OldRenardino 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 à la demande d'un ami je remet quelques uns de mes poemes en evidence, en commençant par les plus anciens, certains ont disparu, mais bon el baraka fel qlil... bon ne vous attendez pas à grand chose c'est juste pour que mon ami les retrouve vite en se connectant... sinon bein le niveau il laisse à desirer dans les temps futurs quand on pleurera, que les temps anciens l'on regrettera, l'on criera partout "ou est misterenard?", qu'il vienne rafraichir les mémoires, avec ses beaux mot, son bel art, faire nos cœurs chavirer et les rendre prompts a s’émouvoir. l'art des mots? je ne peux vous l'enseigner! mais avec moi je vais vous baigner, dans des histoires d'amertumes et de souffrances, dans d'autres vous trouverez félicité et délivrance. vous qui n'avez nul crainte des mers agitées, venez, goutez frayeurs et angoisses cette nuitée. ou peut être craignez-vous le hideux et l'horrible? je vous bercerai avec un chant moins pénible! oyez, oyez! Renard le barde veut vous chanter: les beaux contes de mondes merveilleux et d'univers enchantes, les mythes, les légendes et les histoires de manoirs hantés, la réalité avec des gens bienheureux et d'autres qui ont déchanté. aujourd'hui Renard a des oreilles prêtées, et c'est l'histoire d’émeraude et d’améthyste qu'il veut vous conter "le précieux va au précieux" telle est la loi de la vie, et celui qui en bénéficie en est le plus ravi, c'est ainsi que le sort a gâté émeraude, que tant ont admiré et pour qui ont chanté des odes, que renard a entendu, il en eut l'esprit embrumé, car ses oreilles tendues, en nul lieu en nul temps n'ont ouï si bel hommage rendu, que les beaux cygnes en furent plumés, sachant ou la muse était étendue, s'en fut vers le cœur réjoui. sur son chemin, Renard rencontra la pluie, pour sa fourrure couleur de feu il craignit, dans une sombre cave il prit abri, il y avait le vide, le noir, et une améthyste qui lui, "seriez-vous dame émeraude, Ô étoile qui brille?", "mon beau renard, mon bel ami, si cela se peut que puisse se tromper si joli porteur de fourrure couleur de feu, je crains que vous ne m'ayez confondu, et vous soyez mépris.", renard ne fut heureux que lorsque le nom de son étoile il apprit. "belle améthyste, pourquoi n'ai-je point entendu, votre majesté et votre beauté, par les bardes chantées?" "renard, yeux de flammes, craignez d'avoir le crane fendu pour avoir été si honnête, et m'avoir montré trop de bonté." "mon cœur ne connaitra point de paix, tant que je ne suis pas descendu dans les enfers, et monté dans le ciel demandant que justice vous soit rendue!" ainsi parlait Renard, le grand amateur de beauté, avant de rencontrer émeraude et d’être envouté, auprès de sa nouvelle dames les plaisirs des yeux il a gouté, les louanges au renard point ne manquaient, mais sa belle dame avait plus d'une oreille et était en bonne santé, si bien que sur lui elle n'avait qu'un œil, l'autre ne cessait de reluquer, ceux qui la lui partageaient dans le comté. de ce partage Renard fut bien vite las, ces louanges manquèrent d'entrain, et il devint fat, si bien et si fort que l'amour d’émeraude s’ébranla, elle ordonna qu'on lui coupât la queue, ou qu'a mort on l’etrangla, renard comprit la vilenie et montra qu'il est agile, lorsque pour fuir la honte et la mort il sut être habile. chemin faisant vers son pays, renard de nouveau rencontra la pluie, dans la même caverne il prit abri, de la santé de sa belle étoile il s'est enquit, elle allait bien mais il lui manquait, le regard d’améthyste lui fit oublier son pays. bientôt finit l'histoire, lorsque améthyste qui est semi précieuse offrit sa part précieuse a renard, celui-ci refusa, il voulut les deux, et il dit : "mieux vaut une dame uniquement et complétement à moi, même si elle n'est pas parfaite, plutôt que m'importuner a partager une dame même si elle est complètement bien faite!" je fuis, je cours sans me retourner, j'embarque les mondes et les univers, de ma course folle nul ne peut me détourner, j'efface des mémoires les proses et les vers. ceux qui ont oublié ma course, et se sont affairé a remplir leurs bourses, le jour que dieu voudra je m’arrêterai, la terreur et les remords deformeront leurs traits. ceux qui sont obnubilés par mon trot, et n'ont profité de leurs vies ni peu ni trop, aux chants des sirenes seront restés sourds, à rien ne leur a servi de guetter celui qui court. enrichissez vous puis pensez à autrui, quand vous choirai votre or ne restera pas votre, je suis et j'ai été, et pas moins je serai, sans toi, avec toi, et meme sans personne, je courrai jusqu'à ce que le glas sonne, et dés lors dans le néant je me reposerai. vivez, riez, soyez joyeux et soyez tristes, avant de gouter la mort goutez l'amour, C'était une amie qui me donnait des ailes C'était une personne avec une âme si belle C'était une amie à qui je pouvais tout dire C'était une bouche qui arborait le plus beau sourire C'était une amie qui m'ouvrait les portes des cieux C'était une larme coulait de mes yeux C'était une amie avec qui l'a fortune m'a réuni C'était une main avec laquelle le destin m'a puni C'était une amie qui a subitement disparu et décidé de m'oublier Elle me l'a dit, oui elle me l'a dit. Je n'espérais plus, je me suis fait une raison. Mais elle l'a dit, elle l'a si bien dit, À moi qui l'aime jusqu'à la déraison, Une douce voix, un doux mot M'a rendu heureux quand elle l'a prononcé. Nul autre mot n'est aussi beau, Nul autre chant ne m'aurait fait ainsi danser. Elle me l'a dit, oh mon Dieu elle l'a dit! Pendant que sur de vieux souvenirs je me penchais. Imaginez combien j'en étais surpris. Mes craintes se sont évanouies, on les voyait sur le sol jonchées. Quand elle me l'a dit Je ne savais plus quoi répondre, Elle m'avait pris de revers. Alors j'ai fait semblant de ne pas l'entendre. C'est pourquoi je lui adresse ces modestes vers. Mais nulle poésie, nulle prose, N'est égale à ce mot qu'elle m'a dit. Je ne devrai peut-être pas, mais tant pis! J'ose Vous répéter ce qu'elle m'a dit! "Je t'aime!" De mes doigts je retrace ton nez. Je caresse tes joues et frôle tes lèvres. Mon regard plonge dans le tien. Je veux te serrer dans mes bras, Mais hélas ce n'est qu'une photo de toi. Chaque jour je la pose sur mon cœur Pour l'apaiser de cette douleur à laquelle ton absence le soumet. Mon âme torturée s'apaise lorsque je songe que tu es mienne. Mon âme apaisée souffre lorsque je songe à combien tu es loin. Mais je sais que bientôt tu seras proche. Bientôt je pourrai te serrer contre moi, Te murmurer les mots d'amours que ta magnificence souffle à mon esprit. Bientôt je pourrai enfin sourire vraiment, Rire aux éclats de bon cœur, Faire le fou parce que je serai fou et non par protocole. Encore quelques jours à tenir, et je serai enfin comblé. Et pour ne pas te mentir, je t'aurai attendu toute l'éternité. Je souffrirai bien sur si l'attente se prolongeait. Mon âme ne trouverai point de paix. Mon cœur par la tristesse serait rongé. Mais que m'importe mon cœur et mon amour? Puisque de toutes façons, Mon cœur c'est toi, Mon âme c'est toi. Qu'importe l'attente et la souffrance Si au bout tu es la récompense. Je suis un mort qui marche parmi vous déguisé en vivant. La souffrance m'a tué sans arracher mon âme à mon corps. On pleure à la naissance parce que la vie entre en nous, J'ai pleuré à ma naissance parce que ma vie a défilé devant mes yeux. On m'a prédit les pires malheurs, Mais ils ne savaient pas que c'était pire que leurs prédictions On m'a promis les plus grands châtiments, Mais ils ne savaient pas que ce qu'ils avaient vu c'était les meilleurs moments de ma vie. Longtemps j'ai souffert et je souffre encore, D'être l'âme d'un mort affublée d'un corps. Mon cœur est grand, mais plus un cœur est grand plus il est vide. Et d'amour et de tendresse je suis devenu avide. La seule qui a voulu m'en nourrir a perdu la vie. Me voilà orphelin alors que je venais d'émerger. Décennie après décennie je ne connus rien que la souffrance, Mais je croyais que j'allais clôturer cette troisième sur une jolie note, Lorsqu'une magnifique femme devant moi apparut. Une femme à nulle autre égale. Sa beauté est une insulte pour celle de toutes les autres dames. Son cœur d'or est aussi grand que le mien si ce n'est plus. Elle m'a été promise depuis les temps anciens. Sur un livre par les anges gardé on disait que ce trésor m'appartient. Mon âme des enfers revint quand à ma porte cette femme frappa. Mon cœur soudain se remit à battre quand cette femme prit ma main. Aujourd'hui elle veut s'envoler comme un éphémère Alors que notre amour vient juste de naitre et ne cesse de croitre Cette femme qui m'aime comme moi a peur Cette femme que j'aime souffre aussi Cette femme a pourtant le droit à l'amour elle aussi Cette femme doit être mienne seulement elle me fuit Cette femme pour qui tout semble se dérober ne sait pas que je l'aime Cette femme je serai sien pourvu qu'elle me suive Cette femme ce n'est pas moi qu'elle devrait craindre Cette femme ce n'est pas de mon amour qu'elle doit désespérer Car même si elle perdait tout mon amour lui reste acquis Car même si elle a besoin de l'éternité jusque là je l'attendrai Car nos cœurs sont désormais liés Non jamais, jamais je ne voudrais t'oublier Renoncer à la vie plutôt que de renoncer à toi Alors arrête de fuir, reviens vers moi Cœur de Pierre rencontra Dame Nature. Dame Nature planta en lui Petite Graine. Petite Graine a su pénétrer Cœur de Pierre, Elle s’est frayé un chemin avec force et douceur. Cœur de Pierre un jour s’est vu décoré d’une Petite Fleur. Petite Fleur lui a amené plein de bonheur. Cœur de Pierre et Dame Nature vivent ensemble depuis. Et Petite Fleur pousse encore et donne de très jolies couleurs. Petite Fleur est l’amour. Cœur de Pierre c’est moi. Mais qui donc est Dame Nature ? Un monde plongé dans l'hiver éternel Chaque jour des milliers de fleurs éclosent Elles ne savent pas ce qu’on attend d’elles Mais on met nos espoirs dans ces petites choses Chacune de ses fleurs semble annoncer le printemps Et l’on sourit on croyant proche la fin du calvaire Mais chaque fleur est nouvelle déception Chaque fleur plonge davantage ce monde dans l’hiver Tant de fleurs éclosent sous mon regard Et tant d’arbres se dessèchent et meurent Mon esprit dans la contemplation s’égare Analyse ceux qui partent et ceux qui demeurent Et comprends que pour sauver le monde c’est déjà trop tard Car les arbres qui nous protégeaient en cette dure saison Se sont desséché, puis sont mort Et les remplacent de fragiles gens Incapables d’amener le printemps Folle est l’humanité qui en eux continue de croire La fin est signée par les fleurs du désespoir Tu emplissais mon grand cœur De fausse joie et de faux bonheur Il était plein de tes mensonges, de tes trahisons Pour cela, aujourd’hui, meurtris, sur ces pavés toi et moi gisons J’ai si peu d’amertume pour ce douloureux passé Je regrette mon cœur d’or que tu as brisé Ta magie ne fait plus effet mon ange Et t’aimer est loin tel un mirage, tel un songe ceux de krypto baynin pas besoin que je les remette.. 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Rihame 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 tirigo][/b] Elle me l'a dit, oui elle me l'a dit. Je n'espérais plus, je me suis fait une raison. Mais elle l'a dit, elle l'a si bien dit, À moi qui l'aime jusqu'à la déraison, Une douce voix, un doux mot M'a rendu heureux quand elle l'a prononcé. Nul autre mot n'est aussi beau, Nul autre chant ne m'aurait fait ainsi danser. Elle me l'a dit, oh mon Dieu elle l'a dit! Pendant que sur de vieux souvenirs je me penchais. Imaginez combien j'en étais surpris. Mes craintes se sont évanouies, on les voyait sur le sol jonchées. Quand elle me l'a dit Je ne savais plus quoi répondre, Elle m'avait pris de revers. Alors j'ai fait semblant de ne pas l'entendre. C'est pourquoi je lui adresse ces modestes vers. Mais nulle poésie, nulle prose, N'est égale à ce mot qu'elle m'a dit. Je ne devrai peut-être pas, mais tant pis! J'ose Vous répéter ce qu'elle m'a dit! "Je t'aime!" Tu l'as aimé vraiment ou c'est juste comme ça:o Citer Link to post Share on other sites
aietech 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 Un monde plongé dans l'hiver éternel Chaque jour des milliers de fleurs éclosent Elles ne savent pas ce qu’on attend d’elles Mais on met nos espoirs dans ces petites choses MAGNIFIQUE MERCI POUR CES VERS Citer Link to post Share on other sites
Moa514 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 Tu l'as aimé vraiment ou c'est juste comme ça:o Rihame, moi j'aime ton avatar...il est vraiment élégant et séduisant aux yeux d'un jeune mâle comme moi Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 Rihame, moi j'aime ton avatar...il est vraiment élégant et séduisant aux yeux d'un jeune mâle comme moi Ce n'est qu'un avatar ...La vraie algérienne que je suis est trop belle pour être affichée:showoff: Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 Un monde plongé dans l'hiver éternel Chaque jour des milliers de fleurs éclosent Elles ne savent pas ce qu’on attend d’elles Mais on met nos espoirs dans ces petites choses MAGNIFIQUE MERCI POUR CES VERS En ayant lu ça, j'ai pensé à un pédophile... Car ils n'ont d'yeux que pour les petites choses ... Je ne parle pas de l'auteur mais des vers sortis de leurs contextes, quotés comme tu l'as fait ! Citer Link to post Share on other sites
aietech 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 En ayant lu ça, j'ai pensé à un pédophile... Car ils n'ont d'yeux que pour les petites choses ... Je ne parle pas de l'auteur mais des vers sortis de leurs contextes, quotés comme tu l'as fait ! chacun pense selon la constitution de son cerveau hamdoulilah j'ai eu des pensées très saines en les lisant c'est souvent les petites choses qui font le bonheur de tous les jours merci encore l'auteur:04: Citer Link to post Share on other sites
Moa514 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 Ce n'est qu'un avatar ...La vraie algérienne que je suis est trop belle pour être affichée:showoff: C'est fou comment tu arrives a tourmenter les âmes masculines :eek: Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 C'est fou comment tu arrives a tourmenter les âmes masculines :eek: C'es là, mon grand malheur! Citer Link to post Share on other sites
Moa514 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 C'es là, mon grand malheur! C'est ta force ma chère, c'est sur que tu dois tellement faire souffrir ton homme le pauvre :eek: Citer Link to post Share on other sites
ytreza 10 Posted June 10, 2011 Partager Posted June 10, 2011 à la demande d'un ami je remet quelques uns de mes poemes en evidence, en commençant par les plus anciens, certains ont disparu, mais bon el baraka fel qlil... bon ne vous attendez pas à grand chose c'est juste pour que mon ami les retrouve vite en se connectant... sinon bein le niveau il laisse à desirer ceux de krypto baynin pas besoin que je les remette.. quoi, c'est toi tirigo-lo? Citer Link to post Share on other sites
OldRenardino 10 Posted June 10, 2011 Author Partager Posted June 10, 2011 Tu l'as aimé vraiment ou c'est juste comme ça:o je ne sais plus ce qu'est vraiment aimer... alors je ne sais plus si je l'ai vraiment aimée... Citer Link to post Share on other sites
OldRenardino 10 Posted June 10, 2011 Author Partager Posted June 10, 2011 quoi, c'est toi tirigo-lo? tirigo, oui, tirigo-lo, non Citer Link to post Share on other sites
Guest jolimademoiselle Posted June 11, 2011 Partager Posted June 11, 2011 Merci OldRenardino pour ce partage, j'ai bcp aimé bonne continuation! Citer Link to post Share on other sites
OldRenardino 10 Posted June 11, 2011 Author Partager Posted June 11, 2011 Merci OldRenardino pour ce partage, j'ai bcp aimé bonne continuation! merci bien.:o Citer Link to post Share on other sites
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