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L' écrivain Algérien Boualem Sansal reçoit le Prix de la paix 2011 des libraires Allemand


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Guest Frontalier
mrd...

 

ici en algerie , ds chaque coin du quartier , on croise un chat errant , un chomeur désepéré , mais jamais on croise une bibliotheque ... mrd

 

mais l'auteur du livre est entrain de rever , je pense ..

 

tu sais , les etrangers ont soutenu la revolution algerienne certe , ils ont donné au FLN leur aides poilitiques ,financieres , materielles , mais jamais des aides humaines ...

 

mm les marocains et les tunisiens , les egyptiens ont adopté notre revoltion , mais aucun d'entre eux a rejoint notre lutte armée ...

 

aucune goutte du sang etranger a été versé, seul le sang algerien a irrigué notre terre sacrée , pendant la revolution algerienne et mm pendant tt les 132 ans d'occupation francaise ..

 

et je ne sais pas , de koi il parle , cet auteur ...........

 

 

 

Je connais des Rifains de la province de Nador qui ont participé à la guerre d'Algérie et morts en Algérie. Les armes qui arrivaient d'Egypte au port Rifain cabo di agua chez les Kebdana puis transportés avec l'aide logistique des Rifains en Algérie !!! c'est dommage qu'on oublie ces gens ! Boumedienne les a remercié en les expulsant un matin de l'Aid el Kebir en les mettant dans des camions comme du bétail !!

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Je connais des Rifains de la province de Nador qui ont participé à la guerre d'Algérie et morts en Algérie. Les armes qui arrivaient d'Egypte au port Rifain cabo di agua chez les Kebdana puis transportés avec l'aide logistique des Rifains en Algérie !!! c'est dommage qu'on oublie ces gens ! Boumedienne les a remercié en les expulsant un matin de l'Aid el Kebir en les mettant dans des camions comme du bétail !!

 

Boumedienne était un *****.

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Je connais des Rifains de la province de Nador qui ont participé à la guerre d'Algérie et morts en Algérie. Les armes qui arrivaient d'Egypte au port Rifain cabo di agua chez les Kebdana puis transportés avec l'aide logistique des Rifains en Algérie !!! c'est dommage qu'on oublie ces gens ! Boumedienne les a remercié en les expulsant un matin de l'Aid el Kebir en les mettant dans des camions comme du bétail !!

 

Tout juste!

Le Maroc avec à sa tête Med V Allah yar7amou a été la profondeur stratégique de nos moujahidines bléssés, de même qu'il était une base arrière de logistique où l'on fabriquait _ si! si!_ des armes dans les fermes de Si Med Khettab El Fergani à 7ad Kourt et Sidi Slimane...

 

Mais il faut être également honnête et reconnaitre que le retour de Med.V de son exile malgache, il le doit en grande partie à ce grand illustre homme d'affaire algérien ... à l'honneur des Rois Med.V et Hassan II, ils n'ont pas été ingrats... ils ont continué à l'honorer jusqu'à sa mort...

 

 

Ceci dit, il serait sage d'arrêter de polémiquer et d'élargir la brêche entre les deux peuples que tout unit ... et qui de toutes façons n'ont aucune responsabilité dans la faillite de la politique maghrébine...

 

Vive la renaissance de l'Etoile Nord Africaine.

SVP! ménageons l'avenir qui sera commun ou pas du tout :rolleyes:

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Salem dihya

Ton post est "très profond"… :rolleyes:

 

Ma suggestion pour toi est de placer le monde par delà le bien être de ta p’tite grande personne, les choses ne seront que plus meilleures pour toi et aussi pour le monde qui de toutes façons continuera à dépérir quoi que nous fassions à notre p’tite échelle…

 

Te construire une cabane !?…

Mais volontiers … sauf qu’avec tous mes respects pour le majestueux Djurdjura et pour le mythique Roufi, ça ne sera ni dans l’un ni dans l’autre mais dans une p’tite Ile qui restera à …inventer ...

 

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à moins que tu ne voudrais squatter celle que j’ai déjà … ;)

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Mais là, il n’y’aura ni infos, ni net…ni amis de FA, rien que les oiseaux , une vache à traire, une poule et… moi …:confused::mdr:

 

tu m'offres donc le choix entre:

- une atlantide qu'il est possible de trouver par chacun de nous.....il suffit de trouver la bonne' piste' .au fond de l'ocèan ou quèlques parts dans le monde..elle existe....on s'obstine à la chèrcher ...heureux ceux qui la trouvent!!

-la vie à la robinson :quel bonheur !! la baignade dans les eaux limpides,la lècture à l'ombre des oliviers,l'amitiè des adorables vaches ...hum...tu rajouteras les ânes que j'aime (en trouvant qu'on est injuste et ingrat vis à vis d'un sympatique animal!)....la poule ,il ya surement un coq aussi ...histoire d'avoir des omelèttes au repas....et aussi pour son dèlicieux cocoricco !!

pas pour le temps...pour ça il ya le suprème soleil qui se lève et se couche toujours en beautè....!!...quèlle chance de suivre le seul rhytme de la nature!!

...eve et adam ont du vivre de cette manière ...ils ont eu la mauvaise idee de

grignoter une petite pomme !!!

 

ah !!le grignotage ...ça a changè la face du monde !!

 

 

p.s:merci pour les magnifiques photos.

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blanche neige, tu peux pas savoir comment cela m'attriste ce que je vient de lire.

 

est ce que tu es une littéraire? as tu accès à la BU ou pas?

 

je viens de lire ton intèrvention sur le topic qui vient d'être fèrmè par la modèration ....tu sais ,chacalette,quelques fois l'humour ,la rigolade sont une soupape.dans un forum ou dans la vie....lorsque les tensions ,la mauvaise humeur guètte,il vaut mieux faire une pause avec une bonne blague salvatrice.si tu trouve des personnes capables de saisir la nuance de cet humour ,c'est tant mieux -même si c'est quèlques fois un petit hors sujet-.....ma grand-mère disait:kouthrèt el hèm idahèk.(dèsolee encore une fois pour la petite pose-rigolade dans ce topic.) .........................je vais faire un lien entre ce topic et l'autre en parlant justement du rôle de l'intèllectuel . d'abord qui est vraiment un intèllectuel ?...ce laziz qui t'a intèrpellè de cette maniere imbue de sa pèrsonne (j'etais entrain de lui rèpondre lorsque le topic a ete fèrmè.j'espère qu'il va lire ici ce que je pense de lui) ....et bien ,ce laziz qui fait tout le temps ètalage de ces lèctures ,et rabaisse tous ceux qui intèrviennent en les traitant d'ignorant est pour moi l'exemple même du sois disant intèllèctuèl et qui sont des individus loin des rèalitès,des prèocupations,de l'intèret de leur peuple. ce laziz est incapable de faire une analyse d'un vècu populaire, il est dèconnèctè de la rèalitè ....exibant tout le temps des couvertures de livres,monologant tout seul ,aucune authenticitè.........les tonneaux vides sont les plus bruyants.

pour moi le vrai intèllèctuel est un homme simple,encourageants ceux qui ,même ,s'ils n'ont pas le savoir ,ont de la curiositè pour ce savoir. ce n'est pas du tout le cas de cette personne ........enfin..il vaut mieux en rire plutot.....:music_whistling:

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tu m'offres donc le choix entre:

- une atlantide qu'il est possible de trouver par chacun de nous.....il suffit de trouver la bonne' piste' .au fond de l'ocèan ou quèlques parts dans le monde..elle existe....on s'obstine à la chèrcher ...heureux ceux qui la trouvent!!

-la vie à la robinson :quel bonheur !! la baignade dans les eaux limpides,la lècture à l'ombre des oliviers,l'amitiè des adorables vaches ...hum...tu rajouteras les ânes que j'aime (en trouvant qu'on est injuste et ingrat vis à vis d'un sympatique animal!)....la poule ,il ya surement un coq aussi ...histoire d'avoir des omelèttes au repas....et aussi pour son dèlicieux cocoricco !!

pas pour le temps...pour ça il ya le suprème soleil qui se lève et se couche toujours en beautè....!!...quèlle chance de suivre le seul rhytme de la nature!!

...eve et adam ont du vivre de cette manière ...ils ont eu la mauvaise idee de

grignoter une petite pomme !!!

 

ah !!le grignotage ...ça a changè la face du monde !!

 

 

p.s:merci pour les magnifiques photos.

 

La vie à la Robinson ..crusué!?...

 

Bah!... si ce n'est les émotions du naufrage...elle est d'une platitude et d'une monotonie qui n'a rien "a envier" à celle que nous menons dans nos cités exengues ... régie par des codes bridant toute velléïté d'épanouissement _là, je divague :D_

 

Tout celà, parce que me vient à l'esprit l'histoire de Kaïs et Leila... celle du terroir et qui plus est n'est pas loin du mystique et non moins rustique Roufi.

 

Alors, reflexion faite, j'opterais plutôt pour quelque Oasis de notre immense Sahara... il devrait bien se trouver quelque parcelle non encore violée par la laideur des ... derricks. j'ajouterais que ça ne serait pas une cabane mais plutôt une khaïma en toile faites de poils de chameaux...

 

Mais attention! Là, à la place de la vache, il y'aura une chamelle tout ce qu'il y'a de ...chamelle, la poule sera une autruche, ... et le sympathique âne sera un destrier du terroir... et bien sûr toujours le vilain...moi ;):rolleyes:

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mais prq , tu a pris ca mal ? je parle pas de toi , mais de l'auteur ....

 

tu sais je suis algerienne et en plus je vis en algerie , donc l'hitoire de la guerre de mon pays , je l'ai apris à l'ecole et en dehors de l'ecole , depuis que j'ai ouvert mes yeux et notre television ,, nos journaux , mm notre entourage parle de la guerre d'algerie , de la revolution algerienne ...

 

le plus important , la famille de mon pere ainsi de ma mere est pleine de moujahidines , dieu merci ils sont tjours en vie ..

 

et ils m'ont confirmé qu'aucun etranger a rejoint la lutte armée , wahed ma hez elslah w tla3 ejbel yhareb m3a jabhat eltahrir ...

 

chacalatte , à ma place tu crois ceux qui ont fait l"evenement ou celui qui parle de l'evenement , tu crois les moujahidines ou tu crois l'auteur ?...

 

ps: je respecte chaque mot ecrit par les membres du forum et ce n'etait k une simple discussion trés innocente avec toi ....

 

non tu m'as mal comprise, ce qui m'as attristé c'est quand tu m'as dit qu'il ny'a pas accès aux bibliothèques de quartier, ça je trouve ça vraiment dommageable. car je sais combien les livres sont chers en Algérie (même prix qu'ici) donc l'accès à la lecture est rendu difficile.

 

c'est ça qui m'a attristé, pas le reste du message t'inquiète pas.

 

pour le reste, les contributions étrangères se sont il est vrai pour la pluaprt effectuées en logistique et aux armées des frontières (tunisie/maros) et bien sur en France. cependant il y a eu des combattants etrangers sur le sol agérien (bataille d'alger, ne pas néglliger l'implication des communistes, n'oublie pas maurice Audin!)

 

Maurice Audin, né le 14 février 1932 à Béja (Tunisie) et décédé en 1957, est un assistant de mathématiques français à l’université d’Alger, membre du Parti communiste algérien (PCA) et militant de la cause anticolonialiste. Il fut torturé et tué par les services français1, car il était militant de la cause de l'indépendance algérienne.

Membre de la cellule Langevin des Étudiants communistes, Maurice Audin fréquentait aussi l'association des étudiants musulmans, l'AEMAN (devenue en 1955 l'UGEMA)2. Le PCA est interdit le 13 septembre 19552. Père de trois enfants, il organise, avec sa sœur et son beau-frère, l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA, en septembre 19562.

Près de deux ans plus tard, lors de la « bataille d'Alger », Maurice Audin est arrêté à son domicile, le 11 juin 1957, par le capitaine Devis, le lieutenant Philippe Erulin et plusieurs militaires du 1er régiment étranger de parachutistes, pour être transféré vers une destination où il est assigné à résidence. Une souricière étant installée dans l'appartement de la famille Audin, Henri Alleg, ancien directeur du journal Alger républicain et auteur de La Question, y est arrêté le lendemain. À l'exception des militaires, il est le dernier à l'avoir vu vivant3. La trace de Maurice Audin est dès lors perdue pour son épouse Josette et leurs trois enfants.

 

Selon l'armée française, Maurice Audin se serait évadé en sautant de la jeep qui le transférait de son lieu de détention. Mais selon les membres de sa famille politique et une enquête de l'historien Pierre Vidal-Naquet qui écrit, en mai 1958, dans la première édition de L'affaire Audin, que l'évasion était impossible, Maurice Audin est mort au cours d'une séance de torture, assassiné le 21 juin 1957 par le lieutenant Charbonnier, officier de renseignement servant sous les ordres du général Massu.

 

À Alger, une place du centre-ville, à proximité de l'Université, porte son nom. Sur cette « place Maurice Audin » se trouve, notamment, le siège d'Air Algérie. Par extension, tout le quartier allant de la Grande Poste à l'avenue Didouche Mourad est désormais appelé « Audin » par les jeunes algérois.

La 38ème promotion de l'École Nationale d'Administration d'Alger, sortant en juin 2005, porte le nom de Maurice Audin.

Maurice Audin - Wikipédia

 

c'est un des plus connu mais il y en a eu d'autres,, beaucoup beaucoup.

 

tiens regarde franz fanon:

Frantz Omar Fanon, né le 20 juillet 1925 à Fort-de-France et décédé le 6 décembre 1961 à Washington, était un psychiatre et essayiste martiniquais et algérien.

 

Il est l'un des fondateurs du courant de pensée tiers-mondiste. Penseur très engagé, il a cherché à analyser les conséquences psychologiques de la colonisation à la fois sur le colon et sur le colonisé. Dans ses livres les plus connus, il analyse le processus de décolonisation sous les angles sociologique, philosophique et psychiatrique mais il a également écrit des articles importants dans sa discipline : la psychiatrie.

 

Période française[modifier]

 

Frantz Fanon, né à Fort-de-France en Martinique, est le cinquième enfant d'une famille mulâtre comptant huit personnes. Il reçoit son éducation au Lycée Victor-Schoelcher de Fort-de-France où Aimé Césaire enseigne à l'époque.

 

En 1943, il rejoint les Forces françaises libres puis s'engage dans l'armée régulière après le ralliement des Antilles françaises au général de Gaulle. Combattant avec l'armée française du général De Lattre de Tassigny, il est blessé dans les Vosges. Parti se battre pour un idéal, il est confronté à « la discrimination ethnique, à des nationalismes au petit pied »1. Après son retour en Martinique, où il passe le baccalauréat, il revient en France métropolitaine et poursuit ensuite des études en médecine, tout en suivant des leçons de philosophie et de psychologie à l'Université de Lyon, notamment celles de Maurice Merleau-Ponty.

 

De son expérience de noir minoritaire au sein de la société française, il rédige Peau noire, masques blancs, dénonciation du racisme et de la « colonisation linguistique » dont il est l'une des victimes en Martinique. Mais ce livre est mal perçu à sa publication en 1952. Frantz Fanon évoquera à de multiples reprises le racisme dont il est victime dans les milieux intellectuels parisiens, affirmant ainsi « le sud américain est pour le nègre un doux pays à côté des cafés de Saint-Germain »2.

Période algérienne[modifier]

En 1953, il devient médecin-chef d'une division de l'hôpital psychiatrique de Blida-Joinville en Algérie et y introduit des méthodes modernes de « sociothérapie » ou « psychothérapie institutionnelle », qu'il adapte à la culture des patients musulmans algériens ; ce travail sera explicité dans la thèse de son élève Jacques Azoulay. Il entreprend ensuite, avec ses internes, une exploration des mythes et rites traditionnels de la culture algérienne. Sa volonté de désaliénation et décolonisation du milieu psychiatrique algérien lui vaut l'hostilité d'une partie de ses collègues[réf. nécessaire].

 

Dès le début de la guerre d'Algérie, en 1954, il s'engage auprès de la résistance nationaliste et noue des contacts avec certains officiers de l'Armée de libération nationale ainsi qu'avec la direction politique du FLN, Abane Ramdane et Benyoucef Benkhedda en particulier. Il remet au gouverneur Robert Lacoste sa démission de médecin-chef de l'hôpital de Blida-Joinville en novembre 1956 puis est expulsé d'Algérie en janvier 1957.

 

Il rejoint le FLN à Tunis, où il collabore à l'organe central de presse du FLN, El Moudjahid. En 1959, il fait partie de la délégation algérienne au congrès panafricain d'Accra ; il publie la même année L'An V de la révolution algérienne publié par François Maspero. En mars 1960, il est nommé ambassadeur du Gouvernement provisoire de la République algérienne au Ghana. Il échappe durant cette période à plusieurs attentats au Maroc et en Italie. Il entame à la même époque l'étude du Coran, sans pour autant se convertir (la mort ne lui en laissera pas le temps)3.

Se sachant atteint d'une leucémie, il se retire à Washington pour écrire son dernier ouvrage Les Damnés de la Terre. Il décède le 6 décembre 1961 à l'âge de 36 ans, quelques mois avant l'indépendance algérienne ; sa dépouille est inhumée au cimetière des « Chouhadas » (cimetière des martyrs de la guerre) près de la frontière algéro-tunisienne, dans la commune d'Aïn Kerma (wilaya d'El-Tarf).

 

Il laisse derrière lui son épouse, Marie-Josèphe Dublé, dite Josie (décédée le 13 juillet 1989 et inhumée au cimetière d'El Kettar au cœur d'Alger), et deux enfants : Olivier né en 1955 et Mireille qui épousera Bernard Mendès-France (fils de Pierre Mendès France).

 

En hommage à son travail en psychiatrie et à son sacrifice pour la cause algérienne, l'hôpital de Blida-Joinville où il a travaillé porte désormais son nom.

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