féminin pluriel

[Guest bkam]

Une femme dont on en distingue pas la féminité sous ses couches indistinctement empilées de peaux d'animaux qui la protège du froid mordant. Ses cheveux hirsute tombe de façon désordonnés autour de son visage penché sur un bol de pierre dans lequel elle mou les herbes récoltées auparavant. Herbe qu'elle ajoutera à la viande séché et dur d'un des animaux de qui elle porte la peau, pour lui donner un peu plus de saveur. Son dos as perdu sa forme harmonieuse d'antan à force d'être accroupie pour récolté les baies sauvages ou tanné les peaux.

 

Une autre femme, au visage fin celle-la, dans un autre monde, dans une autre culture, remonte son voile quelques instant pour éponger la sueur qui coule sur ses tempes et son cou. Avec rapidité elle effectue ce geste pour ensuite rabattre sur ses yeux d'un bleu de corail ce voile qui cache son visage, visage qu'un homme arrivant à l'improviste pourrai voir.

 

Au Cachemire sur le lac Dal de Srinagar, deux jeunes filles musulmanes échanges à voix basse assise dans leur barque. Le ton de leur voix est monocorde et sans joie leur grand yeux dévoilés par une coutume qui se perd n'est pas pour autant joyeux. Le voile elle ne le porte pratiquement plus, mais elles savent que leur avenir est déjà tout tracé malgré tout, qu'elles ne pourront pas se soustraire au cycle normal des choses qui régit leur vie, de par leur culture, leur religion.

 

Sur la route cahoteuse du Népal je sens déjà une différence dans la place des femmes dans cette société. Derrière moi quatre jeunes népalaise habillés à l'occidentale chante a tue-tête sans prendre garde au regard choqué des indiens qui sont présent. Dans les rues de Katmandou peut d'entre elles portent encore l'habit traditionnel, quand elles le portent on voit tout de suite la différence, puisque maintenant elle le porte avec grâce, le tissus étant bien ajusté à leur corps de pucelle bien sculpter, pour mettre en valeur leur formes harmonieuse.

 

Dans les montagnes Himalayennes ce sont les femmes qui tiennent d'une main de fer les shops et les Ghuest house, que ce soit là ou dans les rues de Katmandou on les voient fièrement fumer aux yeux de tous leurs cigarettes pendant que les femmes indiennes se cache pour prendre deux ou trois taffes de leurs biddies, dérobé à leur mari.

 

Mais derrière cette apparence de liberté la femme népalaise sait que tout ceci n'est qu'un leurre, une illusion. La famille la laisse aller et venir, étudier, se faire des amis à sa guise jusqu'au moment ou elle décidera qu"il est maintenant temps de la mariée au partie le plus avantageux pour eux.

 

Toutes ces femmes de la préhistoire à nos jours ont essayer et essaie encore de faire leur place dans ce monde crée par l'homme et pour l'homme.

Les femmes, indiennes, népalaises, musulmanes regarde avec argne et parfois envie la femme occidentale qui semble avoir fait sa place.

Mais derrière ce regard elle semble nous dire que tout ceci n'est qu'un leurre surtout lorsqu'elles voient cette femme se résigner devant cette homme qu'elles connaissaient.