P E N S E E S

[Guest D. ESSERHANE]

P E N S E E S

 

 

 

La vie est un cheminement de circonstances, souvent bonnes, souvent mauvaises. Il faut vivre avec. On ne dessine pas son sort sur un bout de papier, on ne tracera jamais, hélas, sa destinée sur un vieux parchemin. Le destin, c’est quelque chose d’imprévu enfoui derrière de lointaines collines, là haut, très loin dans le ciel, sinon, tout prés, juste au seuil de la porte. Le forcer, c’est tout comme violer un sacrement, c’est tout comme une offense à la vie. Combien d’êtres humains empressés, inconscients, maladroits, qui, miné par le chagrin, qui, floué par l’orgueil, sont tombés sous les charmes de quelque chose, de quelqu’un, autre que prévu, qui ne leur appartient pas, se sont brisés à mi-chemin, qui, mort prématurément, qui, handicapé et marqué à vie par un parcours bien flatteur…

 

Un conseil :

 

Ne soyez ni confiant, ni banal, ni empressé, trois écueils ! La trop grande confiance diminue le respect, la banalité nous vaut le mépris, le zèle nous rend excellents à exploiter. Ce n'est pas moi qui le dit

 

[rossignol 10]

P E N S E E S

 

 

 

La vie est un cheminement de circonstances, souvent bonnes, souvent mauvaises. Il faut vivre avec. On ne dessine pas son sort sur un bout de papier, on ne tracera jamais, hélas, sa destinée sur un vieux parchemin. Le destin, c’est quelque chose d’imprévu enfoui derrière de lointaines collines, là haut, très loin dans le ciel, sinon, tout prés, juste au seuil de la porte. Le forcer, c’est tout comme violer un sacrement, c’est tout comme une offense à la vie. Combien d’êtres humains empressés, inconscients, maladroits, qui, miné par le chagrin, qui, floué par l’orgueil, sont tombés sous les charmes de quelque chose, de quelqu’un, autre que prévu, qui ne leur appartient pas, se sont brisés à mi-chemin, qui, mort prématurément, qui, handicapé et marqué à vie par un parcours bien flatteur…

 

Un conseil :

 

Ne soyez ni confiant, ni banal, ni empressé, trois écueils ! La trop grande confiance diminue le respect, la banalité nous vaut le mépris, le zèle nous rend excellents à exploiter. Ce n'est pas moi qui le dit

 

 

bien dit didi:cool:

Le forcer, c’est tout comme violer un sacrement, c’est tout comme une offense à la vie.

[Guest D. ESSERHANE]

bien dit didi:cool:

Le forcer, c’est tout comme violer un sacrement, c’est tout comme une offense à la vie.

 

 

je connais beaucoup de gens qui ont fait forcer le destin.....

 

un père de famille qui a pistonné son rejeton...qq mois plus tard, il s'est trouvé en prison

 

un éminent chirurgien qui a fait évacuer un malade de son lit d'hopital pour installer son père à sa place....ce dernier décéda pendant que l'autre recouvrit sa santé...

 

Une femme qui a conquit le mari d'une autre...leur union n'a duré que le temps d'un seul ébat amoureux...

 

le destin tragique de l'assassin et du défunt patron de la police qui ont refusé de prendre leur retraite de militaires

 

Bouteflika et son obstination au koursi....et ses ennuis de santé...

 

la vie ne tari pas d'exemples de ce genre