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Anciens de Polytechnique d'El Harrach.


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Je garde un bon souvenir de Polytechnique.

Je fais appel aux anciens pour nous en parler.

 

L'École nationale polytechnique d'Alger est une école d'ingénieurs fondée en 1925. La diversité architecturale de ses bâtiments témoigne des différentes extensions et des élargissements des domaines de compétence de cette école.

 

En 1962, l'école polytechnique à accueilli les premières réunions du gouvernement provisoire d'Algérie. Sous l'égide de l'UNESCO, l'école a rouvert ses portes pour la première promotion des ingénieurs de nationalité algérienne.

 

À ce jour, elle a formé près de 8000 ingénieurs. Ses ingénieurs sont accueillis facilement au sein des entreprises ou compagnies informatiques en Algérie.

 

L’école nationale polytechnique d'Alger (ENP) a des liens avec plusieurs industriels nationaux à l'image de de Algerian Softwares, Fahd Constructions et Della Soft. L’école nationale polytechnique (ENP) fait aussi partie du programme « Ambassador School » de la société Schlumberger spécialisée dans les services pétroliers. BP Algérie a également signé avec l’ENP un accord par lequel les étudiants pourront bénéficier de leçons théoriques ; à travers cela, on peut évidemment détecter et découvrir les jeunes talents pour les recruter ensuite dans les installations de BP en Algérie.

 

Par ailleurs, l’école participe à un consortium de recherche euro-méditerranéen sur les problèmes de l'eau, en association avec les technologies de l'information, ce dans le cadre du projet ESIMEAU et WADI.

 

 

À l'échelle internationale, l'école a signé des conventions de coopération avec des établissements de différents pays. Actuellement, la coopération se fait en grande partie avec la France. Quelques travaux ont été effectués ou se font aussi avec l'apport d'établissements britanniques, canadiens, belges, japonais, polonais, hongrois...

 

L'école est aussi un pôle de formation de formateurs. La post-graduation (Magister et Doctorat) évolue de manière dynamique, en adaptation avec le développement technologique. Il en est de même pour la post-graduation spécialisée, assurée pour les besoins des partenaires industriels de l'école, mais qui reste toutefois à développer encore. Depuis 1995, l'école a enregistré à son actif la formation de quelques 600 Magisters et 163 Doctorats.

:zoo_dog:

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Je garde un bon souvenir de Polytechnique.

Je fais appel aux anciens pour nous en parler.

:zoo_dog:

 

J'en suis un (parmi les anciens ... enfin pas très ancien :D ).

Je pense que polytechnique (ou Polytech comme on l'appelait) est connue, pas besoin de m'étaler là-dessus.

Voilà on faisait un tronc-commun de 2 ans, ça s’appelle le fondamental, puis en fonction de la moyenne des 2 années, la répartition des spécialités est faite.

Je tiens à noter qu'il n'y avait pas de fiche de vœux ou quoi que ce soit pour choisir la spécialité. La moyenne qui jugeait.

Celui qui refait 2 fois l’année est banni.

Il suffit aussi d'avoir moins de 7.5 dans un module et tu passera au rattrapage. c'était très dur mais bénéfique.

L’Algèbre ètait le module le plus chi*** au fiondamental.

On avait aussi les intérros (8 intéro/module/an). Fait le calcul quand tu as 14 modules !

On prévient pas les étudiants si le prof devrait nous faire une intérro.

On avait 3 trimestre (système du primaire) pas 2 semestre (comme dans l'université)

l'examen de synthèse est compté comme un 4e trimestre (obligatoire pas facultatif comme les autres universités)

 

 

On avait toutes les spécialités du Génie sauf l'informatique (celui qui veut faire informatique y a l'INI). Quant à moi, je faisais Génie Mécanique.

 

Voilà je pense que j'ai fait le tour de polytech.

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Merci pour ces informations.

Sur quoi portait les mémoires de fin d'études?

Où allait travailler les diplômés?

 

La thématique dépend comme tu sais de la spécialité. C'est difficile de vous donner comme ça les sujets choisis par les tuteurs pour leurs étudiants.

Quant aux diplômés, ils exercent dans plusieurs domaines de l'industrie : Pétrolière (shlum, sonatrach, Baker,..), chimique, mécanique, et autres ...

Il Y a aussi ceux qui préfèrent faire de la recherche à l'étranger en faisant un Master recherche qui ouvre par la suite la porte au doctorat et donc (généralement) à l'enseignement.

 

A notre échelle (classe de 12 étudiants en Génie Mécanique) 8 d'entre eux sont à l'étranger (France, russie, canada, suisse, Angleterre) 2 sont au chômage (machi bled) et les 2 autres travaillent dans l'industrie.

:crazy:

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