaine. L’enfant, turbulent, lui mène la vie dure, arrachant à Frédéric Mitterrand cette réflexion - où comme toujours la franchise ouvre directement sur l’inconscient : "Je me demandais parfois si je serais capable de me donner tant de mal pour une petite fille. Les garçons touchaient évidemment à quelque chose de plus intime et de plus ambigu - quoique..." ». [YOUTUBE]DFIoGnQcFyc[/YOUTUBE] Lors d’une interview spéciale avec Laurence Ferrari en octobre 2009, Frédéric Mitterrand –alors critiqué pour son soutien à la libération de Roman Polanski- avait précisé qu’il ne se livrait nullement, dans ce « récit pas totalement autobiographique », à « l’apologie du tourisme sexuel ». Une pratique qu’il « condamne » même s’il a reconnu avoir commis tout au plus « une faute contre l’idée de la dignité humaine » à propos de ses relations « tarifées ». Solennel, le ministre enfonçait le clou : « Il faut se refuser absolument à ce genre d’échange ». [v]http://www.wat.tv/swf2/550215nIc0K113098577[/v] Citer Link to post Share on other sites
karimcirta 10 Posted June 4, 2011 Partager Posted June 4, 2011 Mais que font nos tunisiens et marocains? il me semble qu'ils seraient plus prompts à réagir contre les Algériens pour un oui ou pour un non , du moment que ce ne sont que des porcs venus d'occident qui atteignent l'intégrité physique et morale de leurs enfants ce n'est pas grave un conseil radical pour les tunisiens et marocains indignés , qu'ils en attrapent un, qu'ils lui coupent le sexe et qu'il lui soit mis en bouche à titre d'avertissement Citer Link to post Share on other sites
kalkan01 10 Posted June 5, 2011 Partager Posted June 5, 2011 si maroc ou tunisie etaient un pays libre, il y a longtemps que ils auraient ouvert une enquete. de plus aucun etranger n'est comdamné au maroc. ou alors tres légérement, qlq mois.. Citer Link to post Share on other sites
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