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L'Iran entame 2008 avec 13 pendaisons AFP

Édition du jeudi 03 janvier 2008

 

Mots clés : exécutions, pendaisons, Drogue, Justice, Iran (pays)

 

 

Téhéran -- Treize Iraniens, dont une mère de famille, ont été pendus hier en Iran pour des crimes allant du trafic de drogue au meurtre, alors que l'année 2007 s'est achevée sur un record d'exécutions par rapport à la précédente. La prison d'Evine, à Téhéran, a servi à pendre huit condamnés dont une femme, Raheleh Zamani, 27 ans, selon l'agence Isca. Raheleh Zamani avait obtenu un sursis à son exécution, prévue initialement le 19 décembre.

Elle avait été reconnue coupable du meurtre de son mari, qui la trompait avec une autre femme, selon le quotidien Etemad.

 

Mme Zamani, mère d'une fille de cinq ans et d'un garçon de trois ans, avait surpris à son domicile son mari avec une autre femme en avril 2005. L'époux l'avait chassée du domicile familial, mais le couple s'était ensuite violemment disputé dans la soirée. La femme avait tué son mari avec une barre de fer, avant de découper son corps pour en dissimuler les morceaux. Selon Etemad, la condamnée avait adressé une lettre à la famille de son époux pour demander son pardon, en vain.

 

Au moins 297 personnes ont été pendues en 2007, selon un décompte effectué par l'AFP, contre 177 en 2006, selon Amnesty International.

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Il y a d'autres manières de mourir, disons..., plus democratiquement:

 

Le rapport de 65 pages intitulé « So Long as They Die: Lethal Injections in the United States », (Du moment qu’ils meurent : les injections létales aux Etats-Unis) revient sur l’histoire oubliée des exécutions par injection létale. On y procède en effet d’après un protocole créé il y a plus de trente ans sans recherche scientifique ni adaptation moderne, et qui est resté inchangé depuis. Alors que le condamné est allongé et attaché sur une civière, les bourreaux, cachés derrière un mur, lui injectent successivement trois substances par intraveineuse. Une dose massive de thiopental de sodium, un anesthésiant, est injectée en premier, suivie d’une dose de bromure de pancuronium, qui paralyse les muscles mais laisse le prisonnier conscient et capable de ressentir la douleur. La troisième substance, le chlorure de potassium, est censée provoquer un arrêt cardiaque rapide. Pourtant cette substance est tellement douloureuse que même les règlements vétérinaires interdisent son usage tant que l’on n’est pas sûr que l’animal à euthanasier se trouve dans un coma profond. Cette précaution n’est pas prise pour les condamnés à mort.

 

Human Rights Watch est contre la peine de mort quelles que soient les circonstances et exige son abolition. Mais jusqu'à ce que les 38 états et le gouvernement fédéral qui l’appliquent l’abolissent, les lois internationales en matière de droits de l’homme exigent qu’ils élaborent une méthode d’exécution qui réduise au minimum les risques de souffrance mentale et physique pour les condamnés.

 

Human Rights Watch somme ces états de suspendre les exécutions par injection létale jusqu'à ce qu’ils aient procédé à une recherche et à une évaluation approfondie des méthodes existantes et alternatives.

 

Le processus d’injection de ces substances en usage aux Etats-Unis a été établi en 1977 par un médecin légiste d’Oklahoma qui n’avait aucune expertise en pharmacologie ou en anesthésie. Le Texas a rapidement adopté ce protocole et au moins 34 autres états ont alors fait de même. (Le protocole du Nevada reste secret). Human Right Watch a découvert qu’aucun de ces états n’avait consulté d’experts médicaux pour vérifier si le processus d’injection des trois substances originales pouvait être amélioré de façon à réduire le risque de douleur en utilisant par exemple d’autres substances ou en changeant la méthode d’administration.

 

« Se calquer sur les autres n’est pas la meilleure façon de savoir comment tuer des gens », a ajouté Fellner. « Si un état décide d’exécuter quelqu’un, il doit faire sa propre recherche d’abord, consulter des experts ensuite et enfin choisir la méthode qui infligera le moins de douleur et de souffrance possible ».

 

Sans une anesthésie adéquate ou correctement administrée, les prisonniers exécutés par la l’administration successive des trois substances peuvent être conscients pendant l’étouffement causé par l’agent paralysant et peuvent ressentir une douleur intense causée par le chlorure de potassium circulant dans les veines. Les registres d’exécutions récentes en Californie, ainsi que des rapports de toxicologie d’exécutions récentes en Caroline du Nord, montrent que les condamnés auraient en fait été anesthésiés de façon incorrecte avant leurs exécutions.

 

Les centres pénitentiaires ont refusé l’option d’exécuter des condamnés avec une injection massive unique d’un barbiturique, même si cela entraînait une mort sans douleur. La raison étant qu’une telle méthode obligerait les bourreaux et les témoins à attendre trente minutes de plus jusqu'à ce que le cœur du condamné s’arrête de battre. Les dirigeants du système pénitentiaire ont aussi refusé d’éliminer le bromure de pancuronium – l’agent paralysant – même s’il rend difficile de savoir si le condamné a reçu une dose d’anesthésique suffisante. En effet, le rôle de cette substance n’est pas de tuer le condamné, ni de lui éviter de souffrir : il sert à éviter les convulsions du corps durant les minutes qui précédent la mort. Cette substance masque aussi la douleur que le condamné ressent, puisqu’il se trouve immobilisé sans pouvoir bouger, crier ou même cligner des yeux.

 

« Les responsables des prisons se préoccupent plus de la sensibilité des bourreaux et des témoins que de la douleur ressentie pas les condamnés», a dit Fellner. « Ils se soucient plus des apparences que de la réalité ».

 

Bien que des condamnés aient depuis des années intenté des actions en justice, argumentant que les injections létales étaient d’une cruauté inconstitutionnelle, les tribunaux, jusque récemment, ont peu écouté leurs réclamations. Mais les tribunaux fédéraux de Californie et de Caroline du Nord, troublés par de nouvelles preuves de probables dysfonctionnements lors d’exécutions, ont refusé cette année d’autoriser celles planifiées sous le protocole standard d’injection. Le 26 avril, la Cour Suprême américaine entendra des arguments oraux sur les procédures qu’un condamné doit suivre pour remettre en question les injections létales.

 

Jusqu'il y a quelques années, les Etats-Unis étaient le seul pays au monde à utiliser les injections létales comme méthode d’exécution. Plusieurs autres pays qui n’avaient pas aboli la peine de mort ont suivi : La Chine a commencé à utiliser les injections létales en 1997; le Guatemala a exécuté son premier condamné par injection létale en 1998; et les Philippines et la Thaïlande ont, depuis 2001, fait passer des lois autorisant l’exécution par injection létale (même si, à ce jour, personne n’a été exécuté selon cette méthode).

 

 

« Les Etats-Unis se préoccupent plus de la mort des chiens que de celles des hommes », a affirmé Jamie Fellner, directrice du programme Etats-Unis de Human Rights Watch et co-auteure du rapport.

 

Des centaines de personnes ont été tuées de la sorte aux Etats-Unis depuis le retablissement de la peine de mort.

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Mr Jakubowitz

 

 

Occupez -vous de ces américains , Noirs pour la plupart , qui sont en train de croupire dans les prisons américaines et dont on ne sait meme pas s'ils sont coupables ou non et dont le sort est la mort par élèctrocution

 

O mais pardon Monsieur, l'Amérique est une grande démocratie qu'il ne faut pas critiquer...

 

J'en appele à tous les internautes , regardez quels sont les sujets lancés par ce monsieur qui n'est ni Algérien, ni Musulman et qui se permet de lancer des sujets fourre-tout de façon honteusement partiale......:Iran, Pakistan, Turquie laique, le sort des femmes dans le monde musulman, ces chrétiens qu'on persecutent....

 

 

Vive l'Algérie

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L'Iran entame 2008 avec 13 pendaisons AFP

Édition du jeudi 03 janvier 2008

 

Mots clés : exécutions, pendaisons, Drogue, Justice, Iran (pays)

 

 

Téhéran -- Treize Iraniens, dont une mère de famille, ont été pendus hier en Iran pour des crimes allant du trafic de drogue au meurtre, alors que l'année 2007 s'est achevée sur un record d'exécutions par rapport à la précédente. La prison d'Evine, à Téhéran, a servi à pendre huit condamnés dont une femme, Raheleh Zamani, 27 ans, selon l'agence Isca. Raheleh Zamani avait obtenu un sursis à son exécution, prévue initialement le 19 décembre.

Elle avait été reconnue coupable du meurtre de son mari, qui la trompait avec une autre femme, selon le quotidien Etemad.

 

Mme Zamani, mère d'une fille de cinq ans et d'un garçon de trois ans, avait surpris à son domicile son mari avec une autre femme en avril 2005. L'époux l'avait chassée du domicile familial, mais le couple s'était ensuite violemment disputé dans la soirée. La femme avait tué son mari avec une barre de fer, avant de découper son corps pour en dissimuler les morceaux. Selon Etemad, la condamnée avait adressé une lettre à la famille de son époux pour demander son pardon, en vain.

 

Au moins 297 personnes ont été pendues en 2007, selon un décompte effectué par l'AFP, contre 177 en 2006, selon Amnesty International.

 

 

Et plus de 3000 executions en Chine et aux Usa.....

Alors deux poids deux mesures?

Et Israel commelnt applique-t-elle sa peine de mort?

En tuant par ex de malheureux pélerins revenus d'Arabie , dont une femme

 

Tiens tiens , une femme(Qu'Allah l'accepte dans son vaste Paradis), pourquoi n'avez-vous pas lance de sujets à ce propos?

Vous devez donc rendre des comptes à vos maitres?

 

Deux poids deux mesure et un gros poids dans votre conscience pas ici bien sur mais là-haut..........

 

 

Et vous devez etre heureux de cette partialité qui vous rétrograde dans les bas fond de l'humanite

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  • 4 weeks later...
Mr Jakubowitz

 

 

Occupez -vous de ces américains , Noirs pour la plupart , qui sont en train de croupire dans les prisons américaines et dont on ne sait meme pas s'ils sont coupables ou non et dont le sort est la mort par élèctrocution

 

O mais pardon Monsieur, l'Amérique est une grande démocratie qu'il ne faut pas critiquer...

 

J'en appele à tous les internautes , regardez quels sont les sujets lancés par ce monsieur qui n'est ni Algérien, ni Musulman et qui se permet de lancer des sujets fourre-tout de façon honteusement partiale......:Iran, Pakistan, Turquie laique, le sort des femmes dans le monde musulman, ces chrétiens qu'on persecutent....

 

 

Vive l'Algérie

C'est vrai

... qu'il ne parle ni de jolies filles

... ni d'argent

... ni d'a boire

.... c'est triste tout ca

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Et l'Iran est le pays des jolies filles, des poètes, des philosophes.:)

 

Et n'oubliez pas qu'aux temps du Sha (d'Iran) pourtant laïque, la Savak n'avait rien à envier aux Gardiens de la révolution. Donc, il n'est pas très inspiré de faire le procès d'un seul régime aussi immonde soit-il.

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